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La « Lancenoir » 05

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Brunette

Dans les épisodes précédents :

Léa, suite à un quiproquo devient la petite amie d’Amadou. En conséquent, ce dernier se rend chez les parents de sa nouvelle conquête pour se présenter. Mais, ceux-ci font preuve de peu d’enthousiasme à ce qu’un noir fréquente leur fille, ils parviennent cependant à un accord. Que Léa devienne membre de la tribu de la « Lancenoir » et Amadou acceptera de la laisser à un autre. Mais pour devenir membre de cette tribu certains rituels sont exigés, le premier est que la famille de la jeune fille assiste à l’accouplement des deux jeunes tourtereaux, et voilà qu’Amadou porte Léa jusqu’au lit parental…

Après s’être débarrassé de son « fardeau » sur le lit, Amadou regarda autour de lui. La chambre était on ne peut plus sobre : un grand lit avec des couvertures à motifs géométriques, une armoire et une bibliothèque Ikea, d’épais rideaux aux fenêtres, rien ne transpirait un quelconque érotisme, on ne devait se coucher dans cette chambre que pour dormir.

« Alors c’est là que vous faites vos saloperies? Pas très bandant… Pourtant, je suis que Madame est une grande amatrice de cochonneries. Où vous planquez vos sex-toys?

— Je n’ai pas de gadget!

— Alors je suis sûr que Monsieur doit être fort occupé pour combler une cochonne comme vous.

— Je ne suis pas…

— Oui, oui, je sais… Vous êtes du genre bien propre sur vous, mais dans votre petite caboche alors là, vous êtes une grosse perverse. Et je suis sûr que votre fille est pareille, on peut la croire toute pure, mais elle a plein d’immondices dans sa tête. C’est pas vrai? »

Mais la fille était surtout affolé à l’idée que ses parents puissent la voir en train de se faire posséder charnellement par Amadou, aussi tenta-t-elle timidement de le dissuader :

« Amadou, on peut pas faire ça devant mes parents…

— Tais-toi et retire ta jupe. »

Léa hésita, mais finit par obéir. Elle fit lentement glisser sa jupe sur ses jambes, pas par lubricité, mais parce qu’elle ne voulait pas quitter ce dernier morceau de tissu qui la protégeait. Sa toison pelvienne apparaissant à son grand désespoir à mesure qu’elle se débarrassait de sa jupe, elle n’avait rien en dessous et elle laissait voir son minou à ses géniteurs et à son amant. La pauvre à demi nue avait devant elle un colosse grimaçant et juste derrière lui, ses parents inquiets.

« Amadou, je t’en prie…

— Toi, ferme ta gueule. Combien de fois il va falloir que je te le dise! Et écarte les jambes plutôt que de geindre! »

Léa obéit sans plus rien à dire. À quoi bon… à chaque mot qu’elle sortait, elle se faisait rembarrer par Amadou, et ses parents étaient tellement gênés de la situation qu’ils n’osaient rien dire. Elle s’allongea donc sur le dos, évitant de regarder son père et sa mère, et elle ouvrit les jambes pour montrer sa fente.

« Qu’est-ce que vous pensez de sa boîte à jus? demanda Amadou. Approchez-vous! Ça doit faire un bail que vous ne l’avez pas vu. Maintenant elle est pleine de poils, enfin heureusement pas trop ; elle se rase la foufoune comme une vraie salope, hein? Toujours prête à se faire saillir par une grosse queue noire. Allons, avancez-vous! Vous ne voyez rien d’ici. »

Les parents toujours serrés l’un contre l’autre, pour se donner courage, obéirent. Ils virent leur fille vêtue d’une simple chemisette, les jambes ouvertes en position pour se faire pénétrer.

« Alors, redemanda Amadou. Qu’est-ce que vous en pensez? »

Les parents gardaient le silence, bien trop embarrassés pour dire quoi que ce soit. Amadou se pencha sur Léa et lui effleura le clitoris, passa ensuite son doigt sur sa fente avant de la porter à son nez. Puis il présenta son doigt sous le nez de Jean.

« Elle est bien mouillée, non?

— C’est… Vraiment…

— Alors qu’est-ce que vous en pensez? »

Jean, dut prendre sur lui, il voulait en finir en vitesse, il dit la première chose qui lui venait à l’esprit :

« Elle est jolie?

— Tu entends ça, Léa? Ton père trouve que tu as un minou qui lui donne la trique. Comme c’est mignon… Vous autres, les blancs, vous êtes quand même une sacrée bande de pervers, des homos ou des pères qui veulent se taper leur fille. Que des vicieux. Et vous, Madame, vous ne devez pas être en reste. Une MILF comme vous, vous devez aller voir ailleurs, je suis sûr. Les petits jeunes que votre fille amène à la maison, vous goûter leur sucre d’orge quand personne ne regarde, non?

— Certainement pas!

— À d’autres! Avec votre tailleur sexy, vous pourriez aussi bien avoir “pute” écrit sur le front. Vous ne me ferez pas croire que vous ne vous retrouvez pas sous le bureau de votre patron en train de lui astiquer le manche… Mais revenons au berlingot de votre fille, vous le trouvez mouillé vous?

— Euh oui…

— Forcément, rien que d’imaginer ma bite, elle est en chaleur, mais elle pourrait l’être nettement plus, non? Madame quand vous vous apprêtez à vous faire mettre, vous mouiller comme une huître juteuse? J’imagine que vous ateşli gaziantep escort avez les lèvres gonflées, vous vous pâmez comme une salope… Et là, vous avez l’impression que votre fille se pâme?

— Non.

— Alors qu’est-ce qu’elle doit faire?

— …

— Allons, vous avez quelques années d’expérience de plus qu’elle donc vous êtes une bien plus grosse salope, c’est évident. Vous pouvez lui donner des conseils. Que doit-elle faire pour être bien chaude avant que je lui enfonce mon manche?

— Mais! Mon Dieu! Vous êtes vraiment immonde…

— Restez poli, je vous prie! Et concentrez-vous, elle doit se br…? proposa Amadou… Se bran… allons, essayez de deviner.

— Se branler, gémit le père.

— Ah! Voilà, tu entends ton papa, Léa? Quand je t’annonce que tu vas te faire baiser, tu dois te masturber jusqu’à ce que tu sois humide comme une fontaine. Et comment doit-elle faire ça, Madame?

— Moi… mais… il faut… les doigts… vous savez bien!

— Eh bien, tu as entendu ton papa et ta maman, Léa? Alors qu’est-ce que tu attends? »

Et Léa, devant les commandes données par sa famille, commença à introduire quelques doigts dans sa fente baveuse. Amadou regarda cette fille de bonne famille se masturber quelques minutes devant les yeux éberlués de ses parents. Puis, lorsqu’elle commença à vraiment prendre du plaisir, il l’interrompit :

« Maintenant, retire-moi mon froc! »

Aussitôt Léa cessa ses activités un peu trop impudiques et referma immédiatement ses jambes. Elle allait s’occuper du jean d’Amadou mais celui-ci lui ordonna d’y mettre les formes :

« À quatre pattes, salope! lève bien le cul, montre-le à tes parents! »

Léa hésita, Amadou lui demanda donc

« Tu sais pourquoi je veux te voir à quatre pattes?

— Non.

— Tu me causes comme à un chien ou quoi? Si tu me parles, tu me sers du “Monsieur”.

— Non, Monsieur, je sais pas.

— Ta salope de mère doit savoir. »

Cette dernière ne s’offusquant même plus des insultes… Elle aurait tout de même préféré rester bouche close, mais sous le regard imposant d’Amadou elle se sentit obligée de lui donner satisfaction en répondant :

« C’est plus sexy.

— Voilà, on voit la bonne pute qui connait son affaire… Oui tu montres à ton maître que tu es une chienne, une trainée bonne à baiser. Une femelle comme toi n’a pas besoin de savoir marcher sur deux jambes. Elle doit juste savoir comment dresser son cul en l’air!

— En France les femmes sont libres, se formalisa Jean.

— Je ne dis pas le contraire. Elles sont libres de choisir par quelles queues elles veulent se faire mettre. Mais à la fin elles se font toujours baiser par une queue de noir… Pas vrai gros cul, » dit-il en fichant une claque sur le cul de Léa.

Celle-ci ayant fini de présenter son cul, se retourna, toujours à quatre pattes sur le lit, la tête au niveau de l’entrejambe du grand noir et défit l’épaisse ceinture en cuir avec un gros ceinturon.

« Donne la ceinture à ton père. Il pourra l’utiliser sur ton cul si tu ne te montres pas assez bonne baiseuse. »

Et avant que Jean puisse refuser, il ajouta :

« Si vous ne vous montrez pas assez juste et sévère quant aux talents de votre fille au lit, c’est moi qui la fouetterais et j’ai bien plus de force que vous. »

Léa à moitié nue offrit donc la ceinture à son père. Puis elle enleva le jean d’Amadou, et fit descendre son slip. Les parents glapirent de surprise devant l’énormité de ce qui se présentait à leurs yeux

« Qu’est-ce que! »

Et la mère : « Mon Dieu! C’est impossible! »

Et le père : « C’est donc ça la lance noire… »

« Eh oui! Et elle n’est pas encore tout à fait bandée! Léa, fais-moi une branlette espagnole pour faire durcir tout ça, montre à tes parents le morceau de choix avec lequel tu vas te faire mettre.

— Une quoi? demanda Léa

— Mais cette femelle ne sait rien! Qu’est-ce que vous lui avez appris toutes ces années? Madame, expliquez-lui!

— Euh… Une branlette espagnole c’est quand tu mets le pénis du monsieur entre tes seins et que tu lui branles le sexe comme ça.

— Vraiment comment peut-elle ignorer ça?! Surtout avec les gènes de vache qui courent dans la famille. Madame est plantureuse comme une actrice de porno, et votre cadette, Mamamia! Ce n’est pas des seins qu’elle a, c’est des pastèques!

Léa retira sa chemisette, exposant ses seins qui, pour être les plus petits de la famille, n’en faisaient pas moins la taille de grosses mangues, et elle tenta de faire glisser le long tuyau noir en train de durcir entre ses seins. Les émotions se mélangeaient. Léa était honteuse du spectacle qu’elle offrait, tout en se souvenant avec délectation du plaisir qu’elle avait éprouvé quand cette bite de cheval l’avait possédée. Hélène et Jean étaient époustouflés par cette bite, suffisamment pour oublier un instant qu’elle faisait des va-et-vient entre les seins de leur fille.

Amadou bakımlı gaziantep escort sentait avec plaisir la jeune fille serrer ses seins autour de sa bite. Avoir une gonzesse qui utilisait ses grosses loches pour lui donner du plaisir était toujours un incomparable bonheur. Une femme ne sait pas bien branler une queue avec ses mains, le rythme ne va pas, la queue est trop serrée, ou elle fait des mouvements trop violents, alors qu’entre ses seins… On profite de la douceur de leurs rondeurs graisseuses, et on y lézarde avec la satisfaction de se savoir notre membre aussi bien entouré. Aussi Amadou fut-il assez mécontent quand il sentit le mouvement progressivement ralentir jusqu’à cesser tout à fait : Léa avait pris peur. Devant la bite qui lui arrivait maintenant devant le visage, elle était comme hypnotiser par le gland qui trônait entre ses deux yeux.

Amadou avisa le père de l’inefficience coupable de sa fille bien aimée :

« Qu’est-ce que vous attendez! Vous voyez bien qu’elle a arrêté de me branler, fouettez là! Ou faut-il que je le fasse à votre place? »

Le père n’eut pas le choix ; il se rappelait la menace d’Amadou, soit il infligeait lui-même le fouet à sa fille, soit Amadou s’occupait de la châtier avec toute la puissance de ses muscles. Bien à contrecœur, et même bouleversé de devoir lui infliger ce châtiment, il se mit à exécuter l’ordre terrible. Il leva la ceinture et la fit chuter sur le corps nu de Léa.

« Ahhhh!! »

Même avec toute la mollesse que son père y avait mise, Léa sentit la lanière en cuir lui frapper le dos, lui causant un brutal rappel à la réalité. Quelque dix secondes plus tard, elle sentit un second coup lui arriver dessus. Cette fois un peu plus fort et laissant une marque visible pour quelques jours. Léa regarda derrière elle avec des yeux de chiens battus, elle put observer son père brandissant la ceinture en l’air prêt à la cravacher. Elle se sentait malheureuse, son père ne l’avait jamais frappé. Pas une seule fois ses parents ne lui avait infligé une claque ou une simple fessée, au pire on l’avait privée de dessert, et voilà qu’à son âge elle se faisait marquer à la ceinture. Et pas parce qu’elle avait eu un zéro en cours, ou s’était montrée insolente, mais parce qu’elle n’était pas capable de branler correctement un noir…

Elle serra ses seins bien fort autour du sexe d’Amadou et recommença à frotter ses nichons de bas en haut contre le gros manche. Il était passé de la taille d’un gros joystick, à celui d’une batte de base-ball. Et rien ne semblait indiquer que sa croissance était terminée.

« Mon Dieu, on dirait un cheval, susurra Hélène. C’est plus qu’humain… »

Jean eut un frisson en entendant sa femme s’exprimer ainsi. Il savait parfaitement identifier l’état d’esprit de sa femme au timbre de sa voix, et il reconnaissait le ton : elle ne faisait pas que constater, elle était excitée.

« C’est tellement énorme… » ne pouvait-elle s’empêcher de commenter.

Amadou jeta un œil sur la mère de famille. Lui aussi entendait dans sa voix le son d’une chatte en chaleur, et d’ailleurs sans même s’en rendre compte, la maman avait inconsciemment posé une main sur son sein qu’elle caressait. Amadou était flatté que le spectacle de sa bite dans toute sa gloire fît un tel effet. Mais il était temps de passer aux choses sérieuses, il s’adressa donc à sa proie :

« Aller sur le dos, les pattes écartées, femelle. »

Léa obéit. Elle commençait à avoir le tournis avec cette bite qui lui passait entre les deux yeux. Elle se demandait jusqu’où elle pouvait monter. Elle reposa son dos contre le matelas et les draps de ses parents, et ouvrit les cuisses devant son amant.

« C’est écarté ça?! Je ne veux pas être gênée par tes mollets quand je te baise! Madame, Monsieur, tenez les jambes de votre fille. Ma bite est large et il lui faut une bonne ouverture. »

Jean et Hélène se regardèrent embarrassés… Certes ils voulaient être le moins actif possible dans la copulation de leur fille, mais ils voyaient la bite monstrueuse et se devaient d’agir pour éviter que leur ange chéri ne soit sauvagement labouré. Peut-être pouvaient-ils faire en sorte que la pénétration se déroule sans heurts. Ils prirent l’un le pied droit, l’autre le pied gauche, lui écartant amplement les jambes pour que la cramouille de leur fille soit facilement accessible au gourdin noir. Une fois ses ordres suivis, Amadou avait devant lui une chatte bien ouverte à défoncer, et dégoulinante. Léa devant le spectacle de cette énorme tige turgescente avait réagi comme un animal : instinctivement. Sans se soucier de la présence de ses parents, elle mouillait comme un jour de pluie.

Amadou entra lentement dans la fente juteuse, enfonçant d’abord son mandrin à mi-longueur. Ce fut assez pour que Léa crut qu’on lui ouvrait le ventre. Amadou retrouvant un habitat bien plaisant pour sa queue commença à s’occuper à prendre son pied. Il ne tint plus compte des cris de bayan escort la femelle et commença à exercer des va-et-vient puissants.

Madame tenant un des pieds de sa fille, sentit le choc quand l’anaconda s’enfonça dans le minou de sa fille. Et elle ne fit pas que sentir, elle entendit Léa hurler comme si elle était seule au monde! Incapable de se contenir, la mouille inondait le lit. Madame elle-même fut prise de jalousie. Elle avait presque quarante-cinq ans, elle était belle et n’avait jamais connu une jouissance telle que le manifestait sa fille. Elle voyait le chibre marbré pilonner la chatte de fille avec une force, une vitesse qui avait de quoi la faire défaillir. En observant cet accouplement bestial, elle oublia qu’elle était mère, oublia l’inconvenance de voir sa fille se faire défoncer, elle se mordait les lèvres de désir quand…

« Un préservatif! Il faut un préservatif! » cria son mari.

Amadou se retourna vers lui et se mit à rire comme un forcené.

« Une capote?! Mais mon vieux, tu en as de bonnes toi! Les capotes pour des bites à ma taille ça n’existe pas! Où il faut en commander sur des sites spécialisés! Mais ne t’inquiète pas. Je ne baise que des femelles saines. C’est pas avec moi qu’elle va tomber malade…

— Mais si elle tombe enceinte?

— Et bien, son gosse aura une grosse bite, je peux te l’assurer. »

Et, disant cela, il lui en remit un coup de mandrin.

« Mais ce serait un enfant noir… C’est hors de question!

— Bon… si tu tiens tant à ce qu’elle ne se retrouve pas en cloque, on peut arranger quelque chose. Et puis tu as peut-être raison, je veux pas avoir un chiard d’une gonzesse qui n’est pas encore de la tribu. D’autant qu’avec le sperme que je décharge, il faudrait un miracle pour qu’elle ne se retrouve pas avec un petit nègre dans le tiroir-caisse.

— Tu as entendu? Amadou veut bien arrêter de te faire l’amour, mon chou, » affirma sa mère qui trouvait injuste que sa fille ait le droit de connaître un plaisir aussi intense.

Léa était loin d’être aussi contente que sa jalouse de mère. Elle était à deux doigts d’atteindre un nouvel orgasme et voilà, que ses parents l’ennuyaient pour des précautions dont elle n’avait que faire. Renoncer à ce plaisir était quand même bien décevant.

Les deux parents regardèrent Amadou retirer son énorme engin de la chatte de leur fille. Quand il en sortit le gland, Léa poussa un gémissement se sentant le corps vidé, tandis que sa chatte complètement déformée tentait tant bien que mal de se refermer.

« Putain! Mais quelle salope, hein? Allez, retourne-toi, morue. »

Mais Léa était bien trop épuisée pour bouger

« Vous voyez, à peine quelques coups de pines et c’est H.S, faudra qu’elle boive plus de jus de couille, ça donne de la force… En attendant, Monsieur, forcez là à obéir! »

Jean fut obligé d’avoir recours à de nouveaux coups de ceintures pour que Léa trouve la force de bouger. Mais encore fallait-il qu’elle trouve la bonne position…

« Cambre tes fesses mieux que ça, ordonnait Amadou, forçant Jean à fouetter une nouvelle fois le postérieur de sa fille. Plus vite que ça! »

Finalement, lorsque le cul de Léa se trouva bien en hauteur, Amadou se dirigea vers elle, la bite toujours dressée…

« Mais, qu’est-ce que vous faites?! s’inquiéta Jean qui craignait avoir deviné sur l’objectif visé par Amadou.

— Eh bien, je ne la mets pas enceinte!

— Oui… mais…

— Voyons un peu ce que vaut ce trou du cul…

— Mais que comptez-vous faire?!

— L’enculer bien sûr!

— Mais c’est impossible! s’exclama Madame, rougissant fortement. Votre bite est bien trop grosse!

— Ah ça, elle va la sentir passer. Mais, ne vous inquiétez pas, elle finira par en redemander. Toutes les salopes sont les mêmes.

— Chéri, dis-lui de refuser.

— Tu la préfères enceinte?

— Oh non!

— Alors c’est décidé, conclu Amadou, à la une! À la deux! À la tr…

— Non! cria Hélène. Vous ne pouvez pas faire ça à sec. Jean vient avec moi. Et vous, Amadou, je vous en supplie, attendez que je revienne avant d’enculer ma fille.

— Très bien, je poiroterais en me faisant dégorger le poireau, pas vrai Léa. »

Léa rougit, en apercevant la taille de ce qu’elle devait mettre en bouche. Hélène agrippa le bras de Jean et ils décampèrent prestement.

*****

Les parents ne tardèrent pas à revenir, voulant éviter que leur fille ne prenne goût au braquemart saveur chocolat.

Aussi furent-ils consternés en rentrant dans leur chambre de voir leur douce enfant avalant une immense queue noire. Elle semblait avoir la bouche remplie plus qu’à ras bord et pourtant, elle avait encore bien du chemin à faire avant d’en arriver à la moitié. Amadou lui tirait les oreilles pour l’obliger à emboucher une plus grande quantité de bite dans sa bouche. Il forçait l’entrée comme s’il essayait d’enfiler une chaussure trop serrée.

Hélène avait retrouvé ses réflexes de mère et eut pitié de sa fille en la voyant asphyxiée par ce mastodonte noir :

« Arrêtez!

— Ah voilà les parents qui se décident à revenir. Mais qu’est-ce que vous apportez? »

Amadou plissa les yeux pour distinguer ce que le couple amenait comme ustensile. Il distingua dans la main d’Hélène une bouteille d’huile et dans celle de Jean, une plaquette de beurre.

« Ma choutte! Ça va?! » demanda Hélène.

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The Cure for Insomnia (Part 8, Day 5 PM

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Brunette

“Do it, baby! Cum for Mommy.” “I’m cumming!” I shouted as I shot rope after rope of thick cum all over my mom’s tits. “Me too!” she moaned, “I’m cumming too.” After I squeezed out the last drop of cum, I looked down at my mom’s cum-covered tits and laughed. “What?” my mom asked, confused. I pointed at her tits, and said, “Who looks like a glazed donut now?” We both laughed and then cleaned ourselves off with a towel. We then got under the covers and my mom pulled my arm around her and I cupped her breast as we took a nap while spooning naked. Part 8I woke up about an hour later with a raging hard-on. My mother was still sleeping peacefully next to me. Her bald pussy was on full display as she slept on her stomach.I wanted to bury my cock deep inside of her but I chose restraint and climbed out of bed instead.As I walked out into the living room I locked eyes with Jenny who was standing there in the nude.“Did you have a nice nap?” she asked me and then looked down at my hard cock, “It sure looks like you did.”Jenny looked at me for a moment while thinking about her next words carefully.“I told you that you need to take care of yourself whenever the need arises. Please go back to your room and take care of that for me,” she said sweetly but without room for argument.“I can’t do that in the same room as my mom,” I lied.“Is she awake?”“No, but…”“Then she’ll never know. Run along now.”I turned and walked back to my room. Normally my hardness would have subsided during a conversation such as that one, but the idea of masturbating over my sleeping mother kept me hard.As I entered my room, I noticed that my mom had rolled over onto her back and her legs were parted slightly. I took another step forward and grabbed my cock.I stroked my cock slowly as I admired my mom’s nude body.Just then I felt a hand wrap around my cock from behind and I heard Jenny whisper in my ear, “I thought you might need a hand.”I let Jenny stroke my cock and nibble on my ear.“Your mom is very sexy. Did you know that?” she whispered.“Yes,” I said quietly.“Just look at that beautiful pussy,” she said, as she started walking forward, pushing me along with her.We stopped when we reached the foot of the bed, directly between my mom’s spread legs. Jenny squeezed and stroked my cock harder.I closed my eyes and leaned my head back into Jenny’s shoulder.“Open your eyes, look at that inviting pussy,” Jenny said in my ear, “What would you like to do to a pussy like that?”“I’d like to fuck it,” I moaned.“You want to fuck that pussy? That sexy wet pussy?”“Yes.”“You want to fuck your mom’s sexy wet pussy?”Jenny reached around and fondled my balls with her other hand.“What if I told you that I could make that happen? Would you let me watch while you fucked your mother?”“Yes!” I moaned loudly as I shot my load.My strong orgasm sent my cum across the bed landing directly on my mom’s cunt.Jenny slowed her stroking until she had drained my balls completely. She wiped the last drop of cum off of my cock with her fingertip and then placed it in her mouth and sucked it off with a smack.“Good job. Run along now while I clean up this mess,” Jenny instructed.I walked to my door, opened it, and stepped outside. I turned to pull the door closed behind me and saw Jenny had crawled onto the bed and was moving her mouth toward my mother’s pussy.I closed the door fully before my brain had registered what it had just seen but now it was too late to see anymore.I cursed at myself for closing the door so quickly. I sulked back to the kitchen in search of something to eat. I poured myself a bowl of cereal and took a seat at the kitchen table. I sat in a chair that had a karataş escort view of the hallway to my room.I watched the empty hallway trying to picture what was happening inside my room while wishing I was in there too.I had just about finished eating my cereal when I saw someone step out of my room. It was Jenny. She made her way down the hall toward me. When she was close enough for clear eye contact, she gave me a wink and a smile and continued toward her room.I continued watching the hall, waiting for my mother to exit my room, but I saw something else entirely.I saw Johnny step out of the closet that was next to my room. He peeked his head out slowly and looked down the hallway in both directions. Thinking he had gone undetected, he darted out of the closet and into his room located directly opposite the closet.I began to wonder immediately what he was doing in there. Given his history of peeping, it didn’t take me long to conclude his intentions.I decided to do some investigating to see what I could find. I rose from my seat and made my way down the hall. The bedroom doors were closed so I opened the closet door.Nothing out of the ordinary jumped out at me. It looked just like any other hallway closet. There were towels and bedding on the shelves. In the corner was a broom, a vacuum, and a step stool.I knew I must be missing something so I turned on the light, stepped inside, and closed the door. I checked the walls, especially the wall that was shared with my bedroom but found nothing.Figuring that I had not found out why Jonny had been in here, I decided to leave the closet for now, and investigate further when the house was not so busy.I poked my head out of the closet and closed the door behind me when I saw that the coast was clear. I made my way back to the kitchen and cleaned my cereal bowl.As soon as I finished cleaning there was a knock at the door. I stood in the kitchen, frozen in place. I didn’t know what to do. It was not my house and I was naked.I waited a minute for someone else to answer the door. There was a second knock and no one else showed.I approached the front door and without opening it I spoke loudly through the door, “Hello?”I hoped the visitor had left when a woman’s voice on the other side responded, “Special delivery.”I cracked the door open and peeked around the door. There stood a beautiful young blond woman with large tits.She was holding a medium-sized package and an electronic signature device. Her delivery truck could be seen in front of the house.“Good afternoon. I need a signature from a Miss Jenny, or any adult in the house. Can you sign for me please?”“Umm, I don’t live here, and I don’t have any clothes on at the moment,” I squeaked out.“That’s okay, as long as you are legally on the property, you can sign for acceptance. And as for the other thing, I don’t mind if you don’t. You’d be surprised how often that happens. I can step inside and close the door if you’re worried about the neighborhood seeing you.”I backed the door open further, staying behind it, inviting her inside.  She stepped over the threshold and pulled the door closed, revealing my nakedness to her prying eyes.She looked down at my exposed cock immediately and smiled, “I don’t know why you were hiding, you certainly have nothing to be ashamed of.”Just then Jenny walked into the room. She was still naked and unabashed about it, “Who’s your new friend, Steve?”“She has a package that needs to be signed for,” I replied.“Hello, ma’am. I’m Lisa, and Steve is correct. I need a signature for this package.”“No problem,” she said, as she stepped closer karkamış escort and took the signature pad from Lisa, “Oh my, look at you!”I went wide-eyed wondering what Jenny would say next.“You look overheated working outside in this heat. Can I get you a glass of lemonade or offer you a dip in our pool?”“As tempting as your pool sounds, I think I’ll just accept the lemonade. I need to finish my deliveries.”Jenny started walking to the kitchen and Lisa followed. I reached out to take the box from her.Lisa took another glance at my cock before smiling at me, giving me a wink, and then handing me the box.I followed Lisa and found myself looking at her ass as she walked in front of me. When we made it to the kitchen I set the box down on the counter and took a step back. I immediately noticed what Lisa had seen.The excitement of the situation had caused the blood to flow to my cock, causing it to grow in size and harness.Jenny and Lisa had made their way around the counter while I remained on the side with my back to the living room.Jenny handed Lisa a glass of ice-cold lemonade. After she took a couple of sips she set the glass on the counter and then unbuttoned all four buttons on her polo shirt revealing her ample cleavage.Jenny and I looked on in anticipation of her next move. She picked up her lemonade and ran the glass across her cleavage allowing the condensation to cool her warm tits.Lisa closed her eyes and leaned her head back. She had to know the effect she was having on Jenny and me until I noticed Jenny was no longer looking at Lisa.Jenny had turned her attention to the living room but didn’t say a word. I turned to see what she was looking at and saw my mom standing in the living room, naked, stretching her arms into the air.She hadn’t seen Lisa because I was blocking her view until I turned to look at her.My mom let out a sudden shriek and attempted to cover herself, “Who is that?” she gasped.Lisa’s eyes shot open and looked at my mom’s gorgeous nude body.Jenny responded quickly and calmly, “This is Lisa and she is going to join us in the pool as soon as she’s done with her deliveries.”Jenny then looked at Lisa, and said, “Isn’t that right?”Lisa paused for a moment and then said, “I don’t know. Steve seems to have his hands full already.”Just then Johnny emerged from his room, and asked, “What’s with all the commotion? I was trying to take a nap.”Lisa looked at Johnny and then said to us, “Boy, this house is full of naked bodies. I guess one more won’t hurt. I’ll finish my route and come right back. Should be back in about an hour.”Lisa hustled out the door without assistance as Johnny looked at us with a confused expression.“Party starts in an hour,” Jenny announced, as she turned and opened the refrigerator, “I’ll prepare some hors d’oeuvres.”I made my way to take a shower because I knew I wouldn’t be able to sit patiently as an hour slowly passed by. I took my time in the shower and even rubbed one out to hopefully avoid any premature erections.I managed to distract myself for the next hour and a half. I heard the doorbell ring and made my way into the living room. Jenny had opened the door and Lisa was walking through it carrying a large bottle of Patrón tequila.We made eye contact and Lisa smiled at me. She lifted the bottle of Patrón and said, “Who wants a shot?”I was only wearing a towel wrapped around my waist and could not hide the immediate bulge that formed when I saw Lisa.  She wearing a white and pink polka-dot bikini.Her top did little to cover the flesh of her tits and her skin appeared silky and smooth.Jenny’s outfit was even kilis escort sexier. She wore a black one-piece that looked more like a bikini with all the flesh that was exposed. She finished off her outfit with a long black lace coverup robe. Her outfit looked more like lingerie than a swimsuit.“I do,” I responded.“I don’t think we have any shot glasses,” Jenny said.“That’s okay, I know how to improvise. Do you have limes and salt?” asked Lisa.“Yes. Steve, please take Lisa out to the pool and I will bring them out.”“Follow me,” I said.I led Lisa out to the backyard still wearing nothing but a towel.“Would you like a shot,” she asked me.“Sure, but we don’t have any glasses.”“That’s okay, I can pour it straight in.”Sounds scary but I agreed. She opened the bottle and approached me.“Lean your head back and open your mouth.”I felt her breast press against my chest as she lifted the bottle over my head. I was slightly taller than her so she struggled to aim the bottle over my mouth. Looking back on it now, I probably should have crouched down, but things worked out for the best.I closed my eyes as she began to tip the bottle. I felt the flow of tequila against my tongue and mouth. She had better aim than I had imagined.However, my mouth was filling up quickly and she was not stopping. I had to shut my mouth as liquor continued to pour down my chin and down the front of me.“Oops. Sorry about that,” Lisa said, “Let me get that.”I looked down and saw that my chest and hers wear covered in tequila. Lisa grabbed my towel and pulled it off my waist.“Oh my gosh, I didn’t know you were naked. I’m sorry.”“It’s okay. I don’t mind,” I reassured her.Lisa smiled and pressed the towel against my chest. She slowly moved it in circles while looking seductively into my eyes.My cock began to inflate slightly giving it a larger look which was fine by me.After a minute of rubbing, Lisa stepped back to admire her work, or the view. She then pressed the towel to her tits and tried to dry them. Her bathing suit had absorbed most of the spilled liquor and the only effect her rubbing had was making her nipples hard.She looked at her wet top and hard nipples and then looked at me, “I guess it’s no use, it will dry better in the sun.”I thought she was going to go lay in the sun but instead, she reached behind her back and pulled on the string of her bikini top. Her top came loose and she pulled it up over her head and sat it down in the fading sunlight.“That’s much better,” she said.Lisa laid my towel across one of the recliners and sat on the edge. She held the bottle out to me, and said, “Do you want to return the favor and pour me a shot?”My cock continued to grow in length and thickness but not enough to rise. It helped me grow my confidence as well and I walked over to Lisa, stood right in front of her, and took the bottle out of her hand.My cock was near right in front of Lisa’s face and she used the opportunity to look at it unabashedly.“Open wide,” I said.Lisa put her hands on my hips, closed her eyes, and leaned her head back slightly. She then opened her mouth and stuck her tongue out of her mouth about half an inch.It was not lost on me or my cock that it looked like Lisa was ready to receive my hardening cock into her mouth and part of me was tempted to do just that. My cock finally started to rise at the thought.I opened the bottle and held it over her head, “Ready?”“Uh-huh,” she replied, with her mouth still open. I tilted the bottle and imagined that it was my cum spraying into her mouth as the liquor splashed down.My cock pointed halfway out as it had not reached full hardness yet. Lisa nodded her head slightly and I stopped pouring. She closed her mouth and swallowed. Then she tilted her head back down and opened her eyes.She looked at my cock which was looking right back at her with one eye. With her hands still on my hips she said, “Looks like you enjoyed that almost as much as me. But now I need something to chase the shot down with.”

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Le Cafe Noir Au Lit

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Cumshots

Hou là! Laregarde!

Elle étourdissait. Il n’y avait pas d’autres mots pour décrire la noire magnifique que stridiait à travers la pelouse vers moi. Ses hanches minces se sont déplacées doucement dans le jeans de Lee palî et ses seins lourds a surgi en dessous de la chemise de soie. Elle a tenu ses sandales dans une main et un sac informatique dans l’autre.

“M’excuser. Vous sont Greg?”

J’étais si a étonné qu’elle m’avait parlé qu’il a pris mon cerveau quelques moments pour traiter les mots. “Euh, er, oui.”

“Grand! Mon nom est Simona, Simona Anders. Vous avez appelé l’aide informatique?”

“Oh!” Maintenant mon cerveau a donné un coup de pied dans l’engrenage. J’avais téléphoné au Syndicat Etudiant, demandant plus tôt s’ils ont su de quelqu’un qui pourrait aider apprend m’Excelle et Accède à. Leur recommandation avait été Anders les Services Informatiques et j’ai appelé, a obtenu un répondeur et part un message. Quelqu’un a rappelé pour dire qu’un des associés me rencontreraient hors de mon PoliSci 101 classent à 11:00am. Et ici elle était, un gros morceau magnifique de chocolat de lait savoureux.

“Oui, j’ai fait.” J’ai souri, me demandant si elle pourrait dire comment nerveux j’étais. “J’ai besoin d’apprendre Excelle et Accède à.”

“Le plan particulier de temps?”

“Pas vraiment. Immédiatement avant cette fin d’année.”

“Bien, cela nous donne quelque temps.” Simona a souri à moi et j’ai suffoqué à la beauté de ses dents blancs contre que la peau sombre. “Avez-vous faim?”

“Toujours!” J’ai ri et elle a fait, aussi.

“Bon. Pourquoi nous ne frappons pas Maxie et commençons un projet de leçon pour vous?”

Passe en haut le déjeuner avec cette belle créature? Vous devez kidding!! “Sûr!”

Par-dessus les sandwichs de club et la bière froide, nous avons parlé. Elle s’est avéré être celui des filles les plus intéressantes je’ d jamais a rencontré. J’ai aimé entendant sa voix et regardant sa face animée. Et elle avait les mains les plus charmantes, clous courtes et manucurées et épais, les doigts de muscled, sans aucun doute de traiter l’ordinateur. Notre conversation a coulé facilement du logiciel à la musique aux activités d’étudiant et j’ai aimé qu’elle était si knowledgable. Nous avons fini le repas avec les tranches de cheesecake de fraise-lacé et de café colombien noir.

“Mmm.” J’ai soupiré, posant mon grande tasse. “J’aime le café noir.”

“Oh, ouais?”

Nous les deux ri. Je ne me suis pas rendu compte que je ferais dit et n’a pas pensé certainement de comment il pourrait être interprété. “Simona, j’espère que vous ne prend pas cette la mauvaise façon, mais êtes-vous occupé ce soir?”

Elle a ri. “Greg, vous devez être désespéré si vous frappez sur un geek informatique!”

“Vous n’êtes pas un ‘geek’ par l’allongement de l’imagination, Simona. Mon camarade de chambre un commandant de Théâtre et il a donné m’étiquète à ce soir l’exécution. J’ai pensé que si vous n’étiez pas occupé, vous aimeriez me joindre.”

Simona a fermé son portable, le rangeant soigneusement dans son sac. “Je toujours ai voulu voirLes Miserables.”

“Alors c’est une date?” J’ai regardé la guerre va sur dans sa face, se demandant pourquoi c’était un tel problème pour elle. “Vous pouvez dire non, Simona.”

“Je pas veux dire non, Greg.” Je n’ai pas prévu de voir les déchirures dans ses yeux. “Il juste cela … “

“Que?”

“C’est été un temps long puisque j’ai été demandé sur une date.”

“Vous sont kidding? Un knockout comme vous?” Comment long quand elle n’a pas répondu à ma tentative à l’humour, je me suis déplacé dans la fin et chuchoté, “Ce-t-il a été?”

“Presque trois années.” Elle a ri tremblamment. “Je devine quand je suis venu à l’université et suis tombé dans l’amour avec les ordinateurs, tout était d’autre secondaire.”

“Si comment d’il?” J’ai caressé hardiment sa main, aimant la sensation de sa peau soyeuse sous mes bouts du doigt. “Nous pouvons diner après … “

“Accord.”

“Bon.”

Nous avons séparé avec une étreinte et moi le feutre aime un courreur Olympique comme j’ai sprinté à ma maison. J’ai dépensé l’heure prochaine traversant chaque article vestimentaire que j’ai possédé, essayant de trouver un équipement parfait. Mon camarade de chambre, John, est entré et tenu, riant dans la porte son âne de.

“Une date?” J’ai hoché et il a ri même plus dur, mettant un bras autour de mes épaules. “Venir et payer la note mon placard. Nous les deux sait beaucoup que vous avez fait les courses ces dernier peu d’années.”

Je l’ai détesté à ce moment, mais il avait raison. Mon extra-argent avait été dépensé sur l’une tour de gigaoctet dans le coin de ma pièce et ses accessoires: la plus grande unité dure, le clavier allumé, le moniteur de plasma … Je devine cela était pourquoi j’ai cliqueté si bien avec Simona. Je toujours avais eu assez d’amies dans l’école secondaire. Mes cheveux blanc-blonds Suédoiss et mes yeux bleus couplés avec un physique du joueur de football s’avaient occupé de cela. Mais mon affaire d’amour bayan escort gaziantep avec l’université avait tué mon dater. Entre les laboratoires de langue et les papiers de recherche, je n’avait pas de temps.

“Accord. Comment regarde-t-je?” John m’a donné un pouces-en haut et j’ai soupiré en relief.

“Elle doit être quelque chose pour vous prendre tant d’ennuie pour obtenir tout ‘gussied en haut’.” Pendant que j’ai ri, John soulevé son sac. “J’ai obtenu pour obtenir aller. Amènerez-vous sa coulisse?”

“Sûr.” J’ai frotté mon menton, faisant semblant d’être une statue de Rodin. “C’est-à-dire si elle n’est pas effrayée d’à cause de mon défectueux!”

“Mon ami” , Il a ri, fermant la porte. “Vous êtes un défectueux!”

J’avais presque deux heures pour attendre et j’ai dépensé la dernière heure devant un ventilateur, essayant désespérément de s’assurer que j’ai fait’ t trempe les aisselles de mon buttondown bleu poussiéreux. J’étais si nerveux! Finalement, j’ai fermé à clef et ai fait ma façon au Hall de Groton, sa résidence et trébuché dans l’entrée comme j’ai vu son attente.

Si j’avais pensé qu’elle était belle avant, j’ai été maintenant convaincu. Epais, les vagues de luxuriant les cheveux noirs ont encadré sa face douce, les yeux ont accentué de façon spectaculaire et ses lèvres quelque ombre de corail. La couleur a égalé sa robe, une couturière’ le rêve de s de soie brossée qui a glissé séduire par-dessus ses courbes cachées et reposé sur ses épaules gracieuses avec les spaghetti sangle. Elle a saisi un gauzy léger emballe dans elle transmet avec une bourse de pillbox en or et a cherché à moi avec les yeux effrayants.

“Hou là.” C’était le seul mot je pourrais respirer comme j’ai transféré à son côté. Elle s’est présentée et j’ai vu du brimming de déchirures dans ses yeux charmants.

“Merci.”

J’ai embrassé sa joue, hésitant un moment pour savourer la chaleur de sa peau et l’odeur qu’elle portait, un mélange exotique de tons florals et épicés qui ont envoyé des froids voyageant par-dessus ma chair. “Vous êtes absolument charmant, Simona.” J’ai ramené en arrière pour examiner ses yeux. “Je suis complètement muet.”

“Greg, vous faites ne doit pas … “

“Veuillez ne pas devoir que? Parle la vérité?” J’ai entouré son menton et ai tourné son dos de face pour creuser. “Je ne peux pas croire que vous soyez ma date!” Elle a souri et j’ai transmis son l’oeillet je ferais acheté au magasin. “Désolé ne ce pas est plus. Je suis calme attend un contrôle de mes parents.”

“Vous ne devez pas demander pardon, Greg. Ceci signifie plus me que les douzaines de roses.”

“Bon.” Je me suis tenu en haut, offrant ma main. “Maintenant, je suggère que nous obtenons aller avant que quelqu’un s’empare de nos places.”

J’ai aidé sa force l’emballe autour de ces belles épaules, résistant l’envie pour tomber un baiser sur sa nuque douce et nous avons apprécié le soir de printemps frais comme nous avons marché au Bâtiment de Théâtre de McIntosh. J’ai promis silencieusement d’embrasser John quand j’ai trouvé que nos places étaient dans le troisième rang, le centre et nous avons réglé dans pour quel était une production merveilleuse. J’ai regardé la face de Simona du coin de mon oeil et mon coeur a frémi à l’émotion j’ai vu son exprès. La confusion, la crainte, l’amour, la tristesse. J’avais vuLes Miz avant que mais c’était comme si je le voyais pour la première fois, par ses yeux.

Quand les lumières sont monté et la distribution a pris des arcs, elle a sauté en haut, donnant une ovation de position de teary, applaudissant foument. “S’allume.“ Je me suis emparé de sa main. “Allons voir mon roomie.”

Nous avons fait un arrêt bref au restroom des dames pour qu’elle pourrait fraîchir en haut et dirigé au secteur de coulisse. John m’a accueilli avec une étreinte d’ours et un sourire, alors jeté un coup d’oeil par-dessus mon épaule pour voir mon Simona doux.

“Est-ceci la dame?”

“C’est en effet. John Gardner, rencontrer Simona Anders, extraordinaire de champion informatique. Simona, rencontrer mon camarade de chambre, John.”

Je regarde la réaction de John comme elle a poussé une main en avant pour secouer sa main. “Agréable pour vous rencontrer.”

“Même ici.” Il a souri. “Greg, vous n’étiez pas kidding quand vous avez dit qu’elle était beau. La seule question est pourquoi elle avec vous?”

Nous avons ri et le souffle a gelé dans ma gorge à l’éclat de son sourire. “J’espère qu’il a un grand coq.”

John a braillé avec le rire et l’a rassemblée dans une étreinte fraternelle. “Je vous aime, Simona.” Il a embrassé sa joue. “S’allume. J’ai obtenu Cabo dans mon vestiaire.”

Le trois de nous sont allés au vestiaire de John, un qu’il a partagé avec deux autres gars: le Parc de Andy qui a joué Javert et Paul Johanssen qui avait joué Marius. Pendant que j’ai aidé John verse le tequila glacé, j’ai regardé le discours de Simona avec les acteurs, jaillissant par-dessus leurs exécutions et parlant cim cif gaziantep escort de la représentation de John de Valjean et une sensation étrange glouglouté dans ma poitrine. C’était la fierté. Elle avait augmenté à la plaque et avait ‘geekdom gauche’ derrière.

“Ici.” J’ai glissé le verre de coup dans sa main, laissant mes doigts traînent comme ils ont caressé sa peau de chocolat. Elle a remarqué et est déplacée son corps plus près me.

“A que devons-nous griller?” Elle a dit enrouément.

“A mon être idiot.” J’ai tinté mon verre avec le sien. “Autrement, je ne vous aurais jamais rencontré.”

Nous avons fixé dans chaque autres yeux pour un moment hypnotisant, a lancé alors le dos d’alcool, suivant avec une tranche de citron de sugared. Simona m’a étonné en tirant m’expédie pour un baiser dont la passion a sucé le souffle de mes poumons. Mon coq grossi dans le tendu limite de mes Dockers, s’est convulsé alors comme sa main a donné il un rapide, mais léger serre.

“Mmm.” Elle a chuchoté. “Je deviner ne doit pas espérer n’importe quel plus.”

Nous un autre couple de coups avec John avant que Anders a suggéré que nous allions à un parti de distribution qui était tenu à son ami’ la maison de s. Simona et je suis allé dehors dans la nuit fraîche pour avoir un souffle d’air frais. Je pourrais’ t garde mes mains de d’elle. Mes bras sont allés autour de sa taille et j’ai tiré son dos contre moi, appuyant un baiser au côté de son cou. Elle a bourdonné dans la reconnaissance.

“Ceci a été la meilleure nuit de ma vie.”

“C’est par-dessus déjà?” J’ai demandé, tirant son plus tendu contre moi.

“Non, pas du tout.” Simona a tourné dans mes bras. “Au moins que je n’espère pas.”

“Pas par un coup long.” Ma bouche a foncé en bas sur le sien et j’ai écrasé son corps succulent contre le mien, dévorer, vouloir devenir la partie d’elle.

Elle a frémi, se déplaçant plus près, la faisant une boucle arme autour de mon cou, suçant ma langue dans sa bouche. “Oh, Greg.”

“Nous ne devons pas aller à ce parti, vous savez.” J’ai courbé pour embrasser son, se perdant encore dans la douceur de ses lèvres et la danse de sa langue contre le mien. “Je peux avoir mon café noir au lit.” Quelque chose dans ce que je ferais dit a glacé l’atmosphère. Elle a terminé le baiser, prenant un dos d’étape de moi, ses yeux questionnant.

“Je sais.” Sa réponse était calme et je le feutre quelque genre d’ascension de mur entre nous. Je me suis demandé que le problème était. Je n’ai jamais obtenu pour demander parce que juste alors, John, Andy et Paul se sont montré et nous avons passé au parti. Et quand j’ai pensé de demandant son encore, elle avait disparu.

*****

Je n’ai pas eu son adresse ou le téléphone numérote si je ne pourrais pas appeler son le lendemain et quand j’ai appelé les Services d’Ordinateur de Anders, une voix agréable qui n’était pas le sien a dit qu’elle n’était pas dans. Je pars un message, doutant qu’elle le retournerait. J’ai été planifié pour avoir une leçon avec son et s’est demandée mercredi si elle montrerait pour il.

Pour le prochain quatre jours, je suis allé aux classes dans un brouillard, se demandant ce qu’a fait une erreur et les nuits fantasment sur sa peau brune souple et la courbe de son cou alléchant. Quand le mercredi est arrivé, j’étais à la bibliothèque une heure pleine première et assise avec mon dos à l’entrée si elle ne verrait pas comment nerveux j’étais sur le point de voir son encore.

“Salut, Greg.”

J’ai cherché dans ses yeux incertains, mon regard glissant en bas à ces lèvres délicieuses. “Bonjour, Simona.”

Elle a glissé dans la chaise, réglant son sac à dos et son sac informatique sur la table. “Etes-vous en le colère contre moi?”

“Gee, Simona, non, je devine c’est bon pour disparaître sur une date!” J’ai sifflé, essayant de maintenir mon sang-froid. “Naw, je suis comme a plu comme frappe pour vous voir!”

Simona était calme pour un moment long. “Je suis désolé, Greg.” Ni de nous a parlé pour les moments inconfortables longs, alors elle s’est tenue. “Si vous êtes intéressé toujours dans l’érudition du logiciel, j’aurai Christine vous donne un appel et vous pouvez arranger une réunion avec elle.”

“Pour que l’est? Vous êtes juste le congé de gonna avec aucune explication?” Elle a pendu sa tête dans le silence. “Je penseau moins mérite cela!” Quand elle n’a pas répondu, il a continué silencieusement, s’emparant de sa main. “Nous avions un tel bon temps, n’est-ce pas?”

Elle déchire était un accompagnement doux à son chuchotement. “Oui.” Elle a reniflé. “C’était trop bon pour être vrai.”

Son choix de mots m’a frappé.Trop bon pour être vrai? J’ai tenu en haut et ai emparé de sa main. “M’est fourni avec.” Elle a reculé au début mais je l’ai forcée à rencontrer mes yeux. “Me fier, Simona. Je jamais ne vous blesserais jamais.”

Simona a semblé dégonfler à mes mots et m’a suivi de la bibliothèque. L’extérieur, je mets mes bras cinsel bilgiler autour de son et nous avons marché dans le silence à mon appartement. John n’était pas à la maison si nous avions l’endroit entier à nous heureusement. J’ai fait’ t sait ce que pour faire mais j’ai senti qu’elle a eu besoin de quelque chose. Peut-être mon attention aiderait.

J’ai glissé le sac et le sac à dos informatique de son épaule et stashed les dans ma pièce. Elle est déplacée s’aime une personne dans le choc, raidement perching sur le bord du divan, elle transmet plié sur ses genoux. J’ai prélevé deux Michelobs du réfrigérateur et celui ai transmis à elle, s’agenouillant à ses pieds. Elle a pris une force longue, streaking de déchirures sa peau parfaite.

“Le quel est, mon miel? Me dire.”

Les déchirures ont dégoutté plus rapide et elle a sucé sur la bouteille de bière encore. Je pose mine et ai glissé ses souliers de tennis et les chaussettes de, massant doucement son pied, prenant extra-le temps pour courir les balles de mes pouces par-dessus son instep. J’ai cherché et ai été enchanté pour voir une expression de félicité sur sa face.Bon. Nous obtenons quelque part. J’ai gardé mes doigts allant, transfère à l’autre pied. Son corps supérieur a relâché un morceau et elle est tombée de retour sur le divan, les yeux toujours fermé.

J’ai continué en haut ses chevilles délicates à ses mollets forts. Là-bas, je devais arrêter parce que son jeans a bloqué ma progression mais je n’ai pas été découragé. J’ai atteint pour sa main et ai commencé à masser les doigts trapus, travaillant la tension hors. Elle a pris une autre boisson longue, alors pose la bouteille. Avec les yeux hantés, elle m’a offert son autre main. Je l’ai pris, fermement et silencieusement massant doucement, tout l’en examinant ses yeux.

“Il a dit la chose pareille me la nuit il ma violé.”

Mon sang a couru le froid. Je l’ai prise deux transmet dans la mine et a déplacé vers le haut à côté d’elle sur le divan. Je suis resté silencieux comme l’histoire a renversé hors. Elle la première danse d’étudiant de première année, elle avait rencontré un gars, un ainé. Elle ne pourrait pas s’amener même dire son nom. Je le feutre que mes joues chauffent dans la colère. Il l’a dite de ce grand parti à travers le campus et lui a demandé d’aller avec lui. Elle avait été si excitée. Elle a dit avidement qu’elle aimerait aller mais elle a voulu obtenir quelque café parce qu’elle était un petit sur le côté bu.

A mi-chemin là-bas, il l’a tirée dans un fourré profond de buissons et l’a violée sauvagement. Elle n’était pas a trouvé jusqu’ au lendemain. Son père était un homme important dans la communauté et l’incident entier a été enterré, beaucoup de comme il avait été enterré avec émotion pour elle. La partie de moi feutre extrêmement fâché mais l’autre partie était heureuse qu’elle avait pu partager ceci avec moi. Si je n’avais pas été sûr, j’ai su immédiatement que je l’ai aimée.

“Cela est pourquoi je me suis sauvé.” Elle a fini, ses lèvres inférieures tremblant comme une autre attaque de déchirures menacées. “Il le feutre si bon avec vous. Si la droite, que j’avais peur.” Elle s’est arrêtée. “Et alors vous avez dit qu’il a dit … et je juste … Je juste … “

Je l’ai tirée dans mes bras comme trois années de déchirures sont venues l’inondation d’elle. Elle a sangloté dans sérieux, son corps entier tremble. Je lui ai roucoulé, smoothing ses cheveux et donnant son un léger serre chaque peu de minutes. Finalement, dix minutes plus tard, l’orage s’avait baissé et elle a posé moument dans mon étreinte, hiccupping chaque peu de minutes. Il a pris son un autre dix se composer et assied en haut, essuyant sa face avec un tissu je ferais donné elle, évitant mes yeux.

“Je suis désolé, Greg. Je n’ai pas signifié pour décharger sur vous comme cela.”

“C’est bon.” J’ai frotté son dos doucement. “Il a eu besoin de sortir.”

“Ouais, mais pas comme cela!” Elle a ri nerveusement, a tourné alors ces beaux yeux me. “Je mieux obtient aller.”

“Simona,” J’ai touché sa main. “Resteriez-vous ici avec moi?” Elle m’a regardé d’un air absent. “Vous pouvez avoir le lit. Je dormirai ici sur le divan.” J’ai touché sa joue. “Je ne peux pas sonder juste l’a pensé de vous seul ce soir. Pas après ceci.”

“Cela est très agréable de vous, Greg, mais je serai juste l’amende.”

Mon coeur a cogné dans ma poitrine. J’ai gardé la pensée de ce qu’elle ferait m’a dit. De mon Simona doux étant brutalisé. De mon Simona charmant est gauche dans un torticolis pour mort. De mon Simona léger habitant une demi-vie, son âme déchirée dans les brins. “Vous pourriez être, mais je ne ferai pas.”

J’ai espéré qu’elle ait vu la sincérité dans mes yeux. “Accord. Je resterai.” Elle m’a donné un sourire tremblant. “Mais pourrions-nous regarder le télé pour un instant?”

“Sûr.”

Je mets mon bras autour de son et elle a posé de retour contre moi. Les heures plus tard, quand elle ferait s’est endormie, je me suis permis finalement pleurer.

*****

Simona avait paru si paisible sur le divan que j’ai plissé mon consolateur autour de son et part son dormir. John a erré dans et j’avais quelques mots avec lui, rien beaucoup de, mais il a dit qu’il était heureux de voir Simona ici. J’ai enlevé mes vêtements et ai glissé dans mon lit, appartenir à un sommeil sans rêves jusqu’à ce que je le feutre une main douce sur mon épaule.

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La Sortie de la Truie

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Il ne fait pas beau ce vendredi matin, le temps est gris. Cela change un peu de la veille où il a plu toute la journée. Là il ne pleut pas, il fait même plutôt lourd.

Je prépare le petit déjeuner de ma Maîtresse, des oranges pressées et un bon croissant tout frais.

Ma Maitresse se lève tranquillement, elle a le sourire aux lèvres comme d’habitude. C’est un bonheur une Maîtresse qui a le sourire, cela change de celles qui veulent toujours se donner un air méchant.

Pendant que je suis à mes occupations de ménage, ma Maîtresse textote tranquillement. Une fois fini, je viens vers elle à quatre pattes, pose ma tête sur ses genoux. J’aime qu’elle me caresse les cheveux. Je viens aussi près d’elle pour qu’elle sente l’odeur de ma couche et m’autorise à l’enlever pour me nettoyer. Mais ça n’a pas l’air d’être sa préoccupation du moment car elle file dans la salle de bain.

Elle ressort trente minutes plus tard douchée et maquillée, et s’enferme dans la chambre.

Ma couche est saturée de pipi et j’ai envie de faire la grosse commission.

Ma Maitresse ressort de la chambre avec une petite robe d’été très légère, ses baskets aux pieds.

Au même moment, on sonne a la porte. Là, elle me dit :

Ne bouge pas, tu restes sur ton coussin.

Mon coussin se trouve au milieu du salon, difficile pour un visiteur de me rater. je suis nue, juste vêtue de ma couche qui pendouille tellement elle est pleine. Je suis rassurée de voir que c’est son amant, il me connait et connait ma condition de truie.

Ils s’embrassent tendrement comme deux amoureux, à ce moment-la je suis invisible à leurs yeux.

Après dix bonnes minutes de bisous et caresses, j’ai même cru qu’ils allaient faire l’amour dans l’entrée. Ils viennent vers moi. Lui me salue avec juste une petite caresse sur la tête en me disant :

Tu pues la truie.

Ma Maîtresse arrive avec mon collier et la laisse. Elle me passe le collier autour de mon cou, me pose mon groin en plastique sur le nez et un écarteur dans la bouche en forme de lèvres. Avec ça, je peux difficilement fermer la bouche. Ma Maîtresse me tire vers la porte de la maison. (Ah oui je dois vous dire, ma maison est une maison de ville, le jardin est sur l’arrière et la porte d’entrée donne directement dans la rue.) Elle m’autorise à me mettre debout et elle ouvre la porte en me tirant à l’extérieur. Je suis paniquée si un voisin me voit ou si une voiture passe. Elle me conduit en vitesse sur l’arrière de la voiture de son homme, ouvre le coffre en me disant de monter dedans. Je ne demande pas mon reste et saute dedans vite fait.

Elle referme le coffre, je suis dans le noir, c’est une voiture où le coffre ne communique pas kahramanmaraş escort avec l’habitacle.

Je reste là dans le noir, on ne démarre pas de suite. C’est la première fois que je sort dans cette tenue de chez moi, je suis un peu paniquée. Avec la peur et l’appréhension, ma vessie ne tient plus et je me lâche. La couche fuit mais je me rend compte que tout a été prévu et que le sol du coffre est recouvert de plastique. Dans le noir, pas facile de se rendre compte du temps mais on finit par démarrer. J’essaye de savoir où nous allons en écoutant leur conversation mais j’entends surtout les bruits de roulement et des éclats de rire. Le reste est très confus. Au début, en fonction des virages, j’arrive à me repérer mais je suis vite perdue.

Je suis un peu ballotée mais ça va, il conduit doucement et sans à-coup. Je pense qu’il ne souhaite pas avoir d’accident ou être contrôlé avec une truie humaine dans son coffre. Nous roulons un long moment, puis je sens la route plus cahoteuse. Je suppose que nous sommes sur un chemin. Enfin le moteur s’arrête, je dois dire que cela fait du bien, car le confort d’un coffre ce n’est pas terrible.

La porte du coffre s’ouvre et, malgré l’absence de soleil, je suis éblouie. Ma Maîtresse prend ma laisse et me fait descendre de la voiture.

Elle me demande:

Comment c’est passé ton voyage, pas trop mal installée?

Je lui réponds que ça va bien.

A partir de maintenant, tu restes à quatre pattes. Tu ne devrais pas avoir mal aux genoux, la terre est trempée et donc moelleuse. Tu as interdiction de parler, juste grogner comme une truie. Si on croise du monde, tu restes comme tu es, mais bon il y a peu de voitures sur le parking, cela devrait être calme. De toute façon, tu restes une truie quoiqu’il se passe. Si tu te lèves, ou que tu parles ou que tu désobéis, je te plante la. Nous on rentre en voiture et toi tu te démerdes à rentrer à pieds dans la tenue où tu es.

Pour être sûr que je ne puisse pas enlever mon groin, celui-ci est accroché a mon écarteur de bouche et fermé avec un petit cadenas derrière ma tête. Mon collier est lui aussi fermé avec un cadenas. Ma couche est enlevée et son amant arrive avec une espèce de harnais qu’il passe entre mes jambes. C’est une ceinture de chasteté qui vient couvrir mon sexe et qui est munie d’un plug rose en forme de queue de cochon. Il se verrouille autour de ma taille et un cadenas dans mon dos ferme le système.

C’est harnaché de manière poussée mais comme cela je ne souhaiterais pas rentrer à pied chez moi, surtout que je n’ai aucune idée de l’endroit où nous sommes.

Pour compléter le tout, ma Maîtresse kapalı gaziantep escort prend ma couche et l’essore au dessus de moi. Je suis couvert de pisse qui sent fort, elle finit par me l’écraser sur le visage pour finir de bien m’en étaler partout. La couche finit dans la poubelle qui se trouve à proximité.

Nous commençons à marcher, eux se tiennent la main et moi je dois marcher devant. Nous entrons dans la forêt par des petits chemins. Le sol est couvert de boue. Ma Maîtresse, en plus de la laisse, a apporté une cravache et ne manque pas de me fouetter sur la fesse droite si l’on doit aller à droite et la gauche si l’on doit aller à gauche.

C’est pour eux une ballade en amoureux car à quatre pattes, je ne marche pas vite.

Au bout d’un moment, je ne tiens plus et la grosse commission que je retenais depuis le matin se fait sentir. N’ayant pas le droit de parler, j’essaye de faire comprendre à mes dominants que je dois faire caca. Je baisse mes fesses comme ferait un chien et je les regarde. Ma Maîtresse comprend vite mais avec le plug c’est compliqué.

Son amant me détache la ceinture pour retirer le plug. Comme il ne sait pas où le mettre vu son état, il ne trouve rien de mieux que de me le fourrer dans la bouche tenue ouverte par l’écarteur. Je me retrouve avec un plug queue de cochon plein de merde dans la bouche, le cul baissé à chier devant eux qui me regardent.

Une fois un bon gros caca sorti, Monsieur me prend le plug de la bouche, le trouvant trop sale me l’essuie sur les joues et le front. Il replace le gode dans mes fesses et referme la ceinture. Je pense que nous allons repartir mais ma Maîtresse décide que je dois avoir le cul sale comme les truies donc me force à m’asseoir dans mon caca tout frais. Je remue bien les fesses pour bien en étaler. Je dois dire que la sensation est très agréable. Une fois le cul bien sale, ma Maîtresse me dit qu’une bonne truie recouvre toujours sa merde avec son groin. Donc j’obtempère l’histoire que mon groin soit bien recouvert de merde et de terre, ce qui me donne une bonne odeur à respirer.

Nous reprenons la ballade, eux doivent avoir une vue magnifique sur mon postérieur merdique. Nous arrivons sur le chemin à une grande flaque de boue. A croire qu’ils sont venus repérer les lieux avant. Ma Maîtresse détache ma laisse et me demande de lui montrer comment je suis une truie heureuse. Je m’avance dans la flaque de boue en essayant de m’en mettre le moins possible sur moi. Là, je sens une douleur atroce. Ma Maîtresse, armée de sa cravache, vient de me mettre un coup de toutes ses forces sur le cul.

C’est quoi cette truie??? Tu kaliteli gaziantep escort te prends pour une diva??? Je te propose une belle ballade et tu fais ta mijorée de petite merde, montre-moi la vraie truie que tu es!!!

Un nouveau coup de cravache m’aide à me jeter dans la flaque de boue, je me roule dedans, je m’en étale partout et je plonge même mon groin dedans, mais avec la bouche ouverte, pas une bonne idée.

Ma Maîtresse a raison, en fait je kiffe vraiment cela, et si je n’avais pas la ceinture de chasteté, elle verrait ma petite bite toute dure. Ma Maîtresse finit par savoir mieux que moi ce qui me plait vraiment.

Je suis vraiment dans mon élément comme ça et, chose bénéfique, le goût de la terre vient remplacer celui de la merde. La texture dans la bouche n’est pas des plus agréable mais le goût est moins fort. De plus, le temps est lourd et la boue me rafraîchit.

La récréation se termine et ma Maîtresse me rappelle à ses pieds pour raccrocher ma laisse. Je n’ai plus une parcelle de peau visible. Sur le chemin, nous croisons un joggeur, il passe en nous regardant et une fois plus loin on entend Bande de tarés!

Je n’ai même pas relever, en fait j’éprouve une fierté à être traitée ainsi, je peux m’assumer, je suis bien et dans mon élément.

Je ressens des petits coups de cravache sur la fesse droite, mais il n’y a pas de chemins à droite. Je me retourne et ma Maîtresse me fait signe avec son menton d’aller à droite. Je commence à m’enfoncer dans les broussailles qui ne sont pas très hautes mais quand on est nu et à quatre pattes, ce n’est pas facile. Je les entends rigoler, eux me suivent facilement debout, moi je me fais griffer le ventre, les bras, les jambes, heureusement que mon sexe est enfermé dans sa prison.

Nous parcourons une dizaine de mètres qui nous éloigne et nous cache du chemin.

Ma Maîtresse me fait allonger sur le dos, elle vient chevaucher ma tête et reste comme ça. Je sens les pieds de son amant de chaque coté de mon corps. Ma Maîtresse baisse ses fesses au contact de mon groin et de ma langue, ce qui, je suppose, veut dire que je dois la lécher. Je parcours de ma langue son anus, c’est une caresse que j’adore lui faire mais là avec le nez de cochon et l’écarteur, ce n’est pas simple.

Je la sens faire des mouvements, je pense qu’elle suce son homme. Il va la relever et me demander de me remettre à quatre pattes. Ma Maîtresse se place au dessus de ma tête, les mains en appui sur le haut de mes fesses et son homme vient la prendre en levrette. Leur coït dure quelques moments et lui se retire et s’accroupit pour venir jouir sur mon visage.

Nous prendrons le chemin du retour où ma Maîtresse me dira qu’elle a été fière de sa truie. C’est pour moi, une véritable preuve d’amour la reconnaissance de ma Maîtresse.

Je retourne dans le coffre pour le retour et au vu de mon état. Arrivée a la maison, je passe pas mal de temps dans le coffre, en attendant le bon moment pour sortir sans me faire voir.

Voilà une superbe sortie pour une truie avec la meilleure des Maîtresses.

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Possédée

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Fleshlight

Traduction d’un texte de 62_goo.

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Avertissement : Ce récit n’est qu’une FICTION sortie de l’imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant brutalité, soumission et humiliation Si vous n’aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.

******

Je m’appelle Jody Morrison. Je suis mariée à James, l’homme le plus merveilleux et le plus doux du monde. Je l’aime profondément. Nous avons un enfant, Bonnie, une fille de neuf mois.

Nous sommes une famille classique. Mon mari apprécie son travail donc il a obtenu des promotions rapides. Il est le directeur régional d’une chaîne de magasins d’électronique. Il est donc obligé de voyager, mais il est absent la nuit que lorsque c’est nécessaire.

Notre vie sexuelle est merveilleuse. Mon mari est un amant doux et attentionné. Son but principal est de s’assurer que je suis satisfaite. Même après l’arrivée de notre fille, il a toujours compris mes besoins. Il a été très prudent et doux lorsque nous avons fait l’amour pour la première fois après la naissance.

J’ai tout ce que je veux, mais je suis prête à tout abandonner en un instant.

Très jeune j’ai compris que j’étais une personne soumise. J’ai eu des petits amis qui l’avaient compris et qui ont pris un grand plaisir à m’humilier en public. J’avais tellement honte, mais ça m’excitait énormément.

J’ai rencontré mon maître il y a deux ans. Je me promenais sur internet dans des salles de chat BDSM, quand j’ai trouvé un homme qui semblait pouvoir être le maître auquel je pouvais appartenir. J’ai commencé à dialoguer avec lui et nous avons découvert que nous vivions dans la même ville. Immédiatement nous avons débuté une conversation en privé. Dès le début, il m’a ordonné de me déshabiller.

J’étais chez moi, sur mon ordinateur portable. C’était tôt le soir et mon mari allait bientôt rentrer. Bonnie faisait la sieste. Ma chatte était humide. J’ai enlevé tous mes vêtements.

L’homme a alors écrit : « Prends une photo et envoie-la moi! MAINTENANT! »

J’ai fait ce qu’il voulait. Ma chatte dégoulinait d’excitation.

« Très bien salope » fut son prochain message suivi immédiatement de « Maintenant filme-toi en train de te masturber et envoie-moi l’enregistrement ».

J’ai tout de suite obéi. J’ai allumé la caméra vidéo et j’ai commencé à me toucher. Il ne m’a pas fallu longtemps avant d’avoir un orgasme. Il fut un des plus intenses depuis mon mariage. Ensuite, j’ai posté le film avec mon prochain message.

« Bien salope! Tu peux te rhabiller, je te contacterai demain. »

Et ce fut tout. En moins de dix minutes, cet homme m’avait ordonné de me déshabiller et de me masturber, et j’avais obéi. C’était excitant. Je venais de finir de m’habiller quand j’ai entendu la voiture de mon mari. J’ai nettoyé du mieux que j’ai pu. Bonnie se réveillait alors je suis allée la chercher. James mon mari était dans le salon quand je suis revenue avec notre fille. Il m’a embrassé sur la joue et a pris notre bébé.

Notre soirée fut relativement normale, même si je ne pus m’empêcher de penser à l’homme d’internet. Après avoir mis Bonnie au lit pour la nuit, James et moi étions trop fatigués pour faire l’amour. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain, dès que James fut parti travailler, je me suis mise sur mon ordinateur. Et bientôt j’ai reçu un message :

« Salope, sois à l’adresse 1640 Mouton Drive avant 9h30 ce matin. Tu ne porteras rien sous une robe moulante. Et tu seras épilée. Je veux que tu sois maquillée comme une salope. Ne sois pas en retard et apportes des vêtements de rechange avec toi! »

J’ai regardé l’horloge, il était escort presque 8h30. J’avais un peu plus d’une heure pour me préparer et me rendre à ce rendez-vous. Mais j’ai commencé à paniquer, il me faudrait plus d’une heure pour m’épiler et m’habiller. Je savais quelle robe j’allais porter. Je possédais une robe de soirée bien serrée qui faisait bien ressortir mes courbes.

Je me suis douchée et épilée en un temps record. Je me suis maquillée aussi rapidement, yeux sombres et fumés, beaucoup de fard à joues et un rouge à lèvres rubis. Je suis montée dans ma voiture et je suis partie pour ce rendez-vous. A mi-chemin, j’ai réalisé que je n’avais même pas pensé à ne pas y aller. En fait, ma chatte dégoulinait par anticipation.

Je suis arrivée à l’adresse et je me suis retrouvée devant un manoir. J’ai garé ma voiture et je me suis avancée jusqu’à la porte d’entrée. Avant que je ne puisse frapper, elle est ouverte par le plus bel homme noir que je n’aie jamais vu.

– Bienvenue chez moi salope! Tu es juste à l’heure! Entre! Donne-moi tes clés de voiture, va dans la pièce là, enlève ta robe et agenouille-toi face au bureau, les mains dans le dos!

J’ai fait ce qu’il m’a demandé et j’ai attendu ce qui m’a semblé être une éternité. Puis j’ai entendu la porte se fermer. J’ai senti qu’il était juste derrière moi. Il m’a chuchoté à l’oreille :

– Bonne salope!

Sur ce, il m’a menottée. Puis il m’a fait plier à la taille jusqu’à me faire poser le front sur le sol. J’ai senti ses mains sur mes fesses qu’il a retirées cinq secondes plus tard. J’ai entendu un bruissement et quelques instants après mon cul a ressenti une grande douleur. Il m’avait fouettée. Je savais que je n’aurais pas dû pleurer, mais je ne pouvais pas m’en empêcher.

– Ne pleure JAMAIS en ma présence salope. Tu viens de mériter une raclée.

Il m’a fouettée encore et encore. J’ai rapidement perdu le compte du nombre de fois où il m’a frappée. Mon cul était en feu, mais ma chatte dégoulinait. Il l’a vu quand il a fini de me punir. Il a doucement joué avec ma chatte jusqu’à ce que j’aie un orgasme massif. Je pense que je me suis évanouie, mais je sais que j’ai giclé sur sa main.

Quand j’ai repris mes esprits, il a mis sa main près de ma bouche. J’ai compris qu’il voulait que je nettoie sa main de mon jus. Je l’ai fait avec empressement, en léchant sa paume et en suçant ses doigts un par un.

– Bonne petite salope! Dit-il.

Je rayonnai de joie.

– Maintenant suce ma bite! Et ne laisse pas une goutte s’échapper.

Il a baissé son pantalon et j’étais face à une énorme queue noire. Elle mesurait bien 25 centimètres et elle était aussi épaisse que mon poignet. J’ai engouffré son membre avec impatience. Je l’ai sucé en essayant d’en prendre le plus possible dans ma gorge. Ça m’a pris du temps, mais j’ai réussi. Puis il a donné des coups de reins. Chaque poussée a cogné son ventre contre mon visage, durement. Ma gorge était en feu, mais j’ai adoré ce traitement. C’était ma place. C’est ainsi que je devais être traitée. J’étais sur le point de jouir sans que l’on touche mon sexe.

Soudain, l’homme s’est raidi et a poussé encore plus fort sa bite dans ma bouche. Puis des litres de sperme sont descendus directement dans mon gosier. Je n’en ai pas perdu une goutte. Quand il s’est retiré, j’ai suivi sa queue pour la nettoyer. Je voulais qu’il me baise brutalement alors j’espérais qu’il continue de bander.

Il m’a contourné et a fourré sa bite dans ma chatte. J’ai gémi de bonheur alors qu’il me pilonnait. Il était brutal. Il m’a traitée comme une poupée de chiffon. Il m’a baisé plus violemment que ce que j’ai connu auparavant. C’était animal et j’ai aimé chaque escort bayan minute de ce traitement.

Soudain, il a ralenti et a demandé :

– Qui est ton Maître?

– Vous.

– Que vas-tu faire pour moi?

– Tout ce que vous me demanderez.

– N’importe quoi?

– N’importe quoi. Je serai votre putain. N’arrêtez pas! Je ferai n’importe quoi pour que vous me fassiez. Je ferai tout ce que vous voudrez.

– Tu feras tout ce que je te dis? Même si je veux donner ton cul de salope?

– Oh oui, je vous en prie, faîtes de moi une pute. Faites-moi baiser par n’importe qui, du moment que vous me baisez aussi.

– Tais-toi salope! Je te baiserai si ça me plaît, pas si tu le souhaites. Tu es là pour mon plaisir, et seulement pour le mien.

– Je comprends Maître, je ferai tout ce que vous me demanderez. Je me consacrerai à vous et à votre plaisir. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec moi.

– Ne parle plus de toi en disant « je ». Tu n’es plus rien. Tu parleras de toi à la troisième personne, compris?

– Votre salope vous comprend Maître. S’il vous plaît, baisez votre salope pour s’être trompée.

– Bien salope!

Il attrape ensuite mes cheveux et recommence à me pilonner. Je suis baisée au-delà de ce que je souhaitais. Et je jouis continuellement du traitement brutal que je reçois.

Il éjacule en moi, me gifle et s’en va en disant simplement :

– Ne bouge pas!

Je peux sentir son sperme couler sur mes jambes. J’ai le souffle court comme une chienne en chaleur. Et c’est merveilleux. Pendant qu’il me baisait, j’avais l’impression d’être morte et d’être montée au paradis. Il est tout ce que je veux chez un Maître. j’ai oublié que je suis une femme et une mère, mais je sais que je quitterai cette vie dans la seconde si mon Maître me le demande.

Il revient un peu plus tard avec un groupe d’amis. Immédiatement je recommence à être baisée. L’un d’eux enfonce sa bite dans ma bouche pendant qu’autre investit ma chatte. J’aime ça. Je suis malmenée et contusionnée, mes poignets sont à vif là où les menottes frottent contre ma peau, mais je suis là où je voulais être.

Ça dure toute la matinée. Personne ne me parle, ils se contentent de me baiser. Je les fais jouir, mais je ne suis rien à leurs yeux. Je suis une chose, un jouet sexuel, une pute.

Quand ils ont tous fini, ils me pissent dessus à tour de rôle. Mon Maître m’ordonne de tout boire, mais j’en renverse beaucoup. Je suis fouettée pour ça. Je suis tellement excitée que je jouis lorsque le fouet tombe sur ma chatte.

Après que les hommes soient partis, le Maître me fait prendre une douche et me rend ma robe. Puis il me fait monter dans sa voiture et me dit :

– J’ai une surprise pour toi, mais je dois d’abord savoir quelque chose. Es-tu ma salope?

– Oui Maître, cette salope est à vous et à vous seul.

– Et ton enfant et ton mari?

– Cette salope est à vous Maître. Peu importe le reste.

– Bonne salope!

Il me conduit en ville et nous entrons dans un salon de tatouage. Il m’ordonne de soulever ma robe pour que le tatoueur puisse travailler. Celui-ci siffle quand il voit que je ne porte pas de culotte.

Il me tatoue ces mots : Esclave d’Antwan.

Je pense que j’ai joui pendant qu’il le faisait. J’étais si heureuse qu’un homme me croit digne d’être marquée d’une manière qui montrait mon dévouement envers lui. La douleur de l’opération n’a fait qu’améliorer l’expérience.

Le Maître me ramène ensuite chez lui. Il m’ordonne de prendre mes vêtements de rechange et de rentrer chez moi. Je suis dévastée :

– Maître, cette esclave a-t-elle fait quelque chose de mal?

escort bayan gaziantep Non salope!

– Mais Maître, je veux rester ici avec vous.

Il me gifle durement au visage et me coupe la lèvre. Un peu de sang coule.

– Ce que tu veux n’a pas d’importance, c’est ce que je veux qui importe. Je veux que tu rentres chez toi en sachant que je veux que ton tatouage reste loin des yeux de ton mari. Je t’ordonne de le baiser ce soir. On va voir s’il remarque quelque chose.

– Oui Maître, tout ce que vous voulez.

Je rentre à la maison. Ma petite fille est heureuse de me voir et la nounou peut rentrer chez elle. Je passe le reste de la journée à revivre tout ce qui s’est passé. Maintenant que je suis à la maison, j’ai peur. Et si mon Maître ne voulait plus vraiment de sa salope? Et si mon mari découvre ce que j’ai fait et ne veut plus de moi?

J’essaie d’agir normalement quand mon mari est de retour à la maison. Sachant que mon Maître veut que je le baise ce soir, je me montre particulièrement amoureuse.

Nous nous sommes couchés nous avons fait l’amour. Nous n’avons pas baisé, nous avons fait l’amour. Sa petite bite trouve son chemin dans ma chatte, mais je ne sens rien du tout. Après quelques secondes, mon mari éjacule et me demande si j’ai joui. Je lui mens et je lui dis qu’il est merveilleux et que j’ai joui. Ne m’a-t-il pas toujours fait jouir? Ajouté-je.

Plus tard dans la nuit, je reçois un message de mon Maître : « Salope, sois chez moi à 9 heures du matin. Pas de sous-vêtements et une robe moulante. »

Mon cœur bondit. Il veut encore de moi. Je m’endors, un sourire sur le visage.

Le lendemain je suis à l’heure. Mon Maître me fait pénétrer à l’intérieur, m’oblige à m’agenouiller et baise ma bouche. J’ai du mal à respirer , mais il insiste jusqu’au moment où il se vide dans ma gorge.

Ensuite, il me traîne dehors jusqu’à ma voiture et me dit :

– Monte et conduis!

Il me donne des instructions et nous retournons au salon de tatouage. Cette fois-ci , je dois me faire tatouer un pique noir sur le sein droit afin de montrer mon amour pour la bite noire.

Nous allons ensuite au club préféré de mon Maître, un club de strip-tease. Il m’emmène dans une chambre privée où il m’ordonne de me déshabiller et de faire tout ce voudront les personnes qui entreront.

Je passe les quatre heures suivantes à me faire baiser dans tous les sens. J’ai des queues dans ma chatte, des queues dans mon cul et des queues dans ma bouche. Tous les hommes qui entrent me dégradent d’une manière ou d’une autre. En plus de me baiser, ils m’insultent, me traitent de chienne sans valeur, de vide-couilles ou de salope stupide. A chaque fois qu’ils me traitent mal, une vague de plaisir me traverse. Chaque fois qu’une bite abuse de moi, j’ai un mini orgasme. Je sais que c’est là que je dois être et c’est ma vie maintenant. M’en rendre compte me fait jouir.

Puis mon Maître Antwan m’ordonne de rentrer à la maison et de baiser à nouveau mon mari. Il m’ordonne aussi de lui cacher mes tatouages.

J’essaie, mais je pense qu’il soupçonne que quelque chose se passe. Quand nous faisons l’amour, je garde mon haut au lieu de l’enlever comme d’habitude. Heureusement mon mari ne dit rien et moi non plus.

Plus tard je reçois un message de mon Maître : « Salope, tu es à moi. Demain, amène toutes tes affaires chez moi. Tu vivras ici maintenant. Tu feras tout ce que je te dis. Ne dis rien à ton mari ».

Je frissonne de joie. Je suis sur le point de quitter un homme que j’aime et qui sait m’aimer ainsi que mon bébé pour être l’esclave d’un Maître noir. Je ne peux pas attendre.

Je dors à peine cette nuit-là, mais je ne suis pas tout à fait réveillée lorsque mon mari part travailler. Il embrasse ma joue et s’en va. Je me lève immédiatement et j’emballe tous mes vêtements et effets personnels dans deux valises que je mets dans ma voiture. Quand la nounou est arrivée, j’embrasse ma petite fille et je pars pour ma nouvelle vie avec mon Maître.

FIN

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Tante Beth – Chapitre 04

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Babe

Je finis de prendre une douche chaude et revigorante. Beth prépare des pâtes à la carbonara pour le déjeuner. Je n’en ai jamais mangé auparavant, nous buvons un vin rouge. Pendant que l’orage continue de tomber dehors.

Pendant le déjeuner, Beth se saoule, raconte des blagues, des phrases épicées, dit des indécences, la boisson altère ma tante. Tout cela me rendait fou de monter cette vilaine pouliche. J’avoue que j’étais aussi affecté par le vin, je suis très faible pour les boissons.

Beth a commencé à parler de ses trahisons, je pense que c’était juste pour m’exciter encore plus, je ne pouvais pas croire ce que j’entendais. Elle ne ressemblait même pas à ma tante.

“C’était ton premier mec noir?”

“Le seul, mais c’était sensationnel. C’est dommage.”

Je sentais ma bite s’épaissir.

“Keto, magnifique. Je ne sais pas si je dois te le dire. Que vas-tu penser de moi? Je suis ta tante, mon garçon!”

“C’est juste que tu as parlé si bien de lui. Tu m’as rendu curieux?”

“Curieux, hein? Curieux ou pervers?”

“Les deux.”

“Vous êtes vraiment ma parente, n’est-ce pas? Alors Keto m’a appris beaucoup de choses, quelle langue avait cet homme. Quels doigts, quel pénis.”

“Vraiment!”

“Aussi avec un si long, si large. Et en plus de ça, noir. C’était il y a environ trois ans. Je ne l’ai jamais revu. C’était lors d’un voyage, il m’a invité à boire un verre, puis m’a emmené dans sa chambre.”

“L’oncle n’était pas avec la dame?”

“Bien sûr que non! Imaginez. J’étais ivre, plus que je ne le suis maintenant. Je me suis retrouvée allongée sur le lit, sans mes chaussures, la tête hors du matelas. Une ambiance savoureuse, la boisson, je devenais coquine, je me souviens avoir déboutonné mon chemisier. Je lui ai demandé s’il aimait ça.”

“Et il a aimé?”

“Il a dit qu’ils étaient beaux, parfaits.”

“Très poli, votre ami.”

“Poli! C’est un salaud, voilà ce qu’il est. Il a fait l’imbécile juste pour me provoquer.”

“Qu’est-ce qu’il a fait?”

“C’est ça que tu veux, connaître mes secrets?

***

“Juste jolie”? Ouais, mais qu’en est-il de toi? Tu as l’air si… gros, épais. Je peux voir?

Il s’est levé et s’est placé au-dessus de moi. Il a déboutonné son pantalon, lentement et de manière très sensuelle. Le magnifique homme a enlevé ses chaussures et ses sous-vêtements. Sa bite noire est apparue penchée devant moi, une bite épaisse touchant presque mon menton.

“Tout ça, plus gros que je ne l’imaginais! Plus épais, wow!”

Et il a eu l’effronterie de me dire qu’il n’était même pas excité. J’ai éclaté de rire. Et j’ai demandé si je pouvais faire quelque chose pour lui.

“Je peux le mettre dans ta bouche, Beth.”

Avec la voix la plus innocente. Il a brandi le bout rouge, l’a mis devant ma bouche, le truc à grosse tête. Qu’est-ce que je pouvais faire? Je léché, embrassé. Keto a gémi savoureusement. C’est si bon d’entendre un homme gémir, encore plus les jeunes. J’ai ouvert ma bouche et il a mis ce tronc à l’intérieur. Je ne sais pas comment j’ai réussi, et c’est entré, j’avalais tout, jusqu’à ce que ça atteigne ma gorge.

“Aaannhhh!”

J’ai gémi, c’était ma première fois dans une gorge profonde, j’ai attrapé le couvre-lit à deux mains. J’ai vibré et montré plus que je n’aurais dû. Keto est devenu encore plus fou.

Il pilonnait, pilonnait cette bite épaisse dans ma bouche, perçant ma gorge. C’est là qu’il m’a rendue folle pour de bon. Keto était grand, avec de grandes mains et de longs doigts. Il s’est penché sur moi et a commencé à me toucher, à me gifler, à me tapoter la chatte.

Je suçais sa bite et il me masturbait, juste pour me rendre encore plus folle. C’était une nuit incroyable! Quel homme merveilleux. Dommage que nous ne nous soyons plus vus.

***

Beth a pris une autre gorgée de sa tasse, je pouvais sentir mon short devenir humide. Mais elle ne voulait plus parler. J’ai insisté.

“Et il a joui dans ta bouche?”

Elle a ri en se mordant les lèvres, elle avait l’air embarrassée.

“Ce n’est pas quelque chose qu’on demande à une dame, encore moins à ta tante.”

“Je suis désolée, je… je voulais juste comprendre.”

“Il n’y a rien à comprendre. J’en ai trop dit, comme d’habitude.Ton oncle se plaint toujours de moi.”

Elle a ri en prenant une autre gorgée. Le regard brillant dans ma direction. Le visage de quelqu’un qui veut vous taquiner.

“Donc, tu l’as aimé, tu as aimé l’histoire de tatie? Laisse-moi voir.”

Beth a ouvert ce sourire captivant, a fait descendre sa main pour caresser mon genou, puis ma cuisse. Lentement, elle est montée jusqu’à glisser sa main dans mon short. J’étais surpris, elle m’a offert un baiser pendant que ses doigts examinaient ma queue.

“Maintenant oui, je pense que tu es prêt. Viens avec moi, dans ma chambre.”

Nous nous sommes levés et je l’ai accompagnée dans les couloirs de la maison.

“Mais dans ton lit?”

“Quel est le problème, c’est là que je dors! Mon lit est super.”

“Mais c’est là que l’oncle dort, gaziantep escort sitesi que tu dors. C’est bizarre, en tout cas pour moi.”

“Arrête ces bêtises, ça n’a rien à voir.”

Nous atteignons la chambre, le grondement du tonnerre fait vibrer les fenêtres de la chambre. Beth commence à enlever le couvre-lit et à arranger les oreillers.

Je termine de laver les couverts, en essuyant tout, je me remémore les images de sa chambre ce jour-là. Le décor était incroyable. La moquette au sol, avec des motifs géométriques dans des tons gris clair. L’éclairage rendait la pièce douillette et sensuelle. Des peintures modernes, certaines montrant la silhouette de corps nus, insinuant des actes intimes.

Je m’essuie les mains et éteins la lumière de la cuisine. Les souvenirs sont encore si vivaces, on dirait que c’était hier, pourtant, cela fait plus de trente ans. J’allume la télévision, mais je finis par m’endormir et le rêve me ramène dans la chambre de ma tante. Notre première rencontre. C’est avec elle que j’ai fini par devenir un homme.

Après que tout soit arrangé, le lit préparé, Beth se rend compte que je suis gêné. Elle s’approche de moi et me donne deux baisers sur la joue. Ce regard pénétrant dans ses yeux, elle commence à me déshabiller. Le chemisier, le short, je me débarrasse des baskets. Et juste au moment où elle est sur le point de se débarrasser de mes sous-vêtements, le téléphone sonne.

Beth fait une grimace comme si elle n’aimait pas ça. Elle va jusqu’à l’endroit où se trouve le téléphone, le sort et le pose contre son oreille, parle d’une voix anxieuse.

“Allô!”

“Oui…, qui? Ah!…. C’est vous Silvana?”

“Nerveux, moi? Pourquoi?”

Elle lève les yeux en souriant, je sens un frisson dans mon estomac, maman veut des nouvelles de moi.

“Je me suis réveillé ce matin avec la gorge qui me faisait mal, je pense que c’est le jus froid que j’ai bu hier avant d’aller me coucher.”

Il parle en se raclant la gorge, essayant de se ressaisir.

“Je sais. C’est une bonne idée, c’est juste que je n’ai pas de thé ici à la maison, j’ai oublié d’en acheter. Tu peux le croire? Dans un petit moment, je vais me faire un verre de lait chaud, ça fera l’affaire.”

Elle sourit, ses yeux brillants fixés sur moi.

“Ce n’est pas la même chose que le thé, mais c’est bon pour toi, c’est agréable de sentir la chaleur descendre dans ta gorge, c’est relaxant, j’en ai bu deux fois aujourd’hui”.

Elle rit et me fait un clin d’œil.

“Et moi je sors sous la tempête pour acheter du thé, arrête de faire l’idiote? Si j’en ai besoin, je demande à Denis et il fait plus de ‘lait chaud’ pour moi.”

Beth me frotte l’index sur le nez en riant de mon air effrayé.

“Je sais, femme, je sais, mais il y a encore beaucoup à faire, je t’ai dit que la garde-robe est très désordonnée. Et en plus, ça fait plus d’une heure qu’on est sans lumière. Il n’y a pas eu une coupure de courant chez toi?”

Je ne sais pas comment elle a pu mentir comme ça. La voix la plus naturelle du monde, même moi je croyais qu’on n’avait plus d’électricité.

“Nous avons déjeuné à la lumière des bougies. J’ai raconté des histoires drôles, Denis a adoré, il était tout excité, votre fils est un drôle de garçon.”

Beth me fait un clin d’œil en reposant le téléphone sur son épaule.

“Il pleut toujours aussi fort ici, c’est comme un déluge.”

Je regarde le paysage à travers les fenêtres de la chambre, il pleut, mais rien à voir avec ce qu’elle décrit au téléphone.

“Soyez rassurée Silvana. Nous reprenons le travail et quand tout sera terminé ici, je vous amènerai Denis, ça devrait être après sept heures. Rassurez-vous, il est en sécurité avec moi. Bisous. Au revoir.”

Beth repose le téléphone sur le crochet de la même manière qu’elle l’a décroché, elle ne se tourne même pas vers le domestique, elle me fixe toujours avec le sourire de quelqu’un qui sait qu’elle a menti.

“Ta mère est très méfiante. Ne t’inquiète pas, elle a accepté tout ce que j’ai dit. Tu dois juste le confirmer.”

“Mais est-ce que tu étais obligée de parler du lait?”

“Et j’ai menti? Je n’ai pas eu de lait chaud aujourd’hui? Ce que vous avez fait pour moi! En fait, délicieux.”

Je montre mon inquiétude en fronçant les sourcils. Beth laisse échapper un rire.

“Bobo, tu es vraiment le fils de Silvana! Ne t’inquiète pas, mon garçon.”

Beth s’approche en affichant un large sourire séducteur, me prend dans ses bras et pose sa tête sur mon épaule. Je sens son parfum, les ongles de Beth commencent à me gratter, et j’ai la chair de poule. Ça m’excite, je commence à durcir.

“Bon garçon. J’aime ça quand mes hommes sont charmés par moi. C’est mieux que de sortir dîner.”

Un autre baiser arrive, un baiser flottant et humide. Et la prochaine chose que je sais, c’est que ma bite est libre, massée dans la soie de la robe de chambre et le long de la cuisse de Beth. Ma respiration devient lourde, le regard de la femme gaziantep escort forum me contrôle. Mon cœur bat la chamade. Ma tante défait le noeud de la robe. Sa beauté émerge, les seins parfaits d’une femme mûre, sa peau douce.

Je me délecte de ce qu’elle me provoque en tenant son sein, et en passant mon doigt sur son téton.

“Embrasse, mords-moi ici. Goûte ta taaante!”

Elle parle lentement, et je me penche pour sentir la douceur de sa peau sur mes lèvres, le téton brun se durcissant à mon contact. Beth frissonne.

“Suce, suce mon bébé. Mords le téton de tatie.”

Je place ma bouche autour du mamelon, je sens la texture dure. Je mords, suce. Je suce le délicieux sein de ma Beth. Mieux qu’un rêve.

“Là! Pas si vite, ça me fait mal.”

Je ralentis le rythme, mais le sein est toujours dans ma bouche, des gouttes de salive mouillent le sein. Le sein commence à briller, j’entends les gémissements de Beth. Les phrases floues.

Elle m’offre l’autre sein, j’y vais avec plus d’ardeur. Je le lèche comme un pervers affamé. Beth enroule ses doigts expérimentés autour de mon phallus et me masturbe. Je lève le visage et affronte son sourire magistral, un baiser vient, nos bouches se collent l’une à l’autre, nos langues s’agitent dans nos bouches.

Les mamelons durs et humides grattent ma poitrine et les doigts de ma tante massent mon sexe.

“Assez! Comme ça, tu me laisses sans souffle. Les garçons, toujours pressés. Détendez, on a le temps de tout faire.”

Elle montre un merveilleux rire. Les yeux noirs brillants, montre ses doigts mouillés par mon désir. Indécemment, Tatie suce un doigt, le mord, puis ricane à nouveau comme une vilaine fille. Ma bite est chaude, la sueur coule sur mon front. La trique augmente, la tension s’amplifie.

“Je vais t’apprendre comment on fait pour faire plaisir à une fille. Vas-y, bébé, descends. Descends et embrasse-moi ici… Ça fait longteÇa fait longtemps que personne n’a fait ça pour moi.”

Beth ouvre sa vulve charnue et poilue avec deux doigts. Je m’agenouille devant ce trésor qu’est le vagin de ma tante Je sens l’odeur du sexe, la sueur sur son entrejambe et ses doigts qui me laissent admirer l’intérieur de son vagin. La divine chatte de ma tante.

“Ici, mets ta bouche ici. Unnnh! Bébé lèche moi en tournant autour, tu vois ce joli petit point? La petite cerise de ta tante. Mon secret, embrasse-moi très lentement. Aaaaiii! Oui, oui, comme ça!”

C’est plus que fascinant, c’est stimulant d’embrasser le vagin interdit d’une tante. La délicieuse culpabilité de me savoir l’amant de Beth. Ma bite palpite, mon cœur est presque dans ma gorge et ma bouche boit le goût d’agrumes de cette stupéfiante vulve. L’odeur forte d’une femme excitée. Le goût indécent de cette chatte.

Beth est allongée sur le lit, les jambes écartées, la chatte d’une femme mûre sur mon visage.

“Viens mon amour, mon ange. Mords mes lèvres… aaahh! Fais-moi mal, chérie. Enfonce cette langue perverse dans mon aaahh! Embrasse ta salope de tante! “Lèche, suce-moi partout.”

J’enfonce mon visage au milieu de son corps. Les poils me griffent le visage, mon tête pénètre sa vulve. Beth me tire par les cheveux, j’attrape ses cuisses. Elle se frotte contre mon visage, se masturbe avec mon visage.

Les cuisses dodues, rondes, douces de cette femme salope qui est ma tante. Je les embrasse toutes les deux, je mords, je gratte, ma langue lèche la peau douce. Le souffle chaud de la vulve indécente.

Devant moi, Tante travaille son clito rouge et pointu, sans limites, dans le désir le plus pur, Beth se masturbe devant moi. Une odeur forte, un parfum acide qui dégouline chaud entre ses doigts, sur ses lèvres repliées. Je suis de plus en plus hypnotisé, le paysage me rend encore tendu, dur comme une pierre.

“Viens, donne un baiser, chérie. Embrasse-moi et je remplirai ta bouche de mon amour! Denis!!!”

Jamais plus je n’ai embrassé une femme comme Beth, comme la tante. Un baiser si fort, si percutant, j’étais un innocent et cet orgasme d’une femme si forte a fait de moi un homme. C’était le début de tout.

– Ahnnnnn!!! Ahnnnhhhh!!! Mmmmmmm!

Mon visage sur son corps, ses lèvres sur ma bouche. J’ai utilisé ma langue pour lécher sa belle vulve, Beth a poussé en moi, j’ai senti ma tante frémir, ses cuisses se sont agitées et elle a commencé à jouir. Elle se tortillait comme une femme, le goût aigre se mêlant au goût sucré de l’orgasme.

Beth m’a baigné le visage en criant, en braillant comme une folle. Ses doigts agitant son clito, ses lèvres, je la vois dans un nouvel orgasme. Sans peur, sans culpabilité, à l’apogée de la trique d’une femme mûre.

– Aannnhhhhhh!!! OOoooohhhhhh!!! Ooooooohhhhhhhhh!!!

Ma Tante est laissée haletante, épuisée, se remettant de cette folie. Elle a joui devant son neveu, dans le lit où elle dort avec son mari, dans la maison où elle vit avec ses enfants.

Je me tiens devant elle, ma bite chaude, la peau tendue et une goutte sortant du bout, la escort gaziantep tête violette semblant sur le point d’exploser. Beth rit, passe sa langue en mouillant ses lèvres.

“As-tu aimé voir comment tu me quittes? As-tu aimé voir les indécences que j’ai faites pour toi? Wow! Tu as envie de faire l’amour à une femme? Faire de tatie une salope, ta pute?”

Ce trouble de l’élocution, cette voix fatiguée, rire cynique. Beth me taquinait, me rendant encore plus fou d’elle.

“Aïe, Denis, mon garçon. Si belle, qui aurait cru que je serais celle qui prendrait ta virginité. Hmm? Veux-tu baiser ta tante? Ta bite a l’air si savoureuse d’ici. J’en ai vu peu comme ça.”

La voix rauque, le visage coquin. Beth s’ajuste sur le lit, écarte les jambes et m’offre son univers. La vulve sombre, les lèvres humides, ses mains qui caressent ses cuisses. Mes yeux piégés sur le visage rectangulaire, le sourire cible, la bouche pulpeuse.

“C’est chaud, super chaud mon garçon. Viens, viens mon fils. Aaahhh!”

A ce jour, je ne sais pas comment tout cela est arrivé. Je sais seulement que j’ai chevauché Beth, j’ai chevauché cette femme comme un pervers. Un moment j’étais sur elle, le suivant mon pénis envahissant la grotte interdite. J’étais comme un animal, l’instinct me poussant à faire des choses que je ne connaissais pas. Agité, anxieux, un fou qui baise sa propre tante.

“Ralentissez mon garçon, ralentissez Denis! Doucement, qu’est-ce qui presse? Embrasse-moi d’abord, j’aime mon goût dans la bouche de mes hommes”.

Nous nous embrassons, un baiser intense, les langues folles se battant dans l’espace minimal de nos bouches, nous salivons à nouveau en mouillant nos visages. Beth force nos bouches à s’écarter, cherchant de l’air…..

“C’est ça, vas-y, vas-y, vas-y mon joli.”

Le visage de Beth me montre que j’ai trouvé l’endroit, un endroit humide, dense, une crème épaisse. Un nouveau monde. Je ne sais pas si c’est de la douleur ou du plaisir, je ne sais pas si c’est de la tare ou de la folie. Le visage de Beth s’illumine, ses joues sont roses, son sourire est forcé. Elle enlace mes cuisses avec ses jambes.

J’entre profondément, ma bite perçant la chair tendre de ma tante.

“Aaannhh! Aaaaahhh! Tanteeehh.”

“Denis chérieee… Ahhhh! ma douce, baise, baise-moooiii!”

“Tanteeehh!!”

Les corps qui s’entrechoquent, les chocs, les bruits humides de notre union. Beth s’ouvre, enlace ma taille avec ses pieds. La sueur qui mouille nos corps, les baisers avec nos langues qui s’enlacent à l’extérieur de nos bouches. Et mon torse perçant l’intérieur de ma tante excitée. Magnifique!

Jusqu’à ce qu’elle me demande quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas, je n’imaginais même pas qu’il y avait des femmes comme ça, encore moins une aussi élégante qu’elle.

“Appelle-moi salope! Une salope!”

“Petite sSalope! Enculé!”

“Encore, encore, encore!”

“Salope, pute!”

“Oooh! J’adore qu’on me traite de petite salope! C’est ça, mon amour, baise ta tante, baise-moi bien, remplis-moi de sperme.”

Beth devient folle, elle embrasse encore, suce ma langue, mord ma lèvre, de plus en plus abusée. Je fais claquer mon corps dans le sien, les bosses deviennent plus fortes. Beth me gratte le dos avec ses ongles, jusqu’à ce qu’elle me gratte le cul avec ses doigts.

La douleur, l’excitation et la surprise me font vibrer. Un tremblement de terre, un tourbillon venant de l’intérieur de moi.

“Tu es un délice Beth. Je pense… aaahh! Aaaahhh!”

L’expression enfantine sur le visage d’une femme expérimentée. Beth savourant mon moment, et elle m’a aguiché comme une prostituée.

“C’est ça, c’est ça mon garçon. Va remplir ta tante avec ton lait chaud. Vide tes couilles pleines à l’intérieur de mon corps. Tout, tout Denissssss! Mon amouuuurrrr!”

Nous sommes arrivés ensemble, reliés par ma bite, unis dans un baiser mouillé, nos langues liées ensemble et tous les deux hurlant le plaisir de cet instant. L’orgasme ultime. Unique et délicieusement incestueux. Interdit et inoubliable.

Nous sommes restés dans cette position pendant un moment, je ne savais pas si c’était un rêve. Tandis que Beth caressait mon dos avec ses doigts. Jusqu’à ce que les caresses se transforment en chatouilles et que je me lève de ma tante. Nous avons tous les deux regardé le plafond en nous tenant la main. La pluie s’était arrêtée depuis un moment. On n’entendait que les gouttes qui tombaient sur les plantes dehors.

“Ça t’a plu?”

“J’ai adoré. Tu es incroyable. Je n’ai jamais eu une femme comme toi.”

“Tu n’as jamais été avec une femme, Denis.”

On a ri, ensemble, complices. Elle sur le côté, sa tête reposant sur la paume d’une main. Ses doigts jouant avec les poils de ma poitrine.

“Delight, j’étais dans le besoin. Je suis heureux que tu aies voulu de moi.”

“Et qui ne voudrait pas d’une femme comme toi?”

Elle a laissé échapper un rire moqueur.

“Merci mon amour, dommage que ce ne soit pas comme ça dans la vraie vie. J’aimerais bien!”

“Quelle heure est-il?”

“Je crois… plus de six heures.”

“Oh, mon Dieu. Ma mère va me tuer.”

“Non, elle ne le fera pas. J’ai fait quelque chose de bien pour son fils. Elle ne le sait même pas, mais je l’ai fait.”

Elle m’embrasse sur l’épaule, sur la joue.

“Viens prendre une douche et je te ramène chez toi.”

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The Policewoman – Part 7

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“I will be out all night tonight, mum,” eighteen-year-old Trent Potts said to his mother and now lover, Sharon.”Oh? With Helen?” replied forty-three-year-old Sharon, who knew her son also had sex with fifty-year-old policewoman Helen Ladbrooke, as did Sharon herself.”No, not Helen, maybe you can spend the night with her,” said Trent.”Yeah, maybe I can; you will be with the mysterious woman that texted you yesterday, then,” said Sharon.”Yep, you got it,” replied Trent.The previous day, whilst in the company of both Sharon and Helen after they had had threesome sex the night before, Trent had received a text from a woman that he obviously knew intimately, asking him to visit her on one of the next three nights to give her a fucking. The woman’s husband was going to be away for those nights, and Trent phoned her back, but he refused to tell the two women that he had most recently fucked, what he had arranged.As Trent had spent the previous night in his mother’s bed, after Helen had gone home, if he was going to fuck the woman that sent the text, there were now two nights to choose from.The mysterious woman was named Cheryl Beattie, and at age fifty-six she was fractionally over three times Trent’s age. She was no raving beauty and she was a bit overweight, but she had something about her, and in her own way, she was very sexy and certainly a great fuck. She also liked taking it up the arse, and she thrived on dirty talk.”Are Helen and I not enough for you?” asked Sharon, feigning hurt.”Oh yeah, very much so, but I fucked this woman before I had either of you and I would still like to give her one from time to time,” replied Trent.”That is fair enough I suppose, I will contact Helen and see if she wants some more lesbian love tonight,” laughed Sharon.Until a few days ago, Sharon and Trent knew nothing about each other’s sex lives. Trent sometimes was out late at night, sometimes all night and his mother assumed that he was with a girl, but she assumed he had only one girlfriend and that she was a similar age to Trent. Her son actually had several women on the go, almost all of them older than Sharon, and some of them married.The revelations about each other’s sex lives, and the ignition of their incestuous affair, came about after gaziantep manken escort Sharon had asked her friend Helen to talk to her son in her capacity as a policewoman.Trent had been caught spraying graffiti and Sharon did not want his behaviour to escalate.The talk between Helen and Trent led to Helen caning him, almost with Trent’s encouragement, and then Helen and Trent fucked.Sharon paid a visit to Helen’s house one morning in the hope of lesbian sex but was shocked to find her naked son there. Sharon caned Helen, who had also taken a caning from Trent the previous evening, and then left her son and Helen to have one more fuck with instructions for Trent to come home for a discussion. Trent discovered that Helen and his mother were lesbian lovers during that visit by Sharon to Helen’s house.The discussion between mother and son made their sexual attraction to each other very clear, although there had already been signs of it, and Trent and his mother fucked.Mother and son had been having sex ever since, although it was all very recent, and had also purchased a cane with both of them feeling it across their buttocks.Helen had just spent a night at the Potts’ house during which she and Trent had fucked, before she and Sharon had lesbian sex and then all three of them had sex together.”I am going to get ready for work now, I will be going out again soon after I get home at tea time,” said Trent, who worked at a fast food outlet.”Well if you don’t want me, I will see if Helen does,” teased Sharon, who thought that maybe she should be jealous of other women having her son’s sizeable penis between their legs.Sharon did not know what Helen’s working hours were this day, she had been on a day off the day before, so she sent her a text.Trent is spending the night with his text lady, do you fancy some vagina-tasting tonight? xxxShe did not get a reply for a while, but when it came it was good news.I certainly do! Your bed or mine? xxxSharon was delighted, she replied straight away.I will come to you, I also want to pay attention to your lovely arse. xxxHelen replied swiftly.Oh yes, we can both do some arse worshipping, see you later. xxxSo mother and son, gaziantep masaj yapan escort and Helen, had their nights planned.Trent came home from work, but he would not be home for long. He would just shower, change and be off out for his night of sex with a married woman.Sharon knew that Trent would not be home for long, so she waited for him to come out of the shower. She was not going to do anything to delay his evening, but she just wanted a few minutes in his company, she would be leaving to see Helen soon.”So, another woman is to get the benefits of your lovely cock tonight,” said Sharon, looking at her son’s semi-erect penis.”Yes, are you and Helen getting together?” said Trent.”Yes, I am spending the night with her, it will be fun,” replied Sharon.”I am sure that you will give each other lots of pleasure,” said Trent, starting to get dressed.”Yeah, no doubt we will both cum multiple times, as will the woman that you are shagging,” said Sharon, feeling a tinge of jealousy.”I will be back with you tomorrow night,” said Trent.”Well, I might not want you,” laughed his mother.”Ha, well her husband is away again tomorrow night so I could go back to her,” responded Trent.”No, it is okay, I think I will let you back into my bed,” replied Sharon.”That is nice of you, Sharon,” said Trent.”Can I give you a lift?” offered Sharon, Trent did not own a car, plus she might find out who the woman was.”No thanks, she is within walking distance,” replied Trent, who was now dressed.”Okay, have fun,” said Sharon.”And you, and Helen,” said Trent, before mother and son had a long kiss.Trent left for his appointment with the horny married woman, and a bit later, Sharon drove to Helen’s house, although it was within walking distance.”Great to see you, come in, I need a good fucking,” said Cheryl Beattier, when Trent arrived at her house.Cheryl almost dragged him indoors, and before Trent could speak, Cheryl had locked her lipstick-coated lips on his.”Ha, you missed me then,” said Trent, when he could speak, and breathe.”Yes, I have fucking missed you, you fuck me like no other,” said Cheryl.”You like my teenage cock then do you, you horny slut?” said Trent, knowing gaziantep masöz escort that Cheryl liked to be called names.”Yes, this horny slut likes your teenage cock, and I love it when you put it in my fat arse,” said Cheryl, before smothering Trent in more kisses.”You want to be fucked in the arse, you whore, you want my cock in your arsehole?” said Trent, pawing Cheryl’s large backside which was currently in green trousers.”Let’s stop wasting time talking, let’s go upstairs and fuck,” said Cheryl, undoing the zip on Trent’s jeans.They scrambled up the stairs, Trent touching Cheryl’s arse as they went.”You like my big fat arse, don’t you, you hot hunk?” said Cheryl, as they reached the top of the stairs.”I love your arse, Cheryl, and I will show you just how much I love it later,” replied Trent.Cheryl turned and they had another long snog, as Cheryl undid the belt on Trent’s jeans and Trent caressed Cheryl’s behind.Cheryl got Trent’s jeans lowered, followed by his boxers, and she wanked his already erect cock as their snogging continued.”Give me a fucking, fuck this horny married bitch,” said Cheryl, wild with sexual excitement.”I had better get these trousers off your big arse then, hadn’t I?” said Trent, dragging Cheryl’s trousers down and helping her out of them.Trent got behind Cheryl and pulled her knickers down, her large buttocks became on show. Trent kissed Cheryl’s arse cheeks and parted her buttocks to see the arsehole that he intended to put his cock in later.Cheryl completed the removal of her knickers with her feet, she was desperate to be fucked.”Give it to me big boy, give this slut the fucking that she craves,” said Cheryl, removing her blouse and then bra as Trent got out of his jeans and boxers and took off his T-shirt.”You want a fucking you dirty cheating slut, I will give you a fucking, get on your back, you old slapper,” said Trent, who was looking forward to giving Cheryl a long and hard fucking.Cheryl wasted no time in getting on her back with her legs spread wide, putting her hairy and wet cunt on display.”Here is my cunt, fuck it hard, you sexy stud,” invited Cheryl.Trent got in between her legs and his penis was soon in Cheryl’s vagina and the fucking started.The fucking rapidly picked up the pace, and there was a lot of grunting and expletives.”Cum you dirty bitch, cum with a teenage cock sliding in and out of your sticky cunt,” panted the hard-working Trent.”Shit, fuck, this dirty bitch is so fucking close, going to cum with your teenage rod shafting me…Shit!” exclaimed Cheryl, as she got fucked to orgasm.Trent kept fucking her, they were both sweating with their exertions.

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Emmanuelle et le doyen Sélim

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Dimanche matin , seuls à l’appartement à Neuilly avec mon époux , nous traînons , car nous sommes rentrés tard cette nuit.

Michel mon mari , offrait un repas à son ami Sélim doyen de faculté au Liban pour fêter un protocole de recherche et d’échange entre leurs Universités . Comme je suis aussi universitaire, j’étais de la partie, mais en plus je suis plutôt jolie fine et agréable à l’œil ( j’ai rêvé d’être mannequin mais mon père a fortement insisté pour que je poursuive une carrière scientifique en l’occurrence dentiste hospitalo-universitaire et libérale ) donc Michel m’avait demandé d’être en représentation en tenue plus jolie et transparente .

Pendant le repas, arrosé de bons vins, Mr Sélim, gros mangeur bien éduqué, à la corpulence imposante, n’arrêtait pas de me regarder puis de reluquer , et comme j’avais aussi bu ma poitrine se soulevait et sous les regards masculins mes tétons étaient érigés!!!!

Bref, les propos avaient été un peu macho et un soupçon salace ( mais dans le cadre de ce grand restaurant la tenue avait prévalu).

La nuit fut courte et chaude, Michel a remarqué tout de suite en rentrant en taxi, Emmanuelle tu es excitée hum tes penchants de bourgeoise à forcer? Dans le taxi je lui intimais l’ordre de se taire , mais en lui sussurant que oui mais que je l’adore quand il bande et ce sans qu’il ne doive porter mes dessous , ce qui d’habitude le dope!

Dès l’arrivé à l’appartement je me suis laissée prendre comme une femelle en rut dans le salon sans fermer les rideaux ( mais avec juste la lumière de la rue ).

Au matin , vers 10 h coup de fil de Sélim, un problème dentaire , Michel qui a pris le téléphone, me demande si on peut se retrouver au cabinet dentaire près des champs? Je ne peux qu’acquiescer. Je m’habille plus sérieuse que la veille , body noir Eres avec ses jarretelles pour mes bas gris foncés robe maille noire moulante et petits trotteurs aux pieds. Au cabinet , Sélim est déjà là , en fait il a une couronne descellée , je ne vais pas en avoir pour longtemps . Le temps de mettre une blouse , mais trop courte et je n’aimerais pas salir ma jolie robe alors je m’excuse et pars me changeret ôter ma robe, évidemment quelques plaisanteries masculines fusent en arabe , et comme je ne comprend pas , Michel traduit : mr le Doyen te propose sans blouse!!! et il rajoute ce qui ne serait pas plus déshabillé que sur une plage, comme l’été dernier éructe Mr Sélim avec gentillesse gauloise et autorité évidente . j’élude la proposition avec élégance en faisant remarquer que l’érotisme commence avec le rêve et que ma blouse plissée ( en fait celle de mon assistante plus petite de 15 cm que moi ) permet de faire évader son esprit plus que mon corps physique! J’avoue qu’une blouse croisée sans boutons juste tenue par un lien dessous et une ceinture dessus, plissée pour le volume et les mouvements, un peu trop petite en tour de taille et en longueur , m’ a fait sourire in petto au moment de me changer et avoir l’envie de jouer à la dentiste bourgeoise trop sexy!

Mais je me tiens bien , même si mes tétons me trahissent un peu et essaient de se dresser au dessus du balconnet si fin de mon body , j’essaie de les y replacer mais je n’arrive qu’ à les pincer et les exciter encore plus, un désastre, ils ressortent du bord de mon body et pointent dans les plis trop transparents , à mon goût, de la blouse!

Pour les soins , c’est facile : couronne descellée et patient allongé , moi assise derrière. Sa tête me suit quand je me lève et me déplace pour prendre le matériel nécessaire . Son regard affole mes jambes mais ma tête arrive à rester froide, malgré les réflexions macho de mon mari si faible dans ces circonstances et de son ami qui a l’ascendant du macho méditerranéen et l’aplomb de l’obèse!! Je dois éviter les mains qui glissent sous le siège et palpent mes genoux et , ses lèvres qui sucent mes doigts gainés de latex.

J’arrive à nettoyer la dent , et Michel m’aide en allant nettoyer la couronne au laboratoire , Oh mr Selim en profite pour me demander de lui montrer mon body , il a des demande de lingerie de la part de sa fille adorée , et mon body lui semble parfait!!!!! et mon regard sur son pantalon, m’indique que celui ci est déformé par un sexe de taille sans doute monstrueuse . Mais j’essaie de lutter car il tire sur ma ceinture qui se défait , et toute ma blouse s’ouvre retenue que par le lien interne , j’essaie de me dérober mais je suis en plein soin . et Michel qui revient avec la couronne parfaitement nettoyée qui ne regarde pas! Je me lève et me retourne vite pour remettre ma ceinture , je suis rouge de confusion! et oh sur mon écran je vois les deux encadrés des caméras de surveillance ouverts : on m’y voit parfaitement , donc tout a été filmé! Mr Sélim blague Michel sur mon côté bourgeoise française sexy!!! oh , je me dépêche de me rasseoir , de lui poser écarteur et digue pour sceller à l’abris de la salive , ouf il ne peut plus parler . Michel me fait l’assistante et la couronne est scellée!!! . Après escort numaraları avoir tout nettoyé , et relevé le siège , mr Sélim me demande ce qu’il me doit. Bien évidement : rien!

Oh mais si , répond il, je vous invite à déjeuner aux Champs

, et comme je dois faire des achats pour ma fille je vous pourrais vous offrir quelques jolies pièces, glisse mr Sélim . Michel se dépêche d’acquiescer, et me laisse aller me changer .

Il n’a pas saisi que ce sont des pièces de lingerie dont veut parler mr Sélim , cela me contrarie, mais bon un bon repas cela aidera . Dans le laboratoire , j’ôte la blouse et comme je suis excitée je m’essuie le sexe avec un kleenex , et me palpe les tétons qui sont un peu trop érigés à mon goût ( ils sont si impulsifs dans leur réactions ) , je remet ma robe noire maille , et me recoiffe dans la glace , oh mais je vois un petit voyant rouge dans un coin du miroir, me retourne , oui la caméra de surveillance est allumée!!!, j’espère que personne ne l’a remarqué.

Je regarde le petit écran du labo, les fenêtres de surveillance sont ouvertes, michel m’a t il regardé tout à l’heure??? il faut que je pense à effacer les enregistrements! Mr Selim , est ravi il est tout sourire et avec son tel me prend en photos « ma dentiste préférée » dit il , sur le trottoir , sa limousine attend et comme le chauffeur m’ouvre la porte et que je m’y gliss , je n’arrive pas à contrôler la remontée de ma robe et mr Selim filme!!!!!

Le chauffeur ( un grand black ) nous dépose devant le restaurant sur les Champs-Elysés juste à côté d’une galerie marchande .

Hélas il va nous falloir attendre environ 30 minutes , et Mr Selim qui propose : si nous en profitions pour faire quelques achats , je dois rapporter des cadeaux pour la fille!

Dans la galerie , marchande les deux hommes parlent cadeaux à raporter à la fille de mr Sélim , et, alors que je suis génée de son regard perpétuellement vicieux et de voir son pantalon trop moulant pour ses parties génitales , alors qu’il écarte toujours les pans de son veston devant moi.

Les deux hommes s’arrêtent devant une boutique de mode et de lingerie de luxe .

La bosse sur son pantalon augmente en observant la vitrine avec ses mannequins en robes et tenues sexy juste devant des rideaux opaques . Il s’attarde sur des petites culottes transparentes et des porte-jarretelles et propose allons faire des achats!

Il ouvre la porte et mielleux m’invite à rentrer , puis michel et il ferme la marche .

Une vendeuse de grande tenue en robe croisée,talons très hauts, mais de silhouette plus petite et plus enrobée que moi, nous accueille tout sourire .

Mr Sélim se présente et demande pour des cadeaux de lingerie pour sa fille de 25 a restée à Beyrouth .

Quelle taille demande la vendeuse? oh elle a les mêmes mensurations que notre amie Emmanuelle ici présente , ose mr Sélim , du coup je vois venir le plan et je suis déjà avec une rougeur aux joues, un frisson au creux des reins et des tétons qui s’érigent!

Mr Sélim insiste et dévoile , je pourrais même adresser les photos de mon E phone et j’aimerais montrer différentes tenues à ma fille pour qu’elle choisisse elle-même! Michel a l’air stupéfait mais comme je sais bien qu’il rêve de photos déshabillées de sa femme , je ne suis pas surprise de sa réflexion : oh Emmanuelle qui a toujours rêvé de faire mannequin , tu vas pouvoir jouer à Victoria’s secret!

J’ai bien remarqué que Mr Sélim me regardait toujours d’un air vicieux comme s’il avait une idée précise derrière la tête.

Il me demande évidemment de l’aide et son pantalon qui est trop moulant pour ses parties génitales révèle un volume impressionnant et perturbant. Il écarte toujours son veston devant moi et je ne peux que voir la bosse sur son pantalon Il s’attarde sur des petites culottes transparentes et des porte-jarretelles. Mais il ne sait que choisir, il me demande alors avec un sourire pervers en me regardant droit dans les yeux (oh je suis pivoine car je sens où il veut en venir surtout qu’il a son portable à la main) : Emmanuelle, j’aimerais montrer différentes tenues à ma fille pour qu’elle choisisse elle-même

Mais elle a du mal à se faire une idée sur les manequins : Pourriez-vous m’aider? Vous allez mettre les culottes que ma fille souhaiterait essayer et vous les essaierez pour elle?

Je vous filmerai pour qu’elle puisse nous donner son avis. C’est une bonne idée n’est-ce pas?

Et il demande même à mon mari son accord qui acquiesce aussitôt.

J’en bafouille et michel qui insiste en me prenant manteau et sac pour me débarrasser et cacher son camescope

Mr Sélim demande à la vendeuse un endroit tranquille pour pouvoir faire les essayages.

Je vois qu’il lui glisse quelques billet dans la main au passage, elle sourit et nous pousse dans une pièce discrète située au fond de la boutique et aux murs composés de miroirs Mr Sélim me dit: préparez-vous Emmanuelle, voici une première escort pornoları culotte à essayer, elle est transparente!

Mon mari et son ami attendent dans la pièce que je me déshabille. Ils ont tous deux préparé leurs téléphones et camescope. Je ne peux résister. Elle est hors de prix, je la prend en main et ôte les chaussures et m’apprête à l’essayer sur mes bas et mon body sans remonter ma robe pendant qu’ils commencent à filmer.

Non non non! Emmanuelle, enfin il faut la passer sous votre robe pour que ma fille puisse se faire une opinion!Allez, retirez cette robe, mais gardez vos escarpins, s’esclame Mr Sélim, retirez également votre body pour plus de justesse dans l’essayage!

Je vois le gros homme transpirer, je perd contenance et devant les yeux des 2 hommes je laisse la vendeuse m’ôter ma robe , puis le body.

Elle profite de la situation pour me caresser la peau, je frémis, les seins, la taille, et elle m’aide à passer cette culotte. Devant les 2 voyeurs, elle ôte mes bas qui ont perdu leur jarretelles attachées au body

Je vois le libanais se frotter le pantalon tout en me filmant.

La vendeuse m’aide à remettre mes escarpins

Je suis nue, simplement avec la culotte et mes escarpins.

La vendeuse est derrière moi. Elle a donné à michel mes bas et mon body , cet idiot se dépêche de glisser cela dans son pantalon, tellement il adore le contact des dessous féminins.

Elle remonte ses mains sur mes seins, oui mes seins et elle suggère de choisir une tenue osée pour eux

Sélim ose demander à michel de prendre le soutien gorge ou la guépière le plus pute en cuir rouge à côté de lui , il obéit et Sélim demande à la vendeuse si, comme cela se fait beaucoup au Liban, elle a des bijoux de tétons .

Elle revient avec les bijoux et un plug anal qu’elle exhibe fièrement devant moi. Oh des lassos cuirs pour tétons avec une chaînette comme une laisse et michel tend une guépière cuir rouge à taille si fine et aux bonnets 1/4.

Elle m’aide à enfiler ma tenue si pute, et la vendeuse mielleuse qui sussure ( et ordonne ) madame devrait être maquillée .

Mr Sélim saute sur cette proposition : oui maquillée comme un vraie putain! La vendeuses me cale contre un poteau pour mieux enrober et dessiner mes lèvres de rouge sombre . Et le contour de mes yeux dans une couleur très sombre pour en faire ressortir mes iris si bleu.

Mr Selim demande mais il faudrait raser les poils pubiens à cette sale petite pute! Michel se permet de suggérer qu’ il apprécierait des aréoles creusées et des tétons érigés par de l’astringence et des couleurs sombres.

La langue de la vendeuse se glisse de façon gourmande sur ses lèvres et elle me pousse dans un grand fauteuil, place mes jambes sur les accoudoirs pour une épilation rapide et chimique et mes deux salauds qui me filment!

Mr Sélim s’approche de moi sur mon côté gauche . Il m’ordonne de sortir son sexe La vendeuse est entre mes jambes, elle a ôté la culotte pour me raser .

J’ ouvre son pantalon pendant qu’il filme toute la scène, j’hésite essaie de reculer , mais la vendeuse me tord un téton , et une gifle me force à obéir.

Mr Sélim excité révèle son goût pour l’autorité et me crie Sors ma bite salope! Et il m’attrappe par les cheveux.

Michel sur mon côté droit, qui se branle en cachette dans mon body, m’intime de satisfaire mes vices car il sait que j’aime ces genres de rêves (je lui as déjà parlé de mes fantasmes) être une Salope!

Je baisse le pantalon de Mr Sélim. Je découvre un caleçon gonflé par son plaisir. La taille m’impressionne, me fait peur, j’hésite à descendre le caleçon.

Mais Mr Sélim n’aime pas attendre. Il me gifle à nouveau. Dépêche toi petite pute!

La vendeuse à fini de me raser

Oui je défais le pantalon descends son caleçon et oh quel sexe. Oh ouiiii je me laisse faire

Le sexe jaillit du caleçon. Il est large et long.

Mr Selim ordonne alors emmanuelle admet que tu es une sale bourgeoise prête à faire la pute, que tu es une bonne petite soumise : Dis le! Et michel aussi me pousse , alors je murmure : je suis une sale bourgeoise heureuse de faire la pute pour vous mr Selim

Mmr Selim éclate de rire et propose à michel de dire la même chose, et insiste auprès d’Emmanuelle : fais-le dire à ton mari .

Je pleure et halète de plaisir ( être démasquée et me faire gouiner par cette vendeuses) et ordonne d’une voix cassée : michel épile toi met ce body et dévoile ta nature de sissy lesbienne .

Mr Sélim profite aussitôt de la fin de ta phrase pour engouffrer sa queue dans ma bouche de pute.

Elle est tellement grosse que j’ai du mal à le mettre en bouche .

Et Mr Sélim regarde en même temps ton mari se préparer

La vendeuse est encore occupée avec mon sexe.

Mr Sélim lui ordonne de placer les lassos de cuir sur mes tétons maquillés érigés et durcis sur mes aréoles creusées par l’astringence du produit de maquillage et puis escort portalı de mettre le plug dans mon cul de bourgeoise.

oh ouiiii je ne peux que sentir la tension de la laisse sur mes tétons ( mr Sélim la tire vers lui sauvagement) et son vit qui force ma bouche , ma gorge et je sens les doigts de la vendeuse dans mon cul. Dans mon sale trou du cul de bourgeoise .

Elle l’enfonce sans se préoccuper de ma jouissance ou de ma douleur, elle m’enfonce ce plug de belle taille à fond , et part s’occuper de l’épilation de michel , nu avec sa queue ridicule enrobée de mon body et de mes bas .

Je ne suis plus qu’un jouet pour le plaisir de Mr Sélim et de la vendeuse.

Mr Sélim ordonne : Suce-moi Emmanuelle! Sale pute. Tu te prends pour une bourgeoise mais tu n’es qu’une sale putain!

Et la vendeuse rase ton mari, pendant que Mr Sélim te bourre la bouche le cul rempli par le plug.

Oh ouiiiiii je ne savais pas que j’étais capable d’acharnement animal pour pouvoir avaler le foutre d’un étranger mysteryoo: Je sens ses grosses testicules contre mes joues à chaque fois qu’il s’enfonce dans ma gorge. Il tire en meme temps sur mes tétons.

Mr Selim est ravi mais ironique s’interroge sur l’endroit où j’ai pu apprendre à faire une gorge profonde?Tu suces comme une vraie putain. C’est à l’hopital que tu as appris à sucer comme ca? La vendeuse qui tord les couilles de mon époux lui demande si il n’a pas d’idée sur la question, michel d’une voix faible répond : je crois qu’un garagiste à gazeran le sait! Mr Sélim lui, me pose une question-affirmation : je suis sûr que tu es également la pute de tes élèves! Malgré mes tentatives de dénégations en essayant de secouer négativement la tête, mr Sélim insiste : Avoue salope! Tu es la pute de tes élèves! Dès qu’ils ont découvert tes penchants masochistes ils en ont profité.Tu n’es qu’une pute!

Il ressort son sexe de ma bouche, je crie : non, mais c’est vrai qu’ils m’ont par deux fois invitée à des soirées et j’ai refusé.

Menteuse!!! affirme mr Sélim qui est si excité à cette idée Et il me gifle et il me tend le téléphone et il m’ordonne: Appelle un de tes élève! Je veux vérifier.

Il tire sur mes tétons : Appelle!

Mon époux adoré , michel, fouille mon sac et me tend mon téléphone alors chérie appelle celui qui t’a insulté pour des mauvaises notes. Dis-lui que tu as quelque chose de très important à lui dire.

Mr Sélim insiste : Fais-le venir ici! Et il me gifle de nouveau. J’ai les yeux humides et j’essaie un « oh non pas cela , je préfère encore retourner à Gazeran »

Mr Sélim replonge son sexe dans ma bouche et se masturbe avec ma gorge. Tu vas l’appeler sale pute! Il gicle tout son foutre dans ma gorge tout en tirant très fort sur mes tétons tendus.

Il prend le téléphone et me le tend: Appelle pute!Michel est en body bas et perruque!!!! et la vendeuse agenouillée devant moi lui ordonne de prendre mon relais pour essuyer le sperme qui coule sur mon visage.

Je me mords les lèvres et je prend mon téléphone , ma vie va basculer .

mr Sélim s’étonne : alors michel-le tu suces aussi bien que ta femme!

J’ai son répondeur et je lui demande de rappeler pour vérifier les erreurs de notes!!!! je pleure

Mr Sélim me demande: Qu’est-ce qui t’arrive? Tu veux jouer les putes et tu n’assume pas? Regarde ton mari, lui il assume!C’est une pute comme toi!

La vendeuse arrive avec un gode ceinture. Pendant que ton mari suce Mr Sélim, elle vient derrière michel.

Mr Sélim le fait mettre à 4 pattes et ordonne à la vendeuse encule -le!Et elle place le gode à l’entrée du cul de ton mari

Mon téléphone sonne , c’et Olivier l’étudiant râleur , il s’interroge sur ces “erreurs de notes “

Mr Sélim m’ordonne : Fais-le venir! Maintenant!

La scène est surréaliste, mon mari prêt à se faire enculer au fond d’un magasin et moi en train d’appeler mon futur bourreau.

La vendeuse plonge d’un coup sec son gode dans le cul de mon mari.

Je suis perdue , olivier m’explique qu’il se promène av de la grande armée avec sa copine et son chien, je lui indique la galerie des champs et le nom de la boutique chez fabienne mais je tais que c’est un magasin de luxe .

Mr Sélim insiste : Tu vois c’est pas très compliqué de faire la pute! Et il se met à rire, sa bite dans la bouche de mon époux Sélim s’esclaffe : Je sens qu’on va bien s’amuser avec ton élève. J’espère que tu n’as pas été trop dure avec lui Ha Ha .

La vendeuse avoue , surtout que derrière les miroirs tout est filmé, leurs nouveaux métiers sont tout trouvés. Mais elle poursuit je suis de Rambouillet et ce garagiste de Gazeran j’aimerai bien comprendre?Raconte-nous sale pute de bourgeoise! Qu’est-ce qu’il t’a fait ce garagiste?

Je pleure et raconte que j’AI DECOUVERT LE SEXE VIOLENT après une panne de voiture chez un garagiste ou plutôt une famille assez attardée qui tenait un garage.

Mr Sélim exulte Tu as découvert que tu aimais être prise de force, faire la pute!

J’avoue que j’y retourne tous les ans pour éviter tout chantage et scandale

Mr Sélim me sussure : tu as le vice dans la peau!

Michelle confirme , il a intercepté 5 photos pour relancer le chantage, qui sont explicites et qui le font bander à mort Mr Sélim te rabaisse d’un Ta gueule pouffiasse! Je ne t’ai rien demandé sale pédale!

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My Big Sister The Wrestler

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Amateur

“Wake up, sunshine!”The bright light invaded Jake’s sleepy eyes, and the cool air in the room gave him an instant shiver as the sheets were abruptly snatched off his bed.”It’s time for practice.”James’ big sister was a college wrestler, and for some reason, James had volunteered to help her with practice on Sunday mornings. Well, today was Sunday, and it was time for him to pay for his kindness.Kayla was a stunning athlete. She had a bronzed complexion, short brown hair, and stood at an impressive 6’2”. But what made her truly captivating was her incredibly sexy physique. With curves that accentuated her ample breasts and enticing backside, she had a body that could make anyone weak in the knees. To say she had an hourglass figure would be an understatement – she was an Amazonian beauty.As James rubbed his tired eyes and adjusted to the sight of his sister standing at the foot of his bed, he felt as though he was in a dream. She was clad in her tight, red and white striped spandex college wrestling uniform, which hugged her body like a second skin, leaving absolutely nothing to the imagination. His body quickly reacted to the sight, causing his boxers to strain against the fabric as his arousal became evident. While any normal little brother might have been mortified, James knew that his sister had seen him get aroused by her countless times during their teenage years. And If anything, she saw it as a compliment.”Whoah, looks like somebody’s ready for some wrestling, haha. I knew my uniform would turn you on but that was quick. Are you sure you’ll be able to control yourself when we wrestle?” Her lips curled into a sly grin as she taunted him.”Yeah, yeah, it’s not my fault you’re practically wearing nothing, flaunting your body around. What did you expect? I’m only human.” James blushed as he confessed his attraction to gaziantep minyon escort his sister’s enticing figure. A small droplet of precum stained the tip of his boxers.Kayla’s face flushed at the sight, and she found herself growing a little aroused from teasing her brother.”Alright, I’ll be stretching on the mat in the basement. Meet me there once you’ve taken care of yourself,” she said with a playful laugh. She laughed it off on the surface but the thought of her brother pleasuring himself to thoughts of her really got her horny. Feeling a growing wetness between her legs, Kayla left James’ room in a haste, making her way downstairs to the basement in order to get some space, and hopefully push those desires from her mind. She needed her brother’s help with practicing her wrestling moves for the upcoming nationals, and she refused to let her own arousal get in the way. Besides, there was a boundary between brother and sister, and while playful banter was one thing, crossing that line was out of the question.James groaned as he tried to shake off his sleepiness, his mind still clouded with the lingering images of his sister’s body. Despite his embarrassment, a growing anticipation coursed through his veins as he hurriedly got out of bed and made his way to the basement.The moment James reached the dimly lit basement, he was met with the sight of Kayla, her athletic frame glistening with a sheen of sweat from her warm-up stretches. Her impressive height and toned muscles accentuated the power she possessed as a wrestler, causing an electric charge to surge through James’ body.Kayla glanced over her shoulder, a grin playing on her lips as her eyes locked onto James. “Took you long enough,” she teased, her voice laced with a hint of authority.Unsure nizip escort of how to respond, James simply stood before her, his boxers tented with the undeniable evidence of his arousal. A blush crept onto his cheeks, but rather than feeling embarrassed, he couldn’t help but find a sense of liberation in the open display of desire.Kayla arched an eyebrow, clearly surprised by his persistent arousal.A thought crept into her mind. This could be a good opportunity for some payback for all the jokes and annoyances over the years. And it might even be a good opportunity to have some fun with her brother. She’d grown a lot in the last year and they weren’t the same size anymore. She was gonna have fun tossing him around.  “Looks like my little brother truly can’t resist his big sister’s charm. I suppose we’ll have to find a way to put that energy to good use,” she purred, her voice dripping with a commanding tone.As James hesitated, his eyes transfixed on Kayla’s sculpted body, she took a step closer, closing the distance between them. The scent of her sweat mixed with a subtle floral perfume filled his nostrils, and his senses were overwhelmed by the intoxicating combination.Without warning, Kayla’s strong hands firmly grasped James’ waistband, pulling his boxers down to his ankles in one swift motion. James gasped, feeling a mixture of excitement and vulnerability flood through him.”Since you can’t seem to control yourself, we’ll need to teach you some discipline,” Kayla whispered, her tone deliciously commanding. “Get on the mat, on your hands and knees.”Eager to comply, James quickly positioned himself as instructed, his heart pounding in anticipation. He could feel the cool surface of the mat against his skin, the contrast heightening the sensitivity of every touch. Kayla moved nurdağı escort gracefully around him, circling like a predator closing in on its prey. Her fingertips grazed his exposed skin, eliciting goosebumps and sending a shiver down his spine.James could feel the heat of her breath on his neck as Kayla leaned over him, her voice filled with authority.”Now, little brother, get ready to experience the true strength of a woman.”Kayla was now filled with lust and power, she was gonna take their bodies to the limit.Kayla wasted no time in initiating the wrestling match. She swiftly moved from straddling James’ waist to a kneeling position, her strong thighs gripping his sides with an unyielding force. James struggled against her hold, trying to break free from her grasp, but her expertise in wrestling left him powerless. Kayla’s lips curled into a wicked grin as she leaned in closer, her voice thick with confidence.”You see, James, in this world, I am in complete control. You can submit the easy way or the hard way. The choice is yours.”With those words, Kayla unleashed her wrestling prowess. She used her body weight advantage to maneuver James, flawlessly transitioning from hold to hold. As they grappled, James could feel the raw power of his sister, her muscles flexing against his own. Every twist, and every lock further emphasized her control over him. Kayla’s voice reverberated in the basement as she taunted James.”What’s the matter, little brother? Can’t handle the strength of a real woman?” She tightened her grip, causing James to groan as his hardened cock pressed into the mat a mixture of pleasure and pain coursing through his body.James couldn’t help but be both aroused and impressed by his sister’s skill. As she continued to overpower him, James felt an overwhelming urge to please and submit to her, his body and his cock were practically begging for it. Sensing his surrender, Kayla shifted her tactics, her touches becoming increasingly sensual. She caressed his body with deliberate slowness, running her hands over his taut muscles. Each stroke seemed to ignite a fire within him, his desire for her burning more fiercely with each passing second.

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Évolution de Carrière 07

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Gangbang

La fessée.

La soirée s’annonce toride. STÉPHANIE est habillée d’une courte robe noire qui moule son magnifique corps. Elle est superbe. Elle porte la chaîne en argent autour du cou, la clef cachée entre le creux de ses délicieux seins, libres. Elle n’a pas de soutien-gorge. Elle est très belle, très sexy.

Elle a choisi mes vêtements, une chemise, un pantalon et une veste légère. Il n’y a pas de caleçon. Je lui fais remarquer, elle me répond que je n’en ai pas besoin. Devant le miroir je vois très bien ma cage, elle se devine aisément, le tube courbé et le cadenas sont très visibles. Le pantalon est assez fin, la chemise est courte, la veste couvre à peine mon entre jambe. Je suis sur que tout le monde peut la voir.

STÉPHANIE me rassure avec un gros câlin, me complimente sur mon corps de rêve. Ma queue réagit à la caresse, je sens la pression de la cage. Elle tente de se tendre. La douleur me fait grimacer, mon Épouse me regarde, elle continue ses caresses.

_S_ On ne voit rien, en plus ce pantalon met en valeur ton beau petit cul, puis pour découvrir ta cage il faut regarder de tout prêt ou te toucher. Allez soit tranquille, personne ne va voir ton petit jouet, les gens s’en foute de ta bite.

_J_ Je ne suis vraiment pas très à l’aise mon Amour, j’ai peur que quelqu’un aperçoive ma cage, que vont-ils penser de moi?

_S_ Ne t’inquiète pas mon Chéri, j’ai la clef avec moi, si tu es trop gêné, tu pourras l’enlever. Mais je dois te dire que je suis très très excitée. Je te trouve tellement sexy avec ta bite encagée. Tu sais, savoir que tu ne peux bander que pour moi, ça m’excite d’une force! Je suis tellement mouillée, je suis trempe. Regarde.

Dans un déhanché d’une sensualité si féminine, si toride, elle descend son petit string. Il tombe à ses pieds, entre ses jambes.

_S_ Tu veux bien m’aider s’il te plaît mon juju.

_J_ Oui, bien sur mon Amour.

Je m’agenouille lentement devant elle, nous ne nous quittons pas des yeux. Son regard brille d’une nouvelle lumière. C’est la première fois quelle me regarde comme ça. Son regard est incandescent. Il émane d’elle, à ce moment la, une puissance divine. C’est une Déesse.

Mon cœur bat la chamade, elle est belle, je l’aime. Son regard est intense, je ne peux le soutenir, je baisse les yeux. Je reconnais implicitement sa domination, sans aucune parole, je me soumets à son pouvoir. Cela est si naturel. Mes phantasmes sont devenus réels. Elle ne joue pas, elle n’essaie pas de me faire plaisir, elle semble vraiment heureuse de montrer son autorité.

Sa culotte est coincée sous un talon, je la prends délicatement entre les mains. Elle ne bouge pas. Je lève les yeux, à son regard je comprends qu’elle n’est pas satisfaite. J’embrasse sa chaussure, elle lève alors son pied de quelques centimètres, je fais la même chose pour l’autre pieds. Je libère son string, il est en effet très humide, son parfum me submerge. C’est vraiment un aphrodisiaque exceptionnel, ma queue va exploser, je ressens la douleur de l’érection empêchée mais je n’ai pas mal. L’instant est juste sublime.

Je plonge mon visage dans sa culotte, je la prends avec ma bouche, je relève la tête son string entre les lèvres. Un grand sourire de satisfaction éclaire son visage.

_S_ Tu es si beau mon Julien, je suis absolument conquise par ta nouvelle attitude. Je t’aime.

_J_ Moooaaaa aussiiiii moooonnn Aaaamooouuur, jeeee t’aiiimmmeeee.

_S_ Merci juju. Relève toi mon Chéri, je vois que tu aimes toujours autant ma saveur, ce soir tu pourras te régaler directement à la source. Je ne sais pas pourquoi mais je commence à beaucoup apprécier ton nouveau statut.

_J_ Merci mon Amour, ton nectar est divin. Merci.

_S_ Tu vois juju, tu porte ton petit jouet moi je n’ai pas de culotte, on est à égalité. Ce soir on est très coquin tout les deux. Tu as même plus d’habits que moi. D’ailleurs, c’est plus joli, comme ça sans marque sous ma robe. Tu ne trouves pas?

_J_ Si, si, mon Amour, tu es vraiment magnifique. Cette robe te va très bien.

_S_ Je t’aime mon juju.

_J_ Moi aussi je t’aime STÉPHANIE.

Est-ce que elle réalise que je suis tendu dans ma prison comme jamais. Je suis super excité, elle n’a pas de culotte, on sort en ville. Il faudrait être aveugle pour ne pas remarquer qu’elle ne porte que sa robe et rien d’autre. Sur le moments, j’ai juste envie de lui arracher sa robe pour la prendre sauvagement en levrette. Je suis sur que beaucoup d’hommes vont avoir les même envies. Je ne ressens pas pourtant de jalousie, elle fait tout pour m’exciter, je suis sur qu’

elle va en exciter plus d’un.

Main dans la main on se regarde dans le miroir de l’entrée. Nous sommes beaux tous les deux, je suis avec la plus belle femme de l’univers, je suis si fier, si content d’être son mari, mais en même temps, j’ai du mal à me détendre, je me sens étrange, c’est la première fois que je vais rencontrer d’autres personnes avec une cage de chasteté sous mes habits. Devant la glace, je vois escort haberleri très bien la cage qui fait une bosse et l’on voit le pourtour du cadenas très clairement.

Pourtant on part en ville malgré mes inquiétudes, j’essaie de ne pas les montrer, STÉPHANIE est tellement heureuse, si sexy, je ne veux pas la contrarier. Elle est enjouée, durant tout le trajet elle parle de son travail qui va évoluer. Des opportunités qui vont arriver. Pas une seule fois elle a évoqué ma cage. Elle pose plusieurs fois sa main sur ma cuisse, comme d’habitude, mais là c’est différent. Ses caresses m’électrise, mon sexe grandit. Elle ne montre aucune réaction, je suis sur qu’elle a vu mon pantalon se tendre à chaque fois. La voiture garée, nous marchons quelques minutes, je sens à chaque pas le plastique frotter entre mes cuisses.

C’est un restaurant que je ne connais pas. La table réservée au nom de STÉPHANIE, est dans un coin discret de la salle.

La serveuse qui nous accueille est charmante, elle me détaille de la tête au pieds, un petit sourire se dessine sur son visage quand elle me regarde puis se tourne vers mon Épouse, elle ne va s’adresser qu’à elle toute la soirée. J’ai l’impression de ne pas exister. La serveuse complimente mon Epouse sur sa tenue, elle trouve même sa chaîne charmante avec ce curieux pendentif, qui pend librement à son cou.

_S_ C’est la clef de la…des plaisirs de mon amour.

Je ne sais plus où me mettre, je suis paralysé. La serveuse semble amusée, elle nous donne le menu, nous souhaite une bonne soirée et s’éloigne discrètement. Je n’ai pas osé la regarder. STÉPHANIE s’aperçoit de mon malaise.

_S_ Mon juju, je suis désolée, je n’ai pas vu que la clef était visible. Je comprends, tu n’es pas encore prêt à assumer. C’est tout nouveau pour toi. je suis désolée que tu sois un peu gêné, un peu à l’étroit. Tu es trop mignon quand tu fais cette tête. Je suis si fière d’être ta femme. Toi aussi tu dois être fiert, tu n’as pas à avoir honte. Bien au contraire, ta petite cage est une preuve extraordinaire de ton amour pour moi. Je t’aime.

_J_ Moi aussi mon Amour je t’aime, mais n’est pas facile de…

_S_ Tiens la serveuse reviens, ne t’inquiète pas, elle ne sait pas que tu portes une cage de chasteté. Tu veux lui dire où tu préfères que je lui dise?

_J_ S’il te plaît STÉPHANIE, non, c’est trop gênant.

_S_ Mon juju, rassure toi je ne vais rien lui dire, mais en même temps je suis sûre que tu es tout excité, au fond de toi, tu aimerais qu’elle le sache.

_J_ Merci, de ne rien dire, et oui, c’est vrai tu as raison, l’idée m’excite beaucoup.

_S_ C’est pour ça que je t’aime mon juju.

La serveuse semble ravie de nous servir, STÉPHANIE à confirmé que j’étais son ”juju”, elle s’appelle MARGOT, c’est une charmante jeune femme blonde d’une vingtaine d’années. Elle plaisante toutes les deux, elles ne parlent qu’entre elles, je suis exclu des débats. Mon Épouse choisit le menu pour nous deux sur les conseils de MARGOT. Je ne rêve pas, la serveuse drague ouvertement mon Épouse devant moi. Leurs échanges sont très troublants, ce ne sont qu’allusions équivoques et sous-entendu très sexualisés. La serveuse sait maintenant que ni mon Épouse ni moi ne portons de sous-vêtement. Elle a même invité STÉPHANIE à la rejoindre plus tard.

C’est surréaliste, est-ce que c’est ma cage qui sexualise tout? Je ne débande plus depuis que l’on est parti de la maison.

Le service est assez rapide, heureusement les plats et les vins sont délicieux. J’arrive enfin à me détendre. STÉPHANIE devient de plus en plus coquine. Nous sommes dans une petite alcôve, notre intimité est préservée, les autres clients sont loins. Elle me parle sans détour, elle apprécie beaucoup l’évolution de notre relation. Elle joue nonchalamment avec la clef tout en me parlant.

_S_ Juju, notre complicité devient plus grande de jour en jour. Ses dernières semaines, j’ai appris plus de choses sur toi que durant les sept années passées ensemble. Je te dois te faire des excuses.

_J_ Pourquoi veux-tu t’excuser mon Amour?

_S_ Julien, quand tu m’a parlé les premières fois de tes désirs de soumission, j’ai trouvé ça nul. Tu te souviens que je t’ai toujours dit que je ne veux pas d’un pas d’un homme faible. Je veux, j’ai besoin d’un homme fort, viril, qui prend des décisions, quelqu’un sur lequel je puisse m’appuyer, quelqu’un qui me soutienne. Je ne veux pas d’une carpette.

_J_ Mais je ne suis pas faible, je ne suis pas une lopette.

_S_ Je sais Julien. Tu es mon mec idéal, tu es très beau physiquement, tu es intelligent, ton humour me fait craquer. Tu as tout ce qu’il faut ou il faut, tu es un homme fort, et en plus tu es blindé de thunes.

je Je suis tombé amoureuse de toi, au premier regard. Oui tu le sais je t’aime depuis le lycée.

_J_ Moi aussi je t’aime STÉPHANIE, tu es la plus belle femme du monde, tu es parfaite.

_S_ Merci Julien, mais je te demande pardon, escort hikayeleri je ne t’ai pas fait confiance.

_J_ Mon Amour, ce n’était pas le moment, nous n’étions pas prêts tous les deux.

_S_ Julien, tu es toujours positif, je t’aime aussi pour ça. Mais je dois admettre que tu avais raison. Même avec un cage de chasteté, tu n’as rien perdu de ta force, tu es un homme puissant qui impose le respect, je vois le regard des autres, tu es toujours le mâle Alpha. Les femmes te désire et les autres hommes ont peur que tu leur pique leur femme.

_J_ Tu exagère mon Amour.

_S_ Non, pas du tout. Toi tu ne fais jamais attention à l’effet que tu provoques chez lez autres. Tu n’as même pas vu le regard de désir de la fille au bar et l’altitude possessive de son mec quand on est rentré dans le restaurant.

_J_ STÉPHANIE, tu me connais, tu sais que je m’en fou. J’ai toujours été dragué par plein de femmes et même des hommes, je ne suis pas intéressé. Tu es la seule.

_S_ Tu vas un peu vite, tu oublies tes collègues.

_J_ Ça n’a rien avoir avec les sentiments que j’ai pour toi, je t’aime.

La serveuse passe plusieurs fois nous voir, mon Épouse continue de parler de notre intimité alors que la serveuse est toute proche. Elle fait exprès d’utiliser des mots, comme Obéissance, chasteté, contrôle, soumis, pouvoir, femme dominante …. j’ai l’impression que la serveuse connaît tout de nôtre intimité, de notre mode de vie. Elle doit savoir que je porte une cage de chasteté, que je suis un mâle soumis. Elle a forcément entendue. Je deviens paranoïaque. C’est très troublant d’être excité par la situation. Mon sexe est de plus en plus à l’étroit. En plus mon Épouse m’allume comme jamais. Jusqu’à me demander l’impensable.

_S_ juju, tu serais un amour si tu venais me lécher, j’ai trop envie de jouir. Je n’ai pas de culotte, je vais tremper la chaise. Passe sous la table, la nape touche le sol. Tu es seras caché. S’il te plaît mon juju d’amour.

_P_ Là, maintenant, mais il y a du monde tout autour.

_S_ Ils sont loin, personne ne nous regarde, allez s’il te plaît, je suis au bord de l’orgasme. J’ai vraiment envie de ta langue magique.

_ J_ Mais comment fait on avec la serveuse, elle vient souvent.

_S_ Ne t’inquiète pas, j’en fais mon affaire. Allez, vas y, passe vite sous la table mon juju.

STÉPHANIE sait être persuasive, en même temps j’en ai très envie de lécher sa délicieuse chatte, depuis qu’elle a enlevé sa culotte. Ni une ni deux, je me faufile sous la table. Il fait sombre, ses jambes sont écartées en grand, elle a retroussé sa robe. J’ai un accès direct à son sexe. Son excitation est grande, elle sent le sexe, elle ruisselle. J’embrasse ses cuisses délicatement, j’approche ma bouche de sa chatte baveuse. Je lèche le bas de ses grandes lèvres, je remonte lentement la langue, j’effleure du bout de ma langue son clitoris. Elle tremble à ma caresse. Je la connais, je sais qu’elle est proche de l’orgasme. Je prends mon temps, je lèche ses grandes lèvres, enfonce ma langue au fond de son sexe, je bois son nectar. Descend plus bas, son petit trou s’ouvre sous ma langue. Je veux retarder au maximum sa jouissance, elle a avancé ses fesses au bord de la chaise, son petit trou sombre frémit,il avale mon doigts. Je remonte ma langue bien a plat, je la lape de bas en haut comme un chien. Son clitoris est très sensible, elle contracte tout son corps quand je passe ma langue. A un moment mon Épouse appuie sur ma tête, la voix de notre serveuse me ramène à la réalité. J’ai oublié que lèche mon Épouse dans un restaurant.

_M_ Le beau gosse n’est plus là, il est parti?

_S_ Non non, mon mari est toujours là, il est juste un peu occupé. Il voulait un dessert supplémentaire.

_M_ Quelque chose ne va pas Madame?

_S_ Tout est parfait, merci beaucoup,

La soirée est parfaite, le repaaas est très très booonnn. Mon mariii me permet de finiiiir d’une façooon parfaite notre délicieux repaaaaaas.

__ Oh!!! Bien, très bien, je vois, je vous laisse apprécier votre dessert, je vous apporte les cafés plus tard.

_S_ Ouiiiii, merciiiii.

J’ai fait exprès, dès l’arrivée de la serveuse, de m’occuper de son clitoris. Des légers mais rapides effleurements du bout de la langue, rendent la discussion difficile avec la serveuse. Mon pouce enfoncé dans sa chatte en même temps que mon majeur dans son cul, associés aux aspirations de mes lèvres sur son clito l’emmène inexorablement vers l’orgasme. Elle serre les jambes, appuie fortement sur ma tête, elle m’écrase le visage sur sa chatte.

_S_ Julien c’est trop bon, ne t’arrête pas, ouiiiiiii, continuuuuu, ouiiiiiiiiiiiii.

Sa jouissance éclatante ruisselle directement dans ma bouche. Je ne touche plus à son clito, j’avale son divin nectar. Quelques minutes plus tard, au moment ou je sors de dessous la table, le visage luisant du plaisir de mon Épouse, la serveuse dépose les cafés. Elle a le visage rieur, elle ne escort ilanları semble pas du tout gênée ou perturbée. Elle regarde STÉPHANIE.

_M_ Avez-vous apprécié votre dessert?

_S_ Oh, oui beaucoup, comme tout le repas, merci beaucoup.

_M_ Merci à vous, la cliente est reine. Prenez votre temps, vous êtes les derniers clients.

En payant la note, la serveuse complimente encore mon Epouse pour sa beauté et me félicite pour mon attitude très respectueuse et dévouée. Je ne sais que répondre, c’est STÉPHANIE qui lui répond.

_S_ Merci beaucoup, mon petit juju est un homme très avenant et très obéissant, c’est un mari parfait.

_M_ Vous avez beaucoup de chance, j’aurais aimé être à sa place. Je suis sûre que votre pendentif y est pour quelque chose.

_S_ Merci, c’est vrai que c’est un petit jouet magique.

_M_ Bonne fin de soirée STÉPHANIE, à toi aussi juju, tu as bien de la chance.

_J_ Merci beaucoup Madame, bonne continuation. Au revoir.

Je suis abasourdi, la serveuse m’a vu sortir de dessous la table, elle sait pour la clef, elle a même félicité mon Épouse. Le restaurant est une étape supplémentaire de mon évolution, ma soumission s’accentue, la domination de mon Épouse s’affirme.

STÉPHANIE est heureuse, elle est fière de moi. Elle adore voir son beau mec “fidèle” à son bras. La balade en ville est un délice, on est un couple amoureux. Elle m’explique que la serveuse savait depuis le départ qui l’on était, c’est la fille d’une amie de PATRICIA, elle sait que je suis enfermé dans une cage de chasteté, elle sait pour le cuniligus, elle lui a même donné son numéro de téléphone.

Je réalise que je suis manipulé sans scrupules. Est-elle au courant pour l’entrepôt? Je suis surpris mais quand même très fier du plaisir que j’ai donné à mon Épouse. Je suis sur qu’elles ont prévu encore beaucoup de choses pour moi. C’est curieux mais, ne pas savoir ce qui va m’arriver m’excite encore plus.

Notre promenade se poursuit, ma libido est exacerbée, ma queue est très à l’étroit dans sa prison de plastique.

On parle de tout et de rien main dans la main. je ne sais pas si elle le fait exprès, mais STÉPHANIE ne parle plus de ma cage de chasteté, plus aucune allusion à ma soumission. Par contre, elle prend plusieurs fois la chaîne et la clef dans ses mains, joue avec, me regarde dans les yeux, me caresse avec une sensualité toride. Elle parle de tout sauf de l’utilité réelle de cet objet. La clef de ma cage trône comme un trophée à même sa peau entre ses seins. Je n’en parle pas non plus. Étrangement, la marche, à un effet sur mon érection. Je ne bande plus, j’oublie même que je porte ma cage de chasteté, elle ne me gêne plus quand je marche, mais j’angoisse toujours un peu quand on croise des gens. J’ai l’impression que tout le monde voit que je porte une cage de chasteté.

On se promène sans réel but, puis, elle décide d’aller prendre un verre dans son bar préféré. Elle est très heureuse, joyeuse, elle rayonne, tous les regards sont sur elle quand on pénétre dans le bar, je passe presque inaperçu. Elle salut beaucoup de connaissance, rigole, s’amuse, plusieurs hommes lui offre à boire, elle est dans son élément. Curieusement, je suis excité de la voir si belle, entourée et courtisée par autant de hommes. J’ai vu des caresses rapides, des effleurements, des mains posées sur ses hanches, sur le haut de ses fesses. Ils ont voulu vérifier, c’est sur, ils savent maintenant qu’elle n’a pas de culotte.

Elle est radieuse. Elle me présente à beaucoup de personnes comme étant son mari, son juju d’amour.

J’ai des craintes que quelqu’un aperçoive ma cage mais en même temps l’idée de partager mon secret m’excite.

STÉPHANIE me fait remarquer discrètement que personne n’est au courant pour ma cage, mais que tout le monde a vu la clef à son coup. Ma queue à cette évocation se tend instantanément.

_S_ Tu bande juju?

_J_ Oui mon Amour, enfin mon sexe essaie désespérément de prendre de l’ampleur. Mais je te rappelle que tu n’as pas de culotte mon Amour.

_S_ Et alors?

_J_ Tu as quand même senti les mains sur toi? Certains ne se sont pas gêné.

_S_ Et alors?

_J_ Alors rien, c’est juste que je suis…

_S_ Tu es quoi?

_J_ Euh!! Je suis troublé. Te voir allumer tous ces gens, leurs regards, ça m’excite.

_S_ Tu bandes?

_J_ Oui! Très très fort.

_S_ Tant mieux, celles qui regardent ton entrejambe vont voir ta grosse bosse, elles vont être jalouses. Tu sais que tu es beau Julien, très désirable, trop baisable, j’ai très envie de toi maintenant.

STÉPHANIE m’a dit tout ça en se frottant à moi comme une chatte en chaleur. Plusieurs personnes nous ont regardé nous embrasser, nous enlacer. J’ai vu des regards d’envie, tant féminins que masculin. Ma queue est à son maximum, c’est une délicieuse torture.

_S_ Tu as pu voir plusieurs personnes me toucher le dos, les hanches, les fesses, ils ont vérifié que je n’ai pas de culotte. J’adore faire bander tous ses mecs. Je pourrais me faire baiser par toutes les bites dures qu’il y a ici, sauf la tienne. Oups!! Je me sens si salope mon juju. Tu me donnes des ailes.

_J_ Tu es tellement sexy, si belle, tu veux t’amuser ce soir?

_S_ Mon chéri, merci, si tu savais comme j’ai envie d’une grosse bite au fond de ma chatte et de mon cul.

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My black skirt and heels made the descent a bit awkward.The glass sliding doors opened to the lobby.********I see you first. You’re at the desk, bouquet of red roses in hand, wearing a dark blue suit coat, blue jeans, cowboy boots. I walk closer to stand next to a gorgeous waterfall atrium, feeling the calmness wash over me as I watch the fish swim lazily about.As you turn away from the desk you see me.I can’t see you as my back is turned, but other guests in the lobby notice your smile lighting up the room. An older woman nudges her husband and says, “Aww, young love.”“Wendy?”I turn, and there, looking as handsome as I imagined, you come to me give me a huge hug. oğuzeli escort Then you kiss me. I swear I hear my heart beating. I’ve never been held and kissed like that in my life.After the long very public kiss, you give me the roses and take my hand, leading me through the lobby to the elevators.Your grip is strong. I have the feeling you think I might try and run.The elevator stops on the top floor. You read the signs as we walk toward our room, your grip tightening. We stop at the last door on the left. The plaque reads “Honeymoon Suite.”You blush. “I wanted the best for you, sweetheart.”You swipe the key across the door lock and open the door. The room is glowing with soft flickering candles and rose petals are strewn across the huge king-size bed. There’s a bottle of champagne in a bucket of ice waiting for us.“Happy Valentine’s Day, my love,” you whisper as we kiss again. Your tongue pokes inside my mouth and your arms hold me against your body. I feel your cock straining against your jeans, your excitement and passion rising with each heartbeat.Our lungs burning with the need for air, we break the kiss. You take the roses from me and place them on the desk. We sit together on the couch. The air between us practically sparkles with sexual energy.We make small talk as you pour one glass for us to share. “Very romantic aren’t you?” I tease.We take a sip and then you take the glass from my hand and put it on the table.“Wendy, I hope you understand how much I need you.” You lean forward and kiss me again.Your tongue pushes against my tongue, the kiss gets more passionate. Your hands slide down my back, rubbing greedily and possessively over my ass.

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