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La Sortie de la Truie

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Il ne fait pas beau ce vendredi matin, le temps est gris. Cela change un peu de la veille où il a plu toute la journée. Là il ne pleut pas, il fait même plutôt lourd.

Je prépare le petit déjeuner de ma Maîtresse, des oranges pressées et un bon croissant tout frais.

Ma Maitresse se lève tranquillement, elle a le sourire aux lèvres comme d’habitude. C’est un bonheur une Maîtresse qui a le sourire, cela change de celles qui veulent toujours se donner un air méchant.

Pendant que je suis à mes occupations de ménage, ma Maîtresse textote tranquillement. Une fois fini, je viens vers elle à quatre pattes, pose ma tête sur ses genoux. J’aime qu’elle me caresse les cheveux. Je viens aussi près d’elle pour qu’elle sente l’odeur de ma couche et m’autorise à l’enlever pour me nettoyer. Mais ça n’a pas l’air d’être sa préoccupation du moment car elle file dans la salle de bain.

Elle ressort trente minutes plus tard douchée et maquillée, et s’enferme dans la chambre.

Ma couche est saturée de pipi et j’ai envie de faire la grosse commission.

Ma Maitresse ressort de la chambre avec une petite robe d’été très légère, ses baskets aux pieds.

Au même moment, on sonne a la porte. Là, elle me dit :

Ne bouge pas, tu restes sur ton coussin.

Mon coussin se trouve au milieu du salon, difficile pour un visiteur de me rater. je suis nue, juste vêtue de ma couche qui pendouille tellement elle est pleine. Je suis rassurée de voir que c’est son amant, il me connait et connait ma condition de truie.

Ils s’embrassent tendrement comme deux amoureux, à ce moment-la je suis invisible à leurs yeux.

Après dix bonnes minutes de bisous et caresses, j’ai même cru qu’ils allaient faire l’amour dans l’entrée. Ils viennent vers moi. Lui me salue avec juste une petite caresse sur la tête en me disant :

Tu pues la truie.

Ma Maîtresse arrive avec mon collier et la laisse. Elle me passe le collier autour de mon cou, me pose mon groin en plastique sur le nez et un écarteur dans la bouche en forme de lèvres. Avec ça, je peux difficilement fermer la bouche. Ma Maîtresse me tire vers la porte de la maison. (Ah oui je dois vous dire, ma maison est une maison de ville, le jardin est sur l’arrière et la porte d’entrée donne directement dans la rue.) Elle m’autorise à me mettre debout et elle ouvre la porte en me tirant à l’extérieur. Je suis paniquée si un voisin me voit ou si une voiture passe. Elle me conduit en vitesse sur l’arrière de la voiture de son homme, ouvre le coffre en me disant de monter dedans. Je ne demande pas mon reste et saute dedans vite fait.

Elle referme le coffre, je suis dans le noir, c’est une voiture où le coffre ne communique pas kahramanmaraş escort avec l’habitacle.

Je reste là dans le noir, on ne démarre pas de suite. C’est la première fois que je sort dans cette tenue de chez moi, je suis un peu paniquée. Avec la peur et l’appréhension, ma vessie ne tient plus et je me lâche. La couche fuit mais je me rend compte que tout a été prévu et que le sol du coffre est recouvert de plastique. Dans le noir, pas facile de se rendre compte du temps mais on finit par démarrer. J’essaye de savoir où nous allons en écoutant leur conversation mais j’entends surtout les bruits de roulement et des éclats de rire. Le reste est très confus. Au début, en fonction des virages, j’arrive à me repérer mais je suis vite perdue.

Je suis un peu ballotée mais ça va, il conduit doucement et sans à-coup. Je pense qu’il ne souhaite pas avoir d’accident ou être contrôlé avec une truie humaine dans son coffre. Nous roulons un long moment, puis je sens la route plus cahoteuse. Je suppose que nous sommes sur un chemin. Enfin le moteur s’arrête, je dois dire que cela fait du bien, car le confort d’un coffre ce n’est pas terrible.

La porte du coffre s’ouvre et, malgré l’absence de soleil, je suis éblouie. Ma Maîtresse prend ma laisse et me fait descendre de la voiture.

Elle me demande:

Comment c’est passé ton voyage, pas trop mal installée?

Je lui réponds que ça va bien.

A partir de maintenant, tu restes à quatre pattes. Tu ne devrais pas avoir mal aux genoux, la terre est trempée et donc moelleuse. Tu as interdiction de parler, juste grogner comme une truie. Si on croise du monde, tu restes comme tu es, mais bon il y a peu de voitures sur le parking, cela devrait être calme. De toute façon, tu restes une truie quoiqu’il se passe. Si tu te lèves, ou que tu parles ou que tu désobéis, je te plante la. Nous on rentre en voiture et toi tu te démerdes à rentrer à pieds dans la tenue où tu es.

Pour être sûr que je ne puisse pas enlever mon groin, celui-ci est accroché a mon écarteur de bouche et fermé avec un petit cadenas derrière ma tête. Mon collier est lui aussi fermé avec un cadenas. Ma couche est enlevée et son amant arrive avec une espèce de harnais qu’il passe entre mes jambes. C’est une ceinture de chasteté qui vient couvrir mon sexe et qui est munie d’un plug rose en forme de queue de cochon. Il se verrouille autour de ma taille et un cadenas dans mon dos ferme le système.

C’est harnaché de manière poussée mais comme cela je ne souhaiterais pas rentrer à pied chez moi, surtout que je n’ai aucune idée de l’endroit où nous sommes.

Pour compléter le tout, ma Maîtresse kapalı gaziantep escort prend ma couche et l’essore au dessus de moi. Je suis couvert de pisse qui sent fort, elle finit par me l’écraser sur le visage pour finir de bien m’en étaler partout. La couche finit dans la poubelle qui se trouve à proximité.

Nous commençons à marcher, eux se tiennent la main et moi je dois marcher devant. Nous entrons dans la forêt par des petits chemins. Le sol est couvert de boue. Ma Maîtresse, en plus de la laisse, a apporté une cravache et ne manque pas de me fouetter sur la fesse droite si l’on doit aller à droite et la gauche si l’on doit aller à gauche.

C’est pour eux une ballade en amoureux car à quatre pattes, je ne marche pas vite.

Au bout d’un moment, je ne tiens plus et la grosse commission que je retenais depuis le matin se fait sentir. N’ayant pas le droit de parler, j’essaye de faire comprendre à mes dominants que je dois faire caca. Je baisse mes fesses comme ferait un chien et je les regarde. Ma Maîtresse comprend vite mais avec le plug c’est compliqué.

Son amant me détache la ceinture pour retirer le plug. Comme il ne sait pas où le mettre vu son état, il ne trouve rien de mieux que de me le fourrer dans la bouche tenue ouverte par l’écarteur. Je me retrouve avec un plug queue de cochon plein de merde dans la bouche, le cul baissé à chier devant eux qui me regardent.

Une fois un bon gros caca sorti, Monsieur me prend le plug de la bouche, le trouvant trop sale me l’essuie sur les joues et le front. Il replace le gode dans mes fesses et referme la ceinture. Je pense que nous allons repartir mais ma Maîtresse décide que je dois avoir le cul sale comme les truies donc me force à m’asseoir dans mon caca tout frais. Je remue bien les fesses pour bien en étaler. Je dois dire que la sensation est très agréable. Une fois le cul bien sale, ma Maîtresse me dit qu’une bonne truie recouvre toujours sa merde avec son groin. Donc j’obtempère l’histoire que mon groin soit bien recouvert de merde et de terre, ce qui me donne une bonne odeur à respirer.

Nous reprenons la ballade, eux doivent avoir une vue magnifique sur mon postérieur merdique. Nous arrivons sur le chemin à une grande flaque de boue. A croire qu’ils sont venus repérer les lieux avant. Ma Maîtresse détache ma laisse et me demande de lui montrer comment je suis une truie heureuse. Je m’avance dans la flaque de boue en essayant de m’en mettre le moins possible sur moi. Là, je sens une douleur atroce. Ma Maîtresse, armée de sa cravache, vient de me mettre un coup de toutes ses forces sur le cul.

C’est quoi cette truie??? Tu kaliteli gaziantep escort te prends pour une diva??? Je te propose une belle ballade et tu fais ta mijorée de petite merde, montre-moi la vraie truie que tu es!!!

Un nouveau coup de cravache m’aide à me jeter dans la flaque de boue, je me roule dedans, je m’en étale partout et je plonge même mon groin dedans, mais avec la bouche ouverte, pas une bonne idée.

Ma Maîtresse a raison, en fait je kiffe vraiment cela, et si je n’avais pas la ceinture de chasteté, elle verrait ma petite bite toute dure. Ma Maîtresse finit par savoir mieux que moi ce qui me plait vraiment.

Je suis vraiment dans mon élément comme ça et, chose bénéfique, le goût de la terre vient remplacer celui de la merde. La texture dans la bouche n’est pas des plus agréable mais le goût est moins fort. De plus, le temps est lourd et la boue me rafraîchit.

La récréation se termine et ma Maîtresse me rappelle à ses pieds pour raccrocher ma laisse. Je n’ai plus une parcelle de peau visible. Sur le chemin, nous croisons un joggeur, il passe en nous regardant et une fois plus loin on entend Bande de tarés!

Je n’ai même pas relever, en fait j’éprouve une fierté à être traitée ainsi, je peux m’assumer, je suis bien et dans mon élément.

Je ressens des petits coups de cravache sur la fesse droite, mais il n’y a pas de chemins à droite. Je me retourne et ma Maîtresse me fait signe avec son menton d’aller à droite. Je commence à m’enfoncer dans les broussailles qui ne sont pas très hautes mais quand on est nu et à quatre pattes, ce n’est pas facile. Je les entends rigoler, eux me suivent facilement debout, moi je me fais griffer le ventre, les bras, les jambes, heureusement que mon sexe est enfermé dans sa prison.

Nous parcourons une dizaine de mètres qui nous éloigne et nous cache du chemin.

Ma Maîtresse me fait allonger sur le dos, elle vient chevaucher ma tête et reste comme ça. Je sens les pieds de son amant de chaque coté de mon corps. Ma Maîtresse baisse ses fesses au contact de mon groin et de ma langue, ce qui, je suppose, veut dire que je dois la lécher. Je parcours de ma langue son anus, c’est une caresse que j’adore lui faire mais là avec le nez de cochon et l’écarteur, ce n’est pas simple.

Je la sens faire des mouvements, je pense qu’elle suce son homme. Il va la relever et me demander de me remettre à quatre pattes. Ma Maîtresse se place au dessus de ma tête, les mains en appui sur le haut de mes fesses et son homme vient la prendre en levrette. Leur coït dure quelques moments et lui se retire et s’accroupit pour venir jouir sur mon visage.

Nous prendrons le chemin du retour où ma Maîtresse me dira qu’elle a été fière de sa truie. C’est pour moi, une véritable preuve d’amour la reconnaissance de ma Maîtresse.

Je retourne dans le coffre pour le retour et au vu de mon état. Arrivée a la maison, je passe pas mal de temps dans le coffre, en attendant le bon moment pour sortir sans me faire voir.

Voilà une superbe sortie pour une truie avec la meilleure des Maîtresses.

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Tante Beth – Chapitre 04

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Babe

Je finis de prendre une douche chaude et revigorante. Beth prépare des pâtes à la carbonara pour le déjeuner. Je n’en ai jamais mangé auparavant, nous buvons un vin rouge. Pendant que l’orage continue de tomber dehors.

Pendant le déjeuner, Beth se saoule, raconte des blagues, des phrases épicées, dit des indécences, la boisson altère ma tante. Tout cela me rendait fou de monter cette vilaine pouliche. J’avoue que j’étais aussi affecté par le vin, je suis très faible pour les boissons.

Beth a commencé à parler de ses trahisons, je pense que c’était juste pour m’exciter encore plus, je ne pouvais pas croire ce que j’entendais. Elle ne ressemblait même pas à ma tante.

“C’était ton premier mec noir?”

“Le seul, mais c’était sensationnel. C’est dommage.”

Je sentais ma bite s’épaissir.

“Keto, magnifique. Je ne sais pas si je dois te le dire. Que vas-tu penser de moi? Je suis ta tante, mon garçon!”

“C’est juste que tu as parlé si bien de lui. Tu m’as rendu curieux?”

“Curieux, hein? Curieux ou pervers?”

“Les deux.”

“Vous êtes vraiment ma parente, n’est-ce pas? Alors Keto m’a appris beaucoup de choses, quelle langue avait cet homme. Quels doigts, quel pénis.”

“Vraiment!”

“Aussi avec un si long, si large. Et en plus de ça, noir. C’était il y a environ trois ans. Je ne l’ai jamais revu. C’était lors d’un voyage, il m’a invité à boire un verre, puis m’a emmené dans sa chambre.”

“L’oncle n’était pas avec la dame?”

“Bien sûr que non! Imaginez. J’étais ivre, plus que je ne le suis maintenant. Je me suis retrouvée allongée sur le lit, sans mes chaussures, la tête hors du matelas. Une ambiance savoureuse, la boisson, je devenais coquine, je me souviens avoir déboutonné mon chemisier. Je lui ai demandé s’il aimait ça.”

“Et il a aimé?”

“Il a dit qu’ils étaient beaux, parfaits.”

“Très poli, votre ami.”

“Poli! C’est un salaud, voilà ce qu’il est. Il a fait l’imbécile juste pour me provoquer.”

“Qu’est-ce qu’il a fait?”

“C’est ça que tu veux, connaître mes secrets?

***

“Juste jolie”? Ouais, mais qu’en est-il de toi? Tu as l’air si… gros, épais. Je peux voir?

Il s’est levé et s’est placé au-dessus de moi. Il a déboutonné son pantalon, lentement et de manière très sensuelle. Le magnifique homme a enlevé ses chaussures et ses sous-vêtements. Sa bite noire est apparue penchée devant moi, une bite épaisse touchant presque mon menton.

“Tout ça, plus gros que je ne l’imaginais! Plus épais, wow!”

Et il a eu l’effronterie de me dire qu’il n’était même pas excité. J’ai éclaté de rire. Et j’ai demandé si je pouvais faire quelque chose pour lui.

“Je peux le mettre dans ta bouche, Beth.”

Avec la voix la plus innocente. Il a brandi le bout rouge, l’a mis devant ma bouche, le truc à grosse tête. Qu’est-ce que je pouvais faire? Je léché, embrassé. Keto a gémi savoureusement. C’est si bon d’entendre un homme gémir, encore plus les jeunes. J’ai ouvert ma bouche et il a mis ce tronc à l’intérieur. Je ne sais pas comment j’ai réussi, et c’est entré, j’avalais tout, jusqu’à ce que ça atteigne ma gorge.

“Aaannhhh!”

J’ai gémi, c’était ma première fois dans une gorge profonde, j’ai attrapé le couvre-lit à deux mains. J’ai vibré et montré plus que je n’aurais dû. Keto est devenu encore plus fou.

Il pilonnait, pilonnait cette bite épaisse dans ma bouche, perçant ma gorge. C’est là qu’il m’a rendue folle pour de bon. Keto était grand, avec de grandes mains et de longs doigts. Il s’est penché sur moi et a commencé à me toucher, à me gifler, à me tapoter la chatte.

Je suçais sa bite et il me masturbait, juste pour me rendre encore plus folle. C’était une nuit incroyable! Quel homme merveilleux. Dommage que nous ne nous soyons plus vus.

***

Beth a pris une autre gorgée de sa tasse, je pouvais sentir mon short devenir humide. Mais elle ne voulait plus parler. J’ai insisté.

“Et il a joui dans ta bouche?”

Elle a ri en se mordant les lèvres, elle avait l’air embarrassée.

“Ce n’est pas quelque chose qu’on demande à une dame, encore moins à ta tante.”

“Je suis désolée, je… je voulais juste comprendre.”

“Il n’y a rien à comprendre. J’en ai trop dit, comme d’habitude.Ton oncle se plaint toujours de moi.”

Elle a ri en prenant une autre gorgée. Le regard brillant dans ma direction. Le visage de quelqu’un qui veut vous taquiner.

“Donc, tu l’as aimé, tu as aimé l’histoire de tatie? Laisse-moi voir.”

Beth a ouvert ce sourire captivant, a fait descendre sa main pour caresser mon genou, puis ma cuisse. Lentement, elle est montée jusqu’à glisser sa main dans mon short. J’étais surpris, elle m’a offert un baiser pendant que ses doigts examinaient ma queue.

“Maintenant oui, je pense que tu es prêt. Viens avec moi, dans ma chambre.”

Nous nous sommes levés et je l’ai accompagnée dans les couloirs de la maison.

“Mais dans ton lit?”

“Quel est le problème, c’est là que je dors! Mon lit est super.”

“Mais c’est là que l’oncle dort, gaziantep escort sitesi que tu dors. C’est bizarre, en tout cas pour moi.”

“Arrête ces bêtises, ça n’a rien à voir.”

Nous atteignons la chambre, le grondement du tonnerre fait vibrer les fenêtres de la chambre. Beth commence à enlever le couvre-lit et à arranger les oreillers.

Je termine de laver les couverts, en essuyant tout, je me remémore les images de sa chambre ce jour-là. Le décor était incroyable. La moquette au sol, avec des motifs géométriques dans des tons gris clair. L’éclairage rendait la pièce douillette et sensuelle. Des peintures modernes, certaines montrant la silhouette de corps nus, insinuant des actes intimes.

Je m’essuie les mains et éteins la lumière de la cuisine. Les souvenirs sont encore si vivaces, on dirait que c’était hier, pourtant, cela fait plus de trente ans. J’allume la télévision, mais je finis par m’endormir et le rêve me ramène dans la chambre de ma tante. Notre première rencontre. C’est avec elle que j’ai fini par devenir un homme.

Après que tout soit arrangé, le lit préparé, Beth se rend compte que je suis gêné. Elle s’approche de moi et me donne deux baisers sur la joue. Ce regard pénétrant dans ses yeux, elle commence à me déshabiller. Le chemisier, le short, je me débarrasse des baskets. Et juste au moment où elle est sur le point de se débarrasser de mes sous-vêtements, le téléphone sonne.

Beth fait une grimace comme si elle n’aimait pas ça. Elle va jusqu’à l’endroit où se trouve le téléphone, le sort et le pose contre son oreille, parle d’une voix anxieuse.

“Allô!”

“Oui…, qui? Ah!…. C’est vous Silvana?”

“Nerveux, moi? Pourquoi?”

Elle lève les yeux en souriant, je sens un frisson dans mon estomac, maman veut des nouvelles de moi.

“Je me suis réveillé ce matin avec la gorge qui me faisait mal, je pense que c’est le jus froid que j’ai bu hier avant d’aller me coucher.”

Il parle en se raclant la gorge, essayant de se ressaisir.

“Je sais. C’est une bonne idée, c’est juste que je n’ai pas de thé ici à la maison, j’ai oublié d’en acheter. Tu peux le croire? Dans un petit moment, je vais me faire un verre de lait chaud, ça fera l’affaire.”

Elle sourit, ses yeux brillants fixés sur moi.

“Ce n’est pas la même chose que le thé, mais c’est bon pour toi, c’est agréable de sentir la chaleur descendre dans ta gorge, c’est relaxant, j’en ai bu deux fois aujourd’hui”.

Elle rit et me fait un clin d’œil.

“Et moi je sors sous la tempête pour acheter du thé, arrête de faire l’idiote? Si j’en ai besoin, je demande à Denis et il fait plus de ‘lait chaud’ pour moi.”

Beth me frotte l’index sur le nez en riant de mon air effrayé.

“Je sais, femme, je sais, mais il y a encore beaucoup à faire, je t’ai dit que la garde-robe est très désordonnée. Et en plus, ça fait plus d’une heure qu’on est sans lumière. Il n’y a pas eu une coupure de courant chez toi?”

Je ne sais pas comment elle a pu mentir comme ça. La voix la plus naturelle du monde, même moi je croyais qu’on n’avait plus d’électricité.

“Nous avons déjeuné à la lumière des bougies. J’ai raconté des histoires drôles, Denis a adoré, il était tout excité, votre fils est un drôle de garçon.”

Beth me fait un clin d’œil en reposant le téléphone sur son épaule.

“Il pleut toujours aussi fort ici, c’est comme un déluge.”

Je regarde le paysage à travers les fenêtres de la chambre, il pleut, mais rien à voir avec ce qu’elle décrit au téléphone.

“Soyez rassurée Silvana. Nous reprenons le travail et quand tout sera terminé ici, je vous amènerai Denis, ça devrait être après sept heures. Rassurez-vous, il est en sécurité avec moi. Bisous. Au revoir.”

Beth repose le téléphone sur le crochet de la même manière qu’elle l’a décroché, elle ne se tourne même pas vers le domestique, elle me fixe toujours avec le sourire de quelqu’un qui sait qu’elle a menti.

“Ta mère est très méfiante. Ne t’inquiète pas, elle a accepté tout ce que j’ai dit. Tu dois juste le confirmer.”

“Mais est-ce que tu étais obligée de parler du lait?”

“Et j’ai menti? Je n’ai pas eu de lait chaud aujourd’hui? Ce que vous avez fait pour moi! En fait, délicieux.”

Je montre mon inquiétude en fronçant les sourcils. Beth laisse échapper un rire.

“Bobo, tu es vraiment le fils de Silvana! Ne t’inquiète pas, mon garçon.”

Beth s’approche en affichant un large sourire séducteur, me prend dans ses bras et pose sa tête sur mon épaule. Je sens son parfum, les ongles de Beth commencent à me gratter, et j’ai la chair de poule. Ça m’excite, je commence à durcir.

“Bon garçon. J’aime ça quand mes hommes sont charmés par moi. C’est mieux que de sortir dîner.”

Un autre baiser arrive, un baiser flottant et humide. Et la prochaine chose que je sais, c’est que ma bite est libre, massée dans la soie de la robe de chambre et le long de la cuisse de Beth. Ma respiration devient lourde, le regard de la femme gaziantep escort forum me contrôle. Mon cœur bat la chamade. Ma tante défait le noeud de la robe. Sa beauté émerge, les seins parfaits d’une femme mûre, sa peau douce.

Je me délecte de ce qu’elle me provoque en tenant son sein, et en passant mon doigt sur son téton.

“Embrasse, mords-moi ici. Goûte ta taaante!”

Elle parle lentement, et je me penche pour sentir la douceur de sa peau sur mes lèvres, le téton brun se durcissant à mon contact. Beth frissonne.

“Suce, suce mon bébé. Mords le téton de tatie.”

Je place ma bouche autour du mamelon, je sens la texture dure. Je mords, suce. Je suce le délicieux sein de ma Beth. Mieux qu’un rêve.

“Là! Pas si vite, ça me fait mal.”

Je ralentis le rythme, mais le sein est toujours dans ma bouche, des gouttes de salive mouillent le sein. Le sein commence à briller, j’entends les gémissements de Beth. Les phrases floues.

Elle m’offre l’autre sein, j’y vais avec plus d’ardeur. Je le lèche comme un pervers affamé. Beth enroule ses doigts expérimentés autour de mon phallus et me masturbe. Je lève le visage et affronte son sourire magistral, un baiser vient, nos bouches se collent l’une à l’autre, nos langues s’agitent dans nos bouches.

Les mamelons durs et humides grattent ma poitrine et les doigts de ma tante massent mon sexe.

“Assez! Comme ça, tu me laisses sans souffle. Les garçons, toujours pressés. Détendez, on a le temps de tout faire.”

Elle montre un merveilleux rire. Les yeux noirs brillants, montre ses doigts mouillés par mon désir. Indécemment, Tatie suce un doigt, le mord, puis ricane à nouveau comme une vilaine fille. Ma bite est chaude, la sueur coule sur mon front. La trique augmente, la tension s’amplifie.

“Je vais t’apprendre comment on fait pour faire plaisir à une fille. Vas-y, bébé, descends. Descends et embrasse-moi ici… Ça fait longteÇa fait longtemps que personne n’a fait ça pour moi.”

Beth ouvre sa vulve charnue et poilue avec deux doigts. Je m’agenouille devant ce trésor qu’est le vagin de ma tante Je sens l’odeur du sexe, la sueur sur son entrejambe et ses doigts qui me laissent admirer l’intérieur de son vagin. La divine chatte de ma tante.

“Ici, mets ta bouche ici. Unnnh! Bébé lèche moi en tournant autour, tu vois ce joli petit point? La petite cerise de ta tante. Mon secret, embrasse-moi très lentement. Aaaaiii! Oui, oui, comme ça!”

C’est plus que fascinant, c’est stimulant d’embrasser le vagin interdit d’une tante. La délicieuse culpabilité de me savoir l’amant de Beth. Ma bite palpite, mon cœur est presque dans ma gorge et ma bouche boit le goût d’agrumes de cette stupéfiante vulve. L’odeur forte d’une femme excitée. Le goût indécent de cette chatte.

Beth est allongée sur le lit, les jambes écartées, la chatte d’une femme mûre sur mon visage.

“Viens mon amour, mon ange. Mords mes lèvres… aaahh! Fais-moi mal, chérie. Enfonce cette langue perverse dans mon aaahh! Embrasse ta salope de tante! “Lèche, suce-moi partout.”

J’enfonce mon visage au milieu de son corps. Les poils me griffent le visage, mon tête pénètre sa vulve. Beth me tire par les cheveux, j’attrape ses cuisses. Elle se frotte contre mon visage, se masturbe avec mon visage.

Les cuisses dodues, rondes, douces de cette femme salope qui est ma tante. Je les embrasse toutes les deux, je mords, je gratte, ma langue lèche la peau douce. Le souffle chaud de la vulve indécente.

Devant moi, Tante travaille son clito rouge et pointu, sans limites, dans le désir le plus pur, Beth se masturbe devant moi. Une odeur forte, un parfum acide qui dégouline chaud entre ses doigts, sur ses lèvres repliées. Je suis de plus en plus hypnotisé, le paysage me rend encore tendu, dur comme une pierre.

“Viens, donne un baiser, chérie. Embrasse-moi et je remplirai ta bouche de mon amour! Denis!!!”

Jamais plus je n’ai embrassé une femme comme Beth, comme la tante. Un baiser si fort, si percutant, j’étais un innocent et cet orgasme d’une femme si forte a fait de moi un homme. C’était le début de tout.

– Ahnnnnn!!! Ahnnnhhhh!!! Mmmmmmm!

Mon visage sur son corps, ses lèvres sur ma bouche. J’ai utilisé ma langue pour lécher sa belle vulve, Beth a poussé en moi, j’ai senti ma tante frémir, ses cuisses se sont agitées et elle a commencé à jouir. Elle se tortillait comme une femme, le goût aigre se mêlant au goût sucré de l’orgasme.

Beth m’a baigné le visage en criant, en braillant comme une folle. Ses doigts agitant son clito, ses lèvres, je la vois dans un nouvel orgasme. Sans peur, sans culpabilité, à l’apogée de la trique d’une femme mûre.

– Aannnhhhhhh!!! OOoooohhhhhh!!! Ooooooohhhhhhhhh!!!

Ma Tante est laissée haletante, épuisée, se remettant de cette folie. Elle a joui devant son neveu, dans le lit où elle dort avec son mari, dans la maison où elle vit avec ses enfants.

Je me tiens devant elle, ma bite chaude, la peau tendue et une goutte sortant du bout, la escort gaziantep tête violette semblant sur le point d’exploser. Beth rit, passe sa langue en mouillant ses lèvres.

“As-tu aimé voir comment tu me quittes? As-tu aimé voir les indécences que j’ai faites pour toi? Wow! Tu as envie de faire l’amour à une femme? Faire de tatie une salope, ta pute?”

Ce trouble de l’élocution, cette voix fatiguée, rire cynique. Beth me taquinait, me rendant encore plus fou d’elle.

“Aïe, Denis, mon garçon. Si belle, qui aurait cru que je serais celle qui prendrait ta virginité. Hmm? Veux-tu baiser ta tante? Ta bite a l’air si savoureuse d’ici. J’en ai vu peu comme ça.”

La voix rauque, le visage coquin. Beth s’ajuste sur le lit, écarte les jambes et m’offre son univers. La vulve sombre, les lèvres humides, ses mains qui caressent ses cuisses. Mes yeux piégés sur le visage rectangulaire, le sourire cible, la bouche pulpeuse.

“C’est chaud, super chaud mon garçon. Viens, viens mon fils. Aaahhh!”

A ce jour, je ne sais pas comment tout cela est arrivé. Je sais seulement que j’ai chevauché Beth, j’ai chevauché cette femme comme un pervers. Un moment j’étais sur elle, le suivant mon pénis envahissant la grotte interdite. J’étais comme un animal, l’instinct me poussant à faire des choses que je ne connaissais pas. Agité, anxieux, un fou qui baise sa propre tante.

“Ralentissez mon garçon, ralentissez Denis! Doucement, qu’est-ce qui presse? Embrasse-moi d’abord, j’aime mon goût dans la bouche de mes hommes”.

Nous nous embrassons, un baiser intense, les langues folles se battant dans l’espace minimal de nos bouches, nous salivons à nouveau en mouillant nos visages. Beth force nos bouches à s’écarter, cherchant de l’air…..

“C’est ça, vas-y, vas-y, vas-y mon joli.”

Le visage de Beth me montre que j’ai trouvé l’endroit, un endroit humide, dense, une crème épaisse. Un nouveau monde. Je ne sais pas si c’est de la douleur ou du plaisir, je ne sais pas si c’est de la tare ou de la folie. Le visage de Beth s’illumine, ses joues sont roses, son sourire est forcé. Elle enlace mes cuisses avec ses jambes.

J’entre profondément, ma bite perçant la chair tendre de ma tante.

“Aaannhh! Aaaaahhh! Tanteeehh.”

“Denis chérieee… Ahhhh! ma douce, baise, baise-moooiii!”

“Tanteeehh!!”

Les corps qui s’entrechoquent, les chocs, les bruits humides de notre union. Beth s’ouvre, enlace ma taille avec ses pieds. La sueur qui mouille nos corps, les baisers avec nos langues qui s’enlacent à l’extérieur de nos bouches. Et mon torse perçant l’intérieur de ma tante excitée. Magnifique!

Jusqu’à ce qu’elle me demande quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas, je n’imaginais même pas qu’il y avait des femmes comme ça, encore moins une aussi élégante qu’elle.

“Appelle-moi salope! Une salope!”

“Petite sSalope! Enculé!”

“Encore, encore, encore!”

“Salope, pute!”

“Oooh! J’adore qu’on me traite de petite salope! C’est ça, mon amour, baise ta tante, baise-moi bien, remplis-moi de sperme.”

Beth devient folle, elle embrasse encore, suce ma langue, mord ma lèvre, de plus en plus abusée. Je fais claquer mon corps dans le sien, les bosses deviennent plus fortes. Beth me gratte le dos avec ses ongles, jusqu’à ce qu’elle me gratte le cul avec ses doigts.

La douleur, l’excitation et la surprise me font vibrer. Un tremblement de terre, un tourbillon venant de l’intérieur de moi.

“Tu es un délice Beth. Je pense… aaahh! Aaaahhh!”

L’expression enfantine sur le visage d’une femme expérimentée. Beth savourant mon moment, et elle m’a aguiché comme une prostituée.

“C’est ça, c’est ça mon garçon. Va remplir ta tante avec ton lait chaud. Vide tes couilles pleines à l’intérieur de mon corps. Tout, tout Denissssss! Mon amouuuurrrr!”

Nous sommes arrivés ensemble, reliés par ma bite, unis dans un baiser mouillé, nos langues liées ensemble et tous les deux hurlant le plaisir de cet instant. L’orgasme ultime. Unique et délicieusement incestueux. Interdit et inoubliable.

Nous sommes restés dans cette position pendant un moment, je ne savais pas si c’était un rêve. Tandis que Beth caressait mon dos avec ses doigts. Jusqu’à ce que les caresses se transforment en chatouilles et que je me lève de ma tante. Nous avons tous les deux regardé le plafond en nous tenant la main. La pluie s’était arrêtée depuis un moment. On n’entendait que les gouttes qui tombaient sur les plantes dehors.

“Ça t’a plu?”

“J’ai adoré. Tu es incroyable. Je n’ai jamais eu une femme comme toi.”

“Tu n’as jamais été avec une femme, Denis.”

On a ri, ensemble, complices. Elle sur le côté, sa tête reposant sur la paume d’une main. Ses doigts jouant avec les poils de ma poitrine.

“Delight, j’étais dans le besoin. Je suis heureux que tu aies voulu de moi.”

“Et qui ne voudrait pas d’une femme comme toi?”

Elle a laissé échapper un rire moqueur.

“Merci mon amour, dommage que ce ne soit pas comme ça dans la vraie vie. J’aimerais bien!”

“Quelle heure est-il?”

“Je crois… plus de six heures.”

“Oh, mon Dieu. Ma mère va me tuer.”

“Non, elle ne le fera pas. J’ai fait quelque chose de bien pour son fils. Elle ne le sait même pas, mais je l’ai fait.”

Elle m’embrasse sur l’épaule, sur la joue.

“Viens prendre une douche et je te ramène chez toi.”

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Surprising

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Emmanuelle et le doyen Sélim

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Amateur

Dimanche matin , seuls à l’appartement à Neuilly avec mon époux , nous traînons , car nous sommes rentrés tard cette nuit.

Michel mon mari , offrait un repas à son ami Sélim doyen de faculté au Liban pour fêter un protocole de recherche et d’échange entre leurs Universités . Comme je suis aussi universitaire, j’étais de la partie, mais en plus je suis plutôt jolie fine et agréable à l’œil ( j’ai rêvé d’être mannequin mais mon père a fortement insisté pour que je poursuive une carrière scientifique en l’occurrence dentiste hospitalo-universitaire et libérale ) donc Michel m’avait demandé d’être en représentation en tenue plus jolie et transparente .

Pendant le repas, arrosé de bons vins, Mr Sélim, gros mangeur bien éduqué, à la corpulence imposante, n’arrêtait pas de me regarder puis de reluquer , et comme j’avais aussi bu ma poitrine se soulevait et sous les regards masculins mes tétons étaient érigés!!!!

Bref, les propos avaient été un peu macho et un soupçon salace ( mais dans le cadre de ce grand restaurant la tenue avait prévalu).

La nuit fut courte et chaude, Michel a remarqué tout de suite en rentrant en taxi, Emmanuelle tu es excitée hum tes penchants de bourgeoise à forcer? Dans le taxi je lui intimais l’ordre de se taire , mais en lui sussurant que oui mais que je l’adore quand il bande et ce sans qu’il ne doive porter mes dessous , ce qui d’habitude le dope!

Dès l’arrivé à l’appartement je me suis laissée prendre comme une femelle en rut dans le salon sans fermer les rideaux ( mais avec juste la lumière de la rue ).

Au matin , vers 10 h coup de fil de Sélim, un problème dentaire , Michel qui a pris le téléphone, me demande si on peut se retrouver au cabinet dentaire près des champs? Je ne peux qu’acquiescer. Je m’habille plus sérieuse que la veille , body noir Eres avec ses jarretelles pour mes bas gris foncés robe maille noire moulante et petits trotteurs aux pieds. Au cabinet , Sélim est déjà là , en fait il a une couronne descellée , je ne vais pas en avoir pour longtemps . Le temps de mettre une blouse , mais trop courte et je n’aimerais pas salir ma jolie robe alors je m’excuse et pars me changeret ôter ma robe, évidemment quelques plaisanteries masculines fusent en arabe , et comme je ne comprend pas , Michel traduit : mr le Doyen te propose sans blouse!!! et il rajoute ce qui ne serait pas plus déshabillé que sur une plage, comme l’été dernier éructe Mr Sélim avec gentillesse gauloise et autorité évidente . j’élude la proposition avec élégance en faisant remarquer que l’érotisme commence avec le rêve et que ma blouse plissée ( en fait celle de mon assistante plus petite de 15 cm que moi ) permet de faire évader son esprit plus que mon corps physique! J’avoue qu’une blouse croisée sans boutons juste tenue par un lien dessous et une ceinture dessus, plissée pour le volume et les mouvements, un peu trop petite en tour de taille et en longueur , m’ a fait sourire in petto au moment de me changer et avoir l’envie de jouer à la dentiste bourgeoise trop sexy!

Mais je me tiens bien , même si mes tétons me trahissent un peu et essaient de se dresser au dessus du balconnet si fin de mon body , j’essaie de les y replacer mais je n’arrive qu’ à les pincer et les exciter encore plus, un désastre, ils ressortent du bord de mon body et pointent dans les plis trop transparents , à mon goût, de la blouse!

Pour les soins , c’est facile : couronne descellée et patient allongé , moi assise derrière. Sa tête me suit quand je me lève et me déplace pour prendre le matériel nécessaire . Son regard affole mes jambes mais ma tête arrive à rester froide, malgré les réflexions macho de mon mari si faible dans ces circonstances et de son ami qui a l’ascendant du macho méditerranéen et l’aplomb de l’obèse!! Je dois éviter les mains qui glissent sous le siège et palpent mes genoux et , ses lèvres qui sucent mes doigts gainés de latex.

J’arrive à nettoyer la dent , et Michel m’aide en allant nettoyer la couronne au laboratoire , Oh mr Selim en profite pour me demander de lui montrer mon body , il a des demande de lingerie de la part de sa fille adorée , et mon body lui semble parfait!!!!! et mon regard sur son pantalon, m’indique que celui ci est déformé par un sexe de taille sans doute monstrueuse . Mais j’essaie de lutter car il tire sur ma ceinture qui se défait , et toute ma blouse s’ouvre retenue que par le lien interne , j’essaie de me dérober mais je suis en plein soin . et Michel qui revient avec la couronne parfaitement nettoyée qui ne regarde pas! Je me lève et me retourne vite pour remettre ma ceinture , je suis rouge de confusion! et oh sur mon écran je vois les deux encadrés des caméras de surveillance ouverts : on m’y voit parfaitement , donc tout a été filmé! Mr Sélim blague Michel sur mon côté bourgeoise française sexy!!! oh , je me dépêche de me rasseoir , de lui poser écarteur et digue pour sceller à l’abris de la salive , ouf il ne peut plus parler . Michel me fait l’assistante et la couronne est scellée!!! . Après escort numaraları avoir tout nettoyé , et relevé le siège , mr Sélim me demande ce qu’il me doit. Bien évidement : rien!

Oh mais si , répond il, je vous invite à déjeuner aux Champs

, et comme je dois faire des achats pour ma fille je vous pourrais vous offrir quelques jolies pièces, glisse mr Sélim . Michel se dépêche d’acquiescer, et me laisse aller me changer .

Il n’a pas saisi que ce sont des pièces de lingerie dont veut parler mr Sélim , cela me contrarie, mais bon un bon repas cela aidera . Dans le laboratoire , j’ôte la blouse et comme je suis excitée je m’essuie le sexe avec un kleenex , et me palpe les tétons qui sont un peu trop érigés à mon goût ( ils sont si impulsifs dans leur réactions ) , je remet ma robe noire maille , et me recoiffe dans la glace , oh mais je vois un petit voyant rouge dans un coin du miroir, me retourne , oui la caméra de surveillance est allumée!!!, j’espère que personne ne l’a remarqué.

Je regarde le petit écran du labo, les fenêtres de surveillance sont ouvertes, michel m’a t il regardé tout à l’heure??? il faut que je pense à effacer les enregistrements! Mr Selim , est ravi il est tout sourire et avec son tel me prend en photos « ma dentiste préférée » dit il , sur le trottoir , sa limousine attend et comme le chauffeur m’ouvre la porte et que je m’y gliss , je n’arrive pas à contrôler la remontée de ma robe et mr Selim filme!!!!!

Le chauffeur ( un grand black ) nous dépose devant le restaurant sur les Champs-Elysés juste à côté d’une galerie marchande .

Hélas il va nous falloir attendre environ 30 minutes , et Mr Selim qui propose : si nous en profitions pour faire quelques achats , je dois rapporter des cadeaux pour la fille!

Dans la galerie , marchande les deux hommes parlent cadeaux à raporter à la fille de mr Sélim , et, alors que je suis génée de son regard perpétuellement vicieux et de voir son pantalon trop moulant pour ses parties génitales , alors qu’il écarte toujours les pans de son veston devant moi.

Les deux hommes s’arrêtent devant une boutique de mode et de lingerie de luxe .

La bosse sur son pantalon augmente en observant la vitrine avec ses mannequins en robes et tenues sexy juste devant des rideaux opaques . Il s’attarde sur des petites culottes transparentes et des porte-jarretelles et propose allons faire des achats!

Il ouvre la porte et mielleux m’invite à rentrer , puis michel et il ferme la marche .

Une vendeuse de grande tenue en robe croisée,talons très hauts, mais de silhouette plus petite et plus enrobée que moi, nous accueille tout sourire .

Mr Sélim se présente et demande pour des cadeaux de lingerie pour sa fille de 25 a restée à Beyrouth .

Quelle taille demande la vendeuse? oh elle a les mêmes mensurations que notre amie Emmanuelle ici présente , ose mr Sélim , du coup je vois venir le plan et je suis déjà avec une rougeur aux joues, un frisson au creux des reins et des tétons qui s’érigent!

Mr Sélim insiste et dévoile , je pourrais même adresser les photos de mon E phone et j’aimerais montrer différentes tenues à ma fille pour qu’elle choisisse elle-même! Michel a l’air stupéfait mais comme je sais bien qu’il rêve de photos déshabillées de sa femme , je ne suis pas surprise de sa réflexion : oh Emmanuelle qui a toujours rêvé de faire mannequin , tu vas pouvoir jouer à Victoria’s secret!

J’ai bien remarqué que Mr Sélim me regardait toujours d’un air vicieux comme s’il avait une idée précise derrière la tête.

Il me demande évidemment de l’aide et son pantalon qui est trop moulant pour ses parties génitales révèle un volume impressionnant et perturbant. Il écarte toujours son veston devant moi et je ne peux que voir la bosse sur son pantalon Il s’attarde sur des petites culottes transparentes et des porte-jarretelles. Mais il ne sait que choisir, il me demande alors avec un sourire pervers en me regardant droit dans les yeux (oh je suis pivoine car je sens où il veut en venir surtout qu’il a son portable à la main) : Emmanuelle, j’aimerais montrer différentes tenues à ma fille pour qu’elle choisisse elle-même

Mais elle a du mal à se faire une idée sur les manequins : Pourriez-vous m’aider? Vous allez mettre les culottes que ma fille souhaiterait essayer et vous les essaierez pour elle?

Je vous filmerai pour qu’elle puisse nous donner son avis. C’est une bonne idée n’est-ce pas?

Et il demande même à mon mari son accord qui acquiesce aussitôt.

J’en bafouille et michel qui insiste en me prenant manteau et sac pour me débarrasser et cacher son camescope

Mr Sélim demande à la vendeuse un endroit tranquille pour pouvoir faire les essayages.

Je vois qu’il lui glisse quelques billet dans la main au passage, elle sourit et nous pousse dans une pièce discrète située au fond de la boutique et aux murs composés de miroirs Mr Sélim me dit: préparez-vous Emmanuelle, voici une première escort pornoları culotte à essayer, elle est transparente!

Mon mari et son ami attendent dans la pièce que je me déshabille. Ils ont tous deux préparé leurs téléphones et camescope. Je ne peux résister. Elle est hors de prix, je la prend en main et ôte les chaussures et m’apprête à l’essayer sur mes bas et mon body sans remonter ma robe pendant qu’ils commencent à filmer.

Non non non! Emmanuelle, enfin il faut la passer sous votre robe pour que ma fille puisse se faire une opinion!Allez, retirez cette robe, mais gardez vos escarpins, s’esclame Mr Sélim, retirez également votre body pour plus de justesse dans l’essayage!

Je vois le gros homme transpirer, je perd contenance et devant les yeux des 2 hommes je laisse la vendeuse m’ôter ma robe , puis le body.

Elle profite de la situation pour me caresser la peau, je frémis, les seins, la taille, et elle m’aide à passer cette culotte. Devant les 2 voyeurs, elle ôte mes bas qui ont perdu leur jarretelles attachées au body

Je vois le libanais se frotter le pantalon tout en me filmant.

La vendeuse m’aide à remettre mes escarpins

Je suis nue, simplement avec la culotte et mes escarpins.

La vendeuse est derrière moi. Elle a donné à michel mes bas et mon body , cet idiot se dépêche de glisser cela dans son pantalon, tellement il adore le contact des dessous féminins.

Elle remonte ses mains sur mes seins, oui mes seins et elle suggère de choisir une tenue osée pour eux

Sélim ose demander à michel de prendre le soutien gorge ou la guépière le plus pute en cuir rouge à côté de lui , il obéit et Sélim demande à la vendeuse si, comme cela se fait beaucoup au Liban, elle a des bijoux de tétons .

Elle revient avec les bijoux et un plug anal qu’elle exhibe fièrement devant moi. Oh des lassos cuirs pour tétons avec une chaînette comme une laisse et michel tend une guépière cuir rouge à taille si fine et aux bonnets 1/4.

Elle m’aide à enfiler ma tenue si pute, et la vendeuse mielleuse qui sussure ( et ordonne ) madame devrait être maquillée .

Mr Sélim saute sur cette proposition : oui maquillée comme un vraie putain! La vendeuses me cale contre un poteau pour mieux enrober et dessiner mes lèvres de rouge sombre . Et le contour de mes yeux dans une couleur très sombre pour en faire ressortir mes iris si bleu.

Mr Selim demande mais il faudrait raser les poils pubiens à cette sale petite pute! Michel se permet de suggérer qu’ il apprécierait des aréoles creusées et des tétons érigés par de l’astringence et des couleurs sombres.

La langue de la vendeuse se glisse de façon gourmande sur ses lèvres et elle me pousse dans un grand fauteuil, place mes jambes sur les accoudoirs pour une épilation rapide et chimique et mes deux salauds qui me filment!

Mr Sélim s’approche de moi sur mon côté gauche . Il m’ordonne de sortir son sexe La vendeuse est entre mes jambes, elle a ôté la culotte pour me raser .

J’ ouvre son pantalon pendant qu’il filme toute la scène, j’hésite essaie de reculer , mais la vendeuse me tord un téton , et une gifle me force à obéir.

Mr Sélim excité révèle son goût pour l’autorité et me crie Sors ma bite salope! Et il m’attrappe par les cheveux.

Michel sur mon côté droit, qui se branle en cachette dans mon body, m’intime de satisfaire mes vices car il sait que j’aime ces genres de rêves (je lui as déjà parlé de mes fantasmes) être une Salope!

Je baisse le pantalon de Mr Sélim. Je découvre un caleçon gonflé par son plaisir. La taille m’impressionne, me fait peur, j’hésite à descendre le caleçon.

Mais Mr Sélim n’aime pas attendre. Il me gifle à nouveau. Dépêche toi petite pute!

La vendeuse à fini de me raser

Oui je défais le pantalon descends son caleçon et oh quel sexe. Oh ouiiii je me laisse faire

Le sexe jaillit du caleçon. Il est large et long.

Mr Selim ordonne alors emmanuelle admet que tu es une sale bourgeoise prête à faire la pute, que tu es une bonne petite soumise : Dis le! Et michel aussi me pousse , alors je murmure : je suis une sale bourgeoise heureuse de faire la pute pour vous mr Selim

Mmr Selim éclate de rire et propose à michel de dire la même chose, et insiste auprès d’Emmanuelle : fais-le dire à ton mari .

Je pleure et halète de plaisir ( être démasquée et me faire gouiner par cette vendeuses) et ordonne d’une voix cassée : michel épile toi met ce body et dévoile ta nature de sissy lesbienne .

Mr Sélim profite aussitôt de la fin de ta phrase pour engouffrer sa queue dans ma bouche de pute.

Elle est tellement grosse que j’ai du mal à le mettre en bouche .

Et Mr Sélim regarde en même temps ton mari se préparer

La vendeuse est encore occupée avec mon sexe.

Mr Sélim lui ordonne de placer les lassos de cuir sur mes tétons maquillés érigés et durcis sur mes aréoles creusées par l’astringence du produit de maquillage et puis escort portalı de mettre le plug dans mon cul de bourgeoise.

oh ouiiii je ne peux que sentir la tension de la laisse sur mes tétons ( mr Sélim la tire vers lui sauvagement) et son vit qui force ma bouche , ma gorge et je sens les doigts de la vendeuse dans mon cul. Dans mon sale trou du cul de bourgeoise .

Elle l’enfonce sans se préoccuper de ma jouissance ou de ma douleur, elle m’enfonce ce plug de belle taille à fond , et part s’occuper de l’épilation de michel , nu avec sa queue ridicule enrobée de mon body et de mes bas .

Je ne suis plus qu’un jouet pour le plaisir de Mr Sélim et de la vendeuse.

Mr Sélim ordonne : Suce-moi Emmanuelle! Sale pute. Tu te prends pour une bourgeoise mais tu n’es qu’une sale putain!

Et la vendeuse rase ton mari, pendant que Mr Sélim te bourre la bouche le cul rempli par le plug.

Oh ouiiiiii je ne savais pas que j’étais capable d’acharnement animal pour pouvoir avaler le foutre d’un étranger mysteryoo: Je sens ses grosses testicules contre mes joues à chaque fois qu’il s’enfonce dans ma gorge. Il tire en meme temps sur mes tétons.

Mr Selim est ravi mais ironique s’interroge sur l’endroit où j’ai pu apprendre à faire une gorge profonde?Tu suces comme une vraie putain. C’est à l’hopital que tu as appris à sucer comme ca? La vendeuse qui tord les couilles de mon époux lui demande si il n’a pas d’idée sur la question, michel d’une voix faible répond : je crois qu’un garagiste à gazeran le sait! Mr Sélim lui, me pose une question-affirmation : je suis sûr que tu es également la pute de tes élèves! Malgré mes tentatives de dénégations en essayant de secouer négativement la tête, mr Sélim insiste : Avoue salope! Tu es la pute de tes élèves! Dès qu’ils ont découvert tes penchants masochistes ils en ont profité.Tu n’es qu’une pute!

Il ressort son sexe de ma bouche, je crie : non, mais c’est vrai qu’ils m’ont par deux fois invitée à des soirées et j’ai refusé.

Menteuse!!! affirme mr Sélim qui est si excité à cette idée Et il me gifle et il me tend le téléphone et il m’ordonne: Appelle un de tes élève! Je veux vérifier.

Il tire sur mes tétons : Appelle!

Mon époux adoré , michel, fouille mon sac et me tend mon téléphone alors chérie appelle celui qui t’a insulté pour des mauvaises notes. Dis-lui que tu as quelque chose de très important à lui dire.

Mr Sélim insiste : Fais-le venir ici! Et il me gifle de nouveau. J’ai les yeux humides et j’essaie un « oh non pas cela , je préfère encore retourner à Gazeran »

Mr Sélim replonge son sexe dans ma bouche et se masturbe avec ma gorge. Tu vas l’appeler sale pute! Il gicle tout son foutre dans ma gorge tout en tirant très fort sur mes tétons tendus.

Il prend le téléphone et me le tend: Appelle pute!Michel est en body bas et perruque!!!! et la vendeuse agenouillée devant moi lui ordonne de prendre mon relais pour essuyer le sperme qui coule sur mon visage.

Je me mords les lèvres et je prend mon téléphone , ma vie va basculer .

mr Sélim s’étonne : alors michel-le tu suces aussi bien que ta femme!

J’ai son répondeur et je lui demande de rappeler pour vérifier les erreurs de notes!!!! je pleure

Mr Sélim me demande: Qu’est-ce qui t’arrive? Tu veux jouer les putes et tu n’assume pas? Regarde ton mari, lui il assume!C’est une pute comme toi!

La vendeuse arrive avec un gode ceinture. Pendant que ton mari suce Mr Sélim, elle vient derrière michel.

Mr Sélim le fait mettre à 4 pattes et ordonne à la vendeuse encule -le!Et elle place le gode à l’entrée du cul de ton mari

Mon téléphone sonne , c’et Olivier l’étudiant râleur , il s’interroge sur ces “erreurs de notes “

Mr Sélim m’ordonne : Fais-le venir! Maintenant!

La scène est surréaliste, mon mari prêt à se faire enculer au fond d’un magasin et moi en train d’appeler mon futur bourreau.

La vendeuse plonge d’un coup sec son gode dans le cul de mon mari.

Je suis perdue , olivier m’explique qu’il se promène av de la grande armée avec sa copine et son chien, je lui indique la galerie des champs et le nom de la boutique chez fabienne mais je tais que c’est un magasin de luxe .

Mr Sélim insiste : Tu vois c’est pas très compliqué de faire la pute! Et il se met à rire, sa bite dans la bouche de mon époux Sélim s’esclaffe : Je sens qu’on va bien s’amuser avec ton élève. J’espère que tu n’as pas été trop dure avec lui Ha Ha .

La vendeuse avoue , surtout que derrière les miroirs tout est filmé, leurs nouveaux métiers sont tout trouvés. Mais elle poursuit je suis de Rambouillet et ce garagiste de Gazeran j’aimerai bien comprendre?Raconte-nous sale pute de bourgeoise! Qu’est-ce qu’il t’a fait ce garagiste?

Je pleure et raconte que j’AI DECOUVERT LE SEXE VIOLENT après une panne de voiture chez un garagiste ou plutôt une famille assez attardée qui tenait un garage.

Mr Sélim exulte Tu as découvert que tu aimais être prise de force, faire la pute!

J’avoue que j’y retourne tous les ans pour éviter tout chantage et scandale

Mr Sélim me sussure : tu as le vice dans la peau!

Michelle confirme , il a intercepté 5 photos pour relancer le chantage, qui sont explicites et qui le font bander à mort Mr Sélim te rabaisse d’un Ta gueule pouffiasse! Je ne t’ai rien demandé sale pédale!

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The Policewoman – Part 7

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“I will be out all night tonight, mum,” eighteen-year-old Trent Potts said to his mother and now lover, Sharon.”Oh? With Helen?” replied forty-three-year-old Sharon, who knew her son also had sex with fifty-year-old policewoman Helen Ladbrooke, as did Sharon herself.”No, not Helen, maybe you can spend the night with her,” said Trent.”Yeah, maybe I can; you will be with the mysterious woman that texted you yesterday, then,” said Sharon.”Yep, you got it,” replied Trent.The previous day, whilst in the company of both Sharon and Helen after they had had threesome sex the night before, Trent had received a text from a woman that he obviously knew intimately, asking him to visit her on one of the next three nights to give her a fucking. The woman’s husband was going to be away for those nights, and Trent phoned her back, but he refused to tell the two women that he had most recently fucked, what he had arranged.As Trent had spent the previous night in his mother’s bed, after Helen had gone home, if he was going to fuck the woman that sent the text, there were now two nights to choose from.The mysterious woman was named Cheryl Beattie, and at age fifty-six she was fractionally over three times Trent’s age. She was no raving beauty and she was a bit overweight, but she had something about her, and in her own way, she was very sexy and certainly a great fuck. She also liked taking it up the arse, and she thrived on dirty talk.”Are Helen and I not enough for you?” asked Sharon, feigning hurt.”Oh yeah, very much so, but I fucked this woman before I had either of you and I would still like to give her one from time to time,” replied Trent.”That is fair enough I suppose, I will contact Helen and see if she wants some more lesbian love tonight,” laughed Sharon.Until a few days ago, Sharon and Trent knew nothing about each other’s sex lives. Trent sometimes was out late at night, sometimes all night and his mother assumed that he was with a girl, but she assumed he had only one girlfriend and that she was a similar age to Trent. Her son actually had several women on the go, almost all of them older than Sharon, and some of them married.The revelations about each other’s sex lives, and the ignition of their incestuous affair, came about after gaziantep manken escort Sharon had asked her friend Helen to talk to her son in her capacity as a policewoman.Trent had been caught spraying graffiti and Sharon did not want his behaviour to escalate.The talk between Helen and Trent led to Helen caning him, almost with Trent’s encouragement, and then Helen and Trent fucked.Sharon paid a visit to Helen’s house one morning in the hope of lesbian sex but was shocked to find her naked son there. Sharon caned Helen, who had also taken a caning from Trent the previous evening, and then left her son and Helen to have one more fuck with instructions for Trent to come home for a discussion. Trent discovered that Helen and his mother were lesbian lovers during that visit by Sharon to Helen’s house.The discussion between mother and son made their sexual attraction to each other very clear, although there had already been signs of it, and Trent and his mother fucked.Mother and son had been having sex ever since, although it was all very recent, and had also purchased a cane with both of them feeling it across their buttocks.Helen had just spent a night at the Potts’ house during which she and Trent had fucked, before she and Sharon had lesbian sex and then all three of them had sex together.”I am going to get ready for work now, I will be going out again soon after I get home at tea time,” said Trent, who worked at a fast food outlet.”Well if you don’t want me, I will see if Helen does,” teased Sharon, who thought that maybe she should be jealous of other women having her son’s sizeable penis between their legs.Sharon did not know what Helen’s working hours were this day, she had been on a day off the day before, so she sent her a text.Trent is spending the night with his text lady, do you fancy some vagina-tasting tonight? xxxShe did not get a reply for a while, but when it came it was good news.I certainly do! Your bed or mine? xxxSharon was delighted, she replied straight away.I will come to you, I also want to pay attention to your lovely arse. xxxHelen replied swiftly.Oh yes, we can both do some arse worshipping, see you later. xxxSo mother and son, gaziantep masaj yapan escort and Helen, had their nights planned.Trent came home from work, but he would not be home for long. He would just shower, change and be off out for his night of sex with a married woman.Sharon knew that Trent would not be home for long, so she waited for him to come out of the shower. She was not going to do anything to delay his evening, but she just wanted a few minutes in his company, she would be leaving to see Helen soon.”So, another woman is to get the benefits of your lovely cock tonight,” said Sharon, looking at her son’s semi-erect penis.”Yes, are you and Helen getting together?” said Trent.”Yes, I am spending the night with her, it will be fun,” replied Sharon.”I am sure that you will give each other lots of pleasure,” said Trent, starting to get dressed.”Yeah, no doubt we will both cum multiple times, as will the woman that you are shagging,” said Sharon, feeling a tinge of jealousy.”I will be back with you tomorrow night,” said Trent.”Well, I might not want you,” laughed his mother.”Ha, well her husband is away again tomorrow night so I could go back to her,” responded Trent.”No, it is okay, I think I will let you back into my bed,” replied Sharon.”That is nice of you, Sharon,” said Trent.”Can I give you a lift?” offered Sharon, Trent did not own a car, plus she might find out who the woman was.”No thanks, she is within walking distance,” replied Trent, who was now dressed.”Okay, have fun,” said Sharon.”And you, and Helen,” said Trent, before mother and son had a long kiss.Trent left for his appointment with the horny married woman, and a bit later, Sharon drove to Helen’s house, although it was within walking distance.”Great to see you, come in, I need a good fucking,” said Cheryl Beattier, when Trent arrived at her house.Cheryl almost dragged him indoors, and before Trent could speak, Cheryl had locked her lipstick-coated lips on his.”Ha, you missed me then,” said Trent, when he could speak, and breathe.”Yes, I have fucking missed you, you fuck me like no other,” said Cheryl.”You like my teenage cock then do you, you horny slut?” said Trent, knowing gaziantep masöz escort that Cheryl liked to be called names.”Yes, this horny slut likes your teenage cock, and I love it when you put it in my fat arse,” said Cheryl, before smothering Trent in more kisses.”You want to be fucked in the arse, you whore, you want my cock in your arsehole?” said Trent, pawing Cheryl’s large backside which was currently in green trousers.”Let’s stop wasting time talking, let’s go upstairs and fuck,” said Cheryl, undoing the zip on Trent’s jeans.They scrambled up the stairs, Trent touching Cheryl’s arse as they went.”You like my big fat arse, don’t you, you hot hunk?” said Cheryl, as they reached the top of the stairs.”I love your arse, Cheryl, and I will show you just how much I love it later,” replied Trent.Cheryl turned and they had another long snog, as Cheryl undid the belt on Trent’s jeans and Trent caressed Cheryl’s behind.Cheryl got Trent’s jeans lowered, followed by his boxers, and she wanked his already erect cock as their snogging continued.”Give me a fucking, fuck this horny married bitch,” said Cheryl, wild with sexual excitement.”I had better get these trousers off your big arse then, hadn’t I?” said Trent, dragging Cheryl’s trousers down and helping her out of them.Trent got behind Cheryl and pulled her knickers down, her large buttocks became on show. Trent kissed Cheryl’s arse cheeks and parted her buttocks to see the arsehole that he intended to put his cock in later.Cheryl completed the removal of her knickers with her feet, she was desperate to be fucked.”Give it to me big boy, give this slut the fucking that she craves,” said Cheryl, removing her blouse and then bra as Trent got out of his jeans and boxers and took off his T-shirt.”You want a fucking you dirty cheating slut, I will give you a fucking, get on your back, you old slapper,” said Trent, who was looking forward to giving Cheryl a long and hard fucking.Cheryl wasted no time in getting on her back with her legs spread wide, putting her hairy and wet cunt on display.”Here is my cunt, fuck it hard, you sexy stud,” invited Cheryl.Trent got in between her legs and his penis was soon in Cheryl’s vagina and the fucking started.The fucking rapidly picked up the pace, and there was a lot of grunting and expletives.”Cum you dirty bitch, cum with a teenage cock sliding in and out of your sticky cunt,” panted the hard-working Trent.”Shit, fuck, this dirty bitch is so fucking close, going to cum with your teenage rod shafting me…Shit!” exclaimed Cheryl, as she got fucked to orgasm.Trent kept fucking her, they were both sweating with their exertions.

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Évolution de Carrière 07

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Gangbang

La fessée.

La soirée s’annonce toride. STÉPHANIE est habillée d’une courte robe noire qui moule son magnifique corps. Elle est superbe. Elle porte la chaîne en argent autour du cou, la clef cachée entre le creux de ses délicieux seins, libres. Elle n’a pas de soutien-gorge. Elle est très belle, très sexy.

Elle a choisi mes vêtements, une chemise, un pantalon et une veste légère. Il n’y a pas de caleçon. Je lui fais remarquer, elle me répond que je n’en ai pas besoin. Devant le miroir je vois très bien ma cage, elle se devine aisément, le tube courbé et le cadenas sont très visibles. Le pantalon est assez fin, la chemise est courte, la veste couvre à peine mon entre jambe. Je suis sur que tout le monde peut la voir.

STÉPHANIE me rassure avec un gros câlin, me complimente sur mon corps de rêve. Ma queue réagit à la caresse, je sens la pression de la cage. Elle tente de se tendre. La douleur me fait grimacer, mon Épouse me regarde, elle continue ses caresses.

_S_ On ne voit rien, en plus ce pantalon met en valeur ton beau petit cul, puis pour découvrir ta cage il faut regarder de tout prêt ou te toucher. Allez soit tranquille, personne ne va voir ton petit jouet, les gens s’en foute de ta bite.

_J_ Je ne suis vraiment pas très à l’aise mon Amour, j’ai peur que quelqu’un aperçoive ma cage, que vont-ils penser de moi?

_S_ Ne t’inquiète pas mon Chéri, j’ai la clef avec moi, si tu es trop gêné, tu pourras l’enlever. Mais je dois te dire que je suis très très excitée. Je te trouve tellement sexy avec ta bite encagée. Tu sais, savoir que tu ne peux bander que pour moi, ça m’excite d’une force! Je suis tellement mouillée, je suis trempe. Regarde.

Dans un déhanché d’une sensualité si féminine, si toride, elle descend son petit string. Il tombe à ses pieds, entre ses jambes.

_S_ Tu veux bien m’aider s’il te plaît mon juju.

_J_ Oui, bien sur mon Amour.

Je m’agenouille lentement devant elle, nous ne nous quittons pas des yeux. Son regard brille d’une nouvelle lumière. C’est la première fois quelle me regarde comme ça. Son regard est incandescent. Il émane d’elle, à ce moment la, une puissance divine. C’est une Déesse.

Mon cœur bat la chamade, elle est belle, je l’aime. Son regard est intense, je ne peux le soutenir, je baisse les yeux. Je reconnais implicitement sa domination, sans aucune parole, je me soumets à son pouvoir. Cela est si naturel. Mes phantasmes sont devenus réels. Elle ne joue pas, elle n’essaie pas de me faire plaisir, elle semble vraiment heureuse de montrer son autorité.

Sa culotte est coincée sous un talon, je la prends délicatement entre les mains. Elle ne bouge pas. Je lève les yeux, à son regard je comprends qu’elle n’est pas satisfaite. J’embrasse sa chaussure, elle lève alors son pied de quelques centimètres, je fais la même chose pour l’autre pieds. Je libère son string, il est en effet très humide, son parfum me submerge. C’est vraiment un aphrodisiaque exceptionnel, ma queue va exploser, je ressens la douleur de l’érection empêchée mais je n’ai pas mal. L’instant est juste sublime.

Je plonge mon visage dans sa culotte, je la prends avec ma bouche, je relève la tête son string entre les lèvres. Un grand sourire de satisfaction éclaire son visage.

_S_ Tu es si beau mon Julien, je suis absolument conquise par ta nouvelle attitude. Je t’aime.

_J_ Moooaaaa aussiiiii moooonnn Aaaamooouuur, jeeee t’aiiimmmeeee.

_S_ Merci juju. Relève toi mon Chéri, je vois que tu aimes toujours autant ma saveur, ce soir tu pourras te régaler directement à la source. Je ne sais pas pourquoi mais je commence à beaucoup apprécier ton nouveau statut.

_J_ Merci mon Amour, ton nectar est divin. Merci.

_S_ Tu vois juju, tu porte ton petit jouet moi je n’ai pas de culotte, on est à égalité. Ce soir on est très coquin tout les deux. Tu as même plus d’habits que moi. D’ailleurs, c’est plus joli, comme ça sans marque sous ma robe. Tu ne trouves pas?

_J_ Si, si, mon Amour, tu es vraiment magnifique. Cette robe te va très bien.

_S_ Je t’aime mon juju.

_J_ Moi aussi je t’aime STÉPHANIE.

Est-ce que elle réalise que je suis tendu dans ma prison comme jamais. Je suis super excité, elle n’a pas de culotte, on sort en ville. Il faudrait être aveugle pour ne pas remarquer qu’elle ne porte que sa robe et rien d’autre. Sur le moments, j’ai juste envie de lui arracher sa robe pour la prendre sauvagement en levrette. Je suis sur que beaucoup d’hommes vont avoir les même envies. Je ne ressens pas pourtant de jalousie, elle fait tout pour m’exciter, je suis sur qu’

elle va en exciter plus d’un.

Main dans la main on se regarde dans le miroir de l’entrée. Nous sommes beaux tous les deux, je suis avec la plus belle femme de l’univers, je suis si fier, si content d’être son mari, mais en même temps, j’ai du mal à me détendre, je me sens étrange, c’est la première fois que je vais rencontrer d’autres personnes avec une cage de chasteté sous mes habits. Devant la glace, je vois escort haberleri très bien la cage qui fait une bosse et l’on voit le pourtour du cadenas très clairement.

Pourtant on part en ville malgré mes inquiétudes, j’essaie de ne pas les montrer, STÉPHANIE est tellement heureuse, si sexy, je ne veux pas la contrarier. Elle est enjouée, durant tout le trajet elle parle de son travail qui va évoluer. Des opportunités qui vont arriver. Pas une seule fois elle a évoqué ma cage. Elle pose plusieurs fois sa main sur ma cuisse, comme d’habitude, mais là c’est différent. Ses caresses m’électrise, mon sexe grandit. Elle ne montre aucune réaction, je suis sur qu’elle a vu mon pantalon se tendre à chaque fois. La voiture garée, nous marchons quelques minutes, je sens à chaque pas le plastique frotter entre mes cuisses.

C’est un restaurant que je ne connais pas. La table réservée au nom de STÉPHANIE, est dans un coin discret de la salle.

La serveuse qui nous accueille est charmante, elle me détaille de la tête au pieds, un petit sourire se dessine sur son visage quand elle me regarde puis se tourne vers mon Épouse, elle ne va s’adresser qu’à elle toute la soirée. J’ai l’impression de ne pas exister. La serveuse complimente mon Epouse sur sa tenue, elle trouve même sa chaîne charmante avec ce curieux pendentif, qui pend librement à son cou.

_S_ C’est la clef de la…des plaisirs de mon amour.

Je ne sais plus où me mettre, je suis paralysé. La serveuse semble amusée, elle nous donne le menu, nous souhaite une bonne soirée et s’éloigne discrètement. Je n’ai pas osé la regarder. STÉPHANIE s’aperçoit de mon malaise.

_S_ Mon juju, je suis désolée, je n’ai pas vu que la clef était visible. Je comprends, tu n’es pas encore prêt à assumer. C’est tout nouveau pour toi. je suis désolée que tu sois un peu gêné, un peu à l’étroit. Tu es trop mignon quand tu fais cette tête. Je suis si fière d’être ta femme. Toi aussi tu dois être fiert, tu n’as pas à avoir honte. Bien au contraire, ta petite cage est une preuve extraordinaire de ton amour pour moi. Je t’aime.

_J_ Moi aussi mon Amour je t’aime, mais n’est pas facile de…

_S_ Tiens la serveuse reviens, ne t’inquiète pas, elle ne sait pas que tu portes une cage de chasteté. Tu veux lui dire où tu préfères que je lui dise?

_J_ S’il te plaît STÉPHANIE, non, c’est trop gênant.

_S_ Mon juju, rassure toi je ne vais rien lui dire, mais en même temps je suis sûre que tu es tout excité, au fond de toi, tu aimerais qu’elle le sache.

_J_ Merci, de ne rien dire, et oui, c’est vrai tu as raison, l’idée m’excite beaucoup.

_S_ C’est pour ça que je t’aime mon juju.

La serveuse semble ravie de nous servir, STÉPHANIE à confirmé que j’étais son ”juju”, elle s’appelle MARGOT, c’est une charmante jeune femme blonde d’une vingtaine d’années. Elle plaisante toutes les deux, elles ne parlent qu’entre elles, je suis exclu des débats. Mon Épouse choisit le menu pour nous deux sur les conseils de MARGOT. Je ne rêve pas, la serveuse drague ouvertement mon Épouse devant moi. Leurs échanges sont très troublants, ce ne sont qu’allusions équivoques et sous-entendu très sexualisés. La serveuse sait maintenant que ni mon Épouse ni moi ne portons de sous-vêtement. Elle a même invité STÉPHANIE à la rejoindre plus tard.

C’est surréaliste, est-ce que c’est ma cage qui sexualise tout? Je ne débande plus depuis que l’on est parti de la maison.

Le service est assez rapide, heureusement les plats et les vins sont délicieux. J’arrive enfin à me détendre. STÉPHANIE devient de plus en plus coquine. Nous sommes dans une petite alcôve, notre intimité est préservée, les autres clients sont loins. Elle me parle sans détour, elle apprécie beaucoup l’évolution de notre relation. Elle joue nonchalamment avec la clef tout en me parlant.

_S_ Juju, notre complicité devient plus grande de jour en jour. Ses dernières semaines, j’ai appris plus de choses sur toi que durant les sept années passées ensemble. Je te dois te faire des excuses.

_J_ Pourquoi veux-tu t’excuser mon Amour?

_S_ Julien, quand tu m’a parlé les premières fois de tes désirs de soumission, j’ai trouvé ça nul. Tu te souviens que je t’ai toujours dit que je ne veux pas d’un pas d’un homme faible. Je veux, j’ai besoin d’un homme fort, viril, qui prend des décisions, quelqu’un sur lequel je puisse m’appuyer, quelqu’un qui me soutienne. Je ne veux pas d’une carpette.

_J_ Mais je ne suis pas faible, je ne suis pas une lopette.

_S_ Je sais Julien. Tu es mon mec idéal, tu es très beau physiquement, tu es intelligent, ton humour me fait craquer. Tu as tout ce qu’il faut ou il faut, tu es un homme fort, et en plus tu es blindé de thunes.

je Je suis tombé amoureuse de toi, au premier regard. Oui tu le sais je t’aime depuis le lycée.

_J_ Moi aussi je t’aime STÉPHANIE, tu es la plus belle femme du monde, tu es parfaite.

_S_ Merci Julien, mais je te demande pardon, escort hikayeleri je ne t’ai pas fait confiance.

_J_ Mon Amour, ce n’était pas le moment, nous n’étions pas prêts tous les deux.

_S_ Julien, tu es toujours positif, je t’aime aussi pour ça. Mais je dois admettre que tu avais raison. Même avec un cage de chasteté, tu n’as rien perdu de ta force, tu es un homme puissant qui impose le respect, je vois le regard des autres, tu es toujours le mâle Alpha. Les femmes te désire et les autres hommes ont peur que tu leur pique leur femme.

_J_ Tu exagère mon Amour.

_S_ Non, pas du tout. Toi tu ne fais jamais attention à l’effet que tu provoques chez lez autres. Tu n’as même pas vu le regard de désir de la fille au bar et l’altitude possessive de son mec quand on est rentré dans le restaurant.

_J_ STÉPHANIE, tu me connais, tu sais que je m’en fou. J’ai toujours été dragué par plein de femmes et même des hommes, je ne suis pas intéressé. Tu es la seule.

_S_ Tu vas un peu vite, tu oublies tes collègues.

_J_ Ça n’a rien avoir avec les sentiments que j’ai pour toi, je t’aime.

La serveuse passe plusieurs fois nous voir, mon Épouse continue de parler de notre intimité alors que la serveuse est toute proche. Elle fait exprès d’utiliser des mots, comme Obéissance, chasteté, contrôle, soumis, pouvoir, femme dominante …. j’ai l’impression que la serveuse connaît tout de nôtre intimité, de notre mode de vie. Elle doit savoir que je porte une cage de chasteté, que je suis un mâle soumis. Elle a forcément entendue. Je deviens paranoïaque. C’est très troublant d’être excité par la situation. Mon sexe est de plus en plus à l’étroit. En plus mon Épouse m’allume comme jamais. Jusqu’à me demander l’impensable.

_S_ juju, tu serais un amour si tu venais me lécher, j’ai trop envie de jouir. Je n’ai pas de culotte, je vais tremper la chaise. Passe sous la table, la nape touche le sol. Tu es seras caché. S’il te plaît mon juju d’amour.

_P_ Là, maintenant, mais il y a du monde tout autour.

_S_ Ils sont loin, personne ne nous regarde, allez s’il te plaît, je suis au bord de l’orgasme. J’ai vraiment envie de ta langue magique.

_ J_ Mais comment fait on avec la serveuse, elle vient souvent.

_S_ Ne t’inquiète pas, j’en fais mon affaire. Allez, vas y, passe vite sous la table mon juju.

STÉPHANIE sait être persuasive, en même temps j’en ai très envie de lécher sa délicieuse chatte, depuis qu’elle a enlevé sa culotte. Ni une ni deux, je me faufile sous la table. Il fait sombre, ses jambes sont écartées en grand, elle a retroussé sa robe. J’ai un accès direct à son sexe. Son excitation est grande, elle sent le sexe, elle ruisselle. J’embrasse ses cuisses délicatement, j’approche ma bouche de sa chatte baveuse. Je lèche le bas de ses grandes lèvres, je remonte lentement la langue, j’effleure du bout de ma langue son clitoris. Elle tremble à ma caresse. Je la connais, je sais qu’elle est proche de l’orgasme. Je prends mon temps, je lèche ses grandes lèvres, enfonce ma langue au fond de son sexe, je bois son nectar. Descend plus bas, son petit trou s’ouvre sous ma langue. Je veux retarder au maximum sa jouissance, elle a avancé ses fesses au bord de la chaise, son petit trou sombre frémit,il avale mon doigts. Je remonte ma langue bien a plat, je la lape de bas en haut comme un chien. Son clitoris est très sensible, elle contracte tout son corps quand je passe ma langue. A un moment mon Épouse appuie sur ma tête, la voix de notre serveuse me ramène à la réalité. J’ai oublié que lèche mon Épouse dans un restaurant.

_M_ Le beau gosse n’est plus là, il est parti?

_S_ Non non, mon mari est toujours là, il est juste un peu occupé. Il voulait un dessert supplémentaire.

_M_ Quelque chose ne va pas Madame?

_S_ Tout est parfait, merci beaucoup,

La soirée est parfaite, le repaaas est très très booonnn. Mon mariii me permet de finiiiir d’une façooon parfaite notre délicieux repaaaaaas.

__ Oh!!! Bien, très bien, je vois, je vous laisse apprécier votre dessert, je vous apporte les cafés plus tard.

_S_ Ouiiiii, merciiiii.

J’ai fait exprès, dès l’arrivée de la serveuse, de m’occuper de son clitoris. Des légers mais rapides effleurements du bout de la langue, rendent la discussion difficile avec la serveuse. Mon pouce enfoncé dans sa chatte en même temps que mon majeur dans son cul, associés aux aspirations de mes lèvres sur son clito l’emmène inexorablement vers l’orgasme. Elle serre les jambes, appuie fortement sur ma tête, elle m’écrase le visage sur sa chatte.

_S_ Julien c’est trop bon, ne t’arrête pas, ouiiiiiii, continuuuuu, ouiiiiiiiiiiiii.

Sa jouissance éclatante ruisselle directement dans ma bouche. Je ne touche plus à son clito, j’avale son divin nectar. Quelques minutes plus tard, au moment ou je sors de dessous la table, le visage luisant du plaisir de mon Épouse, la serveuse dépose les cafés. Elle a le visage rieur, elle ne escort ilanları semble pas du tout gênée ou perturbée. Elle regarde STÉPHANIE.

_M_ Avez-vous apprécié votre dessert?

_S_ Oh, oui beaucoup, comme tout le repas, merci beaucoup.

_M_ Merci à vous, la cliente est reine. Prenez votre temps, vous êtes les derniers clients.

En payant la note, la serveuse complimente encore mon Epouse pour sa beauté et me félicite pour mon attitude très respectueuse et dévouée. Je ne sais que répondre, c’est STÉPHANIE qui lui répond.

_S_ Merci beaucoup, mon petit juju est un homme très avenant et très obéissant, c’est un mari parfait.

_M_ Vous avez beaucoup de chance, j’aurais aimé être à sa place. Je suis sûre que votre pendentif y est pour quelque chose.

_S_ Merci, c’est vrai que c’est un petit jouet magique.

_M_ Bonne fin de soirée STÉPHANIE, à toi aussi juju, tu as bien de la chance.

_J_ Merci beaucoup Madame, bonne continuation. Au revoir.

Je suis abasourdi, la serveuse m’a vu sortir de dessous la table, elle sait pour la clef, elle a même félicité mon Épouse. Le restaurant est une étape supplémentaire de mon évolution, ma soumission s’accentue, la domination de mon Épouse s’affirme.

STÉPHANIE est heureuse, elle est fière de moi. Elle adore voir son beau mec “fidèle” à son bras. La balade en ville est un délice, on est un couple amoureux. Elle m’explique que la serveuse savait depuis le départ qui l’on était, c’est la fille d’une amie de PATRICIA, elle sait que je suis enfermé dans une cage de chasteté, elle sait pour le cuniligus, elle lui a même donné son numéro de téléphone.

Je réalise que je suis manipulé sans scrupules. Est-elle au courant pour l’entrepôt? Je suis surpris mais quand même très fier du plaisir que j’ai donné à mon Épouse. Je suis sur qu’elles ont prévu encore beaucoup de choses pour moi. C’est curieux mais, ne pas savoir ce qui va m’arriver m’excite encore plus.

Notre promenade se poursuit, ma libido est exacerbée, ma queue est très à l’étroit dans sa prison de plastique.

On parle de tout et de rien main dans la main. je ne sais pas si elle le fait exprès, mais STÉPHANIE ne parle plus de ma cage de chasteté, plus aucune allusion à ma soumission. Par contre, elle prend plusieurs fois la chaîne et la clef dans ses mains, joue avec, me regarde dans les yeux, me caresse avec une sensualité toride. Elle parle de tout sauf de l’utilité réelle de cet objet. La clef de ma cage trône comme un trophée à même sa peau entre ses seins. Je n’en parle pas non plus. Étrangement, la marche, à un effet sur mon érection. Je ne bande plus, j’oublie même que je porte ma cage de chasteté, elle ne me gêne plus quand je marche, mais j’angoisse toujours un peu quand on croise des gens. J’ai l’impression que tout le monde voit que je porte une cage de chasteté.

On se promène sans réel but, puis, elle décide d’aller prendre un verre dans son bar préféré. Elle est très heureuse, joyeuse, elle rayonne, tous les regards sont sur elle quand on pénétre dans le bar, je passe presque inaperçu. Elle salut beaucoup de connaissance, rigole, s’amuse, plusieurs hommes lui offre à boire, elle est dans son élément. Curieusement, je suis excité de la voir si belle, entourée et courtisée par autant de hommes. J’ai vu des caresses rapides, des effleurements, des mains posées sur ses hanches, sur le haut de ses fesses. Ils ont voulu vérifier, c’est sur, ils savent maintenant qu’elle n’a pas de culotte.

Elle est radieuse. Elle me présente à beaucoup de personnes comme étant son mari, son juju d’amour.

J’ai des craintes que quelqu’un aperçoive ma cage mais en même temps l’idée de partager mon secret m’excite.

STÉPHANIE me fait remarquer discrètement que personne n’est au courant pour ma cage, mais que tout le monde a vu la clef à son coup. Ma queue à cette évocation se tend instantanément.

_S_ Tu bande juju?

_J_ Oui mon Amour, enfin mon sexe essaie désespérément de prendre de l’ampleur. Mais je te rappelle que tu n’as pas de culotte mon Amour.

_S_ Et alors?

_J_ Tu as quand même senti les mains sur toi? Certains ne se sont pas gêné.

_S_ Et alors?

_J_ Alors rien, c’est juste que je suis…

_S_ Tu es quoi?

_J_ Euh!! Je suis troublé. Te voir allumer tous ces gens, leurs regards, ça m’excite.

_S_ Tu bandes?

_J_ Oui! Très très fort.

_S_ Tant mieux, celles qui regardent ton entrejambe vont voir ta grosse bosse, elles vont être jalouses. Tu sais que tu es beau Julien, très désirable, trop baisable, j’ai très envie de toi maintenant.

STÉPHANIE m’a dit tout ça en se frottant à moi comme une chatte en chaleur. Plusieurs personnes nous ont regardé nous embrasser, nous enlacer. J’ai vu des regards d’envie, tant féminins que masculin. Ma queue est à son maximum, c’est une délicieuse torture.

_S_ Tu as pu voir plusieurs personnes me toucher le dos, les hanches, les fesses, ils ont vérifié que je n’ai pas de culotte. J’adore faire bander tous ses mecs. Je pourrais me faire baiser par toutes les bites dures qu’il y a ici, sauf la tienne. Oups!! Je me sens si salope mon juju. Tu me donnes des ailes.

_J_ Tu es tellement sexy, si belle, tu veux t’amuser ce soir?

_S_ Mon chéri, merci, si tu savais comme j’ai envie d’une grosse bite au fond de ma chatte et de mon cul.

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My Big Sister The Wrestler

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Amateur

“Wake up, sunshine!”The bright light invaded Jake’s sleepy eyes, and the cool air in the room gave him an instant shiver as the sheets were abruptly snatched off his bed.”It’s time for practice.”James’ big sister was a college wrestler, and for some reason, James had volunteered to help her with practice on Sunday mornings. Well, today was Sunday, and it was time for him to pay for his kindness.Kayla was a stunning athlete. She had a bronzed complexion, short brown hair, and stood at an impressive 6’2”. But what made her truly captivating was her incredibly sexy physique. With curves that accentuated her ample breasts and enticing backside, she had a body that could make anyone weak in the knees. To say she had an hourglass figure would be an understatement – she was an Amazonian beauty.As James rubbed his tired eyes and adjusted to the sight of his sister standing at the foot of his bed, he felt as though he was in a dream. She was clad in her tight, red and white striped spandex college wrestling uniform, which hugged her body like a second skin, leaving absolutely nothing to the imagination. His body quickly reacted to the sight, causing his boxers to strain against the fabric as his arousal became evident. While any normal little brother might have been mortified, James knew that his sister had seen him get aroused by her countless times during their teenage years. And If anything, she saw it as a compliment.”Whoah, looks like somebody’s ready for some wrestling, haha. I knew my uniform would turn you on but that was quick. Are you sure you’ll be able to control yourself when we wrestle?” Her lips curled into a sly grin as she taunted him.”Yeah, yeah, it’s not my fault you’re practically wearing nothing, flaunting your body around. What did you expect? I’m only human.” James blushed as he confessed his attraction to gaziantep minyon escort his sister’s enticing figure. A small droplet of precum stained the tip of his boxers.Kayla’s face flushed at the sight, and she found herself growing a little aroused from teasing her brother.”Alright, I’ll be stretching on the mat in the basement. Meet me there once you’ve taken care of yourself,” she said with a playful laugh. She laughed it off on the surface but the thought of her brother pleasuring himself to thoughts of her really got her horny. Feeling a growing wetness between her legs, Kayla left James’ room in a haste, making her way downstairs to the basement in order to get some space, and hopefully push those desires from her mind. She needed her brother’s help with practicing her wrestling moves for the upcoming nationals, and she refused to let her own arousal get in the way. Besides, there was a boundary between brother and sister, and while playful banter was one thing, crossing that line was out of the question.James groaned as he tried to shake off his sleepiness, his mind still clouded with the lingering images of his sister’s body. Despite his embarrassment, a growing anticipation coursed through his veins as he hurriedly got out of bed and made his way to the basement.The moment James reached the dimly lit basement, he was met with the sight of Kayla, her athletic frame glistening with a sheen of sweat from her warm-up stretches. Her impressive height and toned muscles accentuated the power she possessed as a wrestler, causing an electric charge to surge through James’ body.Kayla glanced over her shoulder, a grin playing on her lips as her eyes locked onto James. “Took you long enough,” she teased, her voice laced with a hint of authority.Unsure nizip escort of how to respond, James simply stood before her, his boxers tented with the undeniable evidence of his arousal. A blush crept onto his cheeks, but rather than feeling embarrassed, he couldn’t help but find a sense of liberation in the open display of desire.Kayla arched an eyebrow, clearly surprised by his persistent arousal.A thought crept into her mind. This could be a good opportunity for some payback for all the jokes and annoyances over the years. And it might even be a good opportunity to have some fun with her brother. She’d grown a lot in the last year and they weren’t the same size anymore. She was gonna have fun tossing him around.  “Looks like my little brother truly can’t resist his big sister’s charm. I suppose we’ll have to find a way to put that energy to good use,” she purred, her voice dripping with a commanding tone.As James hesitated, his eyes transfixed on Kayla’s sculpted body, she took a step closer, closing the distance between them. The scent of her sweat mixed with a subtle floral perfume filled his nostrils, and his senses were overwhelmed by the intoxicating combination.Without warning, Kayla’s strong hands firmly grasped James’ waistband, pulling his boxers down to his ankles in one swift motion. James gasped, feeling a mixture of excitement and vulnerability flood through him.”Since you can’t seem to control yourself, we’ll need to teach you some discipline,” Kayla whispered, her tone deliciously commanding. “Get on the mat, on your hands and knees.”Eager to comply, James quickly positioned himself as instructed, his heart pounding in anticipation. He could feel the cool surface of the mat against his skin, the contrast heightening the sensitivity of every touch. Kayla moved nurdağı escort gracefully around him, circling like a predator closing in on its prey. Her fingertips grazed his exposed skin, eliciting goosebumps and sending a shiver down his spine.James could feel the heat of her breath on his neck as Kayla leaned over him, her voice filled with authority.”Now, little brother, get ready to experience the true strength of a woman.”Kayla was now filled with lust and power, she was gonna take their bodies to the limit.Kayla wasted no time in initiating the wrestling match. She swiftly moved from straddling James’ waist to a kneeling position, her strong thighs gripping his sides with an unyielding force. James struggled against her hold, trying to break free from her grasp, but her expertise in wrestling left him powerless. Kayla’s lips curled into a wicked grin as she leaned in closer, her voice thick with confidence.”You see, James, in this world, I am in complete control. You can submit the easy way or the hard way. The choice is yours.”With those words, Kayla unleashed her wrestling prowess. She used her body weight advantage to maneuver James, flawlessly transitioning from hold to hold. As they grappled, James could feel the raw power of his sister, her muscles flexing against his own. Every twist, and every lock further emphasized her control over him. Kayla’s voice reverberated in the basement as she taunted James.”What’s the matter, little brother? Can’t handle the strength of a real woman?” She tightened her grip, causing James to groan as his hardened cock pressed into the mat a mixture of pleasure and pain coursing through his body.James couldn’t help but be both aroused and impressed by his sister’s skill. As she continued to overpower him, James felt an overwhelming urge to please and submit to her, his body and his cock were practically begging for it. Sensing his surrender, Kayla shifted her tactics, her touches becoming increasingly sensual. She caressed his body with deliberate slowness, running her hands over his taut muscles. Each stroke seemed to ignite a fire within him, his desire for her burning more fiercely with each passing second.

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Château Ragia Chapitre 17

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Amateur

-Aaaaah.

Gémit Rose en s’enfonçant profondément sur le gode. Tirant un petit cri de plaisir à Mathilde qui sentit l’objet s’enfoncer également en elle.

La soubrette la chevauchait lentement depuis maintenant une dizaine de minutes. Bien décider à prendre du plaisir ce soir Rose s’était montré extrêmement motivée. Avec de lents mouvements de bassin, elle levait et baissait son entrejambe autour du long phallus qui luisait désormais de ses jus.

-Mhhhhh.

Grimaça-t-elle de plaisir alors que sa chatte s’agrippait au gode pour en tirer le plus de plaisir possible.

Elle malaxait doucement les gros seins de Mathilde tout en pressant les siens afin de les faire ressortir. Ses tétons durs comme la pierre s’offrant à la chasseresse qui se redressa afin d’un attraper un avec les dents.

-Aaah ouiii! Encore encore.

S’exclama-t-elle quand elle sentit Mathilde donner des coups plus rapides de bassin alors que celle-ci mordait ses tétons.

La jeune fille sentait un puissant orgasme se préparer entre ses jambes. Depuis que Sofia et ses amies l’avaient frustré, elle pouvait enfin jouir comme elle le voulait. Chaque orgasme était plus intense et agréable que le précédent. Elle se moquait de savoir si tout cela était un plan de Mathilde. Tout ce qui comptait c’est qu’elle pouvait enfin se faire plaisir!

-Ah! ah! ah! ah! je ja vais jouir!

Mathilde cessa de mordiller son sein et regarda le visage rouge pivoine tordu par le plaisir de la jeune soubrette en souriant tout en ralentissant ses coups de reins.

-t-t-t une bonne soubrette demande l’autorisation pour jouir.

Dit-elle en pinçant le téton de la jeune fille qui manqua de se faire dessus de plaisir.

-ah! aaaah ouiii madameeee. Est-ce que je peux jouiiir madame?

Gémise Rose en se mordant la lèvre pour ne pas jouir sans autorisation.

Mathilde s’allongea sur toute sa longueur en souriant observant la soubrette tremblante fermement fixée sur le gode qui sortait de sa propre chatte

-Mieux que ça esclave.

Le souffle pesant et la sueur couvrant ses seins, Rose saisit doucement les bords de la jupe de son uniforme et les souleva. Découvrant clairement sa chatte couverte de jus, ses lèvres fermement fixées au gode qui la pénétrait.

Tremblante de plaisir, elle tenta de faire une révérence en bredouillant d’une voix rendue faible par le plaisir.

-Es-est ce que je peut j-jouir madame?

En maintenant son bassin parfaitement immobile, Mathilde tendit la main vers les seins exposés de la jeune fille, jouant un instant avec ses tétons, faisant mine de réfléchir alors que Rose gardait cette pose de révérence.

-Dix coups.

Déclara-t-elle en s’installant confortablement.

-Qu-quoi?

Gémis Rose alors que l’envie de jouir se faisait de plus en plus insupportable.

-Tiens dix coups sans jouir et ta gentille maîtresse continuera à te faire plaisir. Mais attention.

Elle caressa doucement le clitoris exposé de la jeune fille lui tirant un profond gémissement de gêne alors qu’elle se retenait de toute ses forces.

-Si tu jouis, je te laisserais repartir sans plus de caresse. Compris.

Rose en voulait plus! Elle voulait encore jouir! Pour une fois qu’elle se sentait si bien elle ne voulait pas que ça cesse!

Elle hocha la tête se préparant à subir le plaisir sans jouir.

-Et je veux que tu me dises à chaque coup que tu es une soubrette perverse.

Lentement Rose souleva son corps, lui tirant un profond gémissement alors que le gode glissait en elle. Maintenir cette pose lui demandait un effort certain, mais sa musculature le lui permettait.

-Ghaaaaah. j-je suis une soubrette perverse nhhhhhhh!

Elle se laissa glisser sur le long phallus, résistant au feu entre ses jambes qui lui hurlait de jouir.

Une fois tout au bout elle répéta l’opération encore une fois en maintenant sa pose humiliante alors que Mathilde savourait chaque tressautement de sa victime.

-Nhhhh je suiiiiisss gaaaah!

L’onde de plaisir la coupa alors qu’elle crut se jouir dessus, bloquant son mouvement à mis parcours.

-Aller tu en es à peine à deux. Je croyais que tu étais une bonne soubrette perverse. Ça ne t’excite pas de te faire plaisir sur une de tes maitresse?

-siii je je suis une soubrette perverse maîtresse ghaaaah

Gémis Rose en reprenant ses mouvements de pompes

Le troisième coup fut plus facile malgré qu’elle sentait de moins en moins ses jambes

-Je suis une soubrette perverse!

Dit-elle avec force alors que le membre voyageait en elle.

Le quatrième coup Mathilde changea les règles.

-dis que tu aimes une esclave soumise.

-Mhhh ouiiii je -je j’aime être une esclave soumise mhhhhhhh!

Gémit-elle en s’enfonçant de nouveau.

Cinquièmes coups, elle manque de jouir, mais résiste au dernier instant.

-Tu es contente que Maria ait fait de toi une esclave?

-Aaaaaah o-oui! Je -je suis contente que Maitresse Maria ait fait de moi son esclave!

Sa chatte glissait avec grand bruit autour du membre alors qu’elle escort reklamları se mettait à trembler de tout son corps.

-Gnhhhh je suis la soubrette perverse de ma maîtresse aaaaah.

Mathilde n’avait plus besoin de la guider. Rose avait compris quoi faire.

Au septième coup elle manqua de tomber dans l’inconscience.

-Aaaha je suis une bonne soubrette soumise qui aime servir maîtresse Maria.

Aux huitièmes coups Mathilde se mit à pincer ses tétons, ajoutant à l’envie de jouir de la jeune fille.

-Ah! je suis une soubrette qui veut jouir aaaaah!

Mathilde s’amusait à voir Rose sombrer ainsi.

-Et tu aimes tété petite perverse?

Dis Mathilde alors que Rose préparait son avant-dernier coup.

-nhaaaaaa! oui! je -je -je suis une soubrette qui aime tété ses maîtresses! aaaaaah maîtresse je veux jouiiiiir!!!

Cria-t-elle de toute ses forces alors que son esprit s’embrumait de plaisir.

Un long filet de bave coulait de sa bouche sur son corset alors que ses seins étaient pressés par les mains de Mathilde.

Dans un hurlement de plaisir, elle se laissa lourdement tomber sur le gode, le faisant pénétrer le plus profondément possible alors que son corps se cabrait en tremblant sous le coup de l’orgasme.

-Aaaaaah aaaaaaaaaah! ghaaaah!!

Les jambes s’agitaient autour des hanches de Mathilde alors que son corps tressautait à chaque micro mouvement de la chasseresse.

Celle-ci passa sa main sur la peau tannée de la jeune fille, savourant son état d’épuisement après un orgasme aussi violent. Lentement elle rapprocha le visage essoufler de la soubrette du sien.

-Bonne fille. Viens là.

Lui susurra-t-elle avant de poser ses lèvres sur les siennes. L’esprit embrumé de Rose lui fit voir le visage doux de Maria et la soubrette laissa sa langue se balader dans la bouche de la grande blonde qui commença a faire de tendre mouvement de bassin.

-Aaaaah. Mhhhh.

Gémis doucement Rose dont la poitrine pressait fortement contre celle de Mathilde.

La chasseresse la caressa doucement pendant leur baiser puis elle déposa son corps encore faible sur le lit.

Encore tremblante Rose ne résista pas un seul instant, elle soufflait comme un animal alors que sa chatte semblait se contracter d’elle-même.

-Mhhhhh.

Gémit-elle doucement alors qu’elle sentait le gode de Mathilde pénétrer en elle. Les mouvements étaient doux et délicats, les lents vas et viens lui tirait de petit gémissement qu’elle ne tentait plus de cacher alors que de tendres orgasmes travaillaient son corps.

Mathilde jouit de nombreuses fois alors qu’elle lui faisait l’amour, ses orgasmes semblant redoubler par l’entrain de la soubrette qui désormais se tordait de plaisir sous elle. Obéissant à ses commandes et régissant à chacune de ses caresses.

-Ah! ah! ah! oui! madame! ah oui je je vais jouir!

Rose tremblait en gémissant alors que ses bras s’accrochaient avec tout ce qu’il restait de leur force aux piliers du lit. Derrière elle Mathilde la prenait désormais avec vigueur après avoir mise la soubrette debout devant le lit. Son gode voyageant par à coup dans l’intimité de la soubrette dont les seins balançaient de haut en bas à chaque mouvement.

-Mhhh ah! moi aussi! ah! Tiens!

Rose gémit de plus belle quand la main s’écrasa sur sa fesse pendant que le gode atteignait sa plus profonde intimité.

-Ghhhh!!

La jupe de son uniforme voletait à chaque coup de la chasseresse, Rose pouvait tout voir, en effet un miroir était apparu sur le sommier du lit. Ainsi elle avait une vue parfaite sur ses seins qui gigotait à chaque coup. Elle pouvoirs vois son visage couver de sueur se tordre de plaisir alors que sa coiffe s’agitait de concert. Elle pouvait voir son corps réagir a ses orgasmes, mais a l’inverse de la couvrir de honte cela l’excitait encore plus.

Elle savourait chaque goûte de plaisir pensant à ce qu’elle ferait quand elle serait libre, comment elle ferais payer ces femmes, elle jouissait en imaginant sa vengeance accomplie, ces folles a ses pieds suppliant de les épargner et elle leur refusant cet honneur.

-Aaaaaaah!!!

Elle se cabra dans un puissant orgasme, plaquant son corps contre celui de Mathilde qui jouit en même temps qu’elle, enfonçant son gode jusqu’as la peau de ses hanches soit complètement plaquée sur le fessier de Rose.

-Mhhhhh! Bonne soubrette.

Gémit-elle en donnant d’ultimes petits coups qui résonnèrent dans l’intimité de la jeune fille qui s’effondra à genoux au sol quand la chasseresse se retira.

-Vraiment ton cul est magnifique.

Rose repris son souffle alors que son entrejambe irradiait de satisfaction.

-hhhh. Merci madame.

Souffla-t-elle en se relevant doucement.

-Je n’avais jamais remarqué, mais ton teint colle parfaitement avec l’uniforme en plus. Vraiment tu étais faite pour devenir une gentille soubrette soumise.

Rose peinait à se tenir debout tant son corps avait joui, mais le miroir ne pouvait que confirmer les dire de escort resimleri Mathilde. Sa peau matte était luisante de sueur et faisait ressortir le blanc crème des frou-frou de son uniforme, sa coiffe émergeait de ses cheveux noir ébène comme un symbole de sa soumission, ses seins tendus tiraient sur la maigre fabrique du soutins gorge faisant frotter ses tétons contre le petit bout de tissus blanc qui les couvrait. Elle était incroyablement excitante dans ce costume ridicule.

Reprenant ses esprits elle fit une révérence tremblante comme Maria le lui demandait toujours.

-Merci madame.

Mathilde sourit en voyant le regard fatigué de plaisir de la jeune fille.

-Merci de quoi?

Rose soufflât et tenta de lui sourire en répétant ses mots.

-Merci d’avoir fait jouir cette soubrette soumise.

Mathilde savoura les mots humiliants alors que Rose se redressait.

-Allons c’est normal de récompenser une bonne esclave. Non?

-s-si madame.

Dit Rose alors que ses jambes manquèrent encore une fois de lâcher sous elle.

-Tu peux y aller. Demain, repose-toi tu à quartier libre.

Rose souleva un sourcil étonné. On lui offrait vraiment une journée au calme?

-Ne t’amuse pas trop avec Sofia et envois moi un des étalons, ton cul m’a donné des envies.

Rose s’inclina en reculant.

-Oui madame.

Dit-elle en quittant enfin la pièce pour retourner dans le couloir des statues. Elle frissonna quand le courant d’air provoqué par la fermeture de la porte caressa sa chatte humide.

Elle pouvait enfin souffler un peu. Sans même qu’elle s’en rende compte elle c’était mise a avoir un léger sourire. Depuis longtemps elle se sentait bien et en forme.

Même si elle détestait Mathilde elle avait beaucoup aimé leurs ébats et elle devait reconnaître qu’elle avait rarement autant joui de sa vie.

S’en rendant compte elle se donna une gifle mentale. À quoi pensait-elle! elle avait juste décidé de profiter un peu de sa situation! elle ne devait pas oublier son objectif.

Après avoir transmis les commandes Mathilde à un des étalons qui partit satisfaire sa maîtresse en silence Rose profita un peu du calme du pavillon. La nuit venait de tomber et le froid de plus en plus mordant commençait a s’infiltrer dans le grand bâtiment.

Elle poussa la porte de la chambre qu’elle partageait avec Sofia en restant sur ses gardes. Elle ne savait pas ce qu’avait prévu la soubrette aux oreilles de chat.

-Mphhhh?

Le corps bougea alors que la soubrette allumait la lumière. Rose sursauta en voyant la jeune femme.

Elle était fermement attachée sur les piliers du lit par un ensemble de corde et de sangle de cuir, le tout fermé par un cadenas rose au niveau de son nombril qui semblait maintenir le tout. Rose reconnut le dispositif qui enserrait la tête de la jeune femme. Un lourd casque cachait ses oreilles et un masque ainsi qu’un bâillon de cuir épais l’empêchait de voir et de parler.

Rose compris que Sofia n’avait même pas vu la lumière s’allumer, elle avait simplement senti un courant d’air. Restant silencieuse elle se déplaça lentement au travers de la chambre. Le matériel pour bébé à taille adulte avait été poussé dans un coin laisser place a une décoration beaucoup plus proche de sa propre chambre au château.

Continuant son étude de Sofia elle remarqua que la jeune femme portait une ceinture de chasteté équipée de nombreux vibrateur pour l’exciter et la frustrer, un petit trou ouvrait sur son anus et la plaque de métal qui couvrait sa chatte était couvert de petit trou pour laisser passer ses fluides. Un petit bruit lui indiquait que les vibrateurs s’allumaient ce qui provoqua immédiatement un gémissement chez la jeune femme.

-Mmmmmm! mmm! m!

Elle faisait de grands mouvements de bassin trahissant qu’elle voulait terriblement jouir. Rose remarqua une feuille posée sur une table comprenant un assortiment de cravaches des sex toys et de divers outils de torture

« Interdiction totale pour elle de jouir jusqu’as après-demain. En attendant, elle est toute à toi. Tu t’occuperas des punitions également demain. Je serais dans mon bureau ne me dérange pas.

Mathilde

ps : notre amie à un anus très sensible »

Rose sourit. Décidément cette journée venait de prendre un tournant très agréable. Elle reposa la lettre en se mettant à réfléchir accompagné des gémissements de Sofia. On lui offrait une journée pleine pour tenter quelque chose. C’était sa chance, Mathilde la croirait soumise après cette nuit! Elle serait moins attentive. Elle pouvait le faire!

-Mphhhh!!!

Sofia cria de frustration au travers de son bâillon quand la vibration cessa la privant d’orgasme. Rose sourit en se disant que cela devait faire plusieurs heures qu’elle subissait cette torture alors que Mathilde la faisait jouir.

-Alors comme ça on a été vilaine. Elle est plus si gentille là ta maîtresse non?

Dis Rose en saisissant une des cravaches. Avec son casque Sofia ne l’entendit pas.

-phhhhh!!!! ghaaaah!

Rose gaziantep escort sitesi frappa la fesse de la femme sans défense de toutes ses forces, lui laissant une profonde marque rouge dessinant la forme de la cravache

-Tiens!

Elle frappa de nouveau les fesses avec la longue cravache tirant un nouveau cris de douleur a la femme qui tentait de se tordre pour éviter les coups malgré le fait qu’elle ne voyait ni n’entendait rien.

-ghaaaa!!! aiiiiiie!!! phtooop! aaaah!

Rose frappait de toute ses forces, laissant ressortir sa frustration et sa colère. Cette femme qui l’avait torturé, qui l’avait humilié : elle était à sa merci!

Son bras finit par fatiguer et elle cessa de frapper les fesses rendues rouge vif par la cravache.

-Mphonnnn!

Le bruit du vibrateur se remettant en marche tira un sourire à la jeune fille alors que Sofia se remettait à gémir. La renvoyant dans un monde de frustration.

Rose savourait chaque petit gémissement de frustration, chaque tressautement du corps de celle qui l’avait traîné dans les bras de Mathilde.

Lentement elle retira les le masque et le casque de la femme, la laissant voir de nouveau.

-Phose?

Gémis elle au travers de son bâillon. La jeune fille pouvait voir que Sofia avait pleuré sous les coups de cravache.

-phest phe qu? phphphphphpph! phphphiihihihihih.

-Oooooh qu’est ce que c’est que ça?

Rose avait baladait doucement ses doigts sous les aisselles découvertes de Sofia qui se trémoussait sous les chatouilles.

-Tu es chatouilleuse aussi toi? C’set dommage dis donc.

Dis la soubrette en souriant face à la souffrance de sa victime.

-Phihihihihiih ouhihihihi. Mhhhhhh.

Gloussa sa victime alors que sa ceinture métallique se remettait à vibrer lui tirant un profond gémissement de plaisir.

Rose cessa ses chatouilles pour saisir le visage de la femme.

-Tu vois comme c’est agréable? Tu aimes quand on te fait du mal? Hein, eh bien tiens je vais te donner plein de plaisir tu vas voir!

Son ton était plein de rage. En un mouvement elle descendus du lit, sur la table elle saisit un large gode noir qui semblait déjà huilé.

-mhhhh oui je vais te donner du plaisir. Mhhh remercier ma nounou.

-Apheennnd ropheee!

Gémis Sofia quand elle sentit le gode s’approcher du gros trou qui ouvrait vers son anus.

-Mais non je dois te remercier pour tes chatouilles et tes tété non?

-Gnnnnnhhhh!

Le corps de Sofia se raidis quand le gode commençât à se frayer un chemin dans son anus, tentant de résister de toutes ses forces au corps étranger.

-Mhhh regarde comme tu es tendue oh!

Le gode se mit à bouger, le long objet semblant fondre dans la main de la soubrette en un millier de filins caoutchouteux. Elle sursauta de surprise quand ces mêmes filins se déplacèrent vers son bassin.

-qu’est-ce que? Ah!

En un instant l’ensemble dont un bon tiers était toujours enfoncé dans l’anus de Sofia se fixa à son entrejambe. Comme beaucoup de choses ici elle avait renoncé à comprendre bien des objets que ces femmes possédaient.

Désormais toute son entrejambe était couverte de cette étrange substance caoutchouteuse, elle comprit que l’objet formait un gode aux proportions parfaites pour son corps. Quelle merveille de technologie se dit-elle.

Elle gémit de surprise quand quelque chose à l’intérieur attrapa son clitoris et que des centaines de filins semblait se connectèrent ses muqueuses.

-phonnn phaa phaaa! phoooonnn.

Gémis Sofia de terreur en comprenant ce qui se passait, visiblement elle connaissait l’objet.

-Aaaah mhhh, c’est, c’est bizarre.

Gémis Rose quand elle se mit a pousser en avant pour enfoncer toujours plus loin le membre dans une Sofia qui se cabrait dans tous les sens, tentant vainement de combattre le voyage du membre.

Pour Rose la sensation que lui transmettait l’objet était étrange. Elle ressentait le gode comme si elle avait un pénis! Son clitoris semblait relié au gland et l’anus serrant l’objet lui donnait les mêmes sensations qu’un membre en elle.

-whaou! ah! ah!

Savourant la sensation elle donna de puissants coups à Sofia, manquant de jouir elle-même.

-Mphhhh phtoooop!

Gémissait Sofia de plus en plus faiblement alors que son anus semblait avaler le long phallus huilé.

-Mhhhhh

Rose gémit de contentement en sentant le gode l’exciter de nouveau. Elle se fichait de l’inconfort de Sophia alors qu’elle faisait de larges mouvements de bassin, savourant le doux plaisir que lui procurait l’objet alors qu’elle pouvait enfin savourer un orgasme au rythme qu’elle le souhaitait.

Les fesses de Sofia rebondissaient doucement à chaque coup comme deux seins parfaitement formé.

-Ah! oui, bouge ces fesses pauvre tarée. Ah!

Dit-elle en donnant des coups puissants et réguliers en profitant du spectacle.

-Mphhhhh! phhhh! huhhh!

Sofia tentait vainement de se soustraire au gode, mais ne parvenait qu’agiter autour alors que sa ceinture de chasteté continuait de l’exciter sans lui permettre de jouir.

« Clac »!

La main de Rose s’abbatit avec grand bruit sur le fessier rebondi et rouge de la femme qui poussa un cri de surprise et de douleur alors que le gode continuait de voyager en elle.

-quoi?

« Clac »

La main s’abattit de nouveau alors que Rose se sentait de nouveau prête à jouir.

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Shattered Hearts

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Anal

That first time he called me on the phone we talked for hours. His voice was strong and confident. He was a jack of all trades. He was currently working in sales for a media franchise. He told me stories of his early life. I shared stories of mine.After that first call, we started texting and then FaceTime. We had a lot in common. The talks varied from day to day, but one thing was always consistent. There was no mistaking the chemistry that was building. One thing that shouldn’t be was forming between him and me and that was love.“Wendy you know where this is going don’t you?” he said during one long call.My heart was beating hard in my chest. “Yes,” I softly whispered.That’s when he said it. “Wendy, I love you.”“l love you too, baby.”We didn’t rush anything. We both had obligations and lives. But, eventually, FaceTime and phone calls weren’t enough.He called me at work and I could tell by the tone of his voice he was horny.“Wendy, I’m desperate to have you. Tomorrow I’m flying to Michigan and I want us to meet for real. I have a hotel booked and I want you to come and spend Valentine’s weekend with me.”I was a little overwhelmed. “ Can I think about it?” My hands were shaking.“No, baby, my flight is booked the room is paid for. All you need to say is yes.”I knew it gaziantep ofise gelen escort sounded crazy, but I said it anyway. “Okay. Yes.”“Wendy, you have no idea how much I love you.” He sounded so happy. “I am flying out tomorrow early afternoon from Chicago. I booked the room at the Four Points Suites. I’m going to rent a car and drive from the airport to Saginaw. I should be there by 6 pm. Text me when you arrive and I’ll meet you in the lobby.”My mind swirled. I needed to go shopping. I needed new panties and bras and an outfit and a wax.The next morning I got a text saying “Good morning, my heart. I’m doing some business then I’ll be going to the airport in about three hours and I can’t wait to hold you. One request since it’s Valentine’s Day today. Could you please wear red panties for me?”I sent him a picture of the sexy red-laced silk panties and matching bra I had bought last night.He responded with a drooling emoji and a bouquet of flowers. “My cock is so hard right now,” he texted.Everything went as planned. He texted when he arrived at MBS airport and again after he rented his car.“I’m leaving right now,” I texted. “Should arrive at the hotel around the same time. I’ll meet gaziantep öğrenci escort you in the lobby. I love you, handsome.”Driving to the hotel, my insecurities flooded me with doubt. I worried he wouldn’t find me sexy, or he’d find me too fat or ugly. The radio was playing love songs because it was Valentine’s Day. I sang along and started to feel better. At least I didn’t decide to ghost him.It was almost 7 pm when I arrived at the hotel.I took one last look in the mirror, applied some perfume, and carefully shimmied out of my truck. My black skirt and heels made the descent a bit awkward.The glass sliding doors opened to the lobby.********I see you first. You’re at the desk, bouquet of red roses in hand, wearing a dark blue suit coat, blue jeans, cowboy boots. I walk closer to stand next to a gorgeous waterfall atrium, feeling the calmness wash over me as I watch the fish swim lazily about.As you turn away from the desk you see me.I can’t see you as my back is turned, but other guests in the lobby notice your smile lighting up the room. An older woman nudges her husband and says, “Aww, young love.”“Wendy?”I turn, and there, looking as handsome as I imagined, you come to me give me a huge hug. oğuzeli escort Then you kiss me. I swear I hear my heart beating. I’ve never been held and kissed like that in my life.After the long very public kiss, you give me the roses and take my hand, leading me through the lobby to the elevators.Your grip is strong. I have the feeling you think I might try and run.The elevator stops on the top floor. You read the signs as we walk toward our room, your grip tightening. We stop at the last door on the left. The plaque reads “Honeymoon Suite.”You blush. “I wanted the best for you, sweetheart.”You swipe the key across the door lock and open the door. The room is glowing with soft flickering candles and rose petals are strewn across the huge king-size bed. There’s a bottle of champagne in a bucket of ice waiting for us.“Happy Valentine’s Day, my love,” you whisper as we kiss again. Your tongue pokes inside my mouth and your arms hold me against your body. I feel your cock straining against your jeans, your excitement and passion rising with each heartbeat.Our lungs burning with the need for air, we break the kiss. You take the roses from me and place them on the desk. We sit together on the couch. The air between us practically sparkles with sexual energy.We make small talk as you pour one glass for us to share. “Very romantic aren’t you?” I tease.We take a sip and then you take the glass from my hand and put it on the table.“Wendy, I hope you understand how much I need you.” You lean forward and kiss me again.Your tongue pushes against my tongue, the kiss gets more passionate. Your hands slide down my back, rubbing greedily and possessively over my ass.

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Dominatrices Inattendues Ch. 31

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Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 31 l’échec de Maeva.

Extrait ; » Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille. Ça ne présage rien de bon….Les garçons installent un plateau identique à Gisèle. Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles. Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos… »

Maëva a fait transformer une pièce au sous-sol de sa maison en donjon. Elle a donné comme explication la vengeance qu’elle voulait obtenir sur martine et elle est arrivée à ses fins.

Mais le but principal de ce donjon c’était de soumettre petit à petit son mari Laurent.

Afin d’y aller progressivement elle lui a proposé de jouer ensembles en tenant le rôle du dominant chacun son tour.

Laurent à qui les quelque jours passés à dresser martine ont laissé un souvenir génial n’est pas contre et entre complétement dans le jeu.

Ils commencent ainsi un innocent jeu de bondage et domination au début très soft puis de plus en plus hard.

Maëva a sa grande surprise aime autant être dominée que le contraire.

Laurent est particulièrement ingénieux et elle finit toujours les séances ou elle est dominée en feu après des orgasmes mémorables.

Maintenant contrairement au plan initial de Maeva c’est presque toujours elle qui est dominée. Mais elle kiffe trop ça pour imposer plus d’équilibre.

Deux mois plus tard elle doit l’admettre. C’est toujours elle qui subit. Et elle voit que Laurent prend particulièrement son pied.

Elle décide de prendre sur elle et de renverser la vapeur.

Elle prévient Laurent qu’elle veut reprendre un peu la main et cesser pendant quelque temps d’être la soumise.

Il réfléchit et accepte à la condition qu’il joue encore une fois le rôle de dominant avant d’échanger.

Elle accepte.

Laurent commence par l’attacher dans le donjon.

En quelques minutes elle se retrouve debout, les jambes écartées au maximum par une barre d’écartement, les bras liés dans le dos et accrochée à une poulie au plafond ce qui la force à se pencher en avant.

Elle a le torse à l’horizontale.

Il lui met un écarteur de mâchoire et un masque aveuglant.

C’est classique et elle trouve qu’il n’a pas fait preuve d’imagination.

Mais elle n’est pas au bout des surprises qu’il a concoctées.

Il lui annonce qu’offerte comme elle est, il serait dommage de ne pas en faire profiter un ami.

Elle pense qu’il plaisante mais ça la chauffe quand même au fond d’elle-même.

Puis un sexe dressé se présente à sa bouche et force sans difficulté l’entrée, l’écarteur obligeant Maeva à garder la bouche béante.

Elle fait de son mieux pour faire une bonne fellation en imaginant qu’il s’agit d’un étranger.

Une paire de mains attrape sa croupe.

Et aussitôt elle sent une queue pénétrer sa chatte en force et alors qu’une autre paire de mains lui attrape les seins.

Ce coup-ci c’est sur Laurent n’est pas seul.

Elle panique un peu.

Elle ne peut rien voir et le deuxième homme ne dit pas un mot.

Ils la besognent puissamment et elle s’abandonne à la jouissance en se demandant qui ça peut bien être.

Après qu’ils se soient répandus en elle ils ne la détachent pas. Elle sent qu’ils quittent la pièce.

Plus tard alors que les crampes commencent à la travailler elle entend des bruits de pas. Lurent lui annonce qu’un bon whisky remet en forme et que son compagnon en redemande.

Elle est de nouveau prise en sandwich. Une légère différence d’odeur lui fait comprendre qu’ils ont échangé les places.

Quand Laurent la détache enfin il est seul.

Elle demande avec une colère feinte qui était la deuxième personne il lui répond qu’il fera partie de invités à la soirée poker prévu à la maison ce soir-là.

Il ajoute que si elle ne le reconnait pas la prochaine fois il y aura plus de monde.

Ça l’affole et en même temps ça l’excite profondément.

Etre prise par un inconnu l’a déjà beaucoup allumée mais par plusieurs elle a du mal à l’imaginer.

Ce soir elle est l’hôtesse des quatre amis de Laurent qui sont venus jouer.

Elle cherche dans les attitudes ou regards celui qui l’a embroché plus tôt dans la journée mais ils ont tous l’air de la regarder avec un œil égrillard et elle les imagine tous en train de la posséder.

Une fois les invités partis Laurent demande à Maeva si elle a reconnu son amant inconnu.

Elle répond par la négative.

Il lui dit alors que le lendemain elle devra repasser par la case donjon pour essayer de faire un effort pour reconnaitre le prochain invité.

Elle veut refuser mais l’excitation et toujours là et elle accepte le challenge.

Le lendemain elle est dans la même position et Laurent lui annonce qu’ils ont de la visite.

Elle attend avec impatience et est vite comblée.

Une bite dans la bouche et une dans le cul.

Elle kiffe quand elle entend la voix de Laurent qui vient de l’autre bout de la pièce.

Je gaziantep bayan escort ilanları vous avais bien dit qu’elle était docile et qu’elle était fait pour s’enfourner plusieurs queues en même temps.

Maeva a un sursaut ils sont au moins deux en plus de Laurent.

Elle veut ruer mais elle ne peut pas bouger et fini par se laisser fourrer.

Tant qu’à faire autant profiter de ses bonnes queues.

Lorsque Laurent vient enfin la détacher elle est incapable de mettre des noms sur les queues avec qui elle a fait connaissance.

Il lui dit alors qu’elle aura un gage pour la prochaine soirée poker.

Elle est interdite. Qu’à t-il inventé. En même temps elle est impatiente d’être à cette soirée.

Le jour arrive et Laurent lui dit d’aller se mettre en tenue pour accueillir ses invités.

Elle est étonnée car elle est déjà correctement habillée. Il lui précise que sa tenue est sur le lit.

Curieuse elle va voir la tenue sur le lit.

Il s’agit d’une tenue de soubrette très sexy en bas une mini jupette avec un tablier riquiqui et en haut une espèce de body avec balconnets qui soutient le bas de seins tout en laissant ceux-ci visibles.

Un porte jarretelles et des bas assortis et enfin une petite coiffe mignonne.

Elle ne trouve pas de sous-vêtements.

Par défi elle met la tenue et va voir Laurent en lui disant qu’il manque les sous-vêtements.

Heureusement elle en a qui iront bien avec la tenue et elle lui dit que cette tenue doit plutôt être réservée à des jeux entre eux deux.

Il l’attire vers lui et lui dit de se retourner.

Elle le fait volontiers pour montrer ses belles fesses.

Il en profite pour lui passer les menottes dans le dos.

Elle se retourne étonnée mais il lui dit qu’elle n’a pas besoin de sous-vêtements car ses amis connaissent tous son intimité profondément.

Elle est interloquée et veut râler.

Il lui insère de force un bâillon boule dans la bouche la réduisant au silence.

Elle est à la fois en colère et à la fois complétement émoustillée.

Il lui montre alors un plateau de service.

Ce plateau dispose d’une espèce de sangle qui sert à ceinturer le plateau sur la taille et une chainette qui passée autour du cou de Maëva relie les deux coté du plateau gardant celui-ci horizontal.

Tu pourras nous servir les rafraichissements comme ça lui dit-il.

Elle commence à se poser des questions.

Il a vraiment l’air sérieux.

Pourtant elle ne veut pas être exhibée ainsi devant les amis de poker de Laurent elle en connait certains mais deux d’entre eux lui sont complétement inconnus.

Comment pourraient-ils avoir participé aux jeux sexuels de Laurent et Maëva.

La sonnerie de l’entrée retentit.

Laurent va ouvrir et revient dans la chambre avec son ami Maurice et sa femme Gisèle.

Maeva ne sait pas ou se mettre elle est exposée plus que nue devant ce couple d’ami.

Puis elle remarque que Gisèle est enveloppée dans un grand manteau qui la couvre des pieds au cou.

Maurice enlève alors le manteau et elle constate que Gisèle porte la même tenue qu’elle en dehors du bâillon.

Elles sont magnifiques déclare Maurice en mettant les deux jeunes femmes l’une à côté de l’autre.

Gisèle est un peu plus potelée que Maëva mais elle possède des fesses magnifiques et se poitrine opulente couleur de lait doit donner beaucoup de plaisir à son homme.

Bon il ne nous reste plus beaucoup de temps dit Laurent.

Gisèle n’a pas desserré la bouche mais fait un petit sourire contrit à Maëva.

Elles sont dans la même galère.

Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille.

Ça ne présage rien de bon.

Ils les relèvent et leur mettent un écarteur de bouche après avoir ôté le bâillon de Maëva.

Elle n’ose pas râler devant giselle qui a l’air d’accepter son sort.

Quand on aura besoin de quelques choses on vous appellera comme ça dit Maurice en actionnant les télécommandes.

Le plug s’ébranle et Maëva ressent de puissantes vibrations dans le bas ventre.

Oups ça risque d’être dur car en quelques secondes les vibrations font monter une grosse chaleur du tréfonds de Maëva.

Elle voit la tête de Gisèle et se dit qu’elle aussi est sensible aux vibrations.

Les garçons installent un plateau identique à Gisèle.

Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles.

Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos.

La sonnette retentit. Les garçons emmènent les filles dans la cuisine et vont ouvrir la porte d’entrée.

Laurent installe les trois autres participants dans le salon ou une table de jeu les attend.

Ils tirent au sort les places et s’installent tranquillement.

Le jeu peut commencer.

Après quelques minutes Laurent demande aux invités s’ils veulent boire ou manger quelque chose.

Tout le gaziantep bayan eskort monde est d’accord pour une coupe de champagne.

Laurent et Maurice montrent leurs télécommandes aux autres et les actionnent.

Maeva et Gisèle qui se regardent un peu apeurées ressentent soudain simultanément les vibrations.

Elles se regardent et Gisèle fait le premier pas vers la sortie de la cuisine.

Elles entrent dans le salon ou elles font un effet bœuf.

Les loups de Tex Avery seraient jaloux des réactions des convives qui s’en mettent plein les yeux.

Du champagne pour tout le monde ordonne Laurent.

Les filles retournent dans la cuisine et ouvrent le frigo.

Plusieurs bouteilles sont dedans dont deux ouvertes.

Laurent avait prévu le coup.

Elles réussissent en s’aidant mutuellement à remplir de coupes et à les installer sur les plateaux.

Puis elles se dirigent vers le salon.

Elles font de nouveau de l’effet en entrant.

Maeva a du mal à en convenir mais ça l’excite au plus haut point.

Elles font le tour de la table chacune de son côté.

Maurice dit aux invités elles sont à votre disposition vous pouvez toucher.

Au passage de Maëva des mains lui flattent la croupe. Elle en ressent une délicieuse chaleur.

Laurent et Maurice leur montrent chacun un coin de la pièce et elles s’y mettent attendant les nouveaux ordres.

Plusieurs fois elles sont mises à contribution. Elles arrivent même à rire entre elles lorsqu’elles doivent taire des clubs sandwichs à l’aveugle avec les mains dans le dos.

Vers la fin, de la soirée Laurent et Maurice viennent dans la cuisine féliciter les filles pour leur service.

Ils ôtent les plateaux et leurs disent maintenant on va faire un jeu avec tout le monde.

On va décerner le prix de la meilleure suceuse.

Ne nous décevez pas ou la nuit sera pénible.

Gisèle et Maëva se regardent interdites mais elles n’ont pas le temps de réfléchir que déjà Maurice et Laurent les entrainent dans le salon.

Ils les font mettre à quatre pattes et les forcent à passer sous la table.

Là elles peuvent voir que tout le monde s’est débraguetté et que les chibres sont plus ou moins raidis.

Elles se regardent et ont un fou rire.

Il y en a des grosses et de moins grosses des longues et des courtes.

Puis ensemble elles commencent à pomper.

Maeva a les mâchoires douloureuses à force d’être écartées mais elle fait au mieux avec sa langue.

Gisèle semble absorbée par sa tâche.

Soudain Laurent et Maurice ajoutent du piquant en activant les plugs.

Les filles redoublent de travail mais elles sont de temps en temps fauchées par un orgasme.

Enfin elles ont vidé les couilles de tous les garçons car les chibres sont maintenant au repos.

Maëva a l’impression que certains ont remis le couvert pendant qu’elles s’occupaient des autres.

Laurent et Maurice sortent les filles de sous la table et les remmène dans la cuisine après qu’elles aient été déclarées ex aequo.

Ils les libèrent ôtent les écarteurs et les ramènent dans le salon.

Elles ont un petit sourire en voyant l’air heureux des invités.

Ceux-ci les féliciteront pour la magnifique soirée qu’elles leur ont fait passer au moment du départ.

Laurent et Maurice laissent alors les deux filles seules un moment dans la cuisine.

Elles parlent alors du cheminement qu’elles ont pris pour en arriver là et s’aperçoivent que c’est quasiment le même parcours.

Laurent et Maurice avaient dû se concerter pour ça.

Gisèle lui avoue que ça la fait kiffer grave et Maëva ne peut que lui dire qu’il en est de même pour elle.

Gisèle lui dit que la prochaine soirée poker devrait avoir lieu chez elle.

Maeva lui dit qu’elle pourra compter sur elle pour ne pas la laisser seule.

Cette nuit-là Laurent est particulièrement doux avec Maëva.

Elle espère que ce moment de douceur ne durera pas et qu’il trouvera qu’autres challenges pour elle.

Elle a définitivement renoncé à dresser Laurent.

Elle a trouvé bien mieux.

Laurent a décidé de continuer l’éducation sexuelle de Maëva.

Ce jour-là elle attend nue à genoux une nouvelle surprise.

Elle est dos à la porte du donjon dans lequel elle passe de plus en plus de temps.

La porte s’ouvre mais elle n’a pas le droit de se retourner. Elle entend des pas s’approcher.

Elle essaye de compter pour voir s’il y a plusieurs personnes. Une main lui caresse le cou.

Elle frissonne. Quelqu’un passe devant elle et elle reconnait un des amis de Laurent.

La main sur son cou continue à la caresser.

La main est douce et commence à descendre vers ses seins.

Elle soupire d’impatience d’être pétrie.

Elle sent que le propriétaire des mains la contourne elle va voir qui est cet homme aux mains si douces.

A sa grande surprise c’est une femme très jolie et très jeune qui la regarde avec une certaine timidité dans le regard.

L’ami de Laurent se recule gaziantep escort et la femme se met à genoux face à Maëva.

Elle lui embrasse les seins.

Maëva est surprise par la douceur du baiser.

L’ami de Laurent lui fait signe de participer.

Elle caresse la tête de la jeune femme qui frissonne à son contact.

Peu à peu elles se caressent de plus en plus intimement.

L’ami de Laurent impassible observe le manège.

La jeune femme fait relever Maëva et elle qui est restée à genoux embrasse le sexe de Maëva.

Ça ne l’étonnerait pas que ce soit la première fois pour sa voisine.

Petit à petit les deux femmes se Lâchent et finissent par oublier l’homme.

Celui-ci se rappelle à elle en les menottant les mains dans le dos. Elles sont à genoux toutes les deux.

Du bruit se fait entendre et Laurent entre dans la pièce. Il approche des deux femmes qui sont de nouveau à genou et sort son membre qui est bien érigé.

L’une après l’autre elles le sucent.

Laurent se retire et les attire jusqu’au lit et les fait monter sur le lit.

Elles sont à genoux sur le lit attendant qu’il décide quoi faire.

Il prend la jeune femme en levrette et indique à Maëva de se mettre allongée les jambes écartées au niveau du visage de la jeune femme.

Celle-ci embrasse le sexe de Maëva tout en étant fourrée par Laurent.

Puis Laurent les fait inverser les positions.

Maeva n’a pas l’habitude de brouter une femme mais elle est bien excitée par la situation et la jeune femme lui plait.

L’ami de Laurent observe toujours.

Laurent se retire et les mets toutes les deux face à lui pour une fellation alternée.

Il finit par gicler et les deux femmes sont aspergées.

Il leur fait comprendre de se lécher pour avaler les gouttes de sperme. Ce qu’elles font sans déplaisir.

Laurent quitte le lit et les laisse à genou. L’autre homme se déshabille enfin.

Laurent revient avec deux godes ceintures qu’il pose sur Maeva et la jeune femme.

Il donne une paire de menottes à Maeva et lui montre l’homme qui se retourne et présente ses poignets.

Maëva va attacher les poignets de l’homme dans le dos. Il monte sur le lit et se met à genoux.

La jeune femme se penche pour lui faire une fellation.

Pendant ce temps Maëva passe derrière lui et l’embroche avec le gode.

Il est résistant à la fellation et bientôt Maeva et la jeune femme échangent les places.

Elle se retrouve à sucer l’homme pendant que la jeune femme le travaille avec le gode.

Maeva voudrait que ça se conclue et pince les seins de l’homme .

Il réagit aussitôt et son sexe se durci un peu plus dans la bouche de Maëva.

La jeune femme voit l’effet et de son côté elle serre entre les mains les couilles de l’homme.

Ruades.

Ce coup-ci il a l’air de prendre son pied.

Maeva pince plus fort les tétons et la jeune femme presse littéralement les couilles.

L’homme se cabre et décharge dans la bouche de Maëva.

L’homme se retire et Maeva et la jeune femme se retrouvent seules sur le lit.

Je m’appelle Aude dit la jeune femme.

Et moi c’est Maëva répond celle-ci. Très heureuse de te connaitre.

L’intermède avec le couple bizarre n’a pas été totalement cool pour Maëva.

D’autres visites se succèdent. Une d’entre elle est inoubliable pour Maeva.

Laurent l’a attachée au piton situé au plafond elle a les bras tendu vers le haut et doit se tenir sur la pointe des pieds.

Un homme masqué entre dans la pièce.

Elle ne le reconnait pas. Il lui met un bâillon boule. Elle se dit qu’elle ne pourra pas le sucer.

Il prend une petite cravache et se met méticuleusement à la cravacher pas trop fort pour ne pas l’abimer mais les coups sont portés avec suffisamment de puissance pour qu’elle sursaute.

Il la cravache ainsi longtemps s’assurant de ne pas oublier un centimètre carré de son corps.

Au début elle résiste mais peu à peu elle est obligée de crier dans son bâillon et les larmes coulent sur son visage.

Il n’en tient pas cure et continue sa besogne.

Maintenant une douleur brulante couvre tout son corps elle n’en peut plus et se laisse pendre au bout de ses bras n’ayant plus la force de se tenir debout.

Il arrête enfin et la détache elle pleure et se laisse faire il la porte jusqu’au lit ou il la couche. Elle se laisse faire n’ayant plus aucune force.

Il la couche sur le dos et la pénètre vigoureusement.

La douleur fait place à une chaleur qui vient du creux de ses reins. Elle a l’impression qu’elle n’a plus mal et elle se laisse emporter par une jouissance inconnue.

Il se retire après avoir joui mais reste à côté d’elle dans le lit.

Elle est la première surprise en se blottissant contre lui le plus près possible alors qu’il a été son pire bourreau.

Maintenant les soirées poker se multiplient.

La jeune Aude rejoint Gisèle et Maëva et elles servent durant les soirées.

Elles n’ont plus besoin de l’écarteur car elles sont bien soumises.

Lorsqu’elles sont seules en cuisine en attendant qu’on les appelle elles rient entre elles.

Un soir Laurent les surprend à rire et désormais elles sont punies.

Elles passent les soirées à genou dans le salon empalées sur des godes motorisés.

Comme elles sont bâillonnées elles ne peuvent plus se parler.

Il va sans dire que les bâillons sont ôtés pour les fellations qu’elles ne manquent pas de prodiguer.

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Make My Life Happy – Chapter 8 – Claudia’s Cards, Candles And Flowers

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Animated

When his phone buzzed, Paul was working on a design for McCormick and Garrison.“This is Paul.”“Paul, this is Deena, from the bakery.  We heard a horrible crash.  When we investigated, a car slid into the flower shop.  We didn’t see – ”Paul ended the call, grabbed his coat and keys, and headed for the flower shop.  When he arrived, it was total destruction.  The car had slid into the shop sideways.  Try as he might, he could not get around the vehicle. Paul saw the ambulance standing by and the cop was in standing by his car.  He did not look happy.  Then Paul saw the guy in the back seat.  He was ripped, period.  Paul gaziantep olgun escort tried to get into the shop.  There was no way.“CLAUDIA!  CLAUDIA!  WHERE ARE YOU, BABY?  ARE YOU ALL RIGHT?  CLAUDIA TALK TO ME!”Paul went to the delivery door.  It was unlocked so Paul was able to get into the back of the shop.  The counter had been shoved against the flower cooler, with one of the corners crushing the motor.   He heard a faint sobbing from under the counter.“Claudia, are you under there?  Claudia, are you there?”“Yes, Paul.  Come get me out.  I can’t gaziantep oral yapan escort push the counter away.  I just need a little more room to get out.”Paul pushed and pulled at the counter.  Finally, he was able to move the counter enough to free Claudia.  She emerged holding a broken tulip.  She fell into his arms sobbing uncontrollably.“MY SHOP!  WHAT HAPPENED TO MY SHOP?  WHAT SON OF A BITCH DID THIS?  I’LL BREAK HIS FUCKING NECK.”Paul and Claudia went to the front of the shop.  She looked at the medic and cop standing by the cop’s car. gaziantep otele gelen escort Just about this time, her Mother and Dad arrived. Claudia threw down the flower and headed for the cop car.“YOU’RE THE SON OF A BITCH THAT DESTROYED MY SHOP.  YOU ASSHOLE, YOU KILLED EVERY ONE OF MY PLANTS, MY BABIES.  GET OUT HERE SO I CAN WIPE THE STREET UP WITH YOUR FACE.”Claudia was screaming, kicking, and pounding on the police car.  She was sobbing uncontrollably.  Paul went over to try to comfort her, he was hugging her.“Claudia, it will be okay.  We can make this work.  Mr. Garrison’s offer is still open.  We can open in the city.”“I DON’T WANT A FUCKING CITY SHOP!  I WANT MY SHOP, IT’S MINE.  I BUILT IT FROM SEVEN LITTLE PLANTS.  IT’S MY SHOP.”                  Claudia collapsed from Paul’s arms to the asphalt.  She landed face down sobbing and pounding her fist on the pavement.  Paul knelt next to her and rolled her into his arms.  She buried her face in his shoulder, her arms wrapped loosely around his neck.

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Kidnapping et Soumission Tome 04

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Anri

I. La tournée des clubs

Arrivé à Tournai au Kit Kat Klub, N°1 et Sweet Pussy furent reçues par le tenancier du club.

« Bonjour, mes esclaves. Comment va N°1?

« Bien, Maître. »

« Et qui est cette nouvelle esclave? »

« Sweet Pussy, Maître. » dit doucement Isabelle.

« Je vois que Maîtresse Aurore a opéré sur ton joli corps, pour un début c’est pas mal du tout. » Dit le tenancier en tâtant les seins de Sweet Pussy et en pinçant ses tétons.

« N°1, tu lui donnes les instructions de vie ici pendant votre séjour en allant à votre chambre, vous commencez demain. »

« Mais, nous n’avons encore pas répéter le numéro de danse! »

« Demain, j’ai dit, pas de temps à perdre, le retour sur investissement doit être rapide! »

« Bien Maître. »

Les deux esclaves marchèrent le long d’un couloir et arrivèrent dans leur chambre. Deux lits à baldaquin collés l’un à l’autre trônaient au milieu de la chambre. Les murs étaient couverts en alternance de miroirs et de photo SM, le plafond n’était qu’un miroir. Pendant que Sweet Pussy regardait la chambre, des hommes amenaient de grosses valises et les déposaient dans un coin de la chambre.

« Je vais te donner quelques instructions et Il faut se reposer un peu, car après, nous devons répéter notre numéro. Nous dormirons ensemble dans cette chambre. Nous y mangerons et passerons tout le temps sauf pendant nos numéros et séances. Nous n’avons pas le droit de sortir. Les toilettes sont dans ce coin comme tu peux le voir. Il y a tout ce qu’il faut pour se maquiller et s’habiller. Quand nous aurons fini nos prestations, le 4×4 viendra nous chercher et nous emmènera dans un autre club. Il faut dormir et prendre des forces pendant la journée car, dans les clubs, c’est nuit blanche!»

« Mais on ne va jamais dehors? »

« Pendant la tournée, on ne va jamais hors des clubs. On ne voit l’extérieur que lorsque l’on revient au château. »

Sweet Pussy commençait à regretter d’avoir accepté de venir. Elle pensait voir le monde extérieur et peut-être pouvoir s’échapper! Mal lui en a pris.

« Quel est le programme des festivités, que fait-on? »

« Nous ferons notre numéro de danse ensemble, ensuite je te laisse la surprise, sinon, ça n’a plus grand intérêt! D’ailleurs, il faut que je te montre certains mouvements et ensuite on répétera notre numéro. Il faut que l’on choisisse aussi nos vêtements. »

N°1 mit un CD dans le lecteur de la chaîne hi-fi et se positionna au centre de la chambre, la tête relevée, le regard sévère au travers de son masque. Ses mains reposaient sur sa taille, elle avait écarté les jambes. Sa position altière rendaient encore plus proéminents ses énormes seins. Les enceintes crachèrent subitement une musique techno et N°1 commença à headbanguer et sa tresse pivota comme on fait tournoyer un fouet. Puis elle fit des mouvements de hanche pour montrer ses fesses couvertes de latex rouge. N°1 fit glisser ses mains sur ses seins et tira sur ses anneaux comme elle l’avait fait lors de sa présentation au château devant les nouvelles esclaves. Elle pivota sur ses talons et mit sa tête en arrière et pliait ses jambes comme si elle voulait s’empaler sur un phallus. Sa main caressait sa chatte au travers du latex. Puis elle se mit à terre et écarta les jambes tout en ouvrant le zip de sa combinaison pour montrer sa chatte annelée. Elle roula sur elle-même et se mit à quatre pattes, sa main passait entre les lèvres annelées de son sexe. Elle enfonçait ses doigts dans son sexe puis ils ressortaient pour entrer dans son cul. Elle lécha ses doigts en fermant les yeux. Elle se remit sur le dos et prit ses seins à pleines mains. Elle les faisait bouger comme un gâteau de gelée. Ses doigts pincèrent ses tétons et elle tira fortement pour les allonger. Elle se releva.

« Voilà, ma petite Sweet Pussy, les principaux mouvements que tu dois faire. Quand on sera à deux, on improvisera pour charmer les Maîtres. Maintenant, il faut nous reposer. »

N°1 et Sweet Pussy se couchèrent dans leur lit. N°1 mit l’alarme du réveil pour deux heures de sommeil.

Deux heures plus tard, le réveil sonna et les deux esclaves se libérèrent des bras de Morphée. Elles enlevèrent leurs vêtements, leurs corps étaient en sueur. Elles allèrent à la douche et se savonnèrent le corps. Sweet Pussy voulut embrasser N°1 mais elle l’en empêcha.

« On n’a pas le temps de s’amuser! Il faut se préparer, on doit être irréprochable dans nos tenues. »

N°1 vérifia si le crâne de Sweet Pussy ne comportait pas de repousse. Elle prit un rasoir et de la mousse et rasa une nouvelle fois son crâne.

« Il faut que tu fasses des séances d’épilation laser, j’en ai assez de te raser le crâne tous les jours! »

« Mais si je veux retrouver mes cheveux! »

« Maîtresse Aurore a choisi pour toi la coupe que j’ai, tu n’auras plus que celle-ci! »

Les deux esclaves sortirent de la douche et se séchèrent. N°1 s’occupa d’abord de Sweet Pussy. Elle ouvrit la valise et prit une combinaison latex semi-transparente mauve. Sweet Pussy l’enfila par les pieds. Cette combinaison comportait gaziantep escort bayan des pieds et gants, mais avait des ouvertures au sexe, aux globes fessiers et aux seins. La combinaison fut zippée dans le dos. N°1 maquilla les yeux de Sweet Pussy, un maquillage flashy et des épais traitss de rimmel. Ses lèvres reçurent un rouge cerise du plus bel effet. N°1 prit le masque de latex et l’enfila délicatement sur la tête de Sweet Pussy pour ne pas toucher le maquillage. Elle passa sa tresse dans le tube prévu et serra les lacets du masque. Le masque était un peu différent de celui qu’elle avait avant la douche car des boucles de ceinture se trouvaient près des yeux et de la bouche.

N°1 termina par chausser les bottes noires en vinyle avec une semelle compensée de 10 centimètres. Sweet Pussy se leva mais vacilla car elle n’avait jamais marché avec de telles bottes.

« Il faut que tu marches un peu dans la chambre pour t’y habituer. »

Sweet Pussy avait une démarche hésitante et se tenait au lit pour ne pas tomber. Elle marcha dans la chambre pour s’habituer à ces bottes inhabituelles.

N°1 se prépara en ajustant une combinaison rouge à liseré noir, elle farda ses paupières, mit du rimmel et son rouge à lèvres puis enfila son masque et demanda à Sweet Pussy de serrer les lacets et le zip de sa combinaison.

« Nous sommes prêtes. Nous n’avons plus qu’à attendre l’ordre du Maître. »

Le Maître arriva dans la chambre sans frapper.

« Allez les esclaves, on y va et que la prestation soit bonne car il y a du beau linge dans la salle pour vous. »

N°1 et Sweet Pussy se levèrent et suivirent le Maître jusqu’aux coulisses de la scène. Une musique techno assourdissante retentissait dans la salle. Les deux esclaves attendaient au pied des quelques marches qui permettaient d’accéder à la scène. Le Maître du club prit le micro sur pied et fit sa présentation.

« Bonsoir mes chers confrères. Pour vous ce soir, j’ai le plaisir de vous présenter votre esclave préférée N°1 qui sera accompagnée de Sweet Pussy qui fait ses débuts. Esclaves, c’est à vous! »

Une musique rythmée et des rais de lumière tourbillonnaient sur la scène pour accueillir les deux esclaves. Elles montèrent les marches et commencèrent à danser sur la scène. Ce fut d’abord N°1 qui apparut sur le devant de la scène. L’expérience aidant, ses mouvements étaient pleins d’assurance et de professionnalisme. Elle présenta ses énormes seins à l’assistance. Elle pinça ses tétons annelés et tira sur les énormes anneaux. Elle fit volte-face pour présenter son cul. Elle ondula de la taille pour aguicher les Maîtres. Elle fit tourner dans les airs sa tresse. Elle passa la main sur son sexe et ouvrit le zip pour faire apparaitre ses lèvres annelées qui pendirent sous le poids des anneaux. Elle les frotta et simula un orgasme en fermant les yeux et porta à sa bouche les doigts humides. Puis elle se coucha sur le sol et glissa sous son élan. Elle écarta les jambes et ses mains prirent ses talons. Sweet Pussy qui n’avait jamais pris de cours de danse se demandait comment elle allait faire pour se présenter aussi bien. Son corps n’était pas aussi souple et svelte que celui de N°1. Elle appréhendait le moment où elle devrait danser devant les Maîtres.

N°1 continua sa prestation sans aucune faute. N°1 fit un geste vers Sweet Pussy pour « passer le relais ». Sweet Pussy sut alors qu’elle devait faire son numéro.

Sweet Pussy était légèrement hésitante mais avait le rythme dans la peau car ces pas de danse furent assurés. Elle reprit les mouvements de N°1 et y mit sa petite touche personnelle. Sweet Pussy, qui avait sa combinaison ouverte sur ses fesses, avait le zip qui lui séparait à merveille ses globes fessiers. Elle ondulait des fesses et ses rats tatoués sur ses fesses ravissaient le regard des Maîtres. Elle pivota sur elle-même grâce à ses semelles compensées et présenta ses seins. Même s’ils n’étaient pas aussi gros que ceux de N°1, Sweet Pussy vit les Maîtres parlaient entre eux. Elle passa sa langue piercée pour que les Maîtres voient ses trois piercings et qu’ils voient qu’elle était envieuse. Elle posa sa main sur sa chatte annelée et enfonça un doigt dans son vagin. Celui-ci glissa facilement avec le latex. Un deuxième s’aventura en elle, puis un troisième. Elle porta sa main gantée à la bouche et lécha avidement ses doigts. Des sifflets et des applaudissements se firent entendre dans la salle. N°1 avança vers Sweet Pussy et improvisa un numéro à deux. Cela surprit Sweet Pussy car N°1 ne lui avait pas parlé d’un show à deux. N°1 se blottit dans le dos de Sweet Pussy et commença à caresser son corps. Ses mains glissèrent sur sa taille, descendirent sur ses jambes, puis remontèrent vers ses seins. N°1 empoigna les seins pour les soupeser puis pinça ses tétons. Sweet Pussy ferma les yeux sous ses caresses et commença à se balancer de droite et de gauche en suivant le rythme langoureux de la musique. N°1 descendit de nouveau ses mains et en s’accroupissant derrière Sweet Pussy enfonça ses doigts dans la chatte de sa gaziantep escort bayan ilanları compagne. Ses doigts commencèrent un va et vient lent qui s’accéléra subitement. Sweet Pussy commença à gémir et montra son orgasme dans un cri rauque et une giclée abondante qui déclencha un tonnerre d’applaudissement et des « ooohhh » de surprise de la part des Maîtres. N°1 reprit ses mouvements et Sweet Pussy jouit de nouveau dans une giclée abondante qui coula sur le sol de la scène.

Sweet Pussy coula abondamment et sa jouissance fit une flaque sur le sol. Son orgasme se transformait en jet d’urine. N°1 incita Sweet Pussy à venir au sol et à s’allonger. Les deux esclaves se roulèrent dans ce mélange de cyprine et de pisse. N°1 se mit à plat ventre sur le sol et lécha la jouissance de Sweet Pussy. Sweet Pussy se positionna devant N°1 tête contre tête et lécha aussi sa jouissance. Puis Sweet Pussy se fit glisser sur le sol et embrassa N°1. Cette dernière scène ravit au plus haut point les Maîtres qui s’étaient levés et applaudissaient chaudement.

Les deux esclaves se relevèrent et saluèrent les « spectateurs ».

« C’est gagné, tu as été parfaite. » dit N°1 à l’oreille de Sweet Pussy.

Le tenancier du club monta sur scène et reprit le micro.

« Ne vous avais-je pas dit que vous seriez aux anges, chers Maîtres? Eh bien, maintenant à vos enchères et que le meilleur gagne! »

« 1000€ » cria un Maître au fond de la salle.

« 2500 » Entendit-on sur la gauche.

« Allons mes chers confrères, un peu plus d’enthousiasme pour ces esclaves. »

« 3000 » redit le Maître au fond de la salle.

« 5500 » dit un Maître tout de cuir habillé.

« 10000€ pour les deux. » dit un Maître noir qui se tenait debout près de la porte.

Le silence se fit dans la salle. Les têtes pivotèrent pour savoir qui avait émis une enchère aussi élevée.

« Personne pour surenchérir? » dit le tenancier.

« Adjugé » pour Maître Tumba.

« Les deux esclaves sont à vous pour cette nuit. »

Le tenancier s’approcha des deux esclaves et les emmena vers leur propriétaire d’une nuit.

« Qu’est ce qui se passe? » dit Sweet Pussy à l’oreille de N°1.

« Lorsque ton numéro est terminé, et si tout s’est bien passé, tu passes la nuit avec un ou plusieurs Maîtres, cela dépend. Les nuits sont blanches, je te l’ai dit. »

Les deux esclaves descendirent les marches et virent un grand black, la tête rasée, habillé d’un costume noir. Il mesurait environ deux mètres, que du muscle, un vrai colosse.

« Bonsoir les putes. » dit-il.

« Bonsoir, Maître. » dirent à la cantonade les deux esclaves.

« Je sens que je vais bien m’amuser, ce soir. Allez, dans la chambre. »

Le Maître et les deux esclaves allèrent à la chambre. Sitôt entré, le Maître ferma la porte à clé et mit celle-ci dans la poche de sa veste. N°1 et Sweet Pussy virent que la chambre avait été légèrement aménagée car deux portiques avaient été posés en travers de la chambre

« A genoux toutes les deux sous les barres, mains sur la tête. »

Le Maître prit plusieurs brins de corde, et attacha les bras et les jambes de ses esclaves aux montants des portiques.

« Ouvre ta gueule, Sweet Pussy. »

Sweet Pussy ouvrit la bouche. Le Maître posa un ball-gag formé d’un anneau de métal qu’il serra derrière la tête avec la courroie en cuir, enfonça ses doigts dans la bouche de son esclave et prit la langue par les piercings pour la tirer vers l’extérieur.

Sweet Pussy gémit.

« Ta gueule, ce serait dommage de couper une si belle langue, n’est-ce pas? »

Sweet Pussy fit signe oui de la tête.

Le Maître s’approcha de N°1. Il pinça fortement son sein droit, puis tira sur la barre qui traversait entièrement ses seins. N°1 ferma les yeux pour endurer la souffrance mais le Maître tira si fortement que N°1 poussa un cri bestial tellement la douleur était devenue insupportable. Il lui posa aussi un ball-gag formé d’un anneau de métal.

Le Maître passa derrière ses deux esclaves et fouilla dans une valise. Sweet Pussy sentit quelque chose de froid qui glissait sur le dos. Le Maître venait de passer la lame d’un couteau et trancha la combinaison de latex. Son dos et ses fesses étaient maintenant bien apparents. Il fit de même avec N°1. Puis il passa devant les esclaves et trancha l’avant de leur combinaison. Leurs seins proéminents furent libérés du latex. Elles étaient comme deux prisonnières avec des lambeaux de vêtements. Seuls leurs bras et leurs jambes portaient encore du latex. Le Maître sortit de leur champ de vision et repassa derrière elles.

Soudain, Sweet Pussy hurla au travers de son anneau. Elle venait de recevoir un coup de cravache sur les fesses.

« Tu vas compter jusqu’à dix et n’oublie pas un seul coup, sinon on recommence. Et tu me remercieras pour chaque coup reçu. »

« Oui Maître. » fit Sweet Pussy entre deux soupirs de souffrance.

Le premier coup s’abattit sur ses globes fessiers.

« Un, merci Maître. »

« Deux, merci Maître. gaziantep escort bayan reklamları »

Les 10 coups appuyés zébrèrent les fesses de Sweet Pussy qui compta chaque coup après un cri étouffé de douleur. Ses bras se tendaient à chaque impact. Les boursoufflures apparurent sur les fesses de l’esclave. Sweet Pussy soufflait au travers de son ball-gag et souffrait dans son corps meurtri. N°1 voyait sa compagne souffrir mais ne pouvait rien y faire. Elle comptait dans sa tête les coups reçus par Sweet Pussy et s’attendait à recevoir le même châtiment. Le Maître se positionna derrière N°1. Elle attendait la sentence et respirait fortement. C’est au moment où elle inspira que la cravache s’abattit sur ses fesses. Ce coup lui coupa le souffle.

« Un, merci Maître. »

Le second coup lui toucha le bas du dos. Les suivants zébrèrent les fesses de N°1 qui hurlait tout autant que Sweet Pussy l’avait fait.

« Une bonne entrée en matière pour vous montrer qui est votre Maître pour cette nuit, et donc que j’exige une parfaite obéissance. Sinon, ma cravache vous caressera le corps une seconde fois. Compris! » Hurla le Maître en appuyant sur son dernier mot.

Les deux esclaves firent oui de la tête.

Le Maître prit une valisette en cuir qu’il déposa sur une tablette près de Sweet Pussy. Maître Tumba sortit de la valisette des anneaux en acier. Ces anneaux s’ouvraient grâce à une petite charnière. Il passa l’anneau au sein gauche de Sweet Pussy juste derrière la barre qui lui traversait le sein. Il répéta l’opération avec le sein droit. Sweet Pussy grimaça car les anneaux tiraient sur les barres de ses seins, comme si on lui stretchait ses piercings. N°1 subit la même opération. Le Maître prit une autre paire d’anneaux. Maître Tumba en ouvrit un et s’approcha de Sweet Pussy. Il posa ce nouvel anneau juste derrière le précédent et répéta l’opération pour orner les deux paires de seins. Leurs seins commencèrent à gonfler sous l’effet de compression des anneaux.

« On va faire une pause pour vos nibards. »

Le Maître prit alors deux étuis à cigare. Il sortit les deux cigares, posa l’un sur la petite table. Il alluma l’autre. Sweet Pussy eut un frisson en voyant le bout incandescent du cigare. Elle pensa un instant qu’il allait lui infliger des brûlures. Le Maître prit les deux étuis métalliques et passa de nouveau derrière ses deux esclaves. N°1 sentit son anus pénétré par un plug, pensait-elle. Sweet Pussy fut aussi pénétrée par le cul. Le Maître lia ses étuis avec des cordes à la taille des deux esclaves. Il leur fit face, inspira de bonnes bouffées du cigare et cracha la fumée à leur visage. Sweet Pussy toussa au travers de son ball-gag, elle qui n’avait jamais fumé. N°1 ferma les yeux et respira quelques peu la fumée exhalée par le Maître. Puis il passa de nouveau derrière elle. Il reprit une bonne bouffée de son cigare et enfonça délicatement celui-ci dans l’étui à cigare calé dans le cul de Sweet Pussy. Sweet Pussy commença à geindre. Le cigare chauffait le cylindre et la chaleur se faisait sentir sur son anus. Le Maître sortit son cigare, en reprit une bonne bouffée et enfonça celui-ci dans l’étui ornant le cul de N°1. Elle gémit au travers de son ball-gag mais Maître Tumba ne tint aucun compte de la plainte de son esclave d’un soir et laissa son cigare chauffer l’étui métallique. L’anus de N°1 chauffait de plus en plus. Ne tenant plus, N°1 hurla à en perdre la voix. Maître Tumba ôta son cigare et l’étui en même temps. N°1 soufflait bruyamment au travers de son anneau et un filet de salive coulait lentement de sa bouche.

Maître Tumba reprit des anneaux de sa valisette et s’approcha de Sweet Pussy. Il plaça un anneau non pas derrière la barre qui traversait son sein mais devant. La peau de son sein se tendit encore un peu plus. L’autre sein reçut le même anneau. N°1 aussi reçut les mêmes anneaux par contre, ses seins étant plus volumineux, ceux-ci allaient presque exploser avec ces nouveaux anneaux. Le Maître reprit deux nouvelles paires d’anneaux et les plaça aussi devant les barres. Il tira sur l’anneau précédemment placé pour insérer celui-ci. Les gémissements se faisaient entendre dans la chambre.

Le Maître prit alors une canne en bambou et se positionna devant ses deux esclaves. Il tapotait sa main avec sa canne en faisant les cent pas se demandant ce qu’il allait faire. Soudain il s’arrêta devant N°1 et asséna un coup de canne en travers des deux seins. N°1 hurla de nouveau et la peau tendue à l’extrême rougit immédiatement et un filet de sang apparu sur le sommet de son sein droit. Maître Tumba approcha de Sweet Pussy qui commença à souffler apeurée par ce qu’elle allait subir. La canne s’abattit sur ses seins. Elle hurla aussi. Sa peau gonfla sous ce coup mais il n’y eut aucun saignement. Le Maître tourna autour de ses esclaves et lorsqu’il passa devant leur cul, il asséna un bon coup de canne sur les fesses, ce qui leur arracha de nouveau un hurlement bestial.

« Bien, maintenant on va passer à autre chose. » dit le Maître.

Il posa ses instruments de torture sur la tablette, enleva sa veste et sa chemise et se fixa devant Sweet Pussy. Il lui enleva le ball-gag. Le Maître dégrafa son pantalon et sortit sa bite. Sweet Pussy qui ouvrait et fermait sa mâchoire endolorie n’en croyait pas ses yeux. Le chibre du Maître avait des dimensions impressionnantes. Sa bite faisait au moins 25 centimètres de long pour 6 centimètres de diamètre. Le Maître approcha de Sweet Pussy et enfourna son sexe dans la bouche de Sweet Pussy.

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