Ay: Kasım 2025

Les Nouveaux Voisins Noir Ch. 03

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– Chapitre 3 —

Pendant ce temps au Mcdonald, Tanisha avais invité tout le monde dans la salle de conférence réservé aux employés. La nouvelle gérante avait donné de nouveaux habits de travail à ses employés qui étaient tous de race blanche. Il s’agissait d’un haut qui montrait en évidence la poitrine et d’une jupe extrêmement courte. Cette nouvelle tenue sexy ne plaisais guère à tout le monde mais chacune se montrait réticente à en parler à Tanisha dû son caractère dominante et son physique intimidant. Mesurant 5’10 à 200 lbs de pure muscles Tanisha fessais peur à bien des gens homme comme femme il craignait que celle-ci lève sa main contre eux. Audrey toute menu légèrement bronzé avec de long cheveux blond qui fessais salivée tous les hommes par sa beauté avais été mandaté comme Brad Droit de Tanisha mais elle travaillait comme un employés ordinaire, elle avait simplement plus de passe-droit. Elle était souvent victimes de jalousie mais cette petite princesse de 19 ans possédait une générosité et une gentillesse incroyable pour son âge. Elle détestait les chicanes mais elle souffrait d’avoir peu d’amis de son âge vu qu’elle avait redoublé quelque année scolaire.

Tanisha : « Vous êtes vraiment de belle petite bitch avec ses nouvelle tenues. Il n’y a qu’une fille qui devras ce prendre en main et aller au gym car ses nouvelles tenues ne t’avantage pas on voie ton surplus de poids et crois-moi personne ne veut voir cela poufiasse!

Habituellement, les employées aurais réagie à ce genre de commentaire mais non, il ce taisais et continuais d’écouter Tanisha qui disais toujours tout ce qu’elle pense sans trop se soucier des conséquences.

Tanisha : « J’ai embauché 3 nouvelle employés. J’ai viré les trois autres garçons car il m’énervait trop et je ne voulais plus les voir flirter avec vous. Il se peut fort bien que j’en embauche d’autre… je vous les présente!

La porte s’ouvrit et 3 femmes noir entra dans la salle d’employés, elle était tous vêtus de l’ancien uniforme très conservateur ne révélant aucun attribut féminin. Les employés semblaient surpris de les voir ne pas porter le nouvel uniforme très sexy. Trop sexy.

Tanisha : « Je vous présente Diane »

Diane : « Bonjour. »

Diane étais une noir catholique de 27 ans. Elle mesurait 5’6 et avais un léger surplus de poids mais rien qui ce remarquais avec ses vêtements.

Tanisha : « Nathalie… »

Nathalie : « Hey… »

Natalie étais une femme noir de 25 ans qui adorais ce prendre en photo dans des pauses affriolante. Forte poitrine, cul parfais et abdos elle était souvent en train de faire la fête donc pas une matinale. Elle détestait travailler.

Tanisha : « Finalement, Zana »

Zana : « Yo slut! »

Zana étais une nymphomane avec un caractère très dominante. 5’3 160 lbs et un énorme afro elle n’était pas la plus jolie des trois nouvelles employés.

Tanisha : « Maintenant au travail! »

Après quelque heures de travail, Audrey pris une pause de la caisse et regardais ce que les nouvelles employés fessais. Diane flippais des Burger tandis que Nathalie étais assied dans un coin en train de regarder son cellulaire. Audrey décida donc d’aller faire un tour à la toilette, ceux des employés vus qu’elle voulait éviter les regards des clients qui étaient vraiment émoustillé par les nouvelles tenues de travail. Audrey ouvrit la porte et elle vu Zana nue en train de fourrer une employé blanche avec un strapon. L’employé blanche penché la tête pratiquement par terre avais les yeux fermé. Zana semblais presque la faire souffrir avec l’intensité qu’elle y mettait. Audrey ne voyais que le gros derrière de Zana tout en sueur. Audrey étais choqué et le temps semblais ralentir tellement le choc étais grand. Elle voyait les goûtes de sueur tombé par terre provenant du corps de Zana et y attendais le son de ceux-ci qui claquais par terre tellement elle était rendu gelé devant la situation qui ce présentais devant elle.

Zana : « Liche-moi l’orteil SALOPE! »

Audrey ce baissa légèrement la tête pour voir la femme blanche Kim licher l’orteil de Zana sans protester mais en douleur. Audrey n’en revenais pas de voir Kim liché l’orteil en sueur de Zana. Kim étais une belle brunette très timide et réservé. Elle était attirante pour les garçons mais son attitude trop réservé et trop gêné fessais qu’elle n’était pas en mesure d’attirer aucun petit copain. Audrey ferma la porte et ce dirigea vers le bureau de Tanisha. Elle toqua trois fois. Tanisha ne répondais pas. Audrey ce grattais la tête visiblement stressé.

Tanisha : « CONTINUER DE TRAVAILLER! »

Audrey pendant 5 secondes ne savaient plus quoi faire puis elle pris parole.

Audrey : « C’est audrey! »

Tanisha ouvrit aussitôt la porte.

Audrey : « Est-ce que je peux entrer? »

Tanisha : kahramanmaraş escort « Ouais. »

Cependant avant d’entrer, Zana s’approche d’audrey et de Tanisha. La face en sueur qui fessais ressortir quelques-unes de ses imperfection faciales. Audrey ce gratta cette fois-ci le front l’air vraiment embarrassé.

Audrey : « Euh… je me demandais si je pouvais prendre ma Pause. »

Tanisha : « Audrey, tu n’as même pas à me le demander tu es mon bras droit. Prend ta pause quand tu le désire je t’en tiendrais pas rigueur tu sais que tu es mon petit cul préféré Ha ha… Shit Zana, va t’essuyer un peu on dirait une grosse truie les clients ne dois pas te voir ainsi prend ton break avec Audrey. »

Zana : « Ouais.. Ce n’est pas facile travailler avec autant d’incompétente, je dois travailler pour deux. »

Audrey ce dirigea donc dans la salle de repos, Zana la suivis posant son regard tout le long sur le derrière de Audrey qui ce voyais très bien sous sa jupe très courte. Zana ferma la porte derrière elle.

Audrey : « Salut Zana, moi c’est Audrey »

Zana : « Ta gueule, je sais ce que tu as vu. Je sais ce que tu voulais dire à Tanisha. »

Zana s’approcha d’Audrey, très près de son visage. Audrey reculais quelque peu intimidé jusqu’à temps qu’elle frappe le comptoir, Zana la suivit.

Zana : « On voie bien que tu es la Bitch à Tanisha et qu’elle te réserve mais crois-moi… je n’ai pas peur de Tanisha alors si tu oses lui dire ce qui ce passe ici, je vais te forcer à licher mon Anus et tu le feras à toute mes amis après leur partie de Basket-Ball AVANT MÊME QU’ELLE PRENNE LEUR DOUCHE! Compris Princesse? »

Audrey : « Non, Tanisha est un ami et nous somme voisins. Je ne lui dirais rien mais je ne veux pas d’embrouille avec toi Zana. »

Zana : « Good, tu en auras pas tant que tu fermeras ta gueule de petite princesse blanche. »

Zana pris le derrière de la tête d’Audrey avec un bras et força un french kiss avec elle toute en lui prenant le derrière fessant glissée son doigt sous son String. Audrey ce débattais mais Zana gardais le contrôle plus forte qu’elle, son doigt s’inséra dans le derrière d’Audrey qui sautillais quelque peu du bout des orteils dû la pression que Zana mettais avec son doigt qui s’enfouissais de plus en plus profondément dans le petit derrière d’Audrey. Zana goutais salé. Peut-être à cause de la sueur qui lui dégoulinais partout sur le visage et qui tombais près des lèvres. Zana arrêta et ce reculais en souriant. Elle prit le doigt qui étais dans le derrière d’Audrey et ce le mis dans sa bouche à la grande surprise d’Audrey qui n’en croyais pas ses yeux. Zana semblait vraiment en apprécié le goût. Soudainement Tanisha ouvrit la porte. Tanisha vu le regard de Audrey apeuré et sous le choc.

Tanisha : « HEY! Qu’est-ce qui ce passe ici? »

Zana : « Rien. Pas vrai Audrey? »

Audrey : « … Rien Tanisha »

Tanisha : « Retourne travailler Zana et fais gaffe, JE T’AI À L’ŒIL! C’est la mienne OK! Back off ou je vais te tuer! »

Zana : « Shit, Elle vient de te dire qu’il s’est rien passé! »

Zana quitte laissant Tanisha seul avec Audrey.

Audrey : « Qu’est-ce que tu veux dire je suis la tienne? »

Tanisha : « Mon amie! TU ES MON AMIE et je ne veux pas te partager c’est simple! Tu vaux bien plus qu’une grosse épave comme elle! Pourquoi tu fessais ce visage apeuré et dégouté? Tu DOIS TOUT ME DIRE AUDREY! »

Audrey : « Oh euh… je trouvais qu’elle puait… je ne voulais pas lui dire mais je crois que mon visage parle un peu trop hihi. »

Tanisha : » Ouais, c’est vrai qu’elle pue.. Comment peux-tu autant suer en flippant des burgers? »

Audrey : « Je ne sais pas hehe… »

Tanisha s’approcha d’audrey et la serra très fort dans ses bras comme si elle avait passée prêt de la perdre. Audrey ce sentais maintenant en protection avec Tanisha. Elle ne voulait plus revivre ce qu’elle venait de vivre avec Zana mais si elle disait ce qui s’était vraiment passé elle ne voulait pas que Zana ce Revenge et amène ses amis avec elle.

Durant ce temps à la résidence des Stevenson, Nancy a terminé sa douche. Rosey lui dis de monter sur le comptoir. Nancy toute nue monte sur le comptoir. Rosey lui accroche un collier à chien au cou avec une longue laisse rouge.

Rosey : « That’s a good dog, à partir de maintenant tu seras ma possession. Tu ne vivras plus d’expérience désagréable avec ma fille Bethy.

Rosey fait débarquer Nancy du comptoir, elle lui dis de s’agenouiller. Rosey baisse ses pantalons complètement et ordonne à Nancy de lui licher la chatte. Nancy semble réticente au départ mais délicatement approche sa lange de la chatte trimé de Rosey et commence à lui licher de haut en bas… sa langue s’enfonce plus profondément dans kastamonu escort celle-ci et à la surprise de Nancy le goût lui monte rapidement à la tête. Un goût de beaucoup différent de celle de sa fille Bethy. Une fleur sucrée. Quelque chose que tu pourrais licher toute ta vie sans même t’arrêter. Nancy lichais de manière plus vigoureusement mais fut avertie par Rosey qui ne voulais pas que Nancy s’emballe trop. Les yeux fermé Rosey semblais apprécié le travail de Nancy sur sa chatte qui devenais de plus en plus mouillée. Nancy avalais le jus de chatte de Rosey.

Rosey tira sur la laisse, elle dit à Nancy d’arrêter et de s’appuyer sur le comptoir. Rosey s’installa un Strapon noir de 9 pouces et commença à fourrer Nancy qui gémissais assez fort probablement pour que Bethy l’entendre dans sa chambre. Après quelque minute, Rosey étais pleine de sueur mais elle continuait de fourrer Nancy à un rythme moyen. Après l’orgasme de Nancy, Rosey détacha son Strapon et pointa Nancy de ce mettre en arrière d’elle.

Rosey : « Clean me now, Assume la position. »

Nancy ce mis en arrière de Rosey et commença à donner des coups de langue sur l’anus de Rosey qui étais dépourvu de poil mais remplie de sueur. Encore une fois, complètement différent de celui de Bethy. On aurait dit un goût de noisette fort salé. Nancy n’en revenais pas. Elle se sentais privilégié d’être l’esclave de Rosey.

Rosey : « Enfonce ta langue.»

Nancy enfonça sa langue profondément dans l’anus de Rosey qui leva les yeux au ciel l’air en même temps rapidement. Nancy appréciais peut-être un peu trop le moment et fessais tourner sa langue dans l’anus de Rosey. Étais t’elle rendu addict à Rosey? Tout semblais maintenant lui plaire chez elle.

Rosey : « Good girl, stop now… je vais prendre un bain, suis-moi.

Rosey pris un bain et laissais sortir son pied de celui-ci quelque fois ordonnant à Nancy de lui lichée orteil par orteil. Ce n’étais pas trop pire vu que ceux-ci venais de tremper dans le bain. On entendait le bruit de la succion de Nancy sur les orteils de Rosey assez fort. Rosey avais un large sourire au visage l’air de vraiment être heureuse de voir Nancy être rendu aussi docile et épris d’amour fou pour elle. Après quelque heure c’était l’heure du souper, Tanisha venais de revenir du travail et étais assied à la table avec Bethy et sa mère. Nancy elle était au pied de Rosey Tandis que Frank étais rejeté dans le salon.

Tanisha : « Shit Mom, si tu t’en va à l’entrepôt avec Nancy ce n’est pas pour la vendre j’espère. Sa pourrais tout faire foirer. »

Rosey : « Non, t’inquiète. Jamais je ne vendrais cette esclave. C’est un don de dieu. Je vais simplement voir ce que le marché de montréal présente et je vais voir quelque ami pour leur montrer ma nouvelle perle. »

Bethy : « C’EST JUSTE UNE ESCLAVE BLANCHE! C’EST UN JOUET RIEN DE PLUS!! »

Rosey : « BETHY! Cesse immédiatement de manquer de respect à Nancy. Elle n’est pas comme les autres… Sur ce, je dois y aller. Vraiment Bethy, GROW UP! »

Rosey partie accompagné de Nancy dans la porshe. Elles étaient en route vers un entrepôt qui fessait de la vente d’esclave pour les noirs. Rosey et sa famille étais dans un groupe appelée les DAALS mais ce groupe ce tenais de moins en moins depuis qu’ils étaient rendu plus nombreuse. C’était pratiquement du chacun pour soi mais Rosey tenais toujours de bon liens avec les autres Maitresse/Goddess/Dominatrix. Bien sûr, c’était au monde secret auquel pas toute les black adhérais. Ils avaient réalisé que les Blancs hommes ou femmes devenais complètement sous l’emprise d’eux après les avoir gouté. Ils y avaient des exceptions, des maîtresses sadiques sans respect pour leur esclave blanc que les torturais pour leur amusement personnel, toutefois un esclave blanc étais prêt à faire bien des choses pour être avec sa maîtresse, ils étaient complètement soumis à eux mais surtout addict à leur corps. Malgré tout les risques et les GANGS qui volais les esclaves de d’autre ils en valaient la peine de faire partie des DAALS. C’est pour cette raison que Rosey entretenais constamment ses liens et essayais de maintenir un image forte. Celle-ci voulait montrer son pouvoir de séduction en montrant Nancy aux autres.

Bethy : « Qu’est-ce que tu en as à foutre de Nancy Tanisha! Qu’elle la vende! CE N’EST QU’UNE PUTE BLANCHE! »

Tanisha : « J’en ai rien à foutre de Nancy mais elle est l’ingrédient qu’il me faut pour amadouer Audrey et qu’elle devienne parfaitement soumise. Une autre fille lui tourne autour, CETTE SALOPE DE ZANA me manque de respect. Elle ne fait que ce goinfrer et baisée toute la journée et elle veut ce qui m’appartient? FUCK THAT DUMB FAT SWEATY GIRL! Audrey est de loin la meilleur esclave que je n’aurais jamais eu, probablement kayseri escort une relation à long terme. »

Bethy : « Shittttt! Sérieusement, tu es comme mommy! Un autre qui tombe amoureuse de son esclave. Tu essaie de montrer que t’es TOUGH avec tes muscles mais t’es juste un petit poussin à l’intérieur Ha ha ha! Un tout petit poussin inoffensif! »

Tanisha frappe Bethy violement au visage du revers de la main, celle-ci tombe par terre.

Tanisha : « FERME-LA ET RETOURNE DANS TA CHAMBRE! »

Bethy visiblement sonné ce relève tranquillement s’essuyant le coin de la bouche devenue toute rouge dû l’impact du coup de Tanisha. Elle se dirige alors vers sa chambre très lentement en envoyant le finger à Tanisha avant de barrer sa porte de chambre.

Rosey parcourue un long chemin de Gravel jusqu’à l’entrepôt. Rosey descendit de sa Porsche en compagnie de Nancy. Elle entra dans l’entrepôt qui était gardé. Rendu à l’intérieur, Rosey dénuda Nancy et celle-ci suivais Rosey qui l’avais en laisse. Un stand avait été installé au fond de la salle, on pouvait voir une multitude d’esclave blanc homme comme femme. L’encan étais déjà commencé mais Rosey ne s’en faisais pas puisqu’elle n’était là que pour montrer Nancy à ses amis ainsi que ses ennemies. Rosey posa ses yeux sur une Amazone noir habillé de façon tribale. Elle mesurait prêt de 6’8 et pesais environ 240 livres. Un peu comme Tanisha, cette amazone n’avais que du muscle sur elle et attirais la vue de tous. Elle avait l’air d’avoir miser énormément son argent sur cette encan car elle avait prêt de 10 esclaves blanc avec elle dont seulement 2 hommes. Soudainement, Rosey sentie une main ce poser sur son épaule. C’était son ami Lana qui était également la mère de Zana. Lana étais pas très belle un peu comme sa fille mais contrairement à celle-ci elle était très en shape et très élégante.

Lana : « Rosey! Je vois que tu as remarqué cette amazone… j’ai déménagé comme toi avec l’argent que DAALS nous ont donné mais je n’ai pas encore d’esclaves blanc et je voulais en profiter pour en acheter une mais… malheureusement cette amazone à pratiquement tout acheté. Je ne gaspillerai pas d’argent sur des hommes ils sont facile à amadouer. Par contre, je vois que tu es en retard… je pourrais peut-être t’acheter cette esclave que tu as amené avec toi?

Rosey : « Oh no, it’s mine. Elle n’est pas ici pour être vendu, je ne voulais que voir ce que le marché offrait et voir à quoi ressemblais les autres maitresses ici. »

Lana : « Dommage… Tu diras merci à Tanisha d’avoir donné une job à ma fille! Elle adore cette job et a ramené quelque femme blanche à la maison qui travaillais là-bas, elle s’est fait un tas d’amis déjà. »

Rosey : « Ouais, j’en avais entendu parler… ils devraient bien s’entendre. Pourquoi cette amazone achète tout ses esclaves? »

Lana : « J’ai entendu dire qu’elle les rapportait chez eux en Afrique, c’est pour sa tribu. C’est une reine là-bas et semblerais-t-il que tout les autres membres de la tribu sont aussi grande qu’elle. J’ai même su que plusieurs de ses Esclaves ont des rôles particuliers mais ils se font tous dominé par les femmes noir et même les hommes noir de la tribu. »

Rosey : « What? Pourquoi donne-t-il autant d’importance aux hommes noirs… j’imagine qu’on n’a pas tous les mêmes règles.

L’Encan terminé, L’Amazone repart vers la sortie mais croise Rosey et ses yeux ce tourne immédiatement vers Nancy qui étais agenouillé nue fessant face à Rosey. L’Amazone donne un coup de pied sur une fesse de Nancy et prend parole.

Amazone Queen Risha : « Fais face à ta reine Risha ESCLAVE! Qui est-elle? Pourquoi n’était-elle pas en vente? Mature… bien conservé… Mmmm… 40 000$!

Rosey : « Merci pour votre offre généreuse Reine Risha mais elle n’est pas à vendre. »

Amazone Queen Risha : « Esclave. Liche ma chatte. Tu es privilégié. »

Rosey essayais de dire à Queen Risha que Nancy n’allais pas obéir mais Lana probablement inquiète pour son ami lui fais savoir de laisser Nancy licher la Reine Risha. Nancy s’approcha de la Reine, elle dû se lever pour licher la chatte de la reine tellement celle-ci étais grande. Reine Risha baissa sa culote doré et on pouvait voir une chatte très poilue. Nancy ce mis à licher la reine, c’était un goût prononcé qui rappelais le sapin à Nancy qui s’ennuyais vraiment à ce moment de la chatte de Rosey qui lui faisais tourner la tête. Soudainement, Reine Risha ordonna à Nancy d’ouvrir la bouche. Elle pissa dans la bouche de Nancy.

Amazone Queen Risha : « Avale ce nectar royale. Tu es mienne maintenant. Ma pisse ta marqué mienne. Tu seras la mère de tout ses jeunes esclaves.

L’Amazone donna une mallette à Rosey et reparti avec Nancy… Rosey tentais d’argumenter mais Lana lui rappelais qu’elle ne pouvait rien faire. Rosey n’en revenais pas, elle venait de perdre une esclave qu’elle adorait et même si c’était pour 40 000$ elle savait que cette argent ne pourras jamais faire revenir une esclave aussi parfaite pour elle. Est-ce que ce départ allais entraînée la panique chez les Stevenson? Comment allais réagir les filles de Nancy?

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Recruter Une Secrétaire Ch. 01-02

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Marguerite! Son prénom n’était pas banal. Son Curriculum Vitae l’était plus. S’il avait suivi la règle qu’il s’était fixé, il aurait du déposer sa candidature sur les postes refusés. Mais il ne suivit pas la règle, pour elle, à cet instant précis. Quelque chose dans sa photo retint son attention. Il avait envie d’interviewer cette jeune femme. Pour être honnête il désirait croiser son regard. Le sien se perdit dans le paysage qui s’offrait à lui.

Philippe occupait un bureau d’angle au 12ème étage de la tour Gan à La Défense. La vue qu’il avait sur la Seine, en contrebas, et sur Paris était stupéfiante. Il restait parfois de longues minutes à contempler l’écoulement du fleuve, se vidant peu à peu de toutes ses pensées et ses angoisses, se rechargeant d’énergie comme s’il puisait au fond de cette eau boueuse et polluée ses sources d’inspiration. La vue de ce bureau l’avait décidé à s’installer dans ces locaux, alors qu’il détestait ce quartier d’affaires. Il n’y avait que des hommes d’affaires précisément, et leur vue le déprimait. Il n’avait jamais endossé un costume ni mis une cravate de sa vie, et cela ne l’avait pas empêché de réussir socialement, si tant est que cela eut une importance pour lui.

Il avait créé cette société de marketing direct et de promotion il y avait un peu plus de 5 ans maintenant. Il aurait voulu pouvoir garder une taille modeste, ne pas dépasser la dizaine d’employés qu’il avait engagés très rapidement, mais cela s’était avéré impossible. La pression des clients, l’intérêt des contrats présentés, l’équilibre économique de l’entreprise, l’avaient poussé à grossir et à se développer. Son plus gros client désirait même qu’il s’installe dans différentes villes d’Europe. Il avait refusé, mais sa position devrait sans doute évoluer, ou alors il vendrait. Il avait recruté chacun des 150 employés actuels de l’entreprise, et disposait même d’un vrai conseil de direction, ce qui le déchargeait de beaucoup de taches, il s’en réjouissait.

Il y avait deux forces qui le motivaient chaque matin à se bouger. La création d’abord. Pas celle des artistes, mais plus celle liée à l’innovation. Sans qu’il ne fasse rien de particulier, il avait toujours quelques années d’avance sur les tendances de fond, et disposait ainsi d’un sérieux atout, que ses clients avaient tôt fait de repérer. La gestion des hommes ensuite. Son approche aurait sans doute été qualifiée de paternaliste. Il aimait connaître personnellement ses employés, essayant de répondre à leurs impératifs personnels autant que l’entreprise pouvait se le permettre, ce qui ne l’empêchait pas de passer pour un dur.

Ses collaborateurs l’avaient poussé à engager une assistante. Il n’en avait jamais eue, et n’en désirait pas. Ceci étant, il était de plus en plus difficile à joindre et avait besoin d’un peu d’aide dans son organisation. Aussi s’était il laissé convaincre. Son DRH (Directeur des Relations Humaines) avait posté une annonce à l’ANPE mais Philippe désirait faire le tri lui-même. Il voulait une assistante qui soit au chômage. A la fois pour créer un emploi, mais aussi par pragmatisme. Il savait qu’à compétence égale, elle lui serait plus reconnaissante et serait sans doute bien plus motivée. En moins de 10 jours il reçu plus de 150 candidatures, il était effondré. Les temps étaient vraiment durs pour tout le monde. Il avait sélectionné 6 candidates, qui semblaient polyvalentes, débrouillardes, avec une expérience suffisante pour comprendre le fonctionnement d’une entreprise. Plus Marguerite qu’il avait ajouté à la liste, alors qu’elle était déjà employée ailleurs.

*****

La journée avait été chargée et plutôt stressante, mais comme il le faisait avant tous ses rendez vous, il prit quelques minutes pour faire le vide et être tout à cette prochaine activité. L’été se terminait, et les couleurs de la forêt étaient somptueuses, illuminée par un soleil couchant. Il avait très envie d’aller faire un footing en rentrant le soir à la maison, autour du lac, comme tant d’autres sportifs, ayant besoin de décharger les toxines de la journée.

Il la fit rentrer, et lui proposa de s’asseoir sur son canapé plutôt qu’à son bureau. Son cœur battait inexplicablement.

Elle était très brune, avec de longs cheveux foncés, raides, qu’elle retenait avec un bandeau bleu clair. Son visage était calme, contrastant avec la profondeur de son regard noisette qui brillait. La première chose qu’il nota fut sa douceur. De sa voix, de sa peau, de son comportement. Elle semblait précautionneuse de tout, de son énergie comme de la place qu’elle pouvait occuper. Elle s’était installée dans un coin du canapé, les jambes serrées, de côté, les mains posées sur ses cuisses, attendant.

Il lui expliqua en quelques mots l’histoire de la société, ses activités, son besoin et aussi son absence de savoir faire avec une assistante.

« Et si nous parlions de vous maintenant que vous savez tout de moi?

-Je suis à votre disposition lui répondit elle doucement.

-Quelle est votre réaction par rapport au tableau que je viens de vous dépeindre?

-Je suis très motivée, ce que vous me proposer kuşadası escort est vraiment nouveau, et c’est ce que j’aime, les défis, aller plus loin. J’avoue que je ne connais rien à votre métier, mais j’adorerais apprendre.

-Quelle est votre activité actuellement?

-Je suis en fait l’assistante de 4 cadres supérieurs. Cela me rend la vie vraiment impossible puisqu’ils veulent toujours tout en même temps. Et puis cela m’empêche vraiment de m’investir dans une relation avec mon patron, ce qui me semble quand même l’essence de mon travail.

-Que voulez vous dire par vous investir dans une relation avec votre patron? Il était assez interloqué par le double sens constant de ses propos. Interloqué et assez excité. Il sentait bien au poids de plus en plus lourd dans son estomac qu’elle lui plaisait terriblement.

-Une assistante est là pour assister, et je crois qu’elle doit être intime avec son patron pour sans cesse essayer de deviner ses attentes, le soulager de tous les détails, être à sa disposition.

-Sans doute, mais cela demande beaucoup de disponibilité. J’avoue que les 35 heures chez nous sont un vœu pieu, et que tout le monde travaille beaucoup plus. Vous êtes mariée je crois?

-Oui je suis mariée, mais mon travail est plus important. Cela ne me fait pas peur de faire de grandes journées, et pourquoi pas devoir travailler le week-end parfois s’il le faut. Ce n’est pas mon problème, bien au contraire. Là où je suis actuellement, j’ai l’impression de m’encroûter et je m’ennuie.

-Vous avez des enfants?

-Non.

-Et vous désirez en avoir?

-Oui bien sur. Cela vous pose un problème.

-L’inverse m’en aurait posé un, je dois vous l’avouer. Il souriait, elle lui plaisait décidément. Nous avons en permanence une employée en congé de maternité, et je trouve cela génial à chaque fois, même s’il est vrai que ce n’est pas facile à gérer!

-Et vous avez-vous des enfants?

-Non, pas encore. Elle avait posé cette question doucement, comme tout ce qu’elle faisait, mais il la trouvait très culottée. Ceci étant elle ne faisait que lui retourner ses propres questions!

-Pourquoi travaillez vous? Il reprenait le contrôle de l’entretien qui risquait de déraper gravement et il ne l’aurait pas supporté!

-Pourquoi je travaille? Pour gagner de l’argent!

-Non en fait ce n’est pas pour cela. Elle reprit, j’aime travailler, je me sens utile, je suis faite pour cela. J’aime servir un patron, l’admirer, le guetter. Je trouve cela très gratifiant d’aider ainsi une entreprise en déchargeant son patron de toutes les tâches pour lesquelles moi je suis faite.

-J’ai sélectionné plusieurs profils de jeunes femmes qui sont également très motivées par ce poste. A votre sens, et sans les connaître, pourquoi devrais je vous choisir?

-C’est difficile sans les connaître. Mais parce que je suis à la fois très motivée, mais aussi très souple et docile. Je me comporterai comme vous le voudrez, et vous verrez, je me débrouille très bien pour tout, classement, réunions, organisation de congrès, voyages. Peut être aussi le plus important est il que le courant passe entre nous, vous ne croyez pas?

-C’est très subjectif comme notion, vous ne croyez pas?

-Je ne sais pas, moi je sens que le courant passe. Vous savez un patron passe plus de temps avec son assistante qu’avec sa femme.

-Je ne suis pas marié. Mais pourquoi avait-il donc dit cela? C’était stupide.

-C’était une image Monsieur.

-Quel est votre délai de disponibilité Mademoiselle.

-1 mois de préavis à donner. Mais je ne dois pas vous cacher que j’ai dit à mon entreprise mon désir de partir. Peut être vont-ils me proposer quelque chose qui me plaise plus.

-Je comprends. Surtout que nous sommes tout petit comparés à eux, nos possibilités d’évolution sont nécessairement plus limitées. Quelle rémunération désirez vous?

-Je touche aujourd’hui 20 000 Euros bruts annuels.

-Très bien. Laissez moi une semaine et je vous donnerais notre réponse.

-Merci beaucoup de m’avoir reçue.

-Je vous raccompagne »

Sa démarche dans les couloirs était très sensuelle. Elle lui avait donné l’impression d’être assez ronde, et pourtant elle était fine, simplement charnue à ces endroits qui plaisent tant aux hommes. Lui y compris. Ses hauts talons la grandissait d’au moins 10 centimètres. Il avait très envie de la faire revenir dans son bureau, fermer sa porte à clé et sauter sur elle. Cela ne lui était jamais arrivé auparavant, un tel désir, mais en même temps cela le rassurait, tellement il sentait sa libido à l’abandon depuis sa rupture avec Elisabeth, 6 mois auparavant. Ils se serrèrent la main, la porte de l’ascenseur se ferma et il resta pensif sans même entendre les salutations de collaborateurs qui rentraient chez eux.

*****

De retour d’un rendez vous à l’extérieur, Philippe se lavait les mains lorsque Alain, le DRH le rejoignit pour le point hebdomadaire qu’ils avaient ensemble.

« Quel est l’ordre du jour Alain? J’ai 45 minutes à te consacrer.

-Nous devons finaliser l’embauche kocaeli escort de ton assistante, que tout le monde attend avec impatience. Puis passer en revue les primes du mois que tu voudrais attribuer, me signer l’ordre de virement des salaires et je voudrais 5 dernières minutes pour te parler de choses personnelles.

-Commençons par les choses personnelles, c’est le plus important. Tu as des soucis, quelque chose qui ne va pas?

-Je n’ai pas de soucis personnels, je te remercie, mais je me fais du souci pour toi.

-Tu es gentil, mais cela me regarde, non?

-Philippe, s’il te plaît, tu m’as donné 5 minutes, écoute au moins ce que j’ai à te dire.

-Oui tu as raison, je t’écoute. Quels sont donc ces soucis qui me concernent?

-Tu bosses comme un fou depuis des années, mais depuis quelques mois c’est devenu de pire en pire. La rumeur qui court c’est que tu dors au bureau. Tu es le premier le matin, et tu vires les créatifs quand tu pars vers 23h. Tu prends de moins en moins le temps de manger, tes traits se creusent, tu as l’air vraiment à bout.

-Vraiment? Pourtant je me sens bien, tu sais. C’est gentil de prendre garde à ma santé.

-Je ne crois pas que tu ailles bien. Tu devrais faire un bilan médical, prendre plus de repos. Tu es devenu plus irritable, moins à l’écoute qu’avant. Pourtant la boîte marche très bien, tu as une équipe en qui tu as confiance, et nous n’avons plus de problèmes de trésorerie.

-Tu sais, mon problème, je crois, c’est que plus rien ne m’intéresse en dehors de la boîte. Je trouve tout assez fade et ennuyeux.

-Tu ne crois pas que tu déprimes?

-Pour un déprimé, je tiens pas mal le choc, non?

-Tu ne peux pas faire que travailler. Tu dois avoir une vie en dehors. Le départ d’Elisabeth ce n’est pas la fin du monde, il y aura d’autres femmes, j’en connais au moins 10 qui tueraient père et mère pour dîner avec toi.

-Le départ d’Elisabeth, c’est moi qui l’ai voulu, et aujourd’hui elle m’en remercie. Mais elle est difficile à remplacer. Ceci étant, tu as raison, il faut que je prenne un peu plus de temps pour autre chose, sinon je vais me scléroser. Bon sujet suivant. Il sentit Alain soupirer, mais il l’avait bien compris, il fallait simplement qu’il y réfléchisse un peu.

-Bon, passons donc sur la prochaine perle qui viendra s’occuper de toi. Tu as vu 7 personnes, j’ai vu leur CV, j’ai validé leurs expériences passées, pas de problèmes particuliers.

-Elles sont toutes très bien, une mieux que les autres, mais je ne peux la retenir.

-Laquelle?

-Marguerite de Saint je ne sais quoi.

-De Saint Chamas, oui, c’est curieux d’ailleurs la seule que tu aies sélectionnée et qui soit en poste. Et pourquoi si elle est si bien tu ne la retiens pas?

-J’ai ressenti un coup de poing au ventre en la voyant, il est hors de question qu’il y ait la moindre histoire d’attirance entre moi et mon assistante. Et puis quoi encore.

-Tu sais cela se voit assez fréquemment, c’est sûrement la proximité de la fonction qui fait cela.

-Dois je te rappeler les principes de la maison? La voix de Philippe s’était faite coupante. As-tu oublié le licenciement l’année dernière de Roland pour harcèlement sexuel? Je ne tolèrerais pas le moindre harcèlement et le moindre autoritarisme dans mon entreprise! Et je suis là pour montrer l’exemple!

-Oui, et nous t’en sommes tous éternellement reconnaissant, oh grand soleil des hauts de Seine! Alain était le seul à pouvoir se moquer ainsi de Philippe, qui rit de bon cœur avec lui. Mais sa moquerie masquait aussi une profonde admiration, il avait 15 ans de plus que Philippe et il en avait connu des patrons qui auraient au contraire profité de leur situation pour un droit de cuissage qui, s’il faisait partie hélas du paysage de l’entreprise, n’avait aucun fondement historique.

-Parmi les 6 qui restent, fais une proposition à Yasmina, elle à l’air bien et vraiment dans la mouise financièrement. Par contre tu proposes un salaire de 15 000 Euros pour commencer. Nous verrons à l’usage ce qu’elle vaut et mérite. C’est toujours plus motivant que de toucher tout de suite un salaire important.

-Très bien. J’envoie une lettre de refus pour les autres?

-Attends la réponse de Yasmina, et si c’est ok, oui. »

Alain n’eut pas besoin d’envoyer une réponse négative à Marguerite. Philippe reçut le lendemain matin un longue lettre d’elle, manuscrite, lui expliquant qu’elle était désolée, mais que son entreprise lui avait faite une autre offre et qu’elle l’avait acceptée parce que cela répondait à ce qu’elle voulait faire. Il était bien trop surchargé pour analyser ce qu’il ressentait, de toutes les façons cela ne changeait rien, puisque il avait décidé de ne pas l’embaucher. Et pour le reste, elle était fraîchement mariée, et ce n’était pas un accès d’hormone qui allait le faire bouger. Il passa à autre chose, mais pas pour très longtemps.

*****

Sans y prêter garde, Philippe avait mis la lettre de Marguerite dans sa sacoche de travail, et il la découvrit de retour chez lui, dans son studio aux konya escort Invalides. Il aimait ce lieu qu’il sentait chargé d’une énergie très particulière. Il n’avait pas besoin de plus de place, ayant tout sous la main, et suffisamment de volume pour respirer. La vue sur l’esplanade des Invalides le ravissait, et il était totalement insensible au bruit de la circulation. Il aimait particulièrement travailler allongé sur son lit, son portable le suivait partout, relié à Internet et à son bureau par une liaison sans fil à haut débit, qui lui permettait de travailler dans les mêmes conditions qu’à la Défense.

Il reprit les feuillets qui s’étaient échappés lorsqu’il avait retiré son portable de la sacoche. Cela ne le frappait que maintenant, mais elle avait écrit ces 3 pages à la main. Cela faisait très désuet et était très curieux. Etait ce une intention de sa part? Mais pour signifier quoi? Il ne connaissait rien en graphologie, mais il retrouvait dans les boucles de ses lettres toute sa douceur. Comme beaucoup de ses propos qui avaient semblé ambigus, la fin de sa lettre pouvait se lire de plusieurs façons :

« Je voudrais, Monsieur, vous remercier de votre accueil et de notre discussion que j’ai trouvée très enrichissante. Je n’ai pas de doute que la femme que vous choisirez sera très heureuse de vous servir. J’espère que j’aurais le bonheur de peut être recroiser votre route, et peut être cette fois ci quelque chose entre nous sera possible. »

Son instinct de chasseur se remettait en route après cette longue période d’abstinence. Pas de doute, il sentait en elle cette sensation qui le faisait craquer. C’était une femme pour lui, et elle semblait l’avoir senti, sinon comment expliquer son attitude, ses mots, pendant l’entretien, qui lui revenaient, le désir qu’il sentait en lui de la prendre, de la dominer, de la domestiquer, l’envie qu’elle communiquait d’être utilisée, dressée comme une esclave.

Ceci étant, il ne comprenait pas bien son refus à elle de venir travailler avec lui. De même elle était mariée! Peut être d’ailleurs était ce lié, elle était attirée et avait préféré refuser la proposition plutôt que d’être tentée. Philippe hésita longuement, et n’arriva pas à s’endormir avant d’avoir décidé de ce qu’il devait faire. Il relut à plusieurs reprises la lettre, et ce n’est que tardivement qu’il réalisa qu’elle lui avait laissé toutes ses coordonnées, professionnelles et personnelles, y compris son téléphone portable privé. Cela le décida. Il devait être 3 heures du matin, et sans doute elle dormait. Il voulait lui laisser un message, et préférait ne pas l’avoir en direct.

« Bonjour, vous êtes sur le portable de Marguerite. Je ne suis pas là, mais je serais heureuse d’entendre votre message après le bip. Je vous rappellerai sans faute.

-Bonsoir Marguerite. Je suis Philippe Dugas. Nous nous sommes rencontrés pour un entretien d’embauche il y a quelques jours, et j’ai reçu votre lettre de désistement. Ceci étant, je voudrais vous revoir. Je vous attends chez moi vendredi soir, à 21h précise. J’habite au 15 Place des Invalides, le code sur la porte est le 3256, mon appartement est au 7ème étage gauche en sortant de l’ascenseur. Ne sonnez pas, attendez sur le paillasson, les mains dans le dos, que je vous ouvre. Si vous n’êtes pas là, nous continuerons chacun notre vie, dans le cas contraire, nous verrons bien… »

Philippe souriait en raccrochant. Les dés étaient maintenant jetés, la suite n’était plus de son ressort. Il savait que sa voix était très agréable au téléphone, aussi si elle hésitait, peut être que cela ferait la différence.

Le reste de la semaine s’écoula rapidement comme toujours. Mais Philippe prit soin de s’impliquer un peu moins et de rentrer plus tôt chez lui le soir. Il repensait à Marguerite, à ce qu’il avait envie de lui faire. Et si ce n’était pas à elle, alors ce serait avec une autre. Il était heureux de sentir comme son désir était revenu, désir de contrôler une autre femme. Il se demandait si elle viendrait. Peut être avait il voulu voir tous ces signes?

*****

Evidemment de le voir partir dès 20h vendredi soir avait surpris quelques uns. Philippe se surprenait à être très fébrile, et il rentrait comme un fou sur sa moto. Il avait depuis longtemps compris que s’il voulait pouvoir cumuler plus de deux rendez vous dans la journée à Paris, il lui fallait un deux roues. Et il adorait cela, même la pluie ou le froid ne l’arrêtait pas. C’était très jouissif de sentir toute cette puissance et de la domestiquer.

Comme il le lui avait demandé, il n’avait eu aucune nouvelle de Marguerite. Il était totalement fou de lui avoir laissé un tel message, mais cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas été fou comme cela. L’incertitude de savoir si elle viendrait ou pas le rendait encore plus nerveux. Il ferma les volets et les rideaux, prépara de quoi grignoter et boire convenablement, de la musique zen sur la platine, des bougies pour éclairer. Le studio était comme toujours en ordre, c’était un maniaque du rangement et de la propreté, aucune crainte de ce côté-là. Quand tout fut préparé ainsi qu’il le souhaitait, il prit une douche brûlante qu’il laissa couler jusque quelques minutes avant l’heure fatidique. Il voulait résister et ne pas regarder au travers du judas, la découvrir au même moment où elle le découvrirait, espérant ce même coup de cœur, et cette même envie réciproque.

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L’ombre du Passé Ch. 08

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Babes

Coulybaca (Texte personnel)

Chapitre 8 : le recrutement de nouvelles gagneuses.

Attablé devant un verre de whisky, Ali faisait le point en compagnie de son frère et de ses sbires .

Cela faisait maintenant un mois qu’il avait lancé l’opération, aux dix pre-mières femelles, étaient venues s’ajouter six autres gagneuses, tout au-tant disponibles :

_ Une seconde Arlette, Arlette Dumas, son mari commissaire principale de police, à qui elle n’avait jamais avoué sa faute, ne devait jamais la connaître, aussi se pliait-elle aux injonctions d’Ali avec autant de bonne volonté que ses consœurs. Belle blonde sophistiquée, on lui aurait donné le bon dieu sans confession ; en fait elle se révélait ardente, chaude au lit, elle n’avait eu aucun besoin de formation complémentaire, que ce soit en bouche, en con ou en cul, ses dispositions naturelles lui permettaient d’épuiser le mâle le plus exigeant dans un minimum de temps.

Déjà elle s’était faite une clientèle particulière qui adorait couvrir cette belle femelle, jusqu’ici irréprochable, la couvrant de sperme, lui faisant prendre les positions les plus ignobles, contrastant fort avec son air in-génu.

_ Pour Isabelle Fournier, la femme du premier adjoint, commerçant en gros et Nicole Dulac, l’épouse d’un agent général d’assurances, le piège s’était refermé sur elle d’une toute autre façon.

Instruit par Aurore Lepan, de la tendre amitiè qui unissait les deux femmes, Ali soupçonna vite plus qu’un attachement amicale, après plusieurs jours d’espionnage, il découvrit le petit nid qui abritait leurs amours, à une vingtaine de kilomètres de Moulins.

S’en ouvrant à Solange et Clothilde, il apprit qu’elles ne pouvaient voir leurs amours étalés au grand public sans risquer le divorce, la mise au ban de la société Moulinoise, ce que dans leurs positions, elles ne pourraient supporter.

Bientôt le guet-apens fut prêt, le propriétaire du petit hôtel, contre la promesse, de s’envoyer à satiété les deux salopes, permit à Ali et Mohamed de remplacer un immense miroir au mur de la chambre qu’elles retenaient à chacune de leur visite, par une glace sans tain, permettant d’observer, de photographier de la piÈce voisine.

Il poussa la complaisance jusqu’à prévenir Ali, dès leur prochain rendez-vous. Confortablement installés, Ali et Mohamed prirent deux pellicules de leurs ébats intimes.

Ali aimait particuliÈrement un cliché, sur lequel on voyait la brune Nicole fesser de sa mule la plantureuse croupe de sa blonde amie, la photographie en couleur soulignait la rougeur du large fessier, démontrant amplement la cruauté du jeu.

Il ne dédaignait pas pour autant d’autres photos, ou elles se grouinaient avec entrain, tête bêche, se suçant mutuellement le clitoris, honorant leurs anus d’une langue curieuse, ou s’empalant sur des postiches doubles comblant leur deux intimités simultanément.

Celle qu’il leur avait envoyée les représentait intègrement nues, allongées l’une sur l’autre tête bêche, Isabelle fouillant d’une langue pointue la vulve luisante de sa tendre amie, tandis que Nicole écartant ses fesses à deux mains lui prodiguait une savoureuse feuille de rose.

Le lendemain, elles étaient au rendez-vous fixé, et pleurnichant acceptaient toutes ses conditions, comme l’avait prédit Aurore, leur position sociale ne pouvait leur permettre de voir étalée au grand jour leurs turpitudes.

René, le propriétaire de l’auberge, reçut leur visite dès le lendemain, dri-vées par Mohamed, elles devaient combler les désirs de leur délateur, en récompense de ses révélations.

Elles s’y employèrent avec résignation, les deux hommes se succédèrent entre leurs fesses, leurs cuisses et leurs lèvres.

Dans une folle après-midi, ils se permirent toutes les fantaisies, terminant par un savoureux sandwich dont Isabelle constituait la tranche de jambon.

Mohamed enfoui profondément au fond de son con et René la possédant puissamment par l’anus se firent lécher les burnes par Nicole, qui devait de la pointe de la langue agacer les deux verges plantées dans les orifices de sa belle amie.

Lorsque dolente, débordante de foutre, Isabelle resta affalée en travers de la couche, Nicole dut encore nettoyer les queues des deux salauds, puis elle lapa le foutre suintant de l’anus et du con de sa compagne, avalant d’un même coup de langue semence et cyprine mêlées.

Ravi de la conclusion de l’aventure, René se promit de surveiller tous les couples illégitimes qui pouvaient se rencontrer chez lui, décidé de signaler à Ali toutes les proies susceptibles de rejoindre son cheptel.

Pour Charlotte Vendè c’était encore mieux, René, le propriétaire de l’hôtel, avait prévenu Ali que depuis quelques semaines un couple venait furtivement deux fois par semaine, dans ce couple il lui semblait bien avoir reconnu Madame Vendè, jeune veuve de trente huit ans qui avait eu les honneurs de la presse quelques années plus tôt.

Son mari, gravement malade était décédé, laissant derrière elazığ escort lui un testament spécifiant qu’elle jouirait de ses rentes tant qu’il ne serait pas remplacé, au moindre épisode amoureux, légalisé ou non, le testament deviendrait caduque, l’héritage serait alors partagé entre de vagues ne-veux, qui depuis ce jour épiaient les faits et gestes de la belle héritière.

Il lui avait été facile de vérifier ces assertions, le décédé ayant déposé dans l’étude du mari de Sylvette.

A la grande joie d’Ali les faits s’étaient avérés réels.

A partir de ce moment, il sut qu’il ne tarderait pas à jouir d’une nouvelle pute.

Effectivement, la vue de la photo qu’il lui amena personnellement la convainquit immédiatement de plaquer son amant pour le remplacer par un souteneur impitoyable.

Le marché fut traité sur le canapé de Charlotte.

Une photo la représentant à quatre pattes sur le lit de l’auberge, l’anus défoncé par un énorme gourdin, le sphincter semblant cercler l’épais mandrin d’un bague de bronze suffit à la subjuguer.

Sur l’ordre d’Ali elle se déshabilla en sanglotant, il s’assouvit voluptueusement dans ses reins, dans sa bouche et dans son con, avant de lui annoncer son esclavage à venir.

Pour elle le choix était simple, ou elle acceptait de se soumettre, troquant son silence contre quelques après midis chargées, et quelques soirées bien remplies chaque semaine, ou elle refusait et se verrait contrainte de renoncer à la vie aisée, confortable, à la position enviée que lui conférait l’héritage de feu son mari.

Sanglotant, elle accepta toutes ses conditions, promettant de se prosti-tuer pour lui s’il n’informait pas les éventuels héritiers de son inconduite.

– Avec Jeannine Duclos, l’affaire devenait croustillante, cette sémillante brune de trente cinq ans passait pour un bastion inattaquable, femme du plus gros promoteur de la région, elle profitait de son oisiveté pour militer dans toutes les associations bien-pensantes du lieu, décernant des prix de vertu, ses jugements définitifs conféraient à ses victimes une auréole de vertu ou le titre de fieffée salope, ce qui les excluait automatiquement du cercle des gens bien, leur fermant les portes des réceptions de bon ton.

C’est avec joie que Clothide et Solange qui s’étaient fait égratigner par ce parangon de vertu, apprirent qu’elle entretenait des relations bizarres avec son beau-fils, fruit d’un premier mariage de son mari.

Une longue vue braquée sur la villa de la jeune femme permit à Ali de vérifier les faits, cependant il eut bien du mal à leur tirer le portrait en si-tuation vraiment inavouable.

Il possédait déjà quelques photos ou on la voyait embrasser passionné-ment son jeune amant, mais cela ne suffisait pas à prouver la relation incestueuse, lorsqu’un après-midi, de faction devant la villa, il vit s’absen-ter les deux domestiques, il s’en réjouit, pensant que les deux amants se montreraient moins méfiants de ce fait.

La suite lui démontra qu’il avait raison, le jeune homme, se croyant à l’abri des regards indiscrets se dévêtit et plongea nu dans la piscine, après quelques évolutions, Charlotte, en maillot une pièce vint le rejoin-dre, il projeta de l’eau sur elle, l’agaçant jusqu’au moment ou elle plon-gea à son tour dans l’eau.

Dès ce moment, Ali se mit à mitrailler les acteurs qui chahutèrent tout d’abord innocemment.

Soudain, il vit la belle brune se raidir contre le muret de la piscine, la main du jeune homme agrippa les bretelles du maillot, dénudant lasci-vement son buste, elle se laissait faire, tendant la poitrine, offrant ses mamelons à la bouche humide de son beau-fils qui les lui suçait tendre-ment.

Après quelques minutes de ce tendre jeu, le jeune étalon la repoussa sur le bord de la piscine, se tortillant, elle se conforma à son désir, s’extir-pant de son maillot collant.

Jambes grandes ouvertes, assise sur le rebord de la piscine, elle offrait sa déchirure aux coups de langue habiles de son amant, qui lui suçotait maintenant le clitoris, remontait le long des babines, introduisait la pointe de sa langue dans l’anneau ridelé, au cœur des fronce brunes de son anus.

Secouée de spasmes violents, elle ne put résister longtemps à ce régime, elle l’attira sur elle, puis roulant sur son corps, elle s’empala avec frénésie sur sa bite frémissante.

Ignorante du danger, c’est avec fougue qu’elle se livra une bonne partie de l’après-midi aux tendres ébats, se vissant sur la queue raidie, l’absor-bant jusqu’à la racine, la trayant de son ventre avide avant de lui rendre de la bouche de la vigueur.

Les dernières photos prises par Ali, les représentait cote à cote alanguis, les yeux dans le vague, la main du jeune homme insérée entre les jambes de la belle brune, qui masturbait lentement la bite apaisée, cher-chant machinalement à lui soutirer quelques gouttes de plus.

En plein cinéma, lors de la projection d’un documentaire sur la condition erzincan escort des femmes en Afrique, film qui précèderait un débat hautement instruc-tif sur la question, Ali prit la place d’Aurore assise à ses côtés.

Sachant que toutes les places alentours étaient occupées par ses créa-tures, Ali put en toute discrétion soumettre à l’examen de la jolie femme les photos scabreuses la concernant.

Elle s’empourpra, renifla, ferma les yeux, anéantie.

Catastrophée, elle ne repoussa pas la main du jeune arabe qui s’insi-nuait sous sa robe, remontait le long de ses cuisses nues, touchait le fond de sa culotte.

Ce n’est qu’à ce moment qu’elle serra violemment les jambes, emprison-nant la main aventureuse, tout en jetant de rapides coups d’œil alen-tours, craignant de se faire remarquer.

Lui pinçant le gras des cuisses, Ali la menaça, de monter dans la cabine de projection, pour projeter sur le grand écran des diapos du même ton-neau.

Haletante, elle ne put que murmurer :

-Petit salaud… Q’est ce que vous voulez… Vous n’imaginez tout de même pas que …

– Non seulement j’imagine, mais je peux t’assurer que si dans dix secondes tu n’as pas fourré ta culotte dans ma poche, ton image va s’étaler en surimpression sur l’écran! ….

– Non …. C’est pas possible …. Non …..Non….., gémissait elle tout en faisant glisser l’ultime rempart de sa vertu le long de ses cuis-ses, l’enfouissant ensuite dans la poche de son ignoble maître-chanteur.

-Tu vois, si t’es raisonnable, tout se passera bien… Ouvre bien grand tes cuisses …. Je veux te tâter le con!

Désemparée, elle obéit, écarta en grand son compas, offrant aux doigts fouineurs la totalité de son ventre crispé.

Il aventura d’abord un doigt entre les lèvres charnues, puis il caressa len-tement toute la figue crispée, enfonçant un doigt dans le vagin puis l’anus de la jeune femme éperdue.

Elle ne pouvait s’agiter, se refusant à signaler l’agression dont elle était l’objet, aussi se laissait-elle passivement caresser, cherchant à dissimuler le plaisir naissant dans ses lombes.

La prenant par la nuque, il la força à prendre son chibre tendu entre les lèvres, il lui appuyait sur la tête l’obligeant à accomplir une fellation acceptable.

Enfoncé jusqu’à la garde entre ses lèvres, il ne tarda pas à lui embourber la gorge, lui déversant des flots de sperme dans l’arrière gorge, qu’elle avala en hoquetant.

Anéantie, catastrophée, elle se leva alors, suivant ses ordres et accom-pagnant son maître-chanteur Aurore elle dut se rendre aux toilettes.

Aurore faisant le guet, elle entra dans les WC pour dames, et sur l’ordre d’Ali se pencha en avant, mains posées sur la faïence blanche.

Tout de suite, elle sentit une main masculine relever sa jupe, dévoilant sa croupe crispée, ses deux globes opulents couverts de chair de poule, une énorme pine parcourut son profond sillon avant qu’un gland épais ne presse son anus.

Révulsée d’horreur, elle sentit deux mains écarter largement ses fesses, livrant son trou secret en spectacle, l’inconnu qui la menaçait de son chibre hors norme se régalait à la vision de son oeillet fripé, ridelé, contracté par l’angoisse et la honte, d’un coup sec le gland s’engagea dans le tunnel rétracté, la laissant s’habituer quelques secondes avant de la pourfendre d’un grand coup d’estoc, la déchirant avec force, empalée jusqu’à la garde, elle se retourna pour identifier son agresseur et vit un grand noir, souriant à grandes dents en s’enfonçant dans son boyau, tandis qu’Ali photographiait sa déchéance.

Eperdue, secouée d’importance par son enculeur, pleurant à chaudes larmes elle subit sa lubricité jusqu’au bout, s’efforçant de se dilater au maximum pour amoindrir la douleur irradiant de ses lombes.

Enfin, à bout, elle sentit la grosse queue qui la remplissait toute se dilater encore, puis projeter des flots épais et gras au fin fond de son rectum.

Comme égarée, folle d’humiliation, elle se retournait pour quitter ce sinistre endroit, témoin de sa déchéance, une nouvelle bite sombre se présenta à sa bouche, alors qu’un gros nord africain, la bousculant s’asseyait sur le siège des WC.

L’attirant à lui, le gros arabe enfourna sa queue dressée dans son ventre vierge de toute lubrification.

Incendiant son vagin, il s’imposa avec vigueur dans son conduit à vif, tandis que le braquemart sombre s’engloutissait entre ses lèvres brûlan-tes.

Sous les éclairs du flash, se tortillant sur le pivot érigé, elle dut sucer goulûment la pine frémissante qui lui déformait la bouche, s’enfonçant comme un coin dans sa bouche.

La joie de ses suborneurs de profaner la belle blonde en pleurs était telle que quelques instants ils s’exonérèrent l’un au fond de sa gorge, l’autre au fond de sa matrice.

Le cul et le con débordant de semence, le sperme coulant lentement de ses ouvertures naturelles poissant son entre fesse, les papilles imprégnées du erzurum escort goût acre du sperme de son chevaucheur de tête, elle réintégra la salle sous l’œil ironique d’Aurore et ses consœurs, conscientes que dorénavant elles les accompagnerait dans leurs soirées de débauche.

Effectivement, la prude Charlotte eut beau tempêter, supplier, pleurnicher, sangloter, la semaine suivante elle se rendait dans le foyer le plus proche, et sous la conduite de Mohamed proposait ses reins son ventre et sa bouche à la salacité d’une vingtaine de clients déchaînés.

Sa vie changea du tout au tout, son beau fils se vit expédié dans une université lointaine, quittant avec regrets et sans explications ce corps sensuel dont il tirait tant de plaisir, alors que sa maîtresse, se conformant aux prescriptions de ses maîtres, vendait son corps, un jour sur deux à leur profit.

Pour la sixième recrue, ce fut encore plus facile, René signala un mardi la présence dans la chambre au miroir, de la femme du procureur du tri-bunal, âgée de trente ans la blonde Mylene Servant trompait son ennui en jouant discrètement les grues.

Ses fantasmes l’avaient poussées à racoler discrètement des clients, les entraînant dans une auberge dérobée, ou contre rétribution elle leur fai-sait don de ses orifices.

Quelques photos expressives suffirent à la convaincre de mettre ses ta-lents au service d’Ali et consort en échange de leur silence, et depuis ce jour elle se livrait avec le plus grand plaisir aux clients les plus exigeants, trouvant son plaisir dans l’accomplissement de ses fantasmes les plus pervers.

René qui avait été l’un des premiers à s’en servir avait signalé à Ali les aptitudes particulières de cette belle blonde, qui pouvait accueillir au fond de sa gorge les bites les plus conséquentes, prenant son pied en livrant son anus et son con aux bites les plus extravagantes.

Le club masculin, informel s’était aussi constitué, chaque membre per-manent portait une grosse chevalière ornée d’une tête de loup, à sa vue, chaque femelle du staff se pliait au moindre volonté du porteur, quelque soit l’endroit ou l’heure de la rencontre.

Ainsi, lors de déjeuners mondains, de bals de bienfaisance ou d’après midis récréatifs, elles pouvaient toutes se faire aborder et contenter des clients parfois exigeants.

Lors du dernier gala de bienfaisance auquel participaient Clothilde Au-rore et Mylène, elles devisaient gaiement, grisées par l’atmosphère cha-leureuse de la soirée, dans cet aréopage, elles se croyaient à l’abri de toute mauvaise surprise, lorsqu’elles virent un petit groupe d’invités s’ap-procher d’elles, les quatre hommes arboraient la maudite bague, elles ne les connaissaient pas, et pourtant elles savaient qu’elles devraient se mettre entièrement à leur disposition.

Les prenant par le bras, ils les entraînèrent vers l’étage, à peine dans l’escalier, elles sentirent des mains moites enquêter sous leurs robes, vérifiant leurs tenues : croupes dénudées encadrant des bas sombres soutenus par des porte jarretelles de couleurs vives.

Aurore qui montait au côté de Clothilde trébucha, un doigt impérieux ve-nait de lui forcer l’anus, les fesses serrées elle continua de gravir les marches, examinant la croupe dénudée de Mylène qui dansait devant elle, une main fourrée dans l’entrejambes.

Dès arrivé sur le palier, l’un des quatre se mit en faction, tandis qu’ils pé-nétraient dans une chambre vide, Aurore agenouillée prit entre les lèvres la grosse queue brune que lui tendait un cinquantenaire bedonnant, elle la mâchouilla longuement, tandis que Milène jetée sur le lit, gisant sur le dos, dans le désordre de ses jupes relevées offrait son corps gracile aux assauts d’un grand blond tout aussi membrè, à quatre pattes à ses cô-tés, Clothilde écartait de tous ses doigts son oeillet, le défripant, en éca-rtant les fronces pour mieux dévoiler son intérieur blanchâtre, d’un seul élan, brisant d’un seul coup tous les obstacles, son client l’embrocha jusqu’à la garde, lui repoussant les boyaux, les déplient en force pour faire son logement.

Déjà celui qui chevauchait Milène se vidait au fond de sa matrice, lui en-joignant de se placer à quatre pattes au côté de Clothilde et d’ouvrir tout grand son cul, il remplaça le factionnaire de guet.

Entrant dans la pièce, ce dernier découvrit Aurore, la bouche pleine du sexe de son client, lèvres bien arrondies autour du cylindre, coulissant lentement sur la hampe rigide, Clothilde, enculèe jusqu’aux couilles qui, d’avant en arrière, s’empalait au maximum sur le gros chibre qui la comblait et Milène s’écartelant la blessure, cambrant les reins, offrant en toute obscénité l’accès de son con ou de son cul selon son envie, il fourragea dans sa braguette, en sortit une énorme bite brune qu’il détrempa d’abord dans le vagin de la belle blonde, puis lui planta roidement dans le fondement, Milène qui voyait depuis quelques temps se concrétiser ses fantasmes les plus pervers, se mit immédiatement en branle, roulant des hanches, par de savants retraits et douloureuses intromissions chercha son plaisir, enfin dans un hoquet de plaisir il lâcha un torrent de foutre au cœur de ses intestins, tandis qu’Aurore la bouche pleine de sperme visqueux regardait Clotilde en prendre à son tour plein le cul.

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La Princesse de la Fac

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Amateur

Mon arrivée sur le campus de l’université d’Austin au Texas s’était merveilleusement bien déroulée. J’avais débarqué quelques jours plus tôt et j’avais eu le temps de prendre mes marques, faire connaissance avec quelques élèves, connaître la disposition des lieux, décider de préférer le restaurant « Carillon » plutôt que la cantine… J’étais suffisamment sûre de moi pour aller frapper à la porte de la sororité Kappa Kappa Sigma. Il s’agissait de la sororité numéro un du campus, celle dont avaient été membres presque toutes les étudiantes qui avaient eu une carrière remarquable. Le bâtiment en lui-même avait la taille d’un hôtel particulier et était en brique rouge. Un grand porche s’étendait à l’entrée, soutenu par des colonnes doriques. C’était d’un goût douteux, mais cela pouvait impressionner pas mal de filles qui sortaient d’un trou perdu du Texas. Ce qu’il y avait de vraiment bien, c’est que la bâtisse était située à deux pas des bâtiments de cours.

Une jeune femme finit par ouvrir. Elle portait une mini-jupe rose et un t-shirt blanc où était imprimé en gros et en noir les lettres grecques de la sororité : KK Σ .

Pour s’habiller ainsi, ce devait être une des bizutes.

« Oui ? demanda-t-elle.

— Je voudrais voir la présidente.

— Euh… »

Elle referma la porte, sans rien dire de plus. Typique d’une bizute, impolie de peur de mal se comporter. Elle revint trois minutes plus tard avec une brune courte sur patte et au visage carré. Sa tenue était bien plus casual que celle de la bizute : un jean, des baskets et un t-shirt avec écrit dessus : « Obey Me ». C’était Brenda, j’avais déjà vu une photo d’elle et c’était elle que je voulais rencontrer.

« Qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-elle, assez mécontente qu’on vienne la déranger.

— Je veux intégrer Kappa Kappa Sigma.

— Eh bien, t’es en retard. La soirée des bizutes c’était hier. SI tu veux quand même intégrer notre chouette groupe, tu peux rester là, les mains sur la tête, sans bouger. »

Elle pointa du doigt un coin du perron où quatre jeunes filles se tenaient à genoux avec les mains posées sur la tête. Elles avaient vraiment l’air connes à attendre dans cette position de petite fille punie. D’ailleurs elles devaient en avoir conscience, car elles se mirent à rougir de honte quand je les regardai.

« Si je suis de bonne humeur et que j’en ai envie, on viendra te dire d’entrer… Cela dit, toi tu viens ici et tu me déranges pour des idioties ; alors je peux dire que tu es mal partie et que tu vas attendre longtemps… Je devrais peut-être même t’obliger à attendre en sous-vêtement pour rattraper ta bévue…

— Je suis Nancy.

— Enchanté, Nancy, mais j’en ai rien à foutre de ton nom. Par contre, tu vas retirer ton chemisier que je vois si t’as des gros seins pour compenser ta petite cervelle, ah ah ah…

— Nancy Steimer. »

Son rire s’arrêta net, son visage devint livide. Elle avala sa salive en cherchant quoi dire, puis elle balbutia :

« Oh… euh… tu veux peut-être entrer ? »

Je souris, je kiffais son changement de ton. Cette conne croyait me traiter comme une bizute, moi, la fille du doyen de l’école. J’allais lui faire payer son affront. Mais plus tard, quand j’aurais pris sa place. Parce que ma place était d’être au top de toutes les organisations auxquelles je participais ; que ce soit le club de badminton du quartier ou la plus prestigieuse sororité du campus.

J’entrai dans le bâtiment, une bizute se dépêcha de prendre ma veste. Elles avaient l’air bien formées : serviles, respectueuses et craintives. La présidente devait les mener à la baguette. Brenda me mena à travers le hall qui était orné des portraits des membres de la sororité ayant le mieux réussi, une avocate, une politicienne, une chef d’entreprise… Puis l’on arriva dans un salon cosy. Une bizute apparut dès notre entrée pour nous apporter ce qu’elle présenta comme des flûtes de champagne. Quand je m’assis dans un fauteuil, Brenda toussa un peu et expliqua :

« Nancy, je suis vraiment désolée, mais tu ne peux pas intégrer la sororité immédiatement. Ça fait partie de la charte de notre organisation… Mais dès la fin des épreuves des bizutes tu seras l’une des nôtres, ça te va ?

— Je suppose que je peux patienter…

— De toute façon, ce n’est qu’administratif, tu es la bienvenue pour venir ici chaque fois que tu en auras envie. On va même te préparer une chambre.

— Bien. Toi, tu es dans quelle chambre ?

— La deuxième à gauche à l’étage. Si tu veux me voir, tu peux y venir quand tu veux et…

— Ce sera ma chambre maintenant. Je te laisse un quart d’heure pour faire des valises, le temps que j’aille fumer une clope dehors. Ce sera tout pour l’instant, tu peux partir. »

Si un regard pouvait tuer, je serais morte à cet instant. Brenda dut prendre deux bonnes inspirations avant de pouvoir répondre :

« Bien sûr, ce sera fait immédiatement… Je pars m’en occuper. »

— Ne perds pas de temps… »

Je me tournais ensuite vers la fille qui m’avait apporté un verre.

« Et toi la bizute… eskişehir escort Comment tu t’appelles ?

— Julia, Madame.

— Et qu’est-ce que c’est que ce champagne ?

— Euh… du Frank Family…

— Petite sotte, ce n’est pas du Champagne, mais du vin pétillant. »

Je renversai mon verre sur sa tête et me levai pour partir. J’étais assez satisfaite que cette Brenda se soit quasiment mise à plat ventre devant moi. Même si j’avais déjà un grand logement à proximité du campus, ce serait sympa d’avoir une chambre ici. Cependant vivre dans une sororité avait des inconvénients, j’avais un petit copain, et je n’allais certainement pas baiser avec lui dans une des chambres de la sororité… Tout le monde m’entendrait quand qu’il me ferait jouir.

Mais vu que j’étais la fille du doyen, c’était normal que je sois à la tête de la sororité la plus prestigieuse. Et je pourrais toujours me servir de la chambre pour ranger des affaires.

Pendant les semaines qui suivirent, j’entrais parfois dans le bâtiment et m’amusais à me tenir au courant de ce que les bizutes subissaient. Certaines se faisaient corriger avec une énorme palette à fessée. Il s’agissait d’une planche avec un manche, le tout était en bois de chêne et gravé des lettres grecques de la sororité : KK Σ . La planche en elle-même mesurait trente centimètres, et provoquait une atroce douleur quand on frappait avec. Si je le savais, ce n’était pas parce qu’on m’avait fessée avec, mais parce que les étudiantes criaient comme des âmes damnées quand elles recevaient des coups.

On m’autorisa à corriger certaines bizutes. Car même si j’étais “techniquement” moi-même une bizute, j’étais, dans les faits, déjà une sœur… Et punir ces étudiantes idiotes se révéla agréablement jouissif. Même si elles tentaient de garder leur dignité au début, très vite, à mesure que les coups se succédaient, les filles criaient et pleuraient comme de vraies petites pucelles. Comme c’était une punition, elles devaient crier « Un » après le premier coup, puis « deux » au deuxième… Quand c’était moi qui tenais la planche, elles ne savaient jamais à combien elles allaient devoir monter… L’une d’elles dû compter jusqu’à cinquante… Tout ça parce qu’elle avait oublié de mettre son t-shirt KK Σ pour aller en cours… Pendant une semaine, elle ne put plus s’asseoir ou se rendre à l’université tellement elle avait mal au cul ! Je lui avais donné une leçon qu’elle n’oublierait pas de sitôt.

Pendant les fêtes entre sororité et fraternité, là aussi, j’étais déjà traitée comme membre. Je voyais certaines bizutes se faire alpaguer par des mecs et les suivre comme de petits toutous… Si elles voulaient avoir une chance de devenir sœurs, refuser les avances d’un membre d’une fraternité amie était mal vu. Je rigolais à chaque fois, à voir ces jeunes filles de bonne famille se comporter comme des putes pour espérer intégrer notre sororité… Jamais je n’aurais fait ça moi. J’avais de l’éducation et de la fierté, pas comme ces traînées… Et de toute façon, même si j’avais été dans leur situation, on ne m’aurait jamais attrapé par le bras pour tirer un coup rapide. J’inspirais trop le respect. Ils auraient dû faire des courbettes devant moi et tout ce qu’ils auraient gagné ç’aurait été un crachat bien placé entre les deux yeux. C’est moi qui choisissais avec qui je baisais, jamais l’inverse.

On arriva au week-end célébrant la fin des épreuves, où seules les bizutes les plus vaillantes seraient choisies pour intégrer la sororité. Brenda, assez gênée, se présenta à moi alors que je patientais dans son ancienne chambre.

« Nancy, il y a un petit problème… Pour devenir membre de notre sororité, il faut finir son initiation, et… eh bien, tu n’as pas fait une seule épreuve. Sans ça, tu ne peux pas devenir notre sœur.

— Brenda… tu as compris que si je n’intègre pas Kappa Kappa Sigma, je demanderais à mon père de fermer la sororité. »

Je vis Brenda pâlir devant cette menace explicite. Je respirai la peur qu’elle suait et m’en régalai.

« Je sais… mais ça n’empêche, ce sera une seule épreuve, une très facile, une simple formalité… Tu n’auras presque rien à faire, et comme ça toutes les sœurs te respecteront. Qu’est-ce que tu en dis ?

— Hum… Bof.

— Et en fait… à dire vrai, cette épreuve, c’est plus un cadeau de bienvenue pour toi… Je te jure que tu ne le regretteras pas. »

Et puis après tout, pourquoi pas ? Ça pouvait être amusant. Mais je vérifiais un point avant ça :

« S’il s’agit de recevoir des coups de la planche parce que tu penses que je suis une masochiste, tu oublies. En fait, je te préviens que si je n’aime pas ce qui m’arrive, ce sera à toi d’en assumer la responsabilité.

— Bien sûr ! T’inquiètes pas, je suis sûre de moi. »

Je l’accompagnai et descendis les marches, elle rejoignit les seniors de la sororité, tandis que je rejoignis les bizutes. Celles-ci étaient habillées en robe du soir et talons aiguilles tandis que moi je portais une simple jupe et un chemisier. C’était le dernier jour gaziantep escort de l’initiation, je sentais toutes ces petites bizutes fébriles, impatientes de devenir membre à part entière de Kappa Kappa Sigma. Cependant, ce n’était pas encore fait et elles restaient tendues, se demandant ce que Brenda pouvait leur réserver. La lumière était tamisée et la présidente ainsi que les autres sœurs portaient une robe en lin noire, comme dans un culte secret.

Brenda prit la parole, sa voix résonnant dans le hall :

« Toutes les dix, vous avez subi des outrages, des brimades… et pourtant vous avez tenu bon ! Vous êtes toujours là à vouloir devenir nos sœurs. Félicitations ! Cependant, une dernière épreuve parfaitement adaptée à vos capacités va vous être assignée. Cette épreuve jouera sur vos peurs les plus profondes, si vous parvenez à vaincre cette peur, alors vous deviendrez de vraies Kappa Kappa Sigma !

« Numéro une, Kelly, viens ici… »

Kelly, une jolie blackette s’approcha en se demandant ce qu’on lui avait réservé. Elle se présenta devant Lisa qui était en charge des bizutes. Celle-ci lui tendit un récipient, une coupe où était écrit « À la meilleure suceuse. » Brenda reprit la parole :

« Tu te doutes bien que tu ne mérites pas ce trophée… sais-tu le nombre de garçons de fraternité qui se sont plaints que tu recrachais leur sperme? Comment peux-tu refuser d’avaler quelques centilitres de foutre ? Tu te rends compte qu’avec ce genre de comportement stupide, tu fais honte à toute notre sororité ?

— Désolée, Maîtresse. Mais… je ne supporte pas le goût…

— Il faudra pourtant bien que tu le supportes, ce soir, au cours de la fête de fin de bizutage, tu vas remplir ce trophée de sperme, tu as jusqu’à minuit. Quand elle sera pleine, tu la boiras en entier… Si tu n’avales pas tout, ou que tu n’as pas réussi à remplir la coupe, tu auras raté ton initiation et tu seras rejetée. »

Kelly regarda le trophée avec terreur, il avait la contenance d’un gros bol à café. Malgré tout, elle ne protesta pas, elle s’inclina devant Brenda et répondit : « Merci, Maîtresse. »

Elle repartit rejoindre nos rangs, je pouvais voir de grosses larmes couler sur ses joues… Elle ne devait vraiment pas aimer le goût du foutre ; j’étais impatiente de voir si elle serait capable d’avaler le demi-litre sans rien recracher…

« Numéro deux, Julia, viens ici. »

Julia, une brune au visage doux et rond se présenta devant Lisa.

« À de nombreuses reprises, tu as montré que tu avais peur de te faire enculer. Tu penses que ton trou de balle est précieux ou quoi?

— Non, Maîtresse!

— Alors pour le reste de la journée, jusqu’à minuit, tu vas avoir ce plug anal enfoncé dans le cul. Approche-toi et retourne-toi… »

Julia hésita en regardant l’énorme plug que Lisa brandissait… Elle tourna la tête vers nous, espérant peut-être que l’une des bizutes prendraient sa défense… Espoir débile évidemment, j’étais impatiente de voir sa tête quand le plug serait introduit dans son trou du cul. Résignée, Julia s’avança, le teint pâle, et quand elle se retourna à côté de sœur Lisa celle-ci dit :

« Penche-toi. »

La bizute obéit, je pus voir son visage se mettre à se crisper quand l’index de Lisa posa une noisette de vaseline sur son petit trou, puis alors que la sœur commençait à introduire le plug métallique, Julia abandonna tout espoir de garder sa dignité et se mit à crier et à pleurer comme une idiote à mesure que le bouchon anal s’enfonçait en lui écartant l’anus. Quand le plug fut complètement enfoncé, elle revint vers nous les joues toutes rouges et en marchant comme un canard.

« Numéro trois, Nancy, viens ici… »

Je m’approchais, et pour la première fois j’étais un peu inquiète, mais pas paniquée. Je savais que si ça me déplaisait je pouvais tout arrêter, et ce serait sur Brenda que retomberaient les ennuis.

« Nancy, nous allons te mettre un bandeau sur les yeux… Cela montrera que tu es prête à nous faire confiance. Une fois ce bandeau sur les yeux, on te présentera un mec qui te baisera.

— Quoi! C’est hors de ques…

— Chut ! »

Lisa se pencha à mon oreille : « l’homme en question c’est Jerry, ton copain, ne t’en fait pas, c’est juste pour faire croire aux autres que tu passes une épreuve toi aussi. »

J’étais rassurée, Jerry était un type bien, qui ne ferait rien qui puisse me déplaire. Je les laissais me mettre un bandeau noir en coton épais sur les yeux. Je ne pouvais rien voir à travers et on me fit quitter le bâtiment. Encore une fois, je marchais avec assurance, sans crainte. Si on me jouait un sale tour, je ferais renvoyer Brenda de l’université, elle le savait.

On me prit par la main et on me mena jusqu’à une voiture. On me conduisit en auto cinq minutes avant de me faire descendre. Je marchai, entrai dans un bâtiment, j’entendis quelques bribes de conversation, puis je montai un escalier, une porte s’ouvrit, j’entrai dans la nouvelle pièce puis une des sœurs annonça :

« Tu peux t’asseoir. »

Je giresun escort m’accroupis avec précaution et mes fesses se posèrent sur un lit moelleux. On se déplaça à côté de moi et j’entendis la voix de Brenda contre mon oreille :

« Quand ton copain arrivera, fait comme si tu ne savais pas que c’était lui. Il nous a raconté qu’un de ses fantasmes, c’était de baiser une inconnue… On lui a dit que s’il mettait un bandeau sur les yeux, on lui ferait baiser une de nos plus belles bizutes… »

Ça ne me surprenait pas, il avait parfois des idées bizarres. Pourquoi vouloir baiser une inconnue, alors qu’il couchait avec moi ? Sans me vanter, j’étais quasiment un top-model, si je n’avais pas été si intelligente, j’aurais pu faire fortune en devenant l’égérie d’un grand couturier. Je pensais peut-être me présenter au concours de Miss America, mais j’avais peur d’être un petit peu trop petite, les blondes gagnaient plus souvent que les brunes et mes seins étaient un peu trop gros… Au final, il n’était pas sûr que je gagne.

Brenda continua :

« D’ailleurs, c’est pas tout à fait faux, tu es la plus belle de nous toutes… »

J’adorais quand s’aplatissait devant moi comme une carpette. Quand je serais une sœur, je la forcerai à me sucer les pieds, une lécheuse comme elle, elle devait faire ça bien.

« Quand il se rendra compte que c’est toi la bizute, il aura une dette envers toi, car il avait l’intention de te tromper. Tu pourras faire de lui ce que tu veux… Mais pour conserver le secret, il est important que tu ne parles pas.»

C’était assez vrai, je pourrais lui faire payer sa tentative de me tromper. Finalement Brenda n’était pas si cloche que ça, elle avait quelques bonnes idées de temps en temps. Alors que j’étais assise sur le lit, une des bizutes demanda : « Est-ce que tu veux qu’on te déshabille ? »

J’hésitais puis répondit : « Brenda peut le faire. »

Je voulais que cette petite prétentieuse se mette à genoux pour retirer ma culotte, qu’elle frôle mes magnifiques seins de ses doigts et se rende compte que ce n’était pas seulement intellectuellement qu’elle était inférieure à moi, mais physiquement aussi.

« Pas de problème, » répondit-elle.

Elle se mit à me déchausser, puis je me levai pour qu’elle détache ma jupe. Elle dut même se courber pour descendre ma petite culotte… J’étais déjà excitée qu’elle s’humilie ainsi. Quand je serais sœur de plein droit et que j’aurais pris sa place, je lui donnerai le rôle de servante. Chaque soir quand j’irai dormir, je la ferai sonner pour qu’elle me déshabille et chaque matin elle viendra dans ma chambre pour m’habiller comme si j’étais une princesse et elle mon esclave.

Elle retira finalement mon soutien-gorge, je l’entendis échouer à retenir son souffle alors que mes deux majestueuses montgolfières sortaient de leur soutien. Cette idiote avait dû penser que je portais des Wonderbras, quelle petite sotte. Tout était naturel chez moi.

Je m’étendis sur le lit… Une des sœurs mit de la musique jazzy très fort et quelques minutes plus tard la porte s’ouvrit à nouveau. Brenda déclara : « Le voilà, on vous laisse tous les deux… »

Je les entendis partir en faisant beaucoup de bruit, j’étais seule avec Jerry. J’hésitai à retirer mon bandeau, mais finalement je trouvais le principe amusant. Après tout, moi aussi j’avais envie d’imaginer que c’était un inconnu qui me baisait. Je me souvenais même avoir dit à Brenda :

« Regarde Gwen, avec son carton sur la tête… elle ne saura jamais quels sont les mecs qui l’on fourré… Ça me plairait presque, c’est excitant non? Enfin, si j’étais une salope, et pas une princesse, moi j’ai seulement un petit copain, mon prince charmant… »

Brenda avait dû y réfléchir, et c’était sa manière de faire un cadeau.

Je sentis la main de mon copain se poser sur ma tête. Je compris son intention. Je me penchai et mis sa queue dans ma bouche… il devait être intimidé par tout ce cérémonial, car il bandait moins dur que d’habitude. Je m’appliquai encore plus que d’ordinaire pour le faire se dresser pleinement. Il se taisait, seule la musique et les bruits de succion se propageaient dans la pièce. Jerry ne disait rien, sans doute lui avait-on recommandé de ne rien dire, pour que la bizute ne sache jamais qui l’avait baisé.

Ma langue passait et repassait sur son membre, pomper les yeux fermés changeait beaucoup de choses. On se rendait moins bien compte de la taille, on cherchait moins à faire une gorge profonde et plus à être aux petits soins, à lécher le gland avec attention, à saliver, à passer la langue aux endroits sensibles, qui le faisaient frémir…

Finalement, il émit un borborygme. Il devait en avoir assez de se faire sucer et voulait passer aux choses sérieuses. Il recula ma tête de sa main et je m’allongeai sur le lit. J’entendis le sommier craquer quand il monta dessus. Il n’était pas gros, mais grand et musclé, cela faisait du poids. Il saisit mes deux jambes qu’il écarta, toute cette situation m’émoustillait et j’étais déjà mouillée, j’avais un peu l’impression d’être une salope. Une femme ne sachant pas qui la baisait… Bien sûr, cela restait un fantasme, j’aurais détesté faire ça pour de vrai, mais juste prétendre que ce n’était pas mon copain… ça me plaisait. Sa queue s’enfonça dans ma fente, glissant en moi avec habileté, je me mordis les lèvres de plaisir.

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Le duel de la Prophétie

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[Prologue]

“Les écrits anciens indiquent que depuis des temps immémoriaux, lorsque les légions des Forces du Mal se rassemblent sous une bannière unifiée pour ravager et asservir la planète ; apparaît alors la réincarnation de l’Elue, prêtresse-guerrière légendaire, damoiselle protectrice magicienne, à seule fin de s’opposer à leur règne de terreur et ramener le monde à l’équilibre.

Ainsi, selon l’antique prophétie, quand l’ère sombre débutera, une jeune vierge mystique de sang royal, fille d’un humain et d’une elfe, pourra devenir la détentrice d’un pouvoir ancestral secret susceptible de vaincre définitivement les forces démoniaques.

Cette Princesse du Royaume de Bryandal — dernier espoir des Mondes Libres Fédérés – maitrisera les arts martiaux et la magie mais elle ne pourra lancer son incantation finale qu’au moment où elle aura purifié suffisamment d’âmes de démons ou de guerriers du chaos. L’énergie maléfique quintessenciée convertie en lumière renverra alors l’armada malfaisante dans les enfers et restaurera la paix sur la planète durant un millénaire.

Dans le Grand Livre, malheureusement, il est également spécifié qu’une fois le destin de la Prophétesse accompli, son âme se séparera de son corps vidé de fluide vital et, ayant rendu son dernier soupir, elle s’élèvera ensuite vers le Ciel, nimbée de lumière divine pour rejoindre le Chœur des Purificatrices jusqu’à sa prochaine incarnation. Le texte relate cependant de très rares exceptions à cette règle avec des cas de survie datant tous mystérieusement des premiers Cycles Sacrés de l’Histoire du Monde…

En l’an de grâce 7584 de la 22e Ere, durant la Lunaison des Fleurs, les Astrologues ont observé l’apparition de l’Etoile de la Destinée dans un alignement parfait et rarissime des planètes nommé « Grande Conjonction », phénomène relaté dans les Ecritures. Les Sages ont ainsi décrété que la Princesse Ludwyna, tout juste venue au monde, était bien la nouvelle Dépositrice des Arcanes Célestes. Elle suit donc depuis sa tendre enfance un entrainement spécial pour se préparer à sa quête alors que l’ombre s’étend de plus en plus et que la guerre fait rage dans la contrée.

Elle porte les « Frou-frous de la Justice », la tenue cérémoniale des mystiques, aux étranges vertus nécessaires au rituel, transmise de générations en générations d’élues : toute de noir vêtue, avec plusieurs épaisseurs de longs jupons à volants et fioritures, un corset en velours fermé devant par des attaches busc et serré dans le dos par des lacets, une riche tunique brodée en satin aux manches bouffantes, des bottines de combat en cuir à talons aiguilles, des mitaines en dentelle, un nœud dans les cheveux, des bijoux en argent et un loup métallique traditionnel aux motifs entrelacés finement ciselés autour des yeux pour lui donner un air de justicière masquée…

La fougueuse héroïne livrant bataille depuis des mois remporte des premiers succès assez faciles et l’ennemi finit par prendre au sérieux la menace que la jeune fille représente et les légendes qui l’entourent.

Le chef des forces du mal a eu vent de l’existence d’un fragment obscur de la prophétie jusqu’ici inconnu. Et il a fini par mettre la main dessus durant ses guerres de conquête et ses pillages de tombeaux.

“D’après ce sombre extrait inédit de la Prédiction, le Commandeur des Légions du Chaos pourrait drainer et s’approprier le savoir merveilleux de l’Elue s’il arrive à vaincre et maitriser la mystique avant qu’elle ne pratique ce charme surpuissant.

Pour rendre les attaques magiques de l’aventurière et ses talents de combattante inefficaces, “l’Armure de Neutralisation”, un puissant artéfact, est nécessaire car cette protection permettrait de dévier les assauts occultes de la magicienne et d’atténuer l’impact de ses coups de pieds légendaires mais surtout, phénomène extraordinaire, d’en transmettre l’énergie pour renforcer les caractéristiques de la brute au fur et à mesure des chocs encaissés afin qu’il devienne un berserker inarrêtable.

Concernant l’appropriation du pouvoir ultime par les forces du chaos, il est également précisé que le Maître Diabolique devra déflorer la Sainte. L’Oracle Lumineux insiste sur la préservation de la virginité comme élément requis au contrôle de la Purification Sacrée par la druidesse. Mais seule la Révélation Lugubre dévoile que le viol de la pucelle transférera automatiquement ce terrible sort à son agresseur.

Un tel savoir ésotérique en sa possession serait alors perverti et provoquerait immanquablement le triomphe absolu et irréversible du mal.”

Cet écrit indique où est cachée cette carapace des damnés et le chef des monstres s’en est emparé.

Ainsi donc, Brutus Maleficius, un Ogre-démon impitoyable invaincu en combat singulier, aussi robuste qu’une montagne et tellement puissant qu’on dit de lui qu’il aurait étranglé simultanément deux ours à mains nues, revêt son armure hérissée de pointes et décide de traquer Ludwyna personnellement.

Depuis des siècles, les chefs des forces du mal se sont focalisés sur les invasions et la conduite de hatay escort leurs troupes sur les champs de bataille sans se soucier de cette légende jusqu’à subir par surprise l’Exorcisme Purgatoire de leurs armées. La stratégie de Brutus est toute différente :

Au lieu de continuer à envoyer sa horde se faire laminer, ce qui fournirait à la redresseuse de torts le Ki requis pour acquérir l’incantation finale, l’ogre cuirassé, s’estimant maintenant invincible, va au-devant de la Princesse dans le but de l’intercepter avant qu’elle ne soit prête.

La demoiselle ne se doute pas que son plus terrible ennemi la poursuit désormais et qu’il lui réserve le plus funeste des châtiments qu’une jouvencelle puisse connaître.

Bien trop sûre d’elle — car Mandataire du Ciel après tout! – la naïve et précieuse guerrière ne sait pas que son prochain adversaire sera d’un niveau bien supérieur à celui des sbires qu’elle a défaits. L’intrépide et prétentieuse pimbêche ne connait pas le contenu du Manuscrit du Crépuscule égaré depuis des éons et se dirige tout droit vers le piège fatal tendu par son ennemi juré… “

[Fin du prologue]

Bien préparé, surpuissant et protégé par l’armure maudite, le Commandeur des Légions du Chaos se met en marche. Il se lance dans une traque effrénée et poursuit la Purificatrice dont il repère les traces en sentant les effluves de son délicieux parfum. Il entend au loin le cliquetis des bijoux, le martèlement des talons hauts et le bruissement des frou-frous de l’adolescente en jupons alors que la mystique s’enfonce dans la sylve abondante sous le ciel nocturne.

Il est à ses trousses et pour la première fois, la fière magicienne chasseresse de monstres, inconsciente du danger, risque de devenir une proie. Le guerrier brutal a hâte de la rabattre dans un endroit clos d’où elle ne pourra pas faire demi-tour afin de lui régler son compte. Il sait exactement où conduire cette idiote pour avoir un avantage décisif. Au préalable, sachant qu’elle cherche à purifier un autre de ses vétérans afin de maximiser son mana pour lancer le Pouvoir Ultime, il a semé des indices et de fausses rumeurs pendant une semaine pour l’attirer au vieux Temple Maudit de Rakshamgur, ancienne forteresse détruite ayant appartenue à un de ses monstrueux ancêtres.

Au même moment, traversant cette ruine envahie par la végétation à la lisière d’une dense forêt sous les croassements macabres des corbeaux dans le lointain, la silhouette filiforme d’une jeunette vêtue d’une élégante robe princière de combat mystique noire assez extravagante emprunte un étroit sentier sortant des sous-bois qui finit par déboucher sur une petite clairière. Mais c’est une impasse, un cul de sac, une voie sans issue, peut-être même un traquenard : une barrière rocheuse infranchissable entoure le lieu. A la lumière de la pleine lune filtrée par les nuages apparait son visage à la peau blanche comme la crème, aux lèvres de nacre, aux yeux bleus intenses et aux joues roses encadrées par deux charmantes petites tresses dévoilant de fines oreilles légèrement pointues aux lobes assez développés d’où pendent des anneaux d’argent scintillants. La donzelle est déterminée à trouver le prochain général des forces du mal dont elle piste la trace depuis deux jours.

L’adolescente élancée se faufile et explore les parages, les yeux écarquillés derrière sa frange mutine. Pénétrant dans les vestiges du Temple du Grand Troll, abandonné depuis la XIVème Guerre, la Princesse inspecte les lieux, ses longs cheveux bouclés châtains clairs aux reflets blonds ondulent dans son sillage, suivant ses moindres mouvements de tête avec fluidité, attachés en arrière par un innocent nœud en satin noir formant une demi-queue de cheval dont la toison flamboyante retombe en cascade sur sa nuque et ses épaules, à la manière très en vogue chez les elfes.

Soudain, son intuition lui indique que le Mal rode. Elle ressent la présence maléfique d’un poursuivant à l’aura extrêmement puissante. Instinctivement elle accélère le pas pour voir s’il en a après elle ou s’il chasse un autre héros de passage. Par acquis de conscience, elle aiguise ses sens pour éviter un éventuel piège. Sa clairvoyance elfique ne la trompe pas. Elle entend maintenant l’écho lointain de craquements de branches suspects. Des bruits de pas lourds ébranlent bientôt le sol et se rapprochent, indiquant la présence malveillante d’une menace humanoïde épique de corpulence extrême, portant probablement une armure épaisse et très certainement dotée des pires intentions….

Peu rassurée, Ludwyna, sentant qu’on l’épie et comprenant qu’elle est bien la cible de cette mystérieuse créature, essaie de se camoufler en lançant un sort d’invisibilité temporaire. Elle décide de s’abriter derrière un mur partiellement effondré des vestiges de l’enceinte fortifiée de Rakshamgur pour pouvoir surveiller et analyser les actions de cet éventuel agresseur.

Elle ne le sait pas encore mais l’être qui la suit est le Maître des Forces du Chaos en personne. Constatant qu’elle est détectée malgré tout par ığdır escort ce sacré pisteur, la Princesse sort de son refuge, s’arrête, pivote sur ses appuis et fait volte-face, sur le qui-vive, parée à toute épreuve car déjà transformée en guerrière magique depuis son entrée dans la forêt maudite… C’est probablement le Général ennemi qu’elle cherchait à purifier. S’il vient à elle, c’est parfait! Inutile de jouer plus longtemps à cache-cache. Le voilà donc!… On ne peut pas le manquer…

IL est là. Grand, costaud, imposant, massif et menaçant ; bloquant la seule issue en faisant écran de son large corps : Des jambières n’ayant rien à envier à la circonférence d’un tronc de chêne centenaire, des avant-bras énormes renforcés de protections métalliques comme de solides écailles et une sordide armure du chaos terrifiante recouvrant une épaisse couche de muscles et de graisse.

Toute retraite est désormais illusoire et l’affrontement est inévitable!

Dévisageant la jolie frimousse de ce beau brin de fille drapée de taffetas et de soie, Brutus Maleficius est stupéfait car il s’attendait davantage à une bougresse large d’épaules en cotte de mailles lourdement armée et non pas à un tendron inoffensif semblant sortir d’un conte de fées : « Quoi? C’est toi le petit cul qui a mis à mal mes légions et terrassé mes chefs de guerre? Mais je vais t’étendre pour de bon et t’allonger en moins de deux! »

L’Ogre a un mauvais rictus aux lèvres. Le pouvoir secret de l’Elue sera bientôt à lui. Elle ne peut pas s’échapper. Il savoure ce moment, se pourléchant les babines, dévoilant des dents gâtées, sa langue chargée se promenant autour de ses badigoinces gercées, un filet de bave naissant à leur commissure. S’amusant à bander ses muscles noueux pour impressionner ce petit bout de bonne femme qu’il trouve très stimulante, il commence déjà à avoir de vilaines pulsions et des envies inavouables… Même sans la Prophétie Obscure pour le motiver, cette apparition séduisante et cette belle gueule de jeune première sont des tentations suffisantes pour qu’il soit en rut. Et effectivement, il est déjà très tendu sous son armure… Il a hâte de la prendre en main et de passer à l’action!

Mais à sa grande surprise, la coquette et avenante débutante ne se laisse pas démonter et campe devant lui du haut de son mètre septante avec assurance et un calme olympien, claquant des talons théâtralement pour faire résonner le sol, digne, altière, le ventre plat et le torse bombé, inclinant légèrement sa tête sur le côté pour mieux scruter ce Gargantua en le défiant :

“Arrière, monstre! Laissez-moi passer où vous le regretterez! Je suis sa Grâce la Princesse Ludwyna, Gwendoline, Faëriel, Myriade de Bryandal, l’Elue de la Prophétie qui combat les Forces du mal que vous représentez! Si vous me cherchez querelle, je vous affronterai en duel. Je bannirai votre âme de démon comme je l’ai déjà fait pour d’autres avant vous! Et je poursuivrais tous les Faiseurs de Ténèbres jusqu’en Enfer s’il le faut! En garde!

-AH! AH! AH! Ne me fais pas rire, pimbêche! Ce n’est pas une gamine endimanchée en tenue d’apparat pour aller au bal masqué qui pourra se confronter au pouvoir du chaos et à son Commandeur Suprême! Même perchée sur tes talons hauts pour prendre des grands airs, tu n’es pas de taille! Et tu ne fais pas le poids face à moi, cuisses de mouche!

-Pour triompher, il faudrait déjà que vous puissiez m’attraper, espèce de pachyderme! Je vous aurais averti, je ne me laisserai pas faire et pour y arriver il faudra me passer sur le corps!

-C’est bien mon plan, petite présomptueuse et je vais y prendre bien du plaisir! Ha ha ha! » dit-il de sa voix grave en faisant craquer ses articulations.

A ces mots, la magicienne, offusquée et choquée par ces propos indignes et grossiers, frémit de dégoût. Rougissante, la demoiselle respectable aux chastes oreilles, ne peut réprimer un mouvement de recul. Quel odieux personnage! Le genre d’énergumène qu’elle abhorre le plus… Ludwyna est écœurée par ce gros dégoutant. Elle qui est délicate, raffinée et princière doit faire face à cette espèce de sale brute mal dégrossie.

Toisant son ennemi, elle ne peut que constater son format mastoc. C’est un géant patibulaire. Immense, impressionnant et probablement sans une once de subtilité ni de compassion.

Passant élégamment sa main dans sa magnifique crinière foisonnante pour la remettre en place avec style, la sémillante Princesse adopte sa position d’attente fétiche : à moyenne distance, les épaules de trois-quarts bien relâchées, pour limiter les ouvertures, le bassin basculant légèrement frontalement, la jambe de devant tendue et celle de derrière fléchie, les bras alignés sur le même décalage, selon la « forme du Dragon », toutes griffes dehors, la mitaine gauche en protection haute près du visage et celle de droite, basse, contre le flanc, prête à jaillir. Pleine d’assurance et persuadée que le mal ne l’atteindra pas, l’adepte pontifie et tance son ennemi :

« Vous n’êtes qu’un mufle! Je ne suis pas celle que vous croyez! ısparta escort Me prenez-vous donc pour une coureuse de remparts? Pourtant vous devriez faire preuve de déférence envers moi. Vous n’êtes pas le premier mastodonte que je punis! Vous ne me faîtes pas peur! Tant pis pour vous! J’en aurai fini avec vous avant l’heure du thé! Au nom des frou-frous de la justice, je vais vous purifier! » fulmine-t-elle, gonflée d’orgueil et de suffisance, gesticulant un rituel de ses mains fines et gracieuses dans un mouvement ayant un sens codé ou mystique de conjuration échappant à la compréhension des non-initiés.

-C’est ça, fais la guerre en dentelle dans tes atours de petite dame de la cour mais tu pleurnicheras, gigolette, quand je te les aurai arrachés de force! Tu feras moins la maline et la fière tout à l’heure, diva! Je sais que tu ne maîtrises pas encore le Pouvoir Ultime, je me suis bien renseigné sur ton compte! J’ai bien compris que j’avais tout intérêt à anticiper notre rencontre car tu n’es pas tout à fait prête!

-Cela ne changera rien au final. Vous vous croyez invincible parce que vous êtes gras comme un cochon? Laissez-moi rire! Plus on est grand, plus on tombe de haut, c’est bien connu voyons! Mais assez d’échanges de politesses, démon. Attrapez-moi si vous le pouvez, mais permettez-moi d’en douter!» conclut la jeune femme espiègle avec un sourire malicieux et un air décidé, haussant les épaules face à ces dernières menaces.

Le combat qui va décider du sort du monde va commencer!

Ce sera une opposition de styles. Mais bien évidemment elle le vaincra comme tous les autres du haut de ses dix-sept printemps, puisqu’elle est l’Elue de la Prophétie, la Palatine Ludwyna, fille du roi des humains et de la reine des elfes!

Prenant une profonde inspiration faisant gonfler son arrogante poitrine, elle passe à l’attaque …

« Yaaahhhh!… » lance-t-elle, sa douce et cristalline voix contrastant avec sa farouche détermination.

L’imposant cousin des orcs et des trolls se met en position pour l’affrontement, frappant son buste avec ses gants comme le ferait un gorille énervé avec un air de « Viens-là si tu l’oses! ». Il veut voir de quoi cette minette est capable et si sa réputation est usurpée.

« Et alors? Tu vas faire quoi? Me menacer avec tes petits poings? Tu n’as pas encore compris à qui tu avais affaire? C’est ça, viens te frotter à moi, douce poupée de porcelaine! J’vais te faire un gros câlin avant de te casser en mille morceaux! » s’emporte le démon paré à toute épreuve.

La princesse se base sur sa stratégie habituelle de mélange de magie et d’arts martiaux. Elle est agile, vive et rapide. Elle est concentrée et très précise dans ses attaques, misant toujours sur sa souplesse et sa vitesse. Par conséquent elle utilise principalement des techniques de coups de pieds gracieux et privilégie l’esquive et les réflexes. Mais elle n’a que la constitution d’une adolescente certes fougueuse, dangereuse et bien entrainée mais crédule. Son défi est d’éviter de se faire assommer ou agripper et, le moment venu, d’utiliser ses attaques magiques quand elle aura concentré suffisamment d’énergie mystique.

L’Oni honni est lent, lourd et prévisible, mais est doté d’une force extraordinaire et d’une robustesse incroyable. Qui plus est, il est extrêmement endurant et résistant et se régénère rapidement.

Impitoyable, brutal et expérimenté… Il pratique les saisies, les prises, la mise à terre, les soumissions, les immobilisations, les baffes et utilise les genoux et les coudes déloyalement. Il a l’expérience de la guerre et aime tuer, piller et ravager.

Au début du combat, la jeune prodige évite facilement les attaques du colosse qui frappe dans le vide alors qu’elle virevolte autour de lui telle une ballerine.

« Je vois que tu connais bien les arts martiaux, comme le stipule la légende. Mais j’en ai vu d’autres, ma petite! Je vais t’aplatir comme une crêpe!

-Je consens à vous faire la grâce de ce duel parce que telle est ma destinée et que vous m’y avez contrainte, mais mes mouvements sont bien trop fluides pour vous. Je me déroberai sans difficulté car je suis une cible trop évanescente pour un faramineux lambin adipeux en armure tel que vous, sinistre patapouf phallocrate! » jase-t-elle, imbue, dédaigneuse et méprisante.

Elle utilise la force et la lenteur de son adversaire pour la retourner contre lui en le déstabilisant ou en plaçant une riposte.

Mais, la garde de ce guerroyeur est une vraie muraille et s’approcher c’est risquer de se faire prendre par son envergure redoutable. Néanmoins, l’audacieuse adolescente arrive à placer des attaques à travers la défense presque impénétrable de la brute.

Ses contres font mouche mais ses petits coups de mitaines en dentelle ou de bottines lacées en cuir à talons aiguilles n’entament pas la cuirasse de l’antagoniste, à sa grande surprise.

Primesautière et franche, la novice indomptable le défie avec insolence et candeur : « Alors? Songiez-vous vraiment pouvoir éviter le destin que vous réserve la Prophétie Lumineuse? Dans vos rêves! Vous avez perdu l’esprit, si tant est que vous n’en ayez jamais eu. Je parie que vous êtes impressionné par mes talents, n’est-ce pas? Vous m’avez sous-estimée parce que je suis une femme, mais je ne suis pas une fille comme les autres! Je ne me laisse pas faire!

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Esclave de Mère – Ch. 03

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Babes

Les quinze jours les plus longs de ma misérable vie. Je n’ai presque pas dormi tant les souffrances se sont développées. Je ne quitte mon bâillon que pour boire et manger ma pitance, faite de reste, d’une boîte pour chien, et d’une potion de Sandrine. Ma bouche reste béante, Sandrine pense qu’il ne faut pas plus de deux mois pour que les muscles ne fonctionnent plus, avec l’aide d’une injection de Botox qu’elle m’a faite et va renouveler pour rendre ces muscles inutiles. Je ne pourrais plus que manger de la nourriture prémâchée. Je prends cela comme cela vient, je suis à chaque instant plus convaincue que je mérite parfaitement tout ce qu’elles me font subir, que j’ai une chance folle d’avoir deux si belles femmes, et que le plaisir d’assister à leurs ébats, parfois violents et cruelles entre elles, est un vrai plaisir.

Comme promis par Mère, j’ai changé de gode au bout de huit jours. Mon cul et tout le bas de mon corps étaient anesthésiés. Le gode était nickel, rien ne sort plus par mon cul, et, bénéfice suprême, je ne pète plus! Cela ne semble rien, mais cela permet un port du gode autrement plus confortable. Elle l’a remplacé par un gode de neuf centimètres, la taille intermédiaire n’existant pas. Cela peut sembler peu de passer de huit à neuf centimètres, mais cela augme la surface de près de 25%, et le volume encore plus! Et comme il est assez court, une vingtaine de centimètre, Mère s’est mise en tête de l’enfoncer totalement dans sa femelle, moi.

Mon muscle est totalement inutile maintenant, mais les chairs doivent s’écarter. Je souffre le martyre de le sentir progresser, et ce n’est jamais assez pour Mère. Elle me force à m’asseoir dessus, c’est juste une torture, malgré la grande quantité de lubrifiant. Je vais et je viens dessus, pleurant à chaudes larmes, la regardant pour la supplier, mais rien n’y fait, je le sais bien, jamais Mère ne revient en arrière.

Les muscles me tirent dans les jambes, la sensation est horrible, alors même que je viens de le mettre, et Mère de le verrouiller au corset. Sous les rires des deux femmes je me déplace à quatre pattes, incapable de me redresser, j’arrive juste à me tenir à genoux. Je pleure tant, mais cela ne provque que des rires de leur part, et Mère me rappelle sa promesse et que je n’en suis qu’au début.

Elle me demande si je veux partir, comme cela, d’un coup, que tout peu s’arrêter. Elle n’a pas prémédité sa demande, Sandrine semble choquée, les deux femmes regardent ma réaction. Je me jette aux pieds de Mère, puis de Sandrine, comme un chien fou, ce serait le pire qui puisse m’arriver, je suis à Elles. Mère me repousse d’un coup de pied violent, souriant à son amoureuse, et lui disant que je suis bien faite pour cela!

Les deux femmes contemplent l’œuvre de Sandrine. Bien qu’encore trop ferme, cela va évoluer, ma poitrine a poussé comme une folle. Je possède deux obus qui pèsent et pendent sous moi quand je marche. La douleur se calme progressivement, ou alors je m’y suis faite. Les auréoles sont étrangement petites et sombres, tandis que les tétons font la taille d’une phalange. Comme Sandrine l’a prévu, ils sont ultrasensibles et le moindre souffle d’air est douloureux. Je n’ai pas tellement eu le temps de m’habituer à avoir un tel poids, mais devant marcher à quatre pattes, cela n’est pas trop difficile. Les deux femmes me massent souvent les seins, ce qui est pour l’instant très douloureux, mais ne sont pas allées plus loin dans leur utilisation. Le résultat est dingue. Mère décide que nous retournions chez C&A pour trouver une brassière et une blouse qui irait avec.

Avant, elles décident de s’occuper de mon sac fermé depuis 15 jours. L’odeur est épouvantable et l’aspect l’est tout autant. Cela ne ressemble à rien, mon sexe est transpercé de toutes parts, comme mes couilles. Elles m’envoient me nettoyer et mettre tout cela au clair. Déjà je bande sous leurs rires méprisants, tellement heureux de récupérer, même quelques instants, ma queue chérie. Elle n’est pas si blessée, et une fois tout nettoyer, a un aspect presque normal.

Sandrine tient des anneaux en main et me les enfile autour de la peau des couilles. Le premier a une barre séparant chaque couille, les suivants viennent alourdir le poids, mais surtout les tirer en les éloignant de la base de mon sexe. Sandrine fait coulisser ma peau, qui est tendue comme un arc, mes couilles sont très dessinées, écrasées et douloureuses, mais elle continue à ajouter des anneaux qu’elle visse ensuite. La douleur dans mes couilles est très forte, elles sont déjà violettes quand elle s’arrête et admire son travail.

– Chaque semaine, un anneau de plus, cela va être splendide! Et en plus les coups du matin et du soir vont être tellement plus douloureux. Tu as voulu rester, n’est-ce pas?

Elle n’attend pas de réponse, tapote mes couilles doucement, me faisant sauter à chaque fois, et surtout craindre le pire pour mes coups du soir et du matin. Ces femmes sont tellement cruelles avec moi.

Sandrine m’enfonce dans l’urètre un long tuyau métallique, très large, qui van escort a du mal à passer. Il fait peut-être un centimètre de diamètre. Elle force, lubrifie, continue à pousser. Les sensations sont étranges, je sens des valves qui cèdent, jusqu’à ce que seule la pointe du tuyau n’émerge. Je dois en avoir 20 ou 25 centimètres en moi. Elle prend un petit élastique et l’étire au maximum pour le laisser se refermer à la base de mon gland. La tension est très forte, cela brûle, le tuyau ne bouge pas. Elle répète l’opération une dizaine de fois sur tout la longueur de ma queue qui ressemble à un saucisson tordu dans tous les sens. Chaque mouvement est très douloureux. Ma queue est retournée entre mes jambes pour disparaître, attachée à la base du gode qui me déchire. Mère m’a remis le huit centimètres pour sortir, car je ne pourrais pas encore marcher avec l’autre!

Dans la rue, je suis carrément indécente et provoque plusieurs accidents piétonniers. Mère a enlevé le corset, trop provocant, mais ma taille s’est quand même bien réduite. Ma jupette du coup tombe sur mes hanches, me couvrant un peu plus. Cependant, le T-shirt arrive à peine sous les seins, dévoilant mon nombril, et surtout mettant en valeur ma poitrine énorme et ma taille si serrée. Je suis un fantasme masculin. Chez C&A la vendeuse est stupéfaite, se demande comment m’habiller. Elle me fait rentrer dans une cabine, ôte mon T-shirt, et se permet de toucher ma poitrine. Comme je ne dis rien, qu’au contraire je mets les mains dans le dos, elle ne se prive pas de me peloter longuement, et même de m’embrasser. La douleur dans mon sexe est terrible, mais je goutte ce baiser volé. Ces caresses sont sensuelles, je profite pour la première fois de mes nouveaux seins.

Deux solutions, soit un grand sweat sans forme, ce que Mère réfute catégoriquement, soit alors une brassière, très à la mode actuellement, qui est prévue pour arriver sous les seins et laisser le ventre libre. Mère en choisis plusieurs, et je me trouve encore plus affolante ainsi. La vendeuse leur vend une autre jupe en taille 30, celle-ci étant trop grande. Elle me propose de l’essayer, et Mère lui demande de m’accompagner, se doutant bien de l’émoi que je provoque chez elle.

Quand je fais tomber ma jupe, la vendeuse est statufiée. Je suis nue devant elle, qui découvre mes couilles suppliciées, mon sexe nullifié, mon cul dilaté. Mes seins sont vrais, elle en est certaine, elle me trouve affolante. Une main dans sa culotte, elle me caresse les couilles, remarque comme je m’offre, pince les couilles, les écrase violemment, tandis qu’elle murmure son orgasme qui n’en finit pas. Incroyable comme elle jouit longtemps. Sans prévenir elle me gifle, une fois, deux fois, jusqu’à ce que je sois toute rouge, et dans l’incompréhension. Bien entendu je n’ai rien dit, je n’en ai pas le droit. Elle prend des photos de moi sous toutes les coutures.

– Votre fille a beaucoup de trésors cachés en elle

– Vous avez vu?

– Très intéressant en effet. Si vous avez besoin d’une baby Sitter, ne manquez pas de m’appeler.

– C’est une bonne idée, elle semble avoir eu très chaud là-bas, ses joues sont toutes marquées.

– Cela vous ennuie?

– Mais non! Elle est faite pour cela.

– Je vous confirme! La jupe en 30 est serrée, mais je pense que sa taille va s’affiner, cela lui ira très bien.

– J’aurais voulu qu’elle s’arrête à 32

– Pourquoi continuer alors?

– La laisser libre de tous corsets est insupportable comme idée

– Je comprends, il faut accepter la nature.

– D’autant qu’elle doit subir une opération pour lui enlever six cotes.

– Oh ce sera magnifique alors! Peut-être l’habiller sur mesure, ou alors seulement en tenue fétichistes.

– Oui c’est notre projet

– Pas assez d’enfant ont des mères comme vous!

– Merci, je ne manquerai pas de vous recontacter.

Tout le monde me regarde, mes seins sont moulés, on devine le mamelon et le téton est nettement visible. Je crois que je serais moins provocante nue. La jupe en trente marques bien ma taille, je vois le regard des hommes éberlué. Je les comprends, je m’excite moi-même.

Sandrine nous rejoint, pour fêter ces 15 jours, elles vont me poser mon collier d’esclave. C’est une boutique de piercing vendant de nombreux articles en métal, en particulier des colliers. La taille est vite prise, nous avons de la chance, c’est la plus petite disponible. Le collier est large, peut-être cinq centimètre, épais, et du coup très lourd. Mère choisit une fermeture définitive. Un ressort se ferme et ne peut plus être retiré. Bien entendu je confirme au vendeur mon accord, et Mère sort ma carte d’identité. Il s’y reprend à plusieurs fois pour faire le lien entre ma carte et mon apparence, il hésite, puis prend la carte de Mère.

– Vous êtes sa Mère?

– Eh oui, je ne suis pas parfaite!

– C’est fou comme histoire, j’ai déjà vu plein de choses, mais là cela dépasse mon entendement.

– Cela vous pose un problème

– Oh non, bien au contraire, yalova escort c’est parfait.

Il laisse Mère et Sandrine fermer le collier qui vient appuyer sur les clavicules. Il est néanmoins bien serré et compresse légèrement mon cou. Un anneau au centre permet d’y attacher une laisse que le vendeur vend avec, une chaîne très courte et une poignée en cuir. Un autre anneau à l’arrière, permet de me tenir en laisse à 4 pattes, ce qui semble bien plus pratique. Je suis aux anges, les miroirs me renvoient une image de folie. Là aussi, tout le monde nous regarde dans le magasin. Nous reviendrons pour des tatouages ou piercing promet Mère. Le vendeur semble impatient. Mère ne veut pas trop provoquer dans la rue, et ne met pas la laisse pour me sortir, mais les réactions sont quand même très explicites, à la grande joie des deux femmes. Je baisse la tête, heureuse malgré tout de provoquer cette excitation.

Je suis mise à nue dès rentrée à la maison, enculée avec le gode de neuf centimètres et la laisse en place sur l’anneau du cou. Comme je n’ai pas encore remis mon corset, Mère décide d’une séance de flagellation sur tout le corps. Je suis suspendue par les mains, les jambes écartelées, c’est douloureux avec le gode qui appuie sur mes organes. Evidemment elles s’en moquent, et je pense qu’elles ne le savent même pas. Les coups de badine pleuvent sur mes magnifiques seins, les striant profondément, me faisant hurler dans le bâillon quand mes tétons sont effleurés. Le ventre n’est pas épargné et je m’évanouis quand une mèche fini sur mes couilles. Réveillé par les deux furies qui n’ont pas arrêté pour autant de me marquer, d’un côté comme de l’autre. Je suis fiévreux, je souffre tant, je me demande comment mon cœur fait pour tenir. Le pire c’est que je les aime chaque fois un peu plus, et je ne sais comment les remercier quand enfin elles arrêtent le supplice.

Mère veut attacher mes seins, mais Sandrine lui demande quelques jours de patience, que tout le produit soit bien intégré, se demandant si mes seins vont continuer à grossir ou non, le résultat dépassant ses espérances les plus folles. Mais mes tétons leur sont offerts. Les deux femmes sont prises d’une violence folle et passent l’heure suivante à me faire hurler par le biais de mes tétons. Mère prend deux pinces crantées, et les écrase le plus fort possible, avant de les tirer autant que possible. Je gigote en vain, la douleur est fulgurante, tellement pointue, mais me provoque une excitation folle dans le sexe! Il bande malgré ses contraintes, ce qui ne fait que renforcer la furie des filles.

Je reçois ainsi un pic à brochette dans chaque téton, m’arrachant un cri de douleur inouï, ainsi qu’un flot de sang, provoquant leur colère. Mère allume une bougie pour chauffer les pics qui me brûlent de l’intérieur, portés au rouge, cela les fait beaucoup rire, et le supplice dure longtemps. Enfin Mère décide d’attacher mes pieds à mes tétons, qui sont totalement étirés, sans que je n’arrive à les soulager. Elles me regardent ainsi, avant d’aller se doucher et se reposer, tandis que je vis un calvaire, ma vie de tous les jours. Avant de me laisser, Sandrine m’annonce que demain je fais ma première visite à la clinique, sans m’en dire plus. Je n’ai pas le temps de cogiter, j’essaie de sauver mes tétons de l’arrachement!

***

Je suis un peu dans le brouillard, mais la douleur à mon visage me réveille brutalement. J’essaie d’ouvrir les yeux, mais j’ai un bandage qui couvre toute la tête, et je ne vois rien.

– Ne bouge pas petite chienne, tu es à la clinique, et tu vas y rester deux jours avant de finir ta convalescence à la maison. Tu vas voir, tu vas être gâtée par le résultat, mais aussi par la douleur, j’ai supprime tout antalgique, c’est bien plus intéressant.

La voix de Sandrine me rassure, et je me souviens ce matin être venue à la clinique très tôt, avant que le personnel ne soit là. Et puis plus rien. Contrairement à ce qu’elle m’a dit, Sandrine m’a totalement anesthésiée pour … pour je ne sais pas quoi, elle ne me dit rien, elle est sortie, je le sens, il n’y a personne dans la pièce.

J’ai les bras et les cuisses attachés, la tête maintenue en place, mes mouvements sont impossibles. Sans doute pour m’éviter de me blesser. Cependant, si j’ai été anesthésiée, je comprends que je n’ai pas d’antalgique effectivement, tant je souffre de partout dans mon corps. C’est difficile de penser à autre chose. Certaines de ces douleurs me sont bien connues, comme le gode dans le cul, très inconfortable dans cette position, le corset trop serré, mes couilles étirées (Ouf, je les ai encore), et mon sexe contraint. Non cela s’est passé ailleurs.

Au niveau des pieds ou des chevilles, je sens comme un plâtre, une douleur sourde que je ne sais pas bien analyser. Il s’est passé quelque chose au niveau de mes pieds, mais je n’arrive pas à imaginer quoi. Le reste c’est au niveau du visage, j’ai mal à peu près partout de la gorge aux oreilles, en passant par la bouche ou le nez. Je sens une paille insérée çorlu escort dans mon palais, je peux boire. J’aspire, et, rassurée, je sens le champagne de mes Maîtresses remplir ma gorge. En avalant j’essaie de crier tant la brûlure est vive, mais rien ne sort.

En fait dès le lendemain, je suis déplacée, et je reconnais l’appartement de Mère. Je suis placée dans la chambre d’ami, sur le sommier métallique sans même un matelas. Rien ne m’est épargné. A nouveau attachée, je ne dois pas bouger pendant deux semaines! Cela me paraît fou, presque des vacances. Evidemment, Mère a pensé à tout, et ce ne sont pas des vacances.

Le sommier métallique permet d’installer une machine dessous, à laquelle est lié le gode, et je me fais enculer en permanence, à des rythmes très variables, avec comme seule respiration, quand je dois subir le nettoyage en profondeur de mes intestins. Je me demande ce qu’il doit rester de mon cul après ces quinze jours de sodomie en continue. J’avoue que j’adore cette sensation, c’est épuisant, mais je m’y habitue et je dors très bien avec. Je me demande si cela ne va pas me manquer terriblement ensuite!

Mère invente d’autres jeux bien moins drôles, comme les aiguilles enfoncées dans mes couilles de plus en plus étirées, et reliées à une centrale électrique, qui délivre des décharges variables, mais toujours très fortes, me faisant sauter de douleur. Mon gland a droit au même traitement, mes organes sont électrocutés sans cesse, quand ils ne sont pas battus avec une cuillère en bois.

Cela semble anodin, mais c’est absolument redoutable. Je n’ai pas de bâillon, et je remarque que je ne peux pas crier, aucun son ne sort. J’ai essayé de parler, rien non plus, pas même un souffle rauque, juste de l’air. Je dois bien réaliser que je ne pourrais plus jamais parler. Telle est la volonté de Mère et de Sandrine. De toute façon, ces dernières semaines, à part crier, je n’ai pas dit un seul mot, et je ne vois pas ce que j’aurais pu dire!

Mère adore jouer avec mon opulente poitrine, et j’adore les sensations qu’elle me renvoit, c’est tellement, tellement excitant. Mais parfois douloureux aussi, surtout au niveau des tétons. Mère me susurre qu’elle va me percer les tétons, et qu’avec Sandrine elles ont décidé de procéder de façon originale, elles ont acheté une perceuse avec des mèches à bois, pour me percer directement en un très gros diamètre. Avec une perceuse! C’est un nouveau plaisir qu’Elle découvre, que de m’annoncer les choses, sentir ma terreur, puis mon acceptation ensuite. Je les sens qui s’embrassent et jouissent de me voir ainsi sauter avec des décharges d’une rare violence, je me demande si elles ne m’ont pas branché sur du 220 volts.

***

Tous mes bandages ont été enlevés, mes yeux restent fermés par du scotch. Mère me fait une nouvelle couleur pour rétablir une harmonie dans mes cheveux, qu’elle lisse avec application ensuite. Les yeux toujours fermés, je passe les quelques jours suivant à récupérer mes chevilles et mes pieds. Stupéfait je réalise que je ne peux plus poser le talon par terre au risque de tomber en arrière.

– J’ai réduit ton tendon d’achille de 90% de sa longueur, tu ne peux plus marcher, sinon qu’avec des chaussures à très haut talon. Tu vas t’entraîner ces prochains jours, et tu ne porteras plus que cela, parfois un peu plus, mais jamais moins. Comme ton pied, bien que faisant un petit 36, était trop large, je t’ai brisé quelques os, pour le réduire, et maintenant tu entres très bien dans un 36 pour femme. Nous t’avons pris quelques paires, cela va te plaire, tu seras moins petite.

Le grand jour arrive enfin où mes yeux vont pouvoir être décollés. J’ai eu un peu peur qu’elles aient décidé aussi de me maintenir dans le noir! Je me suis entraîné à marcher avec les stilettos, et franchement, j’ai l’impression que c’est comme mes ballerines, puisque le talon vient naturellement suppléer mon tendon d’achille réduit. Je dois encore apprendre à me déhancher un peu, mais le poids de mes seins m’y incite naturellement. Je me suis déjà habituée à eux, à leur poids, à leur balancement, au plaisir et à la douleur induits.

Il me faut du temps pour m’habituer à la lumière, vive en cet été. Je suis debout sur mes escarpins, face à une grande glace, que je n’ose pas regarder tout de suite. Mère est assise dans le canapé, la jupe retroussée, sans culotte, une main enfoncée dans sa chatte, c’est très excitant. Sandrine semble plus tendue, comme si elle était inquiète de ma réaction, ce qui n’ pas de sens, je suis une esclave. Et contrairement à ce que pensais Mère, j’en suis pleinement heureuse.

Je ne leur dit pas, je crois que cela les mettrait en fureur!

Une inconnue me fait face, me sourit, fait des grimaces, se touche, se contemple. Je ne me ressemble plus, tout a été retouché, souvent subtilement comme le nez ou les oreilles, parfois plus fortement comme les pommettes, les yeux de biche que j’ai maintenant, ou la bouche rose profond et un peu gonflée. Avec les cheveux blonds lissés, je ressemble à une jeune fille fraîche et naïve. Le collier est en totale contradiction avec cette image, ce qui la rend très érotique, surtout avec de si gros seins et le crorset rose. Mes jambes semblent interminables avec ces chaussures, je me trouve incroyablement belle. A un détail près évidemment.

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Fanny 02

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TEXTE POUR LECTEUR AVERTI

Ils sont les trois couchés cote à cote. Silencieux. Profitant de l’instant présent.

Fanny n’ose rien dire. Même pas les regarder. Ils sont tellement beaux et mignons. Tellement durs et doux à la fois. Que vont-ils penser d’elle? Elle s’en veut de ne pas avoir résisté. D’avoir accepté si facilement. Ils vont la prendre pour une fille facile. Elle a envie de faire pipi mais n’ose pas bouger. Elle sent leurs muscles collés contre elle.

Les deux garçons profitent du moment. Ils se sentent bien, forts, conquérants. La fille à leur côté est à eux. Ils l’ont baisée à fond. Lui ont remplis à ras bords sa chatte blanche de française. Ils n’en reviennent pas. Trop facile. Une vraie pute. Elle est belle, plus vieille qu’eux et elle est à eux. Ils ne croient pas encore à leur chance et surtout si cela va durer. Ils ne savent pas trop qu’elle sera la suite. Ni même ce qui va arriver dans les minutes qui suivent.

C’est Mehdi qui se lève le premier.

– Les chiottes c’est où?

Ils se lèvent les trois. Les deux garçons suivent la fille. Ils regardent son cul pâle se balancer devant eux. Ils pissent devant elle sans même prendre la peine de fermer la porte. Ils sont circoncis. Fanny trouve beaux ces glands à découverts, débarrassés de ces capuchons de peaux. Quand c’est son tour, elle veut fermer la porte des toilettes mais les garçons en rigolant l’en empêchent. L’intérieur des cuisses de la fille est maculé de traces de sperme séché. Le vagin est rouge.

– Non Fermez la porte. Mais qu’est-ce que vous allez penser de moi les garçons.

Les rires détendent l’atmosphère lourde. Ils la laissent s’isoler, mais entendent le jet percuter la faïence. Ils sourient et vont à la recherche de la salle de bain.

– Si elle savait ce qu’on pense d’elle… Chuchote Saïd

Fanny les rejoint bientôt. La douche ne peut les accueillir les trois. Elle les regarde se doucher, se savonner, se rincer. Elle admire leurs corps, leurs muscles, la couleur ambrée de leurs peaux. Elle n’ose s’attarder sur leurs virilités même si elle en crève d’envie. Ils lui sourient gentiment.

Puis lui cèdent la place et veulent la regarder se doucher.

– Non les garçons. S’il vous plaît. Laissez-moi seule. Allez.

Elle les retrouve dans le salon. En maillot de bain. Elle veut remettre sa robe.

– Non… Reste comme ça.

C’est Saïd qui demande d’une voix ferme. Mehdi enchaîne :

– Oui tu as besoin de rien ici. Tu es tellement belle…. Et personne ne peut voir par la fenêtre.

– Je ne peux pas rester nue voyons…

– Pourquoi? Y a personne… Allez viens avec nous. Regarde, nous aussi on va enlever nos maillots…

Ils se lèvent, se mettent nus devant elle et se rassoient sur le canapé, jambes écartées, prenant leurs aises. Ne laissant aucune place à la fille. Elle ne peut s’empêcher de jeter un œil sur les mandrins au repos, entre les cuisses des garçons. Ils émergent fièrement d’un buisson dru de poils noirs frisés pour reposer sur les cuisses brunes aux muscles saillants?

– Tu as à boire?

– J’ai de la limonade.

– Super, amène.

Aucune formule de politesse. Presque un ordre.

Quand elle revient, elle reste stupéfaite devant eux. Affalés sur le canapé, jambes largement écartées, ils tiennent leurs sexes bruns en main. Ils bandent durs et se branlent lentement. Elle regarde les sexes fièrement tendus vers elle, la gorge sèche et déjà une lourdeur dans le ventre.

– Viens ma belle … Viens. Regarde ce que tu vas prendre.

Comme une somnambule, elle avance un verre plein de limonade dans chaque main. Saïd la débarrasse délicatement des verres givrés de buée qu’il pose sur le guéridon qui est face au canapé. Puis il prend la main droite de la fille et la pose sur sa bite.

– Regarde comme tu nous donnes l’envie… Tu es trop canon… Vas-y branle moi….

Elle sent sa chatte s’humidifier. Impossible de résister à la demande. Elle se penche puis se met à genoux entres les cuisses brunes du garçon. Elle branle doucement le bâton de chair. C’est doux et dur à la fois. Souple et rigides. Saïd la laisse faire.

– C’est bien ma gazelle. Fais la bien durcir.

Fanny ne lâche pas la grosse bite bien dure. Saïd fait pivoter la jeune fille face à lui. Il attire doucement la tête blonde vers son bas ventre. Fanny, la bite toujours dans sa main se penche lentement. Ses seins reposent bientôt sur les cuisses de Mehdi. Le contact brulant lui donne des frissons.

– Embrasse-la… Fais lui des bisous…

Elle obéit sans rien dire. Elle branle Mehdi et embrasse la bite de Saïd en même temps.

Au bout de quelques instant Saïd la repousse gentiment.

– Lève-toi ma belle.

Elle abandonne les deux mandrins avec regret ; Saïd la tourne face à la table et lui appui sur les omoplates. Elle comprend et se penche au-dessus de la toile cirée.

Saïd lui donne des petits coups de pieds sur l’intérieur des chevilles l’obligeant à écarter les jambes et à se camber.

– Tu es magnifique! Montre bien trabzon escort ton cul. Tu as un cul de déesse.

C’est Mehdi debout à ses côtés qui a parlé. Il appui sur ses reins l’obligeant à se creuser davantage.

– Cambre bien ma belle. On veut admirer ton tarma. .

Elle frémi quand elle sent une main ouvrir sa motte. Ils admirent les fesses blanches bien rebondies, la taille très fine, la raie culière pleine de promesse. Ils découvrent les grandes lèvres ouvertes. Les doigts de Saïd partent à la découverte des replis secrets offerts.

– Elle mouille bien… Tu aimes ça toi hein ma belle? …

Elle ne répond rien se contentant d’un long soupir de bien-être

– Vas-y elle attend que ça. Baise-la!

– Putain ce cul!

Pour la troisième fois, Saïd l’embroche d’un coup jusqu’à la garde. La soulevant presque sous la violence de l’intromission. Elle se mord les lèvres sous l’assaut. Il commence à la pistonner à grand coups de bites. Son bassin claque contre les fesses offertes faisant un bruit humide. Il la tient aux hanches et la pilonne de plus en plus fort. Il prend son temps fait varier les rythmes. Il ouvre les fesses pour voir la bite s’engouffrer dans la fente rougie et offerte. Puis les doigts remontent sur les fesses pour dévoiler la rosace plissée toute rose.

Mehdi fume en regardant la télé, attendant patiemment son tour. Il sait déjà qu’elle ne dira plus rien. Quand on se fait baiser de la sorte en plein jour et sans aucune préparation par deux mecs connus la veille, c’est qu’on aime la bite et qu’on est une salope de première. Pas besoin de prendre de gant avec ce genre de nana. Ils ont vu pas mal de films pornos.

Saïd fait un clin d’œil à son ami et accélère encore le rythme. Fanny sent la jouissance envahir ses chairs ouvertes. Elle grogne et attrape les bords de la table. Elle crie de bonheur quand le garçon se déverse en elle.

Quelques secondes de répit. Quand Saïd la libère, elle ne bouge pas. Elle devine la suite.

Mehdi prend le temps de boire sa limonade en admirant le cul dressé de la française, avant de l’embrocher à son tour. Elle se laisse baiser sans rien dire. Elle profite de cette deuxième bite aussi bonne que la précédente. Le garçon lui claque gentiment les fesses. Les coups sont précis et assez forts pour la faire sursauter sans lui faire de mal.

– Passe-moi la limonade mon frère. Fait soif à la niquer. Elle aime çà cette salope.

Fanny se sent humiliée d’entendre Mehdi parler d’elle de la sorte et boire en lui faisant l’amour. Mais sa bite va loin, vite. De plus en plus loin et de plus en plus vite. A nouveau ce bien être, ces frissons dans sa chatte. Elle va jouir une deuxième fois. Elle jouit en criant et il la rempli à son tour.

Ils l’ont libérée. Elle veut aller dans la salle de bain. Ils s’essuient le sexe dans une des serviettes qui est restée sur la table après le déjeuner. Mehdi lui tend la serviette.

– Essuie toi avec ça. C’est suffisant…

– Mais ce n’est pas …

– Allez, on aimerait tellement que tu nous gardes en toi… S’il te plaît… C’est amusant…

Ils la regardent écarter les jambes et nettoyer sa fente luisante avec la même serviette. A nouveau se sentiment de victoire pour eux.

– On va à la plage… Il fait beau.

Ils se rhabillent les trois. Elle met un maillot de bain. Elle sent déjà sa chatte sourdre les spermes mélangés.

Dans la voiture, elle met une serviette avant de s’assoir. Les garçons comprennent son embarras, mais ne disent rien. Ils arrivent à la plage. Fanny ne peut attendre plus longtemps. Son entrejambe est trempé de spermes. Elle fonce dans l’eau pendant que les garçons étendent les serviettes. Mehdi ri franchement :

– Elle doit avoir la chatte qui baigne dans le jus avec ce qu’elle a pris

– On est tombé sur une bonne là

– Une bonne grosse salope tu veux dire mon frère.

– J’aurais jamais cru ça à la voir…

– Avec ces françaises on sait jamais… Je suis sûr qu’on va bien se marrer avec elle… Aller viens… Laisse-moi faire j’ai une idée… On va bien en profiter

Ils la rejoignent dans l’eau. Pas beaucoup de monde autour d’eux. Ils se baignent gentiment. Les garçons se collent à elle. Elle est heureuse. Saïd l’enlace tendrement. Elle se laisse bercer dans ses bras fins aux muscles déliés. Mehdi s’approche :

– Tu vas nous manquer grave tu sais.

Devant l’incompréhension de la fille il précise. Saïd ne dit rien.

– On va travailler toute la journée jusqu’à dimanche. Des journées longues.

Fanny semble sincèrement désolée. Les garçons lui manquent déjà. Elle ne veut pas rester seule tant de temps. Elle ne sourit plus et nage lentement. Les garçons ne disent rien. Fanny se sent seule, perdue.

– On est désolé ma belle. Mais on fera la fête Dimanche.

– C’est loin dimanche répond-elle peinée

Saïd enchaîne :

– Et t’as ta voiture maintenant. Tu peux aller ou tu veux.

Ils se sèchent.

– Tu veux qu’on te ramène Fanny…

Elle tunceli escort ne répond pas. Ils la ramènent. Elle monte à l’arrière. Mehdi se tourne vers elle en souriant.

– Ecarte qu’on admire. T’es trop belle.

Elle obéit et remonte même le bas de sa robe dévoilant ses cuisses.

Saïd est perplexe. Il ne comprend pas ou veut en venir Mehdi. Fanny reste silencieuse, jambes écartées. Elle est déboussolée. Elle n’ose pas leur dire qu’elle veut les voir. Qu’elle ne pourra pas attendre si longtemps. Elle a envie de revivre l’après-midi qu’elle a passé avec eux.

Arrivés au bas de l’immeuble, à son grand désespoir, ils ne veulent même pas monter.

– On doit aller manger chez notre oncle tu comprends…? A dimanche.

La voiture part la laissant seule et triste… Coup de frein la voiture recule et vient à son flanc droit.

– Si tu veux on peut manger ensemble demain soir?… Si tu peux bien sûr… On peut venir le soir si tu veux… Le soir on est libres.

Devant le sourire de la fille, les garçons comprennent que les nuits prochaines risquent d’être chaudes.

– Oui… Oui venez.. Je vous préparerais à manger…

– Te casse pas la tête. On vient pour te manger toi… LOL! On viendra direct du boulot..

– A demain ma belle…

La voiture repart sur les chapeaux de roue, dans un bruit de moteur couvrant tout. Sous le regard désapprobateur d’un voisin qui promène son chien.

Fanny s’en moque de ce que peut penser ce vieux con qui la reluque avec vice dès qu’il le peut.

oooOOooo

Fanny a préparé une grande salade composée. La cuisine est loin d’être son fort. Elle a fait du mieux qu’elle sait. Elle a acheté des merguez, des côtelettes d’agneau et du fromage. Elle ne sait pas s’ils boivent du vin. Dans le doute elle en a acheté de toutes les couleurs et de la bière aussi et bien sur l’incontournable Coca.

Bruit de moteur facilement reconnaissable. Elle tremble de joie. Elle porte une robe légère passée sur ses sous-vêtements. Elle se regarde dans le miroir. Recoiffe de sa main quelques mèches blondes rebelles.

Porte d’ascenseur. Rires. Sonnette. Elle ouvre.

Ils sont là! Dans leurs salopettes de travail, les visages maculés de taches de cambouis. Sales et tellement mignons. Tellement jeunes aussi. Ils ont un sourire éclatant de joie….

– On n’avait pas la patience de prendre la douche à l’atelier. On était pressé de te voir Fanny…

Elle les regarde sans bouger. Subjuguée par leurs visages, leurs regards, francs, malicieux, troubles. Le V de peau couleur caramel que laisse entrevoir les salopettes entre ouvertes. Les quelques poils noirs.

Saïd reprend en rigolant :

– Tu nous laisses entrer ou on va s’acheter des Kebabs…

Confuse elle les laisse entrer. Ils investissent le salon, se pressent contre elle.

– Vous allez me salir… Elle rigole et tente de s’échapper.

Mehdi siffle d’admiration en voyant la table dressée.

– T’es super Fanny! Fallait pas…. On peut prendre la douche ici. On a nos vêtements dans le sac de travail.

Ils n’attendent pas sa réponse et se dirigent vers la salle de bain en courant.

De vrais gamins pense-t-elle…

Des pensées troubles la submergent en pensant à la taille des sexes de ces soi-disant gamins.

Elle commence à s’affairer à la cuisine. Elle les entend rire et parler en arabe. Elle entend l’eau qui ruissèle.

– FANNY..! OH FANNY….

La voix puissante de Saïd la précipite vers la salle d’eau.

Elle se fige. Ils sont nus tenant leurs sexes tendus vers le ciel. Leurs corps couverts de gouttelettes d’eau. Ils voient son regard trouble, ses lèvres entre ouvertes, sa petite langue pointue passant sur la lèvre inférieure dans un mouvement inconscient qui traduit sa brusque envie.

Mehdi d’une voix douce l’interpelle.

– Viens lui dire bonjour Fanny, elle est toute propre pour toi… Viens….

– Oui fous toi à poil et viens….

Elle hésite ne sait pas quel comportement adopter. Leur obéir ou sortir. Elle sait déjà qu’elle n’aura pas le courage, ni l’envie de désobéir. Mehdi la presse :

– Allez Fanny…. Viens ma belle… Viens on a pensé à toi toute la journée… Regarde nos zobs… Ils vont éclater!

Ils voient la robe tomber autour des pieds de la fille. Pour elle se débarrasse du sous-tif et enfin de la culotte. Ils sortent de la douche, lui prennent chacun une main pour la poser sur leurs sexes bien durs.

Elle frissonne. Elle sent les verges palpiter. Dures. Chaudes. Comme douées de leurs propres vies. Elle les branle doucement. Soupirs d’aise de ses prétendants.

Elle aime sentir cette puissance dans ces mains. Elle va lentement. Les garçons tendent leurs bassins. La laisse faire. Elle ose enfin regarder ce qu’elle fait. Ses mains si blanches qui coulissent sur ses hampes brunes, des racines ancrées dans un friselis de poils noirs aux glands circoncis déjà conquérants. Elle admire ce qu’elle cajole. Ne voit pas l’échange rapide de regards entre ses uşak escort jeunes amants.

– Tu es magnifique ma belle.

Mehdi met ses mains sur les épaules de la fille et appui doucement.

– Mets-toi à genoux tu seras bien mieux.

Elle hésite à peine. Ses tétons sont durs, sa chatte mouillée. Gros plan sur les deux sexes turgescents qui lui semblent énormes. Elle les regarde fascinée. Elle les branle doucement. Elle n’a pas l’habitude de ces sexes sans prépuce. Elle a peur de faire mal. Mais les chairs glissent souplement. Cela dure quelques minutes avant que la voix de Saïd ne trouble le silence.

– Fais des bisous…

Ils attendent sans rien dire ni forcer. Elle lève les yeux vers eux. Regards interrogateurs, inquiets. Elle sait ce qu’ils veulent. Ce qu’ils essaient de lui faire faire sans oser demander. Elle en a aussi envie.

Elle ne fait pas les bisous espérés.

Elle tient fermement à la base les deux sexes et commence une fellation alternative avec une science incroyable. Elle lèche, suce, aspire, joue avec les bourses, cajole les méats de la langue, agace les freins.

Les garçons ont du mal à réaliser ce qui se passe. Eux qui avaient monté toute un stratagème pour obtenir cette fellation, découvrent avec stupeur que cette fille est en train de leur prodiguer une pipe d’enfer aux deux en même temps. Leurs bites deviennent de pierre. Ils ne peuvent tenir longtemps et Saïd craque le premier. Il veut reculer

– Attention Fanny…

Mais elle ne l’entend pas de la sorte et le tient au fond de la gorge pendant qu’il se déverse dans un râle et des soubresauts de jouissance. Il a à peine fini que c’est au tour de Mehdi de lâcher sa purée. Fanny n’en perd pas une goutte. Dans un état second, elle se délecte de cette crème collante au goût salé et un peu amère.

Elle lâche enfin les queues et va se laver la bouche.

Ses jambes tremblent, elle est nue devant eux, leur souri timidement. Les garçons sont encore abasourdis par le traitement qu’ils viennent de recevoir. Mehdi reprend ses esprits le premier :

– Waouh Fanny! Merci t’es trop gentille… C’était top…

Saïd bien plus direct enchaîne

– Super ma belle… T’es la reine des pipeuses… On dirait que t’as fait ça toute ta vie…

Les yeux de Fanny se voile de tristesse en entendant les mots cinglants de Saïd. Mehdi reprend…

– Allez à table viens Fanny…

Ils mettent un slip et un short, restent torses nus et quand la fille veut remettre sa robe, Mehdi lui dit :

– Pas la peine, t’es superbe comme ça, à oilp rien que pour nous…

et Saïd toujours fin ajoute :

– Et on sait jamais des fois qu’on a faim d’autres choses à table…

oooOOooo

Elle sort du lycée, Franck l’attend assis sur le capot de sa voiture. Elle a peur et est aussi heureuse de le voir. Cela fait trois mois qu’il est revenu vers elle. Elle ne lui a rien dit pour son copain. Le garçon la prend dans ses bras. Sa langue investit le palais de la fille. Une main est sur les fesses de la fille. Tous peuvent voir qu’elle est avec lui. A lui. Sa culotte est humide. C’est la première fois.

Ils roulent. Elle ne sait pas où il l’emmène. Elle a pris la précaution de prévenir sa mère.

Il arrive presque à la limite de la ville. Un pavillon avant les champs. On entend de la musique. Franck stoppe le véhicule devant la maison, se tourne vers elle. Un patin d’enfer, ses mains qui explore la poitrine de la jeune fille. Il sort les seins du chemisier. Les suce, les tète. Fanny aux anges se laisse faire. Elle est excitée.

– Enlève ta culotte…

– Quoi…

– Enlève ta culotte…

Fanny déconcertée ne sait pas quoi faire.

– Allez Fanny. J’ai trop la gaule là.

Il lui relève la jupe au maximum. Fanny se lève légèrement pour se débarrasser de sa culotte. Franck recule son siège au maximum, ouvre sa braguette sa ceinture et libère son sexe qui pointe bien droit.

– Viens.

Elle l’enjambe difficilement et s’empale sur la verge dure comme du bois.

– Vas-y profite de ma queue.. Ta chatte m’a manquée… Bouge…

Elle commence à onduler sur le sexe du garçon. Rapidement elle trouve le rythme. Sa chatte bien lubrifiée reçoit sans problème la totalité du sexe. Elle voudrait l’embrasser, qu’ils échangent des câlins. Mais le garçon au contraire la repousse pour exhiber sa poitrine qu’il malaxe avec fièvre. Fanny n’insiste pas le laisse faire toute à la recherche de sa jouissance. Elle accélère le mouvement.

Franck prend une cigarette qu’il allume. Il fume lentement en la laissant faire le travail. Fanny ne se rend même pas compte de son impudeur, toute à la recherche de la satisfaction de son amant.

A la fin de la cigarette il la bloque par les hanches et commence à la pistonner avec violence à la recherche de sa jouissance. Fanny serre les dents, lui dit qu’il lui fait mal. Il n’en a cure. Il explose enfin en elle inondant la chatte béante.

– Pousse toi.. Fais gaffe de pas tacher les sièges…

Fanny se nettoie tant bien que mal avec des mouchoirs en papier. Elle veut remettre sa culotte.

– Pas la peine… Viens

– Ou on va?

Il lui montre le pavillon.

– Des potes ont monté un groupe. Tu les entends?… Après on va chez moi et on passe la soirée ensemble. Ça te convient ma belle?

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Changement de Carrière

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Babes

par Monsieur.

Charlotte regardait les coupures de presse qui la concernaient. Les plus anciennes étaient dithyrambiques et louaient son jeu plein de grâces et de légèreté.Certains critiques l’avaient même comparé à la grande Sarah.

Par contre, les récentes, si elles ne mettaient pas le talent de Claudine en cause,se posaient des questions sur le choix de films discutables et son travail,manifestement, elle avait fait le choix de l’argent aux dépens de la valeur artistique des œuvres.

Plusieurs fois son agent l’avait mise en garde, lui conseillant certains films que de jeunes et talentueux réalisateurs tournaient, mais elle n’avait pas tenu compte de ses avertissements, seul lui importait le bien être matériel que lui procurait les euros versés sur son compte en banque. Elle avait acquis une superbe maison de campagne et deux appartements à Paris.

Mais, depuis trois ans, elle n’avait absolument rien fait, les producteurs avaient oublié son nom et son numéro de téléphone. Son agent l’avait quitté pour une jeune starlette pleine de promesses. Elle courait le cacheton et acceptait même

de faire des castings pour des publicités. Ne représentant presque rien aux yeux des téléspectateurs, elle était rarement reprise sauf pour de petites scénettes sans le moindre intérêt. En cinq ans, elle était passée du statut de star nominée

pour le César de la meilleure débutante à celui d’actrice anonyme.

Le grand argentier de l’état s’était présenté un jour et le lendemain elle se retrouvait ruinée. Maison de campagne, appartements, bijoux, voitures et même les domestiques avaient disparu comme par enchantement. Elle en était réduite

à vivoter dans un petit appartement de deux pièces avec salle de bain commune sur le palier et encore, c’est à peine si elle parvenait à payer son loyer chaque mois. Cette situation la conduisit à accepter une proposition de Carlos Vaquos.

En réalité, il s’appelait François Malvue, mais, comme il avait le type méditerranéen, il avait décidé de prendre un nom sud-américain plus en rapport avec le genre de films qu’il réalisait. Charlotte était sûre d’une chose c’est qu’elle allait sûrement devoir jouée seins nus devant les caméras, Carlos ne tournait pas des documentaires. Elle avait toujours refusé les scènes dénudées, mais elle n’avait plus le choix et au moins cela lui rapporterait petit pécule qui permettrait de voir venir et qui sait, peut-être relancer sa carrière.

Une chose la dérangeait quelque peu, elle n’avait pas reçu le scénario du film.Tout au plus avait-elle appris que l’histoire se déroulait en France et en Allemagne pendant la guerre de quarante et qu’elle allait jouer le rôle d’une jeune femme arrêtée, par erreur, par la Gestapo pour terrorisme. Elle serait

torturée et envoyée dans un camp de concentration en Allemagne pour servir de pute à soldat.

Rien que cette brève description de son rôle lui avait provoqué des nausées,mais elle était dans une situation telle qu’elle ne pouvait pas refuser. Elle aurait pu devenir vendeuse ou caissière dans une grande surface, mais, sûre de son talent, elle voulait reprendre sa place parmi les étoiles. Elle était heureuse

comme une gamine quand, par hasard, quelqu’un la reconnaissait en rue ou dans un petit bar-tabac où elle venait prendre une tasse de café pour ne pas se présenter à un casting le ventre vide.

* * *

Claudine attendait depuis deux heures sur un banc de la salle des pas perdus de la gare Saint-Charles de Marseille où la secrétaire de Carlos devait la prendre en charge.

Dans une autre vie, elle aurait repris le TGV à destination de Paris, mais, cette fois, elle ne pouvait pas se permettre de jouer à la diva. Elle avait les larmes aux yeux et au bord du désespoir quand enfin une jeune femme d’une vingtaine d’années se présenta comme l’envoyée de Carlos Vaquos.

— Bonjour, madame Charlotte love?, je suis Claire Favuel, la secrétaire de monsieur Carlos, je suis chargée de vous conduire sur le lieu du tournage

— Bonjour, mademoiselle, enchantée de faire votre connaissance.

La jeune femme ne prit même pas la peine de s’excuser de son retard, se contentant d’un signe de la main pour encourager Charlotte à la suivre.

Elle se retrouva dans une grosse limousine de luxe conduite par un chauffeur en livrée qui connaissait Marseille comme sa poche, car il se retrouva très vite sur l’autoroute.

Ne sachant pas où on l’emmenait, Charlotte était un peu inquiète, mais s’efforça de ne pas le montrer. Toutes ses questions étaient restées sans réponses, la secrétaire se contentant de sourire en disant :

— Patience, vous saurez bientôt, de toute façon, je ne connais pas le nom du patelin où on tourne. Je sais que c’est un vieux château datant du moyen-âge,mais c’est tout.

Après deux bonnes heures de route, la voiture quitta l’autoroute et prit les petites routes de campagnes. Bientôt, ils arrivèrent devant les énormes grilles d’un imposant château. Une partie des parterres étaient nettoyés, juste pour les caméras, urfa escort le reste de la végétation était à l’abandon. Dans la grande cour, trois gros camions stationnaient devant le perron et des hommes et des femmes déchargeaient le matériel de tournage. On fit entrer

Charlotte dans une grande pièce qui semblait être le centre nerveux. La pièce était encombrée de matériel cinématographique et ressemblait à une fourmilière avec des va-et-vient en tout sens. Elle se trouva face à Carlos qui hurlait des ordres tout en répondant au téléphone.

— Dépêchez-vous de tout décharger, il faut que les camions soient partis dans une heure, on va commencer le tournage au village puis dans la cour du château. Grouillez-vous nom de Dieu!! Qu’est-ce que tu fais là planter au milieu du jeu de quille, tu ne vois pas qu’on travaille ici?

Il fallut quelques secondes à Charlotte pour se rendre compte que c’était à elle que le réalisateur s’adressait.

— Mais, on m’a dit de venir me présenter, je suis Charlotte Love et vous m’avez engagée pour le rôle d’une résistante.

— Excuse-moi, mais nous sommes à la bourre et je ne t’ai pas reconnue, tu étais blonde avant, non?

— Oui, mais j’ai repris ma couleur d’origine depuis quelques années déjà.

— Françoise! … Françoise vient ici tout de suite! hurla Carlos Vaquos en se tournant vers le fond de la pièce.

Une jeune femme d’une trentaine d’années vint en courant.

— Oui! Monsieur Carlos, qu’est-ce qu’il y a encore? Vous m’avez dit de tout préparer pour l’arrivée de cette pimbêche d’actrice, je suis prête depuis deux heures et elle n’est toujours pas là, elle se prend pour une star d’Hollywood?

— Elle est là, je te présente Charlotte Love, tu as une heure pour le rendre blonde des pieds à la tête et pour l’habiller pour la première scène. Grouille-toi, les heures tournent.

Avant qu’elle ait pu faire un geste, Françoise prit le bras de Charlotte sans douceur, l’entraîna vers le fond de la pièce et la fit asseoir dans un fauteuil de coiffeur après lui avoir ôté sa veste. La jeune femme se mit au travail sans même se préoccuper de Charlotte qui se demandait dans quel monde de fou elle était tombée. Une demi-heure plus tard, elle était à nouveau blonde comme au temps de sa splendeur. Il fallut encore une bonne heure pour sécher ses cheveux et les coiffer

à la mode des années de guerre. Puis, la coiffeuse lui tendit une robe et des sous-vêtements archaïques, elle n’en avait jamais vu de pareil. Elle regarda autour d’elle, mais ne vit pas un seul endroit où elle aurait pu se changer en toute discrétion.

— Vous pouvez m’indiquer où je peux me changer, demanda-t-elle à la jeune femme qui rangeait ses affaires de maquillage.

— La maquilleuse regarda Charlotte comme si elle voyait une extra-terrestre.

— Ne commence pas à faire la bêcheuse, tu te fous à poil et tu te changes ici, on n’a pas vraiment le temps, dans un quart d’heure tu dois être au village pour les premières scènes.

Regardant autour d’elle à la recherche d’une cabine ou d’un endroit isolé, rien et il y avait au moins une vingtaine de personnes dans la pièce.

— Mais, je ne vais pas me déshabiller devant tout le monde.

— Il n’y a personne qui te regarde. Et dans deux heures, tout le monde te verra à poil. De toute façon, ils ont déjà vu des culs et des nichons.

Rouge de honte, Claudine commença à se déshabiller sous le regard goguenard de la maquilleuse. Elle se dépêcha de se changer en espérant que personne ne la verrait nue. Personne ne fit attention à elle et elle put enfin se présenter sur le perron du château, habillée comme son rôle l’exigeait.

Très vite, on l’emmena avec la limousine vers le village qui se trouvait à quelques kilomètres du château, pour commencer enfin le tournage. Claudine devait marcher sur le trottoir et se débattre quand quatre hommes, sortis d’une Citroën, la feraient monter dans la voiture. Quatre fois, elle dut recommencer la scène sous prétexte que les hommes se montraient trop gentils en l’embarquant. Une autre fois parce qu’ils n’étaient pas

sortis assez vite de la voiture. Quand enfin le réalisateur se montra satisfait, Charlotte avait mal aux bras et à la tête parce qu’elle s’était cognée au montant de la portière qui n’avait pas été assez ouverte quand elle fut jetée comme un vulgaire sac dans la voiture. Elle dut faire le voyage jusqu’au château dans la

Citroën les menottes aux poignets. On la fit attendre dans cette position inconfortable une bonne heure, elle avait

beau s’égosiller à demander qu’on lui retire les menottes, personne ne semblait faire attention à elle. Autour d’elle, tous s’affairaient à préparer la cour du château pour la prochaine scène, celle de son arrivée avec les quatre malabars

qui devaient la remettre aux mains de la Gestapo représentée par un homme vêtu de l’uniforme des SS.

Quand tout fut enfin prêt, on la remit dans la voiture qui fit demi-tour pour revenir sous l’œil de la caméra se garer sivas escort avec un dérapage contrôlé exécuté de main de maître par le chauffeur.

Charlotte fut extraite de la voiture sans ménagement et jetée aux pieds de l’officier allemand qui cria un ordre et deux soldats vinrent la relever pour la conduire à l’intérieur du château. Là aussi, il fallut plusieurs prises avant que le réalisateur se montre, enfin, satisfait. La jeune actrice avait les genoux écorchés et une manche de sa robe était déchirée. Cette fois-ci, elle crut qu’on allait enfin lui ôter les menottes qui commençaient à lui faire mal aux poignets et, pouvoir se reposer, les deux scènes avaient été éprouvantes, mais il n’en fut rien. Elle dut encore attendre

qu’on installe les caméras à l’intérieur du château pour tourner la troisième scène, la descente à la cave où elle devait être interrogée sur sa participation à la résistance.

Personne ne semblait se préoccuper de ses récriminations concernant les menottes qui lui entravaient toujours les poignets. Si elles avaient été attachées devant, elle aurait encore pu s’essuyer le visage qui était en transpiration, mais

elles étaient fermées dans le dos, elle ne pouvait même pas se désaltérer seule. Charlotte demanda à plusieurs personnes affairées pour qu’on lui enlève les menottes, mais, selon toutes apparences, seul Carlos avait les clés de ses entraves. Elle chercha donc à rencontrer le réalisateur qui jouait les absents.

Elle finit par le trouver dans une des caves où il préparait les scènes suivantes. Absorbée par les menottes qui la privaient de la liberté de mouvement, elle ne fit aucune attention au décor et se focalisa sur ce qui lui entravait les bras.

— Carlos, je voudrais que tu me fasses enlever les menottes le temps des préparatifs.

L’homme se tourna vers la jeune femme avec une lueur de colère dans les yeux.

— Ici, pour tout le monde je suis « monsieur Carlos » et on me vouvoie. Je suis occupé et je n’ai pas le temps de chercher après les clés des menottes. Tu vas remonter et t’asseoir sagement dans la grande salle et faire comme tout le

monde, attendre que je crie « moteur ». Une sourde colère s’empara de l’actrice.

— Je voudrais m’essuyer le visage et boire un coup, ce n’est quand même pas trop demander après les scènes que je viens de jouer?

— Si tu as soif demande à Françoise, elle te donnera de l’eau minérale. Maintenant, disparaît de ma vue, je n’ai pas le temps de papoter avec une hystérique.

— Je ne suis pas hystérique, je veux juste qu’on me traite avec respect. Carlos regarda à la ronde et interpella deux hommes qui passaient.

— Emmenez cette furie en haut et si elle bouge encore de sa chaise attachez-la. Les deux hommes prirent la jeune actrice par le bras et l’entraînèrent manu militari en haut. Elle eut beau hurler son désaccord et trépigner, elle fut bien obligée de suivre les deux types qui la firent asseoir sur une chaise sous la

surveillance d’un troisième homme. Dans l’heure qui suivit, elle eut, malgré tout droit à un verre d’eau plate que vint lui verser Françoise.

— Pourquoi on ne m’enlève pas les menottes? demanda-t-elle à la jeune femme.

— Françoise regarda Claudine avec de la pitié dans le regard.

— Je ne peux rien faire pour vous, Carlos a pris les clés et les a mises dans sa poche. Il n’y a que lui qui puisse vous délivrer. Je ne sais si cela vaut la peine de se battre, dans un quart d’heure on commence. En effet, dix minutes plus tard un homme vint chercher Charlotte pour la conduire dans le hall d’entrée où l’attendaient, outre le réalisateur et son équipe de cameramen et le preneur de son, deux soldats et un officier en uniforme des SS. Cinq fois, la nouvelle scène fut recommencée. À chaque fois elle était traînée sans ménagement dans le hall d’entrée par les deux soldats qui ne se gênaient pas pour la traiter comme un vulgaire paquet. Les bras douloureux et les poignets en sang à cause des menottes trop serrées, la jeune femme pleurait et

hurlait en se débattant comme une furie sans que cela ne perturbe les personnes présentent.

L’enchaînement suivant voulait que la résistante soit conduite à la cave par les deux soldats pour y être enfermée dans une cellule pour la nuit. Elle se retrouva dans une petite pièce sans lumière du jour avec juste une paillasse jetée à même le sol et un seau hygiénique dans un coin. Les soldats lui retirèrent les menottes et elle fut jetée sans ménagement dans la cellule sous

l’éclairage des projecteurs, le tout filmé par trois caméras, deux à l’extérieur de la cellule et une à l’intérieur. Celle de l’intérieure était accrochée au plafond et dirigée de l’extérieur par un technicien. Trois fois la même scène fut tournée en

un peu plus d’une heure. Charlotte fut soulagée quand elle entendit la voix tonitruante du réalisateur.

— Terminer pour aujourd’hui, on reprend demain matin à huit heures.

Il lui fallut presque une demi-heure pour se rendre compte qu’elle tekirdağ escort était, bel et bien, enfermée dans cette cellule, apparemment on l’avait oublié. Elle tambourina sur la porte une bonne partie de la nuit en hurlant comme une furie.

— He! Ho! Vous m’avez oublié… Y a quelqu’un? Hou! Hou! …

Elle finit par comprendre qu’on ne viendrait plus la délivrer et après avoir pleuré de longues heures, elle finit par s’endormir l’estomac criant famine.

* * *

— On tourne!

Charlotte était encore ensommeillée et n’avait rien entendu. Avant qu’elle puisse faire le moindre geste, deux soldats entraient dans la cellule et la traînaient littéralement vers la salle d’interrogatoire. Elle tenta de faire valoir qu’elle avait passé la nuit dans la cellule parce qu’on l’avait oublié, mais en pure perte, personne ne paraissait s’occuper de ce qu’elle pouvait dire ou avoir besoin. Elle voulut se défendre, mais que pouvait-elle faire contre deux hommes bien plus forts qu’elle? Avant qu’elle ait compris ce qui se passait, elle était enchaînée

par les poignets au centre de la pièce. Les chaînes descendaient du plafond et lui maintenaient les bras écartés.

— Vous allez arrêter, me donner à manger et me permettre de prendre une douche, cria-t-elle quand elle se rendit compte qu’elle était immobilisée et sans la moindre défense.

— Ne vous tracassez pas de ce qu’elle dit, cria Carlos aux techniciens et aux autres acteurs, elle sera doublée au montage.

Pour une fois, la scène ne fut pas jouée plusieurs fois, une seule prise fut faite. Désespérée, elle regarda autour d’elle et se rendit compte que la pièce était une vraie salle de torture avec des caméras installées de manière à ne pas se gêner. Dans un coin, il y avait une baignoire et une table avec toute une série

d’instruments de torture. Il y avait notamment des fouets, des pinces crocodiles avec des fils électriques accrochés, des godes eux aussi munis d’un fil électrique et une petite mallette qui devait certainement contenir d’autres outils pour faire

souffrir. Elle commença à avoir sérieusement peur de ce qui allait suivre. Tout lui donnait l’impression atroce d’être l’actrice principale d’un Snuffmovie. Elle eut confirmation qu’on n’avait pas l’intention de la ménager quand chacun reprit sa place pour la scène suivante.

Les soldats s’approchèrent et commencèrent à lui arracher ses vêtements. Elle hurlait, se démenait comme une furie, mais elle était enchaînée et dans l’incapacité d’empêcher quoique ce soit. Un des soldats sortit un couteau et s’approcha d’elle avec un sourire carnassier. Le cœur de Charlotte rata quelques battements et elle faillit s’évanouir de terreur. L’homme promena la lame sur la peau de la jeune actrice qui ne put se retenir et urina de peur. Le soldat se contenta de couper les bretelles de son soutien-gorge et les lambeaux de sa robe, ne lui laissant que des bouts de manches sur les bras. Un autre soldat lui arracha sa petite culotte. Elle était nue dans une salle de torture

avec une dizaine de personnes autour d’elle qui s’affairaient comme de beaux diables pour satisfaire le metteur en scène.

Un moment, le réalisateur hurla tellement fort que le monde se figea. Même Charlotte cessa ses hurlements et fixa Carlos avec stupeur. On aurait entendu une mouche voler, chacun regardant son voisin en se demandant qui était le responsable de la colère du patron.

— On arrête tout. Stop arrêter de tourner. Faites venir Françoise

immédiatement.

Charlotte n’osa pas pousser le moindre cri tant que Françoise ne fut pas arrivée. Quand enfin la jeune femme entra dans la pièce, Carlos se précipita vers elle et la gifla violemment.

— Espèce de conne, j’avais dit blonde de la tête aux pieds. Tu peux me dire ce qu’on voit là?

— Heu! Elle est brune. Excusez-moi monsieur Carlos, mais j’ai complètement oublié cette partie de son corps.

— Dépêche-toi et arrange-moi ça de suite.

La jeune femme courut chercher son matériel, revint deux minutes plus tard avec ses accessoires de coiffure et entreprit de teindre les poils du pubis de la jeune actrice qui naturellement ne se laissa pas faire, mais y fut contrainte par

deux solides gaillards qui l’immobilisèrent pendant que Françoise la transformait en blonde intégrale.

Pour teindre la petite toison, la maquilleuse dut mettre une main entre les cuisses de Charlotte, Françoise retira vivement sa main, regarda longuement la jeune actrice qui se mit à pleurer de plus belle puis, elle se tourna vers Carlos et l’appela.

— Monsieur Carlos, il faut que vous veniez voir ça.

— L’homme s’énerva.

— Quoi? Qu’est-ce qu’il y a encore?

Françoise tendit sa main vers le réalisateur.

— Regardez!

— Bien oui qu’est-ce qu’elle a ta main!

— Elle est trempée et pas avec mon produit de teinture, c’est de la mouille. Cette salope mouille comme une fontaine, ça lui coule sur les cuisses jusqu’aux genoux. Elle est peut-être contrainte de subir vos fantasmes de réalisateur, mais

ça l’excite. Carlos regarda Claudine avec un fin sourire.

— Alors là ma belle tu me scies. Il va falloir que je réfléchisse à une autre évolution de ton personnage.

Il se tourna vers les hommes qui attendaient son feu vert pour la suite du tournage.

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Deuxième Place 03

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Ass

Une traduction de “Second place” de Terri Madison

Deuxième place : 4ème partie

Vendredi, trois heures de l’après-midi. Terri vêtu d’une robe noire au décolleté provocant, attendait Danielle dans son bureau.

Quand Terri était arrivée ce matin, Danielle n’était pas là. Par contre, elle avait laissé une liste de choses à faire pour sa nouvelle employée.

Terri avait donc fait plusieurs achats avec sa MasterCard et elle cherchait encore LA raison qu’elle donnerait à son mari pour ces dépenses.

FREDERICK’S OF HOLLYWOOD. Danielle avait chargé Terri de changer d’habits. Il n’était plus question pour elle de porter des costumes de femme d’affaires ; après une heure passée chez Frederick’s, la jeune femme était passée de femme d’affaires professionnelle à pute au rabais. « Achète des tenues bien vulgaires, » indiquaient les instructions de Danielle, « si ça ne fait pas assez salope, j’y retournerais avec toi pour faire un échange… on prendra une laisse. » Il n’y aurait pas besoin ; les tenues qu’avait choisies Terri auraient foutu la honte à une pute d’Hollywood.

THE GREEN DOOR NOVELTY SHOP. Un magasin de livres et de jouets pour adultes. Danielle avait fait toute une liste de choses que sa nouvelle secrétaire devait acheter. Parmi eux il y avait une pile de magazines lesbiens (pour donner à Terri quelques “tuyaux” sur la façon de servir sa nouvelle maîtresse), un assortiment de godes, variant grandement en dimension. Le plus petit faisait la taille d’un index, le plus gros était un peu près aussi long que celui qu’elle avait utilisé pour se pistonner la chatte, tout en offrant un spectacle à l’équipe de laveurs de carreaux.

JOSE’S CANTINA BAR AND GRILL. Un restaurant mexicain où Terri devait rencontrer… et brouter… Danielle pour déjeuner. Ce qui avait conduit à d’autres humiliations sous la table et au-dessus. Pendant qu’elles attendaient leur commande, Terri avait dû déballer tous ses achats sur la table et en faire l’article pour chacun. Elle avait aussi fait des avances à la serveuse, qui se révéla ne pas être bisexuelle et ne pas être intéressée. Et ce malgré les demandes et suppliques de la jeune femme « S’IL VOUS PLAÎT laissez-moi vous bouffer la chatte! » Alors qu’elle mangeait l’abricot de Danielle pour le dessert, Terri se fit atrocement tordre les tétons : une punition pour ne pas avoir su séduire la mignonne petite hispanique.

TARGET. Danielle avait chargé Terri d’aller chercher une teinture “noire de jais” pour cheveux. Elle ne comprenait pas bien cet achat, car tout ce que lui demandait Danielle indiquait qu’elle voulait la transformer en un stéréotype de bimbo blonde idiote.

PALOMAR’S EXOTIC JEWELRY. Là, Terri se fit percer un téton. Si Danielle avait espéré que cela l’humilierait, elle allait en être pour ses frais. Terri avait toujours pensé qu’un cerceau au téton était érotique. D’ailleurs, bien que Danielle n’ait demandé qu’un seul piercing, elle en avait ajouté un autre à la facture.

Tous les objets que Terri avait dû acheter étaient soit portés sur elle, soit dans les sacs de courses à ses pieds. Elle se demandait ce que serait la prochaine étape.

Elle n’eut pas longtemps à se le demander. Danielle déboula, demandant : « Comment ça s’est passé? Tu as pu tout avoir?

— Oui Madame, assura Terri, ramassant les sacs de course.

— Lève-toi, ordonna sa patronne. Jolie robe. Très jolie. Mais retire-la. »

Terri laissa tomber la très courte robe noire sur le sol. Elle n’était pas autorisée à porter de sous-vêtement et resta plantée complètement nue devant sa patronne.

Danielle observa sa secrétaire de haut en bas, en gourmande. Son regard se porta finalement sur l’anneau au téton. « Jolie. Mais ce n’est vraiment pas ce que j’avais en tête. » Allant vers le mur où étaient accrochés ses diplômes elle retira la rosette “2ème Place” dont s’était servie Terri pour se moquer d’elle il y a fort longtemps. Elle retira l’anneau du téton, et le remplaça par l’attache de la rosette pour décorer le nichon 95D de la jeune femme. « Parfait, » se complimenta-t-elle en admirant son travail.

Terri dut ensuite s’asseoir et écarter les jambes. « Je vais t’expliquer quel genre de travail j’attends de toi. Pendant que je fais ça, tu vas te caresser le con. » Terri obéit.

« Règle 1. Tu feras tout ce que je te dirai de faire, sans exception. Supplier et implorer ma clémence sera toutefois autorisée. En fait, ça m’exciterait que tu m’en fasses, » lui confia Danielle. « Même si ça ne te servira à rien. »

« Règle 2. Tu es une salope. Tu es MA salope. Tu vas baiser, sucer, lécher qui je te dirais de baiser, sucer et lécher, quand je te dirais de baiser, sucer et lécher. En tant que vraie salope, tu aimes le sexe, tu ne refuseras JAMAIS de fournir tes services à TOUS CEUX qui en font la demande. Je te mettrais à l’épreuve de temps en temps. »

« Une exception à la règle 2, ton joli petit cul vierge. Tu feras en sorte qu’il le reste. Comment tu te débrouilleras, c’est à toi de voir. J’ai des choses de prévues pour ton cul. » rize escort Terri se figea avec effroi. « Je ne t’ai pas dit d’arrêter. » La jeune femme recommença à se doigter.

« J’ai quelque chose de précis pour ton cul, » répéta Danielle sortant le gode que Terri lui avait envoyé. Remarquant la pâleur de Terri, elle ajouta. « Tu vas être autorisé à te préparer. C’est le but des jouets que tu as achetés aujourd’hui. Tu démarreras par les plus petits, tu seras autorisé à te roder graduellement le cul jusqu’à celui-ci. Tant que tu te comportes bien… »

« Tu peux faire tout ce que tu penses être nécessaire pour garder ton cul de pucelle, et le préserver pour moi. Cependant, » s’interrogea-t-elle à haute voix, « si quelqu’un se mettait à fracturer ton cul de force, que pourrais-tu y faire? Eh bien, dans ce cas, tu serais sévèrement punie. » Elle développa : « pour la punition… Je n’ai jamais trop aimé les fouets, la torture ou ce genre de chose. Personnellement je préfère t’obliger à te comporter comme une traînée en public. Je pense que l’humiliation est un excellent professeur. Mais bien que je n’apprécie pas les fouets et la torture, je ne peux pas vraiment parler pour tous les hommes et les femmes qui seront autorisés à t’utiliser. » Danielle laissa l’implication de cette phrase pénétrer l’esprit horrifié de Terri.

« Règle 3. Celle que l’on va appeler la “règle des protéines”. Tu dois donner deux pipes par jour. Je me moque de savoir à qui, tant que c’est quelqu’un qui travaille dans la société. »

« Règle 4. Nous sommes au 33ème étage de cet immeuble, et beaucoup de bonnes gens comptent sur les ascenseurs pour se rendre à leur bureau. Nous ne voulons pas que tu te mettes en travers de leur chemin, donc tu n’utiliseras pas d’ascenseur. De toute façon, nous savons toutes deux que les putes comme toi n’aiment pas les ascenseurs, non? Il y a un escalier au bout de chaque couloir, il t’amènera jusqu’au hall d’entrée et à la salle d’expédition du courrier. »

« Si l’on te prend à utiliser un ascenseur, je m’assurerais que tu y sois jetée pour que tu t’y fasses violer en tournante. Mais bien sûr, cogita-t-elle, étant donnée la règle 2, on ne pourra pas vraiment appeler ça un viol, n’est-ce pas? »

« Je suis sûr que tu te poses des questions sur la teinture. Non, ne t’inquiète pas tu vas rester blonde. Mais tu vas teindre tes poils plus bas — Danielle montra le pubis blond de Terri — comme ça… tous ceux qui te baiseront vont penser que tu es une fausse blonde! » La nouvelle patronne semblait fort amusée d’avoir conçu ce moyen de la rendre ridicule.

Elles furent interrompues par Jeanie, la même dame qui était déjà entrée la veille lorsque Terri léchait son jus du bureau de Danielle. De nouveau, la femme sembla indifférente à la nudité de Terri ou à l’activité qu’elle pratiquait.

« Du courrier à envoyer? demanda Jeanie.

— Juste ça, répondit Danielle, lui tendant un petit paquet. T’ai-je présentée à ma nouvelle secrétaire? Jeanie, voici Terri. Je suis sûre qu’elle aimerait te serrer la main, mais… » sa voix s’égara. La main de Terri était couverte de sa sauce, et trois de ses doigts étaient fourrés dans son con. Jeanie hocha dédaigneusement la tête et quitta la pièce.

« Tu peux arrêter. Et remets ta robe, ordonna-t-elle à Terry. On va un peu s’amuser… Le paquet que Jeanie va envoyer est une cassette vidéo adressée à ton mari.

— Pourquoi…? s’étrangla Terri, incrédule.

— Comme je t’ai dit. Pour s’amuser. Et pour voir si tu arrives à l’arrêter. Danielle regarda sa montre. Elle est en ce moment en route pour le conduit postal. Quand elle y fera tomber le paquet, il arrivera directement à la salle d’expédition… » Elle regarda Terri dans les yeux : « À moins que tu n’arrives à la convaincre de n’en rien faire… »

Retenant ses larmes, Terri courut après Jeanie. Elle la rattrapa juste au moment où la femme allait laisser tomber le paquet dans le glissoir d’entrée.

« Jeanie… s’il vous plaît… ne l’y mettez pas! J’en ai besoin… s’exclama Terri en essayant de se saisir du paquet.

— Nan! Danielle m’a dit de l’envoyer. » Jeanie tenait le paquet hors de portée de la jeune femme désespérée.

— Vous ne comprenez pas… ce paquet… il causerait ma ruine… S’il vous plaît…

— Ah oui. J’ai entendu parler de toi. Tu as joué dans un film porno sans que ton mari soit au courant, ou quelque chose comme ça?

— Non, sanglota Terri, ce n’est pas comme ça que… vous voyez…

— Tout ce que je vois c’est que tu es dépourvu de sens moral. Coucher avec d’autres que son mari, s’habiller comme ça… elle désigna la tenue vulgaire de Terri. De toute façon, la patronne m’a dit de poster ça, et c’est ce que je vais faire. Jeanie se tourna vers le glissoir du courrier.

— S’il vous plaît! supplia Terri. Je ferais tout ce que vous voulez…

Jeanie s’arrêta. « Tout? Comme quoi? Qu’est-ce que tu ferais?

— Je vous… je vous lécherais… je vous brouterais… »

Jeanie leva les yeux au ciel, sakarya escort dégoûtée. « Merci, mais je ne suis pas une gouine comme toi. » Regardant le paquet entre ses mains, elle ajouta. « Il y a bien une chose…

— Tout… Vous n’avez qu’à le dire… N’importe quoi… pleurait Terri

— Danielle m’a dit que ton mari était un sacré bon coup. Je veux le baiser aussi. »

Combien de personnes connaissaient les épreuves que Danielle lui faisait subir? Terri secoua la tête avec horreur. « Non… Je ne peux pas…

— Oui, je m’en doutais. Enfin, c’était juste une idée. » Jeanie se tourna vers la boîte aux lettres. « Eh bien, le divorce ne devrait prendre que six mois. Je l’appellerais alors…

— D’accord… D’accord… je vais… vous pourrez le baiser… Terri s’étouffa sur ces mots.

— Super! Je serais là ce soir, pour minuit! » Jeanie tendit le paquet à la malheureuse secrétaire.

L’esprit de Terri fonctionna à plein régime. Elle rapporterait des bières à la maison pour son mari, et à minuit il serait trop saoul pour remarquer que…

Elle fut interrompue par Danielle. « Je vois que vous vous entendez bien toutes les deux… c’est sensas! » la patronne prit le colis des mains de Jeanie.

« Jeanie, je vous avais dit de poster ça, » la gronda-t-elle pour de faux. « Eh bien, il faut croire que quand l’on veut que quelque chose soit bien fait, il faut le faire soi-même. » Danielle laissa tomber le paquet dans le conduit. Terri en eut le souffle coupé et se mit à nouveau à sangloter.

« À ce soir minuit, Terri! » pépia Jeanie se sauvant jusqu’à son bureau.

— Pourquoi… implora Terri

— Juste pour te voir courir 33 étages jusqu’au service du courrier et essayer de le récupérer… » se moqua Danielle.

Terri n’avait pas d’autre choix. Elle descendit en courant les escaliers, trois marches à la fois, et déboula dans la salle d’expédition hors d’haleine… pour trouver la pièce vide. Elle se mit vite à fouiller la corbeille qui recevait le courrier du conduit postal. Pas de paquet. Elle entendit du bruit venir d’un des bureaux contigus, Terri alla y jeter un œil. Elle fut estomaquée par ce qu’elle y vit.

Trois des employés au service courrier étaient dans le bureau, regardant attentivement une télé placée sur un chariot. Sur l’écran il y avait Terri, en train de fournir des faveurs à cinq hommes! Avec un peu de déduction, il était évident qu’un des employés avait eu sa curiosité éveillée par ce paquet et l’avait ouvert. Sans aucun doute furent-ils stupéfiés de découvrir qu’il s’agissait d’une jeune et belle femme baisant et suçant cinq hommes! Les trois chargés du courrier avaient sorti leur queue et se branlaient devant le spectacle.

La jeune femme réalisa qu’il n’y avait qu’une seule façon de récupérer la cassette. Elle entra dans la pièce, pleine d’audace, et éteignit la télé. Les hommes s’arrêtèrent à mi-course dans leur branlette, essayant de se cacher le zgeg. Ils pensaient qu’un responsable venait de les attraper en train de s’astiquer sur du porno.

C’est alors que l’un d’eux reconnut Terri. « Hey… C’est la gonzesse du film!

— C’est exact, roucoula Terri. Écouter, pourquoi des tombeurs comme vous se branlent-ils devant un bête film, alors que vous pourriez vous taper la vraie gonzesse? » Ses mains tremblaient alors qu’elle faisait glisser sa robe.

Les hommes sifflèrent à la vue de son corps canon.

« Mais C’EST la fille du film! confirma un autre gars avec émerveillement. Terri se mit à rougir.

— Faisons un marché, dit doucement la jeune femme. J’ai besoin de récupérer cette cassette. Et vous avez besoin qu’on s’occupe de vos super queues. Ça vous tente?

— Je sais pas… dit Ramon, le premier gars. Ça doit être important si tu y tiens tant que ça…

— Je vais rajouter quelque chose dans la balance, lui souffla Terri à l’oreille, tout en récupérant l’emballage qui avait enveloppé la cassette. Je promets de ne dire à personne que vous ouvrez illégalement le courrier… » Terri lui fit un clin d’œil, puis se mit à genoux en face de sa chaise. Ramon retint son souffle alors que Terri le prenait en bouche.

Levant momentanément la tête, la jeune femme se tourna vers les deux autres hommes. « Mettez-vous à poil. Je vous veux tout de suite après, » ronronna-t-elle, avant de se remettre à sucer Ramon.

Alors que Vincent, l’un des autres hommes, lui tringlait sa chatte trempée de mouille par-derrière, Terri se dit que ce n’était pas si mal. Ça valait infiniment mieux que de brouter le gazon de la gouine du dessus. Et peut-être qu’en se gargarisant d’un jet de foutre ou deux, ou peut-être même trois… elle pourrait finalement ôter de sa bouche l’arrière-goût du con de Danielle.

Terri avait la chatte encore douloureuse par les baises de ces deux derniers jours, mais elle commençait à se faire à son rôle de salope. Elle tenta de se convaincre que ce n’était que de la comédie, pour récupérer la cassette. Mais les sensations qu’éprouvait son corps la trahissaient. samsun escort Sa chatte était presque en feu, et elle s’enfilait la bite de Vincent avec beaucoup d’ardeur.

Les hommes s’occupèrent de la bouche et de la chatte de Terry à tour de rôle. Elle serra aussi ses deux gros seins l’un contre l’autre pour que les employés puissent la fourrer entre ses nichons, à l’exception de Vincent qui n’aimait pas ça.

Après que Terri ait joui pour la cinquième fois, elle décida qu’elle en avait eu assez. S’étendant sur le sol, elle demanda aux hommes, « Je veux que vous vous branliez sur moi. Vous savez, comme dans le film? »

Ils se mirent à genoux autour d’elle, la jeune femme se demanda comment elle avait pu tomber si bas. Elle avait vraiment apprécié la dernière demi-heure passée avec ces trois hommes qu’elle ne connaissait pas! Sans doute parce qu’elle parvenait à avoir quelques degrés de contrôle sur ce qui lui arrivait, comparée à tout le libre arbitre que Danielle lui avait enlevé ces deux derniers jours.

Elle ne réfléchit pas plus longtemps aux mystères de l’univers, car Ramon commença à gicler son foutre sur tout son visage. Attrapant sa queue, elle s’assura qu’au moins un peu finisse dans sa bouche. Les deux autres suivirent rapidement l’exemple, arrosant ses seins fermes de leur semence. La jeune femme se mit à récolter le sperme crémeux de son visage et s’en suça les doigts. « Mmmmmm, j’adore le foutre…. » gémit-elle. Terri embrassa alors chacun des chibres, se releva et remit sa robe. Elle récupéra la cassette et se dépêcha de sortir avant que les hommes ne se remettent à bander.

Elle faillit percuter Danielle, qui souriait à l’entrée de la pièce, une caméra vidéo à la main.

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Le reste de la « journée de travail » fut relativement calme. De retour dans son bureau, Danielle finit d’instruire Terri sur ce qu’elle attendait d’elle, puis, après avoir laissé la jeune femme aller sous le bureau pour lui lécher la chatte une dernière fois, elle donna son congé à sa nouvelle employée pour le week-end.

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Deuxième place : 5ème partie

Une semaine plus tard, Danielle arriva à son bureau à neuf heures. Elle s’assit derrière son bureau et fut accueillie par la langue de sa secrétaire lui broutant la chatte. Comme d’habitude, Terri était sous le bureau, vêtu uniquement de ses escarpins noirs et de sa culotte fendue en dentelle assortie (Danielle l’autorisait maintenant à porter une culotte le vendredi), la rosette “2ème place” épinglée sur son téton — comme l’appréciait Danielle.

La langue de Terri dansa autour du clito de Danielle, avant de fondre pour « la mise à mort ». La secrétaire était une très bonne bouffeuse de chatte, même Danielle devait lui reconnaître ça.

« Les doigts, » murmura Danielle d’une voix rauque. Terri obéit en lui plongeant deux de ses doigts dans la fente, Danielle ouvrit un tiroir où elle gardait les jouets de Terri.

Un jour normal, Danielle aurait donné à Terri un des plus petits godes, et sa secrétaire l’aurait utilisée avec diligence dans son cul serré tout en broutant la chatte de sa patronne. Terri avait commencé par le gode le plus petit du lot, à peine plus gros qu’un doigt de Danielle, il était entré plutôt facilement. Après deux jours, elle avait été « promue » à la taille suivante. Ça avait été un peu inconfortable — et avait procuré plus de plaisir que la jeune femme ne voulait l’admettre… Il suffit de dire que lorsque la langue de Terri amena un orgasme à Danielle, la femme d’affaires ne fut pas la seule à jouir.

Un jour normal, quand Danielle avait joui autant de fois qu’elle pouvait se le permettre pour un matin, elle écarterait la chaise et laisserait Terri sortir. L’assistante s’asseyait alors de l’autre côté du bureau et continuait à exercer son cul avec le gode, pendant que Danielle prenait une tasse de café et passait en revue ce qu’il y aurait à faire pour la journée.

N’ayant jamais rien eu dans le cul auparavant, Terri éprouvait de toutes nouvelles sensations. L’humiliation d’avoir à s’enfoncer des choses dans le fion avait laissé la place à la curiosité et au plaisir. Dans certains cas, la belle jeune femme expérimentait un débordement des sens. Durant la session du jeudi, pendant qu’elle se pistonnait le cul avec le gode n° 2, elle surprit sa patronne et elle-même en demandant à être autorisée à s’occuper de sa chatte de sa main libre.

Danielle avait rejeté la demande, mais avait fait une contre-proposition. « Si tu me supplies, je serais prête à me mettre sur les genoux pour m’occuper de toi moi-même, » offrit-elle.

Terri, qui avait toujours trouvé la seule pensée d’avoir une relation sexuelle avec une autre femme dégoûtante, avait fini par la supplier. Danielle demanda à Terri de lui décrire précisément et de façon éloquente ce qu’elle voulait, et seulement alors elle avait pris position en face de sa secrétaire. La combinaison du gode dans son cul et de la langue experte de Danielle sur sa chatte se révéla être plus que son corps ne pouvait supporter, elle se sentit avoir des orgasmes successifs qui dévastèrent son corps comme si elle allait se déchirer en deux. Danielle était contente d’avoir installé une caméra vidéo pour enregistrer les évènements du jour.

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Un Week End Idyllique 03

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Amateur

Martin tout en contemplant le spectacle avec un sourire quasi affectueux se tourna à demi vers Youssef,

– va donc à la broque nous chercher un peu de pinard et puis aussi le sauciflard et le camembert .

– Pourquoi moi patron, dit Youssef en râlant, j’ai pas encore tiré!

– Parce que je te le dis, banane. Prend un des deux maris avec toi pour porter et traine pas.

Faisant marcher Serge devant lui, Youssef en râlant l’entraina hors de l’école sur le chemin qu’ils parcourent en sens inverse. En arrivant à proximité de la brocante, un homme tenant en laisse un gros mastiff à l’allure bonasse, apostropha Youssef

– C’est quoi ce pédé que tu traines? je croyais qu’y avait de la vraie chatte à dispo?

– Ben oui, répondit Youssef, va à l’ancienne école , tu seras pas déçu!

– Tu préfères la fiotte mon salaud, comme toujours, lui dit son interlocuteur en rigolant. Bon j’me dépêche alors!

– Ouais, à plus, rétorqua Youssef, j’en ai pas pour longtemps. Quelques instants plus tard, ils pénétraient dans le hangar. Youssef, toujours grommelant farfouilla dans un grand placard et après avoir posé douze bouteilles dans un carton, il ordonna à Serge :

– tu prends ça, moi je porte la boustifaille.

20′ plus tard, Serge et Youssef repassaient la porte donnant dans la salle de classe. Le spectacle qui s’offrait à eux était ahurissant.

Quelqu’un avait apporté de la musique et sur l’estrade, Céline dansait un slow avec Tatave, le réceptionniste et Karim. Le spectacle de ces trois hommes à moitié ivres, à poils et collés contre sa femme avait l’air d’inspirer Vincent qui, remarqua Serge, était assis en tailleur et se branlait en regardant ce quatuor délirant. Tatave tétait goulument un nichon de Céline et tout en empoignant ses fesses avec ses grosses mains, tachait de les écarter au maximum. Raoul, en se marrant, faisait semblant d’enfoncer le goulot d’une bouteille de pinard dans le joli cul ainsi offert, mais Karim l’écartant sans ménagement, se mit en position d’introduire sa queue dans le cul de la belle qui se mit à bramer.

Sur la gauche, Marie Hélène avançait à quatre pattes, ses belles mamelles oscillant pesamment. Le propriétaire du mastiff qui n’avait gardé pour tout vêtement que son maillot de corps un peu crade, la tenait en laisse d’une main et masturbait doucement sa queue courtaude mais épaisse de l’autre. Eberlué, Serge vit le chien fourrer son museau dans la chatte de sa femme. Il avait visiblement son pénis en érection.

– Je ne pensais pas que ca pouvait être aussi gros, se dit mentalement Serge en regardant bouche bée, le machin rouge et luisant qui oscillait entre les pattes du clebs.

Sous les applaudissements et les encouragements de Martin, Jean Rémy et Alphonse entreprirent alors de poser une couverture sur le dos de Marie Hélène puis d’aider la bête à monter sur le cul de Marie Hélène. Celle-ci se mit à crier de surprise en sentant les pattes de l’animal qui lui labouraient le dos.

– Non, non, pas ça tout de même!

– N’aie pas peur fit Jean Alphonse, on est là!

Elle tenta de se dégager mais le propriétaire du chien l’en empêcha prestement en tirant sur la laisse. À moitié étranglée et la tête en arrière la pauvre Marie Hélène avait les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte. Serge horrifié voulut se porter à l’aide de sa femme, mais Youssef le calma d’une claque sèche sur les fesses

– T’inquiète pour ta femme, t’y vas voir, quand elle aura goûté au Rex, elle voudra plus autre chose.

Serge n’osa pas bouger et regardait l’hallucinant spectacle en se remettant à bander. Le seul avantage de cette position, se dit-il bizarrement, c’est que ça fait ressortir ses beaux nichons. Jean Rémy devait l’avoir remarqué puisque tandis que Martin dirigeait en se marrant le gros pénis du chien vers le minou de sa proie, le vieux salaud s’était installé devant elle et lui claquait le visage avec sa queue.

Après avoir réussi d’un coup de rein désespéré à éviter une première fois le vit de l’animal, Marie Hélène succomba à la deuxième tentative : guidé expertement par Jean Alphonse, le sexe du mastiff vint se camper dans son con. Marie Hélène poussa une série de cris aigus, puis tandis que le chien entamait son va et vient en bavant sur ses épaules, la fréquence de ses cris changea. Bientôt elle se mit à haleter comme une chienne.

– Oui, oui, kütahya escort oui, salaud, tu me déchires ma petite chatte, tu me violes, je suis violée par un clébard, aaaaah ; c’est énorme, c’est énorme, oui, oui, encore encore!!

Folle de jouissance, Marie Hélène faisait danser sa longue chevelure comme une prêtresse vaudou.

De l’autre côté de la salle, tout en continuant d’enlacer Céline, Karim avait cédé la place à Tatave qui introduisit à son tour sa pine dans le cul de la femme qui poussa un petit cri et essaya sans succès de le repousser. L’espèce de pieuvre ainsi constituée se déplaçait lentement. Une odeur de rut acre, puissante emplissait la pièce.

Devant ce pandémonium, Youssef, très excité, chuchota à l’oreille de Serge

– T’as vu comme il est bien monté le Rex, et t’y sais une fois qu’il est dedans il y reste longtemps, comme moi ajouta-t-il en faisant tourner son gros gland.

Serge bouche bée regardait alternativement la bite de Youssef et sa femme à quelques mètres avec le mastiff monté sur elle qui haletait comme une locomotive et semblait proche de la jouissance.

Quelques instants plus tard le chien dans un ultime élan lâcha de puissantes giclées de foutre dans la chatte de Marie Hélène dont le corps se mit à trembler tandis qu’elle hurlait comme une folle

– Il me baise, il me baise il me défonce comme une truie, aaaaahhhhhhh

Dans un cri qui n’en finissait plus Marie Hélène beuglait son plaisir. Serge gardait les yeux rivés sur le spectacle du chien toujours installé sur sa femme.

– Les cuisses de ma chérie dégoulinent de sperme, se dit-il en se branlant frénétiquement, tout en se demandant au bout de combien de temps la pine d’un chien pouvait se retirer d’un vagin. Pour l’instant, observa-t-il, cela n’a pas l’air de gêner ma petite femme qui n’a pas changé de position. Cette petite pute semble complétement partie et encore secouée comme par des répliques après un tremblement de terre.

D’ailleurs, Martin lui-même semblait envoûté par la bestialité du spectacle qui venait de se dérouler dans la pièce. N’eussent été les petits couinements de Céline que Karim achevait d’enculer, le silence aurait été total. Mais en quelques secondes, le rut reprit le dessus et tandis que Karim se vidait à son tour dans le cul de Céline, Tatave et le réceptionniste frottaient leurs queues sur les cuisses et le ventre de la femme de Vincent tout en empoignant ses nichons sans se soucier de ses cris.

Serge avaient les yeux qui parcouraient distraitement la pièce lorsqu’ils furent attirés par un petit point rouge vif. Il eut un haut le cœur : sur l’étagère du haut d’une vieille bibliothèque dominant la pièce, placée dans un recoin il y avait une caméra numériques qui filmaient la scène. Et il y en avait encore deux autres installés selon des angles différents.

Ah les salauds, se dit Serge accablé, comment on va s’en sortir…

Le chien avait fini par débander et s’était affalé dan un coin la langue pendante et le souffle haletant. Marie Hélène , écroulée sur le sol regardait le plafond les yeux vides. et Sur l’estrade Céline s’était assise sur les genoux de Tatave qui avait saisi ses mamelles et semblait les offrir à Jean Rémy comme une corne d’abondance. Youssef qui n’en pouvait plus s’approcha de Marie Hélène et s’accroupissant sur elle entreprit de se branler avec ses nibards mais à peine les avait-il empoigné qu’il lâchait de grandes giclées de foutre en poussant un soupir furieux.

– Tout ça pour ça, fit Martin en regardant Youssef en se marrant. Puis il s’adressa à la cantonade.

– Mesdames, messieurs et chers zamis , on a bien rigolé, chacun va rentrer chez soi

Oooh, fit Tatave, déjà!

– Mais oui, faut pas pousser, tout le monde est fatigué là et on a beaucoup demandé à ces dames. Mais rassurez-vous, demain c’est dimanche.

– On va à la messe, dit Alphonse en se marrant.

– Ta gueule Alphonse dit gentiment Martin, demain, dis-je, on se retrouve tous!

– Euh, fit Vincent, je crois pas, parce que nous devons quitter l’hôtel…

– Oui, oui, dit Céline honteuse qui se leva des genoux de Tatave, il faut qu’on s’en aille!

– Mais pas si vite enfin, reprit Martin, c’est le week-end, on a tout le temps.

Rendez-vous demain 11h, on ira pique niquer à la ferme d’Alphonse

– Certainement pas dit manisa escort Vincent, Céline et moi, on s’en va. Et si vous essayez de nous en empêcher, cette fois, j’appelle la police et tant pis pour les conséquences.

– Ah tu crois ça? reprit Martin doucereux. Tu veux que je fasse une petite projection avec tout ce qui s’est passé aujourd’hui. Regarde autour de toi, il y a quatre caméras qui ont tout enregistré. Je te dis pas que ça mérite pas un pt’it montage, mais t’as envie que tes collègues, ta famille ou tes amis te voient te branler en voyant la chatte de ta gonzesse se faire remplir? Fais comme ton petit camarade, vois comme il moufte pas, il a compris lui.

Serge rouge de honte regarda du coin de l’œil Marie Hélène qui se levait encore hébétée, – Bon dieu se dit-il pour la millième fois, qu’est-ce qu’elle est sexy cette salope, même pleine des jus d’un clébard et de trois ou quatre mecs.

– Donc, je le répète, là vous allez vous rhabiller à la brocante, piquez rien cette fois hein, ajouta-t-il dans un gros rire. Et vite à l’hôtel pour être en forme demain. Demain 11 h tapante et que je sois pas obligé de vous courir après… Youssef et Karim vous me raccompagnez tout ça.

En revenant à la brocante et tandis que leurs gardiens discutaient joyeusement, les deux couples étaient silencieux et n’osaient pas se regarder. Après s’être rhabillés, ils reprirent tout aussi silencieusement le chemin de l’hôtel. À la réception, Raoul n’était heureusement pas revenu et une jeune femme charmante leur donna leurs clefs. Quelques instants plus tard, les deux couples disparaissaient dans leurs chambres respectives et le bruit des robinets se fit entendre dans chaque salle de bain.

Dans leur chambre Marie Hélène et Serge avaient chacun passé plus d’une heure à se récurer soigneusement. Tacitement, ils évitèrent de parler de ce qui s’était passé. Ils s’exprimaient par monosyllabes et restaient sur des sujets soigneusement neutres.

Chez Vincent et Céline, la situation était plus explosive. Céline reprochait amèrement à Vincent de les avoir mis entre les mains de ces « psychopathes ». Vincent reprochait à Céline « d’avoir pris son pied et plutôt deux fois qu’une ».

Vers 22h, Marie Hélène avait faim et décida d’aller prendre au moins une salade tandis que Serge regardait la télévision. Elle mit une petite robe noire à la fois sexy et sage, ses escarpins beige et des dessous Princess Tam tam sans chichis qui lui donnèrent l’impression d’être enfin propre. Vincent et Céline s’étaient peut-être endormis, en tous cas, Marie Hélène après avoir toqué doucement à leur porte sans succès, descendit vers la salle de restaurant. La salle était encore ouverte mais les quelques tables occupées l’étaient par des gens qui achevaient leur dessert.

– J’oublie qu’on est en province, se dit Marie Hélène.

Un serveur, jeune homme boutonneux et joufflu, s’approcha et lui dit, un instant madame, faut que je demande au chef si on peut encore servir.

Celui-ci, un homme rougeaud avec une moustache de sapeur, passa la tête par l’embrasure de la porte donnant sur sa cuisine, et fit un signe d’acquiescement au serveur. Celui-ci installa Marie Hélène à une petite table donnant sur le jardin et prit rapidement sa commande. La salade était étonnamment bonne et le vin blanc délicieux. Elle se sentait bizarre, mais bien. Le souvenir du sexe du chien au fond de son minou la fit involontairement se contracter et se cambrer. Elle regarda autour d’elle pour voir si personne n’avait remarqué, mais non. D’ailleurs, les derniers convives avaient payé leur addition et s’éloignaient bruyamment, visiblement pompettes. Elle fit un signe au serveur qui baillait dans un coin pour qu’il lui apporte l’addition.

Quelques instants plus tard, celui-ci revenait avec un autre verre de vin blanc, de la part du chef dit-il, et l’addition, fit-il en rougissant.

– Merci, lui sourit Marie Hélène, c’est gentil. Elle avala une gorgée du vin offert et ajouta, il est délicieux.

Distraitement, elle ouvrit le carnet de cuir contenant son addition et le referma aussi vite toute rouge à son tour : avec l’addition était glissée une photo d’elle à califourchon et bien empalée sur le membre épais d’un homme dont on ne voyait pas le visage mais dont elle savait qu’il s’agissait de Martin.

Le gamin la regardait bizarre et mardin escort ajouta,

– Euh, le chef y demande si vous voulez pas venir en cuisine un instant.

– Comment? fit Marie Hélène

Le visage moustachu du chef apparut à ce moment là à la sortie de la cuisine. Il fit un signe aimable à Marie Hélène : je vais vous montrer mon antre, venez, venez!

Marie Hélène se leva lentement et traversa la salle à manger jusqu’à la porte de la cuisine, suivie du jeune serveur.

– Ferme la porte derrière madame, fit le cuisinier à l’intention du serveur. Puis il se tourna vers Marie Hélène et tout en la déshabillant du regard lui dit

– Mon copain à la réception m’a dit que vos loches sont splendides, j’aimerais bien les voir, maintenant.

Marie Hélène le regarda incapable de savoir quoi dire.

– Allez, reprit le cuistot, paraît que faut pas t’en promettre, et c’est juste pour voir quoi, comme mes potes!

Dégageant ses épaules, Marie Hélène fit glisser sa robe sur sa taille. Son soutien gorge transparent était bien gonflé.

Putain, je comprends comment qu’il était excité de salopiot de Paul, t’as de beaux gros seins de cochonne.

Il s’approcha de Marie Hélène et lui soupesa les mamelles qu’il sortit alternativement du soutif.

– Tu sais ce qui me ferait plaisir, vu qu’y a ma bourgeoise qui m’attend chez moi et que faut pas trainer, c’est une petite cravate de notaire de derrière les fagots.

Il se jucha prestement sur le plan en inox qui jouxtait le piano de cuisson et ouvrant sa braguette sortit sa bite et commença à s’astiquer pour la faire durcir. La verge, pas énorme, prit un peu d’ampleur et Marie Hélène prenant ses seins à pleines mains entreprit de branler la bite tout en tendant instinctivement son postérieur.

– Oh, t’es bonne, j’ai pas vu tout le film, juste quelques minutes, mais t’es vraiment bonne, hein Victor qu’elle est bonne, ptit dégueulasse, de la bourge comme ça t’en a jamais vu hein?

Derrière Marie Hélène, le Victor avait baissé son froc et branlait une grosse queue non circoncise en matant le spectacle, les yeux exorbités.

– Vazy, prend lui le cul ajouta le cuistot, ça m’excitera encore plus, et la dame vu ce qu’elle a pris comme bite aujourd’hui, une de plus la gênera pas, hein madame?

Victor souleva la robe de Marie Hélène et fit tomber sa culotte sur ses chevilles. Il lui souleva ensuite un pied pour enlever le petit morceau de tissu.

Avec un grognement il enfonça son machin dans l’anus délicat et commença de s’agiter tandis que Marie Hélène accentuait la pression de ses mamelles sur la bite du cuistot. Au bout d’une minute de ce régime, l’homme poussa deux ou trois cris d’aise et lâcha quelques giclées de sperme qui vinrent inonder le haut des seins et le cou de Marie Hélène.

– T’es vraiment une bonne pute, fit le cuistot reconnaissant, tout en se reboutonnant rapidement.

– Et toi tu te dépêches, dit-il au jeune serveur qui bougeait frénétiquement. Le pauvre garçon s’accrocha aux hanches de Marie Hélène et dans un grand han sonore lâcha à son tour sa semence.

– Ben voilà, allez remballe ton matos, dis merci à la dame et ferme les lumières, moi je me taille.

Remettant sa robe et sa culotte, Marie Hélène qui ne sentait plus son corps, partit sans mot dire. Dans la chambre, son mari dormait devant la télé. Elle alla prendre sa douche et quelques instants plus tard, elle se lovait contre lui et s’endormait.

Le lendemain il faisait grand soleil lorsque Serge et Marie Hélène se réveillèrent. Il était plus de dix heures!

– Merde dit Serge, faut qu’on prenne notre petit déjeuner, ça ferme à 10h30!

Il s’habilla rapidement et regarda sa femme qui mettait un string rouge et un soutien gorge pigeonnant assorti puis une robe légère boutonnée devant.

Dans la salle du petit déjeuner, Vincent et Céline se faisaient visiblement la gueule. Serge les salua de loin et s’installa avec sa femme.

Tandis qu’il avalait une bouchée de croissant, Serge s’adressa à sa femme.

– Bon, faut qu’on en parle tout de même

– De quoi demanda innocemment Marie Hélène

– Ben de ce qui s’est passé hier, et puis je te rappelle qu’on a un rendez-vous dans un quart d’heure!

-Je vais te dire lui répondit durement Marie Hélène, j’ai oublié ce qui s’est passé hier, et j’oublierai ce qui va se passer aujourd’hui. Et toi aussi.

Elle se leva et alla chuchoter quelque chose à Céline qui se leva. Céline, remarqua Serge, portait une jupe en cuir noir qui mettait en valeur son cul, un cashmere crème moulant et des bottes à talons.

Les deux femmes s’éloignèrent suivies de leurs maris silencieux.

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Manon en Enfer 28

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Amateur

MANON PUNIE 1/2

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Manon en a fini avec les dix huit jeunes joueurs de foot à qui elle a du faire l’amour et pour une majorité il lui a fallu les déniaiser.

Le jeudi matin elle n’a pas eu de nouvelles de ses proxénètes donc en début d’après midi elle s’est déplacée en voiture et tapine placée à l’entrée d’un chemin en bordure de forêt de manière à être bien visible des autos qui passent sur la nationale.

Elle est vêtue en rouge (mini jupe très courte montrant le haut de ses cuisses et même le string de couleur assortie, top court sans rien dessous et bottines de même couleur).

Elle ne fait que suivre les ordres que lui a donné Bernard le directeur commercial de la société qui emploie son mari.

Après une initiative malheureuse et trahie par un homme à qui elle s’était donnée pour sauver l’emploi de son mari elle s’est retrouvée prise dans un engrenage, le DRH et le directeur commercial de l’entreprise l’ont asservie et elle est devenue leur prostituée.

Le portable de Manon sonne, elle le sort de son sac à main et répond rapidement sachant que ses proxénètes ne sont pas patients.

– allo –

– la putain tu me dégoûtes! tu n’es qu’une bonne à rien –

– je ne comprends pas monsieur Bernard –

– si tu comprends! les jeunes joueurs à qui je t’avais demandé de donner du plaisir n’ont pas tous eu le même traitement, tu as fait des différences –

– je les ai fait jouir en fonction de leurs capacités à parvenir au plaisir –

– je ne crois pas, c’est bien connu que les putains sont des menteuses et des malhonnêtes. Tu as surtout cherché à ne pas te fatiguer, si tu avais eu un peu de conscience professionnelle tous auraient éjaculé le même nombre de fois –

– je vous assure monsieur que j’ai fait tout ce que je pouvais mais parmi les dix huit joueurs U16 et U17 il y eu deux éjaculateurs précoces et certains jeunes ont été incapables de bander une deuxième ou une troisième fois –

– excuses bidon et mensonges. Je pense que je vais licencier ton mari et lui raconter ce que tu fais en son absence –

Manon pâlit et se met à trembler.

– je vous en supplie, ne faites pas ça monsieur, vous savez que vous pouvez tout me demander –

– comment veux tu que je te fasse confiance si tu ne fais pas ton travail correctement même quand c’est facile –

– laissez mon mari en dehors de ça et punissez moi si vous le souhaitez monsieur, j’accepte de souffrir –

– bonne idée. C’est Marvin le chef de production qui va s’en charger et qui devra trouver le châtiment à t’infliger, il t’en veut depuis que tu lui a mal parlé car il a pris ça comme un affront, je pense qu’il va t’en faire baver –

– bien monsieur, je suis à la disposition de monsieur Marvin, il me puniras de la manière qui lui conviendra –

Manon haît cet homme, elle s’est donnée à lui en toute confiance espérant sauver l’emploi de son mari mais il l’a trahie et vendue à ses supérieurs qui en ont fait une prostituée. Elle va devoir accepter sans se rebeller les sévices qu’il va lui infliger.

– je vais l’informer et lui donner des directives, attends toi à le voir arriver rapidement. Où es tu en ce moment? –

– aujourd’hui je n’ai pas de rendez-vous donc comme vous me l’avez ordonné je fais des passes en bordure de forêt à l’endroit habituel, là où monsieur Marvin m’a dit de le faire la première fois –

– bien! je te souhaite bon courage car je vais lui dire de ne va pas te ménager –

Pas besoin de répondre, Bernard a raccroché laissant la prostituée pensive et inquiète.

Comme à chaque fois qu’elle se prostitue à cet endroit Manon s’évertue à gagner la somme réclamée par ses souteneurs plus un peu d’argent pour ses frais, essence, préservatifs mersin escort et mouchoirs en papier entre autres.

Elle se montre le plus qu’elle peut en prenant des poses lascives et en souriant aux automobilistes qui la regardent en passant.

Avec son physique pas désagréable et ce qu’elle montre avec sa très courte mini jupe et son top qui laisse voir son ventre elle a une bonne clientèle.

Elle enchaîne les pipes et les pénétrations de sa chatte, elle n’hésite pas à proposer aux clients de se mettre nue, de se laisser peloter ou de faire une fellation suivie de la pénétration de son vagin moyennant une rémunération supplémentaire pour ses services sexuels supplémentaires.

Il est 18 heures 30, Manon continue à tapiner bien qu’elle ait gagné les 600 euros qu’elle doit remettre à Bernard car elle sait qu’elle n’a pas intérêt à quitter son lieu de prostitution sans connaitre le sort qui lui est réservé, donc elle attend que Marvin se décide à venir la retrouver.

Elle soulage trois hommes en faisant deux pipes et en étant pénétrée en levrette une fois puis elle cache l’argent des passes supplémentaires dans une boite en plastique qu’elle enterre légèrement et recouvre de feuilles mortes.

Il est presque 19 heures quand il arrive, passe à côté d’elle et gare sa voiture un peu plus loin puis en descend.

Il s’approche d’elle, la prend par un bras et l’entraine dans le bois à l’abri des regards. Il arbore un large sourire quand il s’adresse à elle.

– alors la gargouille à bites, tu es toujours aussi nulle au lit. Je pensais qu’après deux années passées à te prostituer tu serais une bonne professionnelle –

– cesses de jouer les marioles, tout ça est de ta faute –

Une gifle claque sur une des joues de la putain qui est surprise ne s’attendant pas à ça.

– tu te crois où et avec qui, tu me respectes et me vouvoies, c’est compris –

– vas te faire voir connard, tu devrais avoir honte de m’avoir mise dans le pétrin –

Elle reçoit une paire de gifles et comme il n’a pas retenu les coups elle se retrouve allongée sur le sol hébétée.

– les insultes et l’insubordination vont se payer très cher. A genoux sale putain, demandes moi pardon et lèches mes chaussures –

Manon ne réfléchit pas longtemps, elle réprime son envie de l’invectiver et de l’insulter, résignée elle obéit.

Elle se met à genoux devant lui et la tête baissée elle lui fait des excuses et le supplie de lui pardonner puis elle se penche, sa bouche touche les chaussures de son bourreau qu’à contre-cœur et réprimant son dégoût elle embrasse et lèche consciencieusement.

Elle fait ce qu’il a exigé d’elle jusqu’à ce qu’il lui dise d’arrêter.

– relèves toi connasse et déshabilles toi –

Elle hésite se demandant où il veut en venir, une autre gifle la rend plus docile.

– tu as entendu ce que je t’ai demandé –

– oui monsieur Marvin, je vais faire ce que vous me demandez. Vous donnez les ordres et moi j’obéis –

– si tu savais comme ça me fait plaisir de constater que tu as ravalé ta fierté et de te voir obéir comme si tu étais une esclave, j’en jouirais presque –

– monsieur je suis consciente que j’ai mis mon honneur à la poubelle et que ceux qui me prostituent ont tous les droits sur moi et mon corps, je leur appartiens donc vous aussi pouvez disposer de moi quels que soient vos besoins sexuels et même pour me martyriser si vous en éprouvez l’envie –

Elle retire son top mettant ses seins à l’air puis sa mini jupe et enfin son string de couleur assorti au reste de son habillement.

Marvin la regarde avec les yeux qui veulent sortir de leur orbite.

En même temps que des envies torturent son ventre une idée lui vient muğla escort en tête, n’ayant pas de scrupules et voulant affirmer son pouvoir “de petit chef” il décide d’humilier la putain.

– maintenant retournes tapiner au bord de la route –

– monsieur vous ne pouvez pas me demander de faire ça nue, c’est un attentat à la pudeur –

– je donne les ordres et toi la connasse tu obéis –

Voyant qu’il ne plaisante pas Manon honteuse, tremblante et au bord de l’évanouissement marche tel un automate et honteuse va se positionner en bordure de la route pendant que son tortionnaire après être allé cacher sa voiture un peu plus loin va se planquer dans des fourrés là où il peut l’observer sans être vu.

Au début les automobilistes ahuris par ce qu’ils voient ralentissent fortement ou donnent des coups de freins brutaux, il y a même des embardées, ensuite des voitures de plus en plus nombreuses s’arrêtent.

Si certains conducteurs se régalent à distance du spectacle de la femme nue d’autres s’approchent n’hésitant pas à venir très près d’elle.

Cela finit par un attroupement d’hommes autour d’elle et de voitures qui se garent n’importe comment gênant la circulation.

Aux questions elle répond que n’ayant pas gagné assez d’argent pour satisfaire son proxénète elle a trouvé ce moyen pour attirer de la clientèle.

Ca marche car contempler le corps nu de la putain donne des envies aux hommes dont un certain nombre ne résiste pas à l’envie de jouir en se faisant faire une pipe ou de la pénétrer en levrette. Sa nudité attirant les excès résignée et désorientée elle se laisse faire quand elle est pelotée.

Après un bon moment c’est un bruit de sirène au loin qui la sort de cette situation déshonorante.

Manon comprend que des âmes charitables ont prévenu la gendarmerie qu’une chose anormale, et dans ce cas contraire aux bonnes mœurs, se passait à l’endroit où elle tapine.

C’est une envolée de moineaux, les voyeurs et les clients potentiels se dispersent, regagnent rapidement leurs véhicules et démarrent sans demander leur reste.

Surgissant de sa cachette Marvin crie à Manon d’aller récupérer ses affaires et de la rejoindre plus loin dans les bois, ce qu’elle fait pendant que la tonalité de la sirène est de plus en plus distincte et se rapproche rapidement.

Après avoir récupéré ses habits et son sac la putain rattrape l’aide proxénète en courant, ils vont se cacher plus loin pendant que les gendarmes arrivés sur place inspectent les lieux et fouillent un peu la forêt.

Puis le calme revient et bien qu’ayant eu peur l’homme décide que Manon doit recevoir le châtiment promis par Bernard.

– attends moi ici la putain, je n’en ai pas fini avec toi –

– je vous attends monsieur, je ne bouge pas –

Il retourne à sa voiture.

Quand il est de retour, Marvin qui tient un grand paquet dans une main mais aussi des cordes et des sangles dans l’autre main, vient la retrouver et lui demande de le suivre dans la forêt après lui avoir dit de prendre son sac.

– j’espère que tu a eu honte de te montrer nue devant tant d’hommes –

– pire que ça monsieur, vous m’avez déshonorée, je ne savais plus où me mettre et cela a été dur à supporter –

– tant mieux, ainsi tu as vu que tu n’es plus rien. Cela t’apprendra aussi à rester correcte avec tes supérieurs –

– je m’excuse encore de vous avoir insulté monsieur, je sais que je vous dois respect et obéissance –

– c’est bien. Maintenant tu vas t’occuper de moi puis je vais te préparer pour la nuit –

– je vais passer la nuit ici –

– oui! tu y seras très bien. Tu sais que je suis chargé de te punir –

– oui! monsieur Bernard me l’avait dit –

– qu’est ce nevşehir escort que tu en penses –

– rien de spécial, s’il a décidé de me punir c’est son droit et dans le cas présent c’est justifié car je l’ai déçu –

– tu es devenue bien obéissante, cela m’étonne de toi –

– j’ai compris que me rebeller ne sert à rien et que je dois accepter de faire tout ce que me demandent mes souteneurs et surtout me montrer à la hauteur de leur attente –

– cela ne te gênes pas de te prostituer –

– non monsieur, c’est mon destin. Si mes souteneurs me prostituent c’est que je suis faite pour ce métier –

Marvin inspecte les lieux pendant qu’ils s’enfoncent dans les bois.

– on va s’arrêter là, l’endroit me semble propice pour ce que je vais te faire subir –

– quelle sera ma punition monsieur –

– on verra après, pour le moment montres moi ce que tu as gagné –

Manon sort son porte feuilles de son sac et le tend à l’aide souteneur qui en sort les billets et les compte.

– tu as gagné tout ça avec ton cul. Il y a 910 euros soit 600 pour ceux qui te font travailler et le reste pour moi –

– non monsieur! il y a 100 euros qui m’appartiennent, je les mets systématiquement pour avoir de la monnaie à rendre à mes clients quand ils n’en ont pas –

C’est un mensonge mais Manon ne veut pas que l’homme lui fauche tout le surplus qu’elle a gagné.

– d’accord. Je prends 200 euros et je t’en laisse 10 comme pourboire, je pense que c’est équitable –

– oui monsieur –

Bien que se disant que cet homme est une ordure elle ne prend pas le risque de le contrarier sachant que si elle l’énerve il va encore se montrer violent.

– maintenant que le côté financier est réglé occupes toi de ma bite –

– oui monsieur! je sais que vous attendez que je vous donne du plaisir, je vais m’appliquer à vous faire jouir, c’est mon rôle dans votre société –

– qui ne sait pas que tu es la putain, disons plutôt la prostituée que notre entreprise emploie –

En disant que tout le monde est au courant de ce qu’elle est devenue il exagère mais elle ne veut pas le contrarier.

Ne voulant pas poursuivre la conversation elle met à genoux devant lui et dégrafe le pantalon de l’homme qu’elle baisse puis s’occupe du caleçon, les vêtements se retrouvent aux pieds du quidam.

Elle caresse et masturbe doucement la verge qui est bien érigée, maltraiter la prostituée lui a donné de grosses envies.

Elle se penche puis, après avoir mis ses mains dans le dos, lèche et embrasse les cuisses, les bourses et la queue. Ensuite elle s’attaque au gland qu’elle embrasse d’abord puis lèche avant de le suçoter et de l’aspirer faisant sursauter le mâle qui apprécie la traitant de grosse putain bouffeuse de bites.

D’un mouvement brusque de sa tête elle enfonce le pénis dans sa cavité buccale et commence une fellation en serrant bien ses lèvres autour du membre et en donnant de l’amplitude aux aller retour de sa bouche qui ont débuté doucement et s’accélèrent progressivement.

L’homme est trop excité et ne résiste pas longtemps, il se raidit, ses doigts s’agrippent sur les épaules de la prostituée et les ongles pénètrent dans la chair puis elle ressent tressauter la queue dans sa bouche et des jets de sperme arrosent sa gorge.

Elle avale la semence et continue la fellation jusqu’à ce que Marvin la repousse tout en lui disant qu’il n’allait pas se contenter de ça et qu’elle devait aussi utiliser sa chatte et son de putain pour le satisfaire.

Manon fait une suggestion.

– monsieur pour la suite nous serions mieux sur une serviette de plage pour la suite –

– comme tu veux –

Elle sort du sac qui lui sert à transporter toutes les affaires dont elle a besoin une grande serviette utilisée quand elle s’installe pour manger et se reposer un peu pendant ses heures de tapin et l’étale sur le sol.

Marvin qui a toujours le sexe à l’air s’allonge dessus puis positionnée à côté de lui Manon caresse et masturbe la queue qui a un peu perdu de sa superbe.

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Gynécologue Pervers

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Babes

J’étais quelque peu angoissée en me rendant chez le gynécologue, à mon huitième mois de grossesse. Certes, je devrais avoir l’habitude: c’est notre cinquième enfant, à mon mari et à moi, mais après tout, j’ai déjà quarante ans.

Après avoir défait les boutons du bas de ma robe, je retirai mes chaussures et mon slip et m’étendis sur la table d’examen, levant les jambes pour poser mes pieds dans des étriers et écartant les pans du vêtement pour que le docteur puisse palper mon ventre et, après avoir enfilé un gant de plastique, procéder à un toucher vaginal. Il me demanda ensuite d’étendre les bras au-dessus de ma tête pour respirer profondément, ce que je fis. Il vint alors appuyer ses mains sur mes poignets, et je sentis à ma grande stupéfaction qu’il me passait des bracelets pour les attacher à la tête de la table. Je tentai de me lever pour protester, et me rendis alors compte que mes pieds étaient également fixés aux étriers. Il m’avait liée des quatre membres à la table d’examen!

Après avoir enlevé son gant, il se remit à toucher mon ventre, non plus en le palpant mais en le caressant longuement, puis il l’embrassa et se mit même à le lécher tandis qu’il portait ses caresses vers l’intérieur de mes cuisses. Furieuse mais incapable dans ma position de me débattre, ne voulant pas en outre risquer de blesser le bébé, je dus me laisser faire jusqu’à ce qu’il arrête de me caresser pour défaire lentement les boutons qui restaient à ma robe, de la ceinture jusqu’en haut. Puis il acheva d’en écarter les pans, et eut la vision de mon corps nu à l’exception d’un soutien-gorge blanc. Je pensai qu’il allait l’enlever pour s’en prendre à mes seins, mais il s’éloigna un moment et revint disposer une caméra numérique devant nous sur un trépied. Il la mit en marche avant de se pencher à nouveau sur moi. Les étapes de mon humiliation allaient être filmées!

Il prit mon soutien-gorge à deux mains et le remonta jusque sous mon menton. En temps normal, ma poitrine n’a rien d’extraordinaire (j’ai quarante ans et quatre enfants, d’accord?), mais à huit mois de grossesse mes seins gonflés étaient comme des melons, avec de gros bouts aux aréoles très larges et foncées. Il se mit à les caresser, à déposer des baisers partout sur eux et entre eux. J’ai honte de dire que mes tétons se dressèrent et se durcirent sous un pareil traitement. Il en introduisit un dans sa bouche, commença à le sucer, je sentis sa langue en faire le tour puis ses dents le presser. En même temps, d’une main, il me massait l’autre sein et en pinçait le bout. Mon lait commença à monter, il le savait et pompa plus avidement mon mamelon, je fermai les yeux et gémis en sentant la première giclée de lait maternel entrer dans la bouche de mon violeur. Il but soigneusement tout ce qui était sorti, puis fit subir le même traitement à l’autre sein pendant que sa main libre redescendait vers mon ventre, caressait ma touffe et atteignait mon sexe. A ma grande horreur, je me rendis compte que ma fente était humide et prête à s’ouvrir, et il n’eut aucun mal à y enfoncer deux doigts d’un coup. Il se mit à les faire aller et venir tout en finissant ce qu’il faisait sur mon sein, puis s’écarta de moi et, sans sortir les doigts de mon sexe, alla s’agenouiller au pied de la table, devant mes cuisses maintenues écartées par les étriers. Sa langue me pénétra sans que je puisse résister, je fus au bord des larmes en me rendant compte que moi, une épouse aimante et fidèle à mon mari, le père de mes quatre enfants, j’étais attachée nue devant un homme qui pouvait user de moi de toutes les façons qu’il voulait, et que je prenais plaisir à ce qu’il me faisait. Mon mari, de crainte de faire du mal au bébé, ne me touchait plus depuis des semaines, j’avoue que ça me manquait énormément, et voilà ce type me bouffait la chatte plus savamment que mon mari ne l’avait jamais fait. La colère et l’humiliation que j’éprouvais ne faisaient qu’ajouter à mon plaisir. Je cédai une première fois et il le sentit, buvant ma mouille dégoulinante aussi soigneusement qu’il avait bu mon lait. Il se redressa pour contempler mon corps pantelant d’un air satisfait, puis il passa à la tête du lit et disparut de mon champ de vision, me laissant face à cette maudite caméra qui continuait à enregistrer mon supplice. Attachée comme je l’étais, je ne pouvais pas tourner la tête suffisamment pour voir ce qu’il faisait, mais j’entendis qu’il me déshabillait, et essayai de me résigner à subir une nouvelle étape de ma souillure.

Il réapparut complètement nu, exhibant un sexe dressé qui me parut de dimension impressionnante. Il le promena un moment sur mes seins et mon ventre, puis se plaça debout entre mes cuisses et me l’enfila d’un seul coup. Ma chatte était encore bien lubrifiée de ce qu’il m’avait fait, et son engin rentra tout entier, malgré sa taille très supérieure à celle de mon mari. Il commença à me limer sans ménagement aucun, sortant sa bite presque entièrement à chaque fois avant de me la remettre jusqu’au fond. Attachée comme je l’étais, je ne pouvais ni lever plus haut les jambes, ni les passer autour de diyarbakır escort son dos, et le poids du bébé m’empêchait de me cambrer. J’avais l’impression que mes reins allaient se briser, j’avais mal à pleurer, et en même temps je commençais à ressentir un plaisir incroyable. Il s’en aperçut, me força à dire que ça me plaisait, et éjacula en me remplissant de foutre, tandis que j’éprouvais un orgasme comme je n’en avais jamais ressenti avec mon mari.

Il ressortit sa bite, l’essuya sur mon ventre pendant que je reprenais mon souffle, et me dit que si je voulais qu’il me détache les chevilles il fallait que je le suce. Je fis signe que oui, et il introduisit son nœud à peine ramolli dans ma bouche. Je me mis à le pomper du mieux que je pouvais en l’excitant de ma langue, il redevint vite bien raide, en même temps de la main il se remettait à me pincer les seins et à me caresser le ventre, les poils et la moule. Il ne tarda pas à faire gicler son foutre chaud dans ma bouche, me le faisant boire et me faisant nettoyer sa bite jusqu’à la dernière goutte.

Il me détacha les chevilles, et je pus enfin retirer mes pieds des étriers et détendre un peu mes jambes qui me faisaient atrocement mal. Pendant ce temps, il ouvrait un tiroir de son bureau et, à mon grand étonnement, en retira une paire de bas blancs et des escarpins assortis. Il me les enfila – car ils se révélèrent être tout à fait à ma pointure – sans que je puisse l’en empêcher, les poignets toujours attachés comme je l’étais. Il alla régler sa caméra pour faire quelques gros plans sur ma chatte poilue au-dessus de mes cuisses gainées de bas, sans même que je pense, maintenant que j’avais les jambes libres, à resserrer les cuisses ou à me tourner sur le côté pour le priver du spectacle obscène dont il se régalait. Puis il prit dans un autre tiroir un godemichet rigide presque aussi gros que sa bite, s’assit à côté de moi sur la table et me l’enfila dans la chatte en le faisant aller et venir d’avant en arrière. En même temps, d’un doigt il me tâtait plus bas, sur les rebords de mon petit trou. Je recommençais à gémir lorsqu’il retira le gode de ma fente et le présenta à l’entrée de mon anus. Il poussa lentement l’objet de plastique en moi, et je sentis mes sphincters s’écarter à mesure qu’il rentrait, se distendre jusqu’à être près de se déchirer. La douleur causée par le viol que j’avais subi en étant attachée des quatre membres n’était rien à côté de cela. Je criai, suppliai mon tortionnaire d’arrêter, lui promis qu’il pourrait me faire tout mais pas ça. J’avais l’impression que mon anus allait éclater lorsqu’il retira enfin l’engin, mais il ne renonçait pas pour autant à user de moi par cet orifice. Il prit sur son bureau une boîte de pommade, enfila un nouveau gant de plastique pour introduire un doigt dans mon petit trou et en enduire les parois. La douleur se calma rapidement, je sentis bientôt qu’il utilisait deux doigts pour me pommader, puis trois. Il me dit que je devais être prête maintenant, et me pénétra de nouveau avec le gode. L’engin s’enfonça plus rapidement que la première fois dans mon conduit lubrifié, la sensation était curieuse et inconfortable plutôt que douloureuse : avec le bébé dans mon ventre et le gynéco qui recommençait à m’enfiler ses doigts, cette fois dans la chatte, j’avais l’impression que mon abdomen était envahi de toutes parts!

Il s’arrêta un moment pour aller mettre en marche son ordinateur, en vérifiant que je pouvais bien voir l’écran de là où j’étais. Il me dit qu’il avait enregistré des images de beaucoup de patientes pendant qu’il les baisait, et qu’il voulait m’en monter une en particulier. Le film commença à défiler sur l’écran : il avait été tourné dans le cabinet même où nous étions, et une femme était à quatre pattes par terre pendant que mon gynéco la prenait en levrette. Avec horreur, je reconnus ma fille aînée, Caroline, toute nue à part ses sandales et un débardeur remonté au-dessus de ses seins. Le docteur la bourrait à grands coups, et il monta le son pour me faire entendre les cris de plaisir qu’elle poussait.

” Elle est venue me demander de lui prescrire la pilule, ” expliqua-t-il. ” C’est son droit le plus strict puisqu’elle a dix-huit ans, mais je lui ai quand même demandé quelques services pour lui garantir que son père ne serait pas au courant. “

L’annonce que Caroline prenait la pilule – j’en étais encore à la croire vierge – m’atteignit à peine, tant j’étais hypnotisée par le spectacle de ma fille chérie se faisant prendre comme une chienne, par le même homme qui maintenant m’enfonçait à nouveau son gode dans le cul tout en me fouillant la chatte avec ses doigts, usant de la mère comme il avait usé de la fille. J’entendais ses commentaires sur le film :

” Tu aimes ça, hein, salope? Tu le fais parce que je t’y ai forcée, mais tu adores ça? Ta mère aussi aimerait ça, tu crois? Tu sais qu’elle aussi est ma patiente? La prochaine fois qu’elle viendra me voir pour avoir des nouvelles du petit frère, je la baiserai par tous les orifices, même si je dois edirne escort l’attacher à la table pour faire ça. Je suis sûr qu’elle adorera. Pas toi? Tu peux lui dire ce qui l’attend. “

Caroline ne faisait que répéter ” oui, oui, “, ses cris se transformèrent en hurlements lorsque le docteur changea de position pour l’enculer tout en lui fourrant une main entière dans la chatte, et le film s’arrêta après qu’il jouit et la laissa pantelante sur le tapis.

Le docteur me jeta un regard satisfait, et je pensai que le matin même j’avais dit à Caroline que j’allais chez le gynéco, et que son visage n’avait pas montré la moindre émotion, alors qu’elle savait ce qu’il allait me faire subir.

” Comme vous le voyez, ” dit-il, ” votre fille prend très bien du cul, je pense que maintenant vous allez faire de même. “

Je compris ce qu’il désirait et il me prit aux hanches pour m’aider à me retourner, malgré mes poignets toujours menottés. Je me retrouvai à quatre pattes sur la table, mon ventre et mes seins alourdis frôlant le tissu qui la recouvrait, pendant que le docteur s’agenouillait derrière moi et m’écartait les fesses. Son sexe était plus gros que le godemichet, quoique plus souple, et je subis son assaut avec quelque difficulté. Mais enfin il parvint à tout faire rentrer dans mon anus encore lubrifié, et se mit à aller et venir tout en me maintenant les reins d’une main, tandis que de sa main libre il avait repris le gode, me l’avait passé entre les cuisses et me l’enfilait dans la chatte. Attachée, à genoux, avec mes seins et mon ventre qui ballottaient sous moi en frottant contre la table, forcée devant et derrière par cet homme qui avait déjà abusé de ma fille, je pensai à mon mari, au père de mes enfants, et l’abjection de ma situation ne fit que démultiplier mon orgasme lorsqu’il éjacula dans mon cul, pendant que le godemichet expertement manié me faisait exploser par-devant. C’était la sensation la plus merveilleuse de ma vie, je hurlais, râlais, le suppliais de continuer, mes genoux se dérobèrent sous moi et je serais tombée sur le ventre s’il ne m’avait pas retenue par les hanches pour me faire repasser sur le dos.

J’étais étendue sur la table, à moitié évanouie, et lui debout à côté de moi avec son sexe à peine sorti de mon cul. Je craignis qu’il ne veuille à nouveau me le faire sucer, mais il se contenta de l’essuyer en le frottant sur mon ventre et mes seins. Dans ma semi-inconscience, je sentis qu’il libérait mes mains des menottes. Je restai quelques minutes à reprendre mes esprits, esquissai un geste pour me relever de la table, et le découvris assis toujours nu dans son fauteuil, me disant avec un geste autoritaire :

” Nous n’avons pas terminé. Veuillez achever de vous déshabiller. “

J’enlevai ma robe entièrement défaite, et mon soutien-gorge qui ne soutenait ni ne cachait plus rien. Je fis sans conviction un geste pour ôter mes escarpins et mes bas, mais il me fit signe de les garder. Il m’ordonna de venir m’agenouiller devant lui. Les jambes flageolantes sur mes escarpins, j’obéis ; il avait réglé son fauteuil dans la position la plus basse et se tenait assis les jambes écartées, son membre à la hauteur de ma poitrine. Sur son ordre, je pris le sexe flaccide dans une main, le plaçai entre mes seins, les rapprochai et me mis à les masser doucement en les faisant se toucher. L’engin recommença à devenir raide à mesure que je l’enfonçais de plus en plus entre les deux globes, jusqu’à ce qu’il frotte de presque toute sa longueur contre mon sternum pendant que je me caressais les seins sur lui. Je le sentis près d’éjaculer, sortis spontanément le membre de sa vallée de chair pour le prendre dans ma bouche. J’étais prête à tout avaler une fois de plus, mais il m’ordonna de me reculer car il voulait éjaculer sur mon visage. Ce qu’il fit, essuyant en outre son membre gluant sur mes joues et mes cheveux, et me permettant juste de lécher le sperme qui était tombé autour de mes lèvres.

Tout en se rhabillant, il me dit qu’il y avait un lavabo dans le couloir. J’en avais sacrément besoin avant de remettre mes propres vêtements, avec la mouille qui avait coulé de ma chatte jusqu’à tacher le haut de mes bas, et le sperme encore tiède qui collait à mes cheveux et dégoulinait de ma figure dans mon cou jusqu’à rejoindre les traînées innommables qui séchaient sur mon ventre et mes seins.

J’étais néanmoins tellement épuisée qu’avant que j’aie pu me remettre debout sans vaciller, le docteur était complètement rhabillé et sortait lui-même dans le couloir. Je l’entendis ouvrir une porte qui devait être celle de la salle d’attente… et, à ma grande horreur, il appela la patiente suivante.

Je n’avais ni la force de m’enfuir ni aucun endroit pour le faire, et la femme qui entra dans le cabinet aurait dû être aveugle pour ne pas me voir. Le pire de tout était qu’elle et moi nous connaissions parfaitement : c’était Marie-Claude, une amie d’enfance et collègue de travail à moi.

Toujours élégante dans son tailleur strict, elle eut l’air pétrifiée de se trouver edirne escort bayan en face de moi, dans l’état que j’ai décrit plus haut, toujours uniquement vêtue de mes chaussures et de mes bas. De mon côté, j’éprouvais comme on l’imagine la honte de ma vie, mais ce fut à mon tour d’être stupéfaite lorsque le docteur passa derrière elle et lui caressa familièrement les fesses.

” Vous voyez, Marie-Claude, votre amie Edith est également une de mes patientes. Je pense d’ailleurs que vous pourriez l’aider à se nettoyer? “

Marie-Claude balbutia une approbation, et le docteur l’embrassa dans le cou en faisant glisser ses mains sur ses hanches. Pendant que je le regardais avec ahurissement caresser le corps de mon amie par-dessus son tailleur (Marie-Claude est divorcée, mais à ma connaissance elle n’a jamais eu d’aventure et ne vit que pour ses deux enfants), il m’expliqua :

” La première fois, je lui ai fait prendre une drogue et je l’ai prise sans qu’elle ne puisse bouger. J’en ai gardé quelques enregistrements qu’elle ne souhaite pas voir montrer à ses enfants ni à ses proches, c’est pourquoi j’ai régulièrement le plaisir de ses visites. “

A l’air désespéré de Marie-Claude, je compris que cette explication était vraie. Elle parut près de fondre en larmes lorsque le docteur ordonna :

” Aidez votre amie à enlever le sperme de son visage. ” Après un court instant de silence, il compléta : ” Avec votre langue. “

Comme hypnotisée, Marie-Claude avançait vers moi, lorsque le docteur ajouta : ” Enlevez votre tailleur, ce sera plus facile. “

Obéissante, Marie-Claude ôta sa veste et sa jupe grises, apparaissant dans des dessous que je n’aurais jamais cru lui voir porter : un soutien-gorge qui faisait pigeonner sa généreuse poitrine en en découvrant complètement les bouts, un mini-slip, des bas et un porte-jarretelles. Si les bas étaient couleur fumée, le slip, le soutien-gorge et le porte-jarretelles étaient rouge vif .

C’est dans cette tenue qu’elle approcha son visage du mien, et je vis sa langue sortir entre ses lèvres, puis la sentis passer sur mes joues, mon nez, mon menton, laper le sperme qu’elle avalait sans hésiter. Ses lèvres secondèrent sa langue, je ne sais comment nos bouches se frôlèrent, puis elles se collèrent l’une contre l’autre et je me retrouvai, moi qui jusqu’alors n’avais jamais eu de pulsions homosexuelles, à embrasser fougueusement mon amie d’enfance, heureuse mère de famille comme moi, en faisant aller ma langue jusque dans le fond de sa bouche, pendant que mes tétons à nouveau durs et érigés frottaient contre les siens dans le même état, et que mon ventre se bombait contre le sien. Je tombai assise sur la table d’examen et Marie-Claude se remit à lécher le sperme du docteur sur moi, passant sa langue et posant ses lèvres dans mon cou, entre mes seins, sur mes seins encore rouges d’avoir servi à masturber notre dominateur. Ma main dans ses cheveux, je sentis qu’en même temps elle me caressait les hanches, la touffe, touchait ma fente. Lorsqu’après avoir longuement et soigneusement léché mon ventre gonflé elle approcha sa bouche de mon sexe, le docteur ordonna :

” Ça suffit. Edith, vous pouvez aller vous laver. Venez ici, Marie-Claude. “

Pendant que furieuse et frustrée je me dirigeais vers le fameux lavabo, mon amie s’approchait docilement du docteur, et j’eus le temps d’entendre celui-ci dire ” mettez-vous à genoux ” avant de refermer la porte.

Les toilettes étaient équipées d’une cabine de douche, et j’en pris une longue et chaude. J’avoue que j’en profitai pour me caresser sur tout mon corps de femme enceinte, et finis par me masturber en pensant à ce que le docteur devait être en train de faire à Marie-Claude. Je n’étais tout de même pas préparée au spectacle que j’allais découvrir à mon retour.

Entièrement nue, je ressortis dans le couloir sur la pointe des pieds et me dirigeai vers le cabinet pour récupérer ma robe et mes chaussures. A travers la porte, j’entendis les cris saccadés de mon amie, auxquels il semblait se mêler un claquement. Lorsque j’entrai, Marie-Claude était à genoux devant le bureau du docteur, cramponnée des deux mains au meuble, et notre bourreau, debout derrière elle une cravache à la main, cinglait avec une précision impitoyable son dos et sa croupe nus. Des traits rouges zébraient déjà les zones frappées, et elle tourna vers moi un visage baigné de larmes. Le docteur parut penser que je redoutais d’être soumise à un pareil traitement, car il me dit :

” C’est là quelque chose que je ne peux pas faire avec une femme mariée, car cela laisse des marques que le mari verrait infailliblement. Notre chère Marie-Claude va garder ces traces pendant près d’une semaine. Aussi, même après votre accouchement, vous n’avez pas à craindre que je vous y soumette. “

Après mon accouchement? me dis-je. Il a donc l’intention de continuer à abuser de moi jusque là? Pendant que je me rhabillais, en laissant Marie-Claude prostrée devant le bureau, il me dit de ne pas oublier le prix de la consultation. Je le payai et, venue pour un contrôle de routine, me préparai à ressortir après avoir été attachée, enfilée de toutes les façons, avoir joui sous un homme qui me prenait de force, avoir appris que la fille en faisait autant que moi, m’être quasiment gouinée avec ma meilleure amie et l’avoir vue se faire frapper à coups de cravache.

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