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Valérie Prend Les Rênes Ch. 04-05

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Valérie prend les rênes

Chapitre 4 : Mike

Après avoir pris leurs repas mon épouse et sa fille ont mis des bottines de marche et sont parties faire une balade dans la forêt qui jouxte notre jardin.

J’avais juste le temps de faire le ménage, nettoyer les chambres, ramasser le linge sale et faire la lessive avant de commencer à m’occuper du déjeuner. En ramassant le linge de Valérie, je n’ai pu m’empêcher de le porter à mon visage et une nouvelle fois de m’enivrer de ses odeurs. Mon sexe durcissait dans sa cage et cela devenait de plus en plus douloureux.

Ces dames sont rentrées après une balade de près de deux heures, juste avant que la chaleur ne devienne trop gênante mais elles étaient tout de même en pleine transpiration. En les voyant arriver je suis vite parti chercher deux peignoirs de bain pour qu’elles ne restent pas dans des vêtements trempés.

-Mais voilà que mon mari utilise son cerveau à bon escient et prend de l’initiative. Tout espoir ne serait donc pas perdu. Prends nos vêtements et va les mettre dans la machine à laver, tu les repasseras cet après-midi. Tu laisses nos chaussures de marche ici et tu viens nous rejoindre dès que la lessive est en route.

Elles se sont déshabillées entièrement et ont enfilé les peignoirs avant de prendre place dans les transats au bord de la piscine. Cinq minutes plus tard je les ai rejointes.

-Tu vas nettoyer nos chaussures ici. Et pas besoin de matériel, tu fais tout avec tes mains et ta langue.

Alicia avait été chercher son journal et Valérie sa tablette. Elles étaient en mode lecture commentée, échangeaient quelques mots, partageaient des informations, comparaient des analyses sur des sujets d’actualité. Des conversations intelligentes et intéressantes. Moi j’étais à genoux en train de retirer la terre de leurs semelles en la grattant avec mes ongles et puis en léchant tout le contour de la chaussure pour la rendre aussi propre que possible. Un travail de con? Non, le travail d’un mari soumis et heureux de satisfaire aux ordres de son épouse, aussi humiliant que cela puisse être. Un peu plus tard j’ai été libéré pour pouvoir préparer l’apéritif et le déjeuner.

A 12.30 précises Mike est arrivé.

-Bonjour Pierre, ces dames sont au bord de la piscine?

-Oui Maître.

-Tu peux nous servir l’apéritif. Après le repas tu nettoieras ma voiture. Hier nous avons chargé les vélos avec des copains pour aller en forêt et elle est pleine de boue.

-Ce sera fait Maître.

-Comment est cette Valérie? Elle comprend et accepte les relations dans votre couple?

-Oui, sans aucun doute. Et vous verrez qu’elle ne demande pas mieux que de participer.

-Super intéressant tout cela. J’ai hâte de la rencontrer. Je dois passer un maillot?

-Je ne crois pas Maître. Alicia et Mademoiselle Valérie ont simplement pris un peignoir de bain et elles sont nues en-dessous.

-Parfait, je vais faire de même. Tu en as préparé un pour moi?

-Oui, il est plié sur le bord du lit.

-Quand je redescends, tu me suis avec l’apéro : du rosé, des glaçons et quelque chose à grignoter.

-Tout est prêt Maître, j’ouvre la bouteille.

Quand nous sommes arrivés près de la piscine, Alicia s’est levée, peignoir ouvert sur son corps nu et est venue embrasser Mike.

Celui-ci a écarté les pans du peignoir, a regardé le corps d’Alicia, il a mis une main sur sa chatte et une autre sur son sein droit.

-Que tu es belle !

-Hmmm, c’est très gentil et je suis très heureuse que tu sois là car je dois avouer qu’il y a encore plus belle que moi aujourd’hui. Mike, je te présente ma fille Valérie.

Valérie s’est levée, mais en refermant son peignoir. Elle s’est approchée de Mike et l’a embrassé sur les deux joues.

-Très heureuse de vous rencontrer Mike.

-Moi aussi Valérie, Alicia m’a si souvent parlé de vous. Mais, si vous permettez, je voudrais bien vérifier les paroles d’Alicia.

Et sur ce, d’un geste sec il ouvre les deux pans du peignoir et juge le corps de Valérie. Il la regarde longuement et puis lentement, comme pour sentir s’il y avait une résistance, il commencé à abaisser le col et retirer les manches. Sans aucune gêne Valérie l’a aidé à se débarrasser du vêtement et puis elle a fait quelques pas, comme un mannequin pour un défilé de mode, en accentuant même son déhanché pour mettre ses fesses encore plus en valeur. Ensuite elle s’est retournée, est revenue vers Mike et, à son tour, d’un seul geste elle à ouvert le peignoir de Mike. Elle a regardé son sexe qui commençait à grossir.

-Remarquable Mike, je comprends parfaitement Alicia.

-Et en effet elle n’a pas menti, vous êtes magnifique. Vous êtes bien, par la beauté en tous cas, la fille de votre mère. Tu peux servir l’apéro, Pierre.

J’ai rempli les verres et fais le service, puis je me suis reculé de quelques pas pour rester à leur disposition. Mike faisait principalement connaissance avec Valérie, la questionnant sur son travail, sur sa spécialisation à venir, ses projets pour le futur. Ce faisant, il la dévorait gaziantep yabancı escort littéralement des yeux. Valérie avait remis son peignoir mais en le laissant grand ouvert et régulièrement Mike posait son regard sur sa poitrine généreuse, ses tétons durcis et sa chatte avec sa toison soigneusement taillée. A un moment Mike a sorti son paquet de cigarettes et en a allumé une.

-Pierre, où est le cendrier?

-Je l’ai oublié, je suis désolé Maître. Je vais le chercher immédiatement.

-Trop tard, prends position !

Alicia ne fume pas et il m’est déjà arrivé une fois d’oublier de préparer un cendrier pour Mike. Je connais donc la sanction et je me suis agenouillé à ses côtés, la bouche ouverte pour recevoir les cendres. Le cendrier ce serait moi. Quand sa cigarette était presque terminée, il m’a fait tirer la langue et y a écrasé son mégot. Valérie s’est mise à rire quand il m’a dit d’avaler.

-Dis Pierre, tu sers aussi de poubelle?

-Si tu veux ma chérie, a répondu Alicia. Je t’ai déjà dit qu’il n’y avait pas de limites à sa soumission. Enfin presque pas, il ne faut quand même pas le mettre en danger. On est si content de l’avoir à notre service.

A la fin du repas Alicia et Mike ont décidé de faire une sieste. Valérie est allée chercher un bouquin et s’est installée au bord de la piscine. Je suis parti faire la vaisselle et puis nettoyer la voiture Mike. Une heure plus tard la sieste était visiblement terminée car on pouvait entendre les gémissements d’Alicia par la fenêtre laissée grande ouverte. Rien que à entendre ce qui maintenant devenait des cris, je savais que Mike était en train de la prendre par derrière. Alicia a toujours été anale et se faire enculer par le sexe de Mike provoque toujours chez elle une grande jouissance. Je suis certain, parce que je l’ai déjà vue faire, qu’à ce moment elle est en train de caresser son clitoris. Lentement car Mike est capable de la pistonner pendant un bon moment et elle prend plaisir à se faire jouir en même temps que lui.

-Pierre, viens ici, m’a crié Valérie.

-Mademoiselle?

-Viens me prouver que tu es doué avec ta langue, les cris de nos amoureux me rendent dingue…..je suis chaude comme la braise.

Je me suis agenouillé entre ses jambes et tout doucement j’ai commencé à lécher ses grandes lèvres. Ensuite j’ai rentré un peu ma langue dans sa chatte et j’ai commencé à titiller son clito. C’est vrai que Valérie était passablement excitée, elle mouillait beaucoup et me collait de plus en plus son sexe sur le visage. J’aurais bien voulu continuer ainsi pendant longtemps pour lui prouver que j’étais vraiment bon pour faire jouir une femme seulement avec ma langue mais elle n’en pouvait plus d’attendre. Avec une main elle m’a pris par les cheveux pendant qu’avec l’autre elle tordait ses tétons.

-Fais-moi jouir bon dieu. Maintenant.

Alors j’ai commencé à sucer son clitoris tout el la pénétrant avec trois doigts. En moins de deux minutes elle s’est cabrée violemment dans son fauteuil et n’a pas retenu un long cri rauque. Je l’ai laissée aller dans son orgasme et puis je me suis retiré doucement en caressant ses jambes et puis ses pieds avant de l’abandonner complètement.

-C’était bon Pierre mais je ne pouvais pas attendre plus longtemps… j’apprécierai mieux tes talents une prochaine fois.

-Merci mademoiselle.

Mike est redescendu seul une heure plus tard, visiblement Alicia avait besoin d’une sieste supplémentaire. Avant de repartir il a rejoint Valérie et ils ont repris leurs discussions. Tout en faisant le ménage je pouvais les voir et Mike s’était fortement rapproché de Valérie. Il lui caressait le bras, son autre main sur sa cuisse. Elle le laissait faire et puis posa elle-même sa main sur la bosse que son sexe faisait dans son pantalon et commença à la frotter lentement. Quelques instants plus tard le sexe de Mike était à l’air et Valérie a commencé à lui faire une fellation. Elle léchait la hampe et puis l’avalait goulûment. Elle la ressortait de sa bouche, prenait juste le gland et le suçotai avant de prendre de nouveau l’entièreté du sexe dans sa bouche et de ne plus arrêter un profond mouvement de va et vient. Arrivé au bord de l’explosion, Mike s’est dégagé et a balancé son foutre sur le visage et les seins de Valérie. Celle-ci s’est empressée de le ramasser avec ses doigts et d’avaler ce qu’elle pouvait récupérer. Ensuite ils se sont embrassés longuement et Mike est reparti chez lui. Je ne pense pas qu’Alicia se serait offusquée de cela puisqu’elle-même avait dit qu’elle voulait lui prêter Mike. Mais d’après ce que j’ai pu voir, il y avait eu plus qu’un moment de plaisir. Et l’avenir allait prouver que j’avais vu juste.

Chapitre 5 : La situation évolue dans une autre direction

Dans les semaines qui suivirent la situation évolua dans une direction bien différente.

Au début tout était assez stable : Valérie avait commencé sa spécialisation, Alicia contrôlait le ménage, Mike tenait son rôle d’étalon et moi gaziantep genç escort j’étais le parfait esclave du trio. Entre Alicia et moi il n’y avait pour ainsi dire aucun changement. Valérie par contre était devenue beaucoup plus exigeante et dure avec un ton très autoritaire. Si la préparation des repas ne me posait guère de problèmes, cuisiner pour 2 ou 3 cela ne change pas grand-chose, l’addition à mes tâches de faire sa lessive et son repassage, nettoyer sa chambre et sa salle de bain, l’entretien de sa voiture, faire ses courses, …faisait en sorte que parfois je devais négliger certains détails pour m’assurer que l’essentiel était fait. Et cela elle ne l’acceptait pas, elle voulait que tout soit tout le temps parfait. Sans doute une déformation de sa formation d’ingénieure.

-Pierre, tu as changé mes serviettes de bain?

-Pas encore mademoiselle.

-Je prends ma douche maintenant, va les chercher.

-Tout de suite mademoiselle.

Quand j’arrive dans sa salle de bain elle m’oblige à me mettre à genoux et de tenir à bout de bras ses serviettes. Elle se déshabille, mais une fois nue elle ne se rend pas sous la douche. Elle prend son téléphone, s’allonge sur son lit et commence à faire des appels. Au bout d’un quart d’heure, entre deux conversations, je lui demande si je peux déposer les serviettes et retrouver Alicia qui m’attend pour me donner la liste des courses.

-Je n’en ai rien à faire de la liste des courses de ma mère et tu n’avais qu’à terminer ton boulot convenablement. Même pas capable de se souvenir qu’il faut changer les serviettes de bain. T’es une petite bite, une larve et en plus tu deviens con. C’est pas vrai?

-Si mademoiselle

-Alors répète-le

-Je ne suis qu’une petite bite, une larve et je deviens con.

-Reste à genoux et viens ici.

Arrivé à sa hauteur elle m’asséna une série de paires de gifles, de plus en plus fortes, ma tête était vraiment secouée, et puis me cracha au visage.

-Rampe et entre dans la douche, sale larve.

Une fois arrivé, elle me rejoint et commence à me pisser dessus, terminant de se soulager en visant à propos les serviettes que je tenais toujours dans mes mains.

-Ramène-moi d’autres serviettes et bouge ton cul car si je dois t’attendre je mets tes fesses en sang.

Plus tard dans la soirée, alors qu’elles terminaient de dîner et que je faisais la vaisselle, j’ai entendu une partie de leur conversation.

-Dis Valérie tu y vas un peu fort avec Pierre, tiens compte qu’il a pas mal travail en plus.

-Tu déconnes ou quoi? Il n’a qu’à bouger son cul. Moi je trouve que tu deviens trop facile avec lui. Si c’est une larve soumise, il faut le traiter comme telle.

-Mmmmh, peut-être… je voulais aussi te dire pour Mike ..

-Quoi Mike? Cela te dérange que je baise avec lui, qu’il passe parfois en semaine quand je n’ai pas cours et qu’on s’envoie en l’air? Tant pis pour toi. J’aime sa grosse bite et lui adore visiblement une jeune chatte et un petit cul bien ferme, ce qui n’est plus le cas pour toi.

-M’enfin Valérie, tu entends comme tu me parle …

-Et alors? Il est temps que tu voies les choses en face. Et si tu ne me crois pas tu n’as qu’à en parler avec Mike. Tu devrais être heureuse que j’accepte qu’il passe encore un peu de temps avec toi. D’ailleurs à partir de maintenant, tu devras me demande l’autorisation pour pouvoir coucher avec lui. Et en fonction de ton attitude, je verrai. Si lui il a envie de se torcher dans tes vieux trous, c’est comme il veut. Mais je lui demanderai d’envoyer plutôt ses copains.

-Valérie je ne te permets pas…

A ce moment j’ai entendu ce qui était certainement une paire de gifles. Aussi fortes que celles que j’avais reçues en fin de journée.

-Tu ne m’interdis rien du tout. Puisque tu deviens faible, je vais te mettre à ta place. Et excuse-toi immédiatement !

– Ecoute Valérie…

Et deux autres paires de gifles qui volent…. A ce moment je m’étais approché de la porte vers le salon et je pouvais voir la scène.

– Mets-toi à genoux et excuse-toi bordel !

Alicia s’est agenouillée et en pleurs a dû bredouiller des excuses que je n’ai pas pu comprendre.

-Lève-toi, baisse ta jupe.

Valérie a alors passé une main dans le string d’Alicia.

-Vieille salope tu mouilles ! J’en étais sûre. Tu aimes humilier Pierre mais cela te fait mouiller quand je te donne une correction. Cela t’excite de prendre des coups? Tu vas être servie …

-Non Valérie, je t’en prie…

-Dis-moi que tu en veux encore.

-Je t’en supplie..

-Dis-le moi ou bien tu ne verras plus jamais la bite de Mike.

-Oui j’aime les coups et cela me fait jouir. Punis-moi encore mais ne me prive pas de Mike.

-Ce sera sa décision. Maintenant à poil !

Bien vite, toujours en larmes, Alicia s’est retrouvée nue aux pieds de sa fille. La honte remplissait son visage et son corps. Elle pleurait, elle tremblait, elle se rendait compte qu’elle avait mis les gaziantep gerçek resimli escort pieds dans un engrenage très dangereux. Valérie a alors commencé à frapper les seins d’Alicia, des gifles et des coups de poings.

-Je vais éclater tes mamelles, et puis les étirer. On va te mettre de gros anneaux et tes tétons vont pendre jusqu’à ton nombril.

-Oui Valérie, oui s’il te plaît..

En disant cela Valérie continuait de frotter le clito de sa mère qui bien vite ne put s’empêcher de jouir dans un long râle de plaisir et de honte mélangés.

Valérie avait ainsi mis à jour le côté maso et refoulé de sa mère. Une nouvelle hiérarchie s’était mise en place : Valérie à la tête, sa mère à ses ordres et moi esclave des deux. Il ne restait plus qu’à voir quelle place Mike allait prendre. Valérie avait bien entendu informé Mike de la situation et j’avais pu entendre une partie d’un appel que Valérie avait passé en laissant le haut-parleur ouvert.

« -Et donc malgré les coups elle a joui comme une folle.

-Tu sais que cela ne m’étonne qu’à moitié. J’avais déjà remarqué que plus je la prenais violemment, et plus elle jouissait. Et si je lui donnais quelques claques sur ses fesses, elle partait encore plus vite. Mais je ne pensais pas que cela pouvait aller aussi loin.

-Une vraie maso je te dis.

-Très intéressant, je vais organiser quelque chose pour samedi. »

Les jours suivant de nombreuses discussions en privé ou au téléphone entre les 3 protagonistes eurent encore lieu. Et à voir la tête d’Alicia, ce n’était pas à son avantage. Résultat des courses, je prenais tout dans la gueule. Je me faisais engueuler par Alicia qui passait ses frustrations sur mon dos et par Valérie qui tous les jours voulait asseoir son autorité et pour cela prenait un malin plaisir à contredire les ordres que sa mère me donnait. Alicia voulait que j’aille faire les courses, Valérie m’envoyait nettoyer le garage ; je devais faire le ménage, on m’envoyait faire les courses ; prêt pour tondre la pelouse, j’étais renvoyé à la cuisine. Heureusement que 3 jours par semaine Valérie avait ses cours, au moins la journée était plus calme. Mais c’est à ce moment qu’Alicia se rattrapait et m’en faisait voir de toutes les couleurs. Je n’ai jamais pris autant de coups de cravache qu’à cette époque. Enfin, la samedi suivant, Mike, qui avait suivi toutes ces péripéties à distance mais sans en perdre une miette grâce aux appels téléphoniques et aux emails, est venu remettre de l’ordre. Il n’est pas arrivé seul, il était accompagné de deux grands blacks, des hommes superbes.

-Bon, il me semble qu’il est temps de clarifier la situation ici. Alicia tu vas partir jusque samedi prochain avec John et Louis. Il semble qu’il soit nécessaire pour toi de montrer ta vraie personnalité et ces messieurs vont t’aider à le faire. Ils te ramèneront ici vendredi prochain et on verra ce que l’on fait de toi. Pierre, tu vas lui chercher un jeans, un pull et sa trousse de toilette, tu as deux minutes.

-Mais Mike je ne vois pas …

-Silence Alicia ! C’est moi qui décide. Mais que ceci soit déjà clair pour toi : pendant le reste de son séjour ici c’est Valérie qui sera dans mes bras et dans mon lit. Elle a raison, j’ai envie d’une jeune fleur avec moi. Et puisque toi tu as besoin d’être dressée, tu vas être servie. Et à partir de maintenant, tu m’appelleras aussi « Maître » et ce sera « Maîtresse » pour Valérie. Ok les gars vous pouvez l’embarquer, vous avez vos consignes et vous savez me joindre si nécessaire.

Pour toi Pierre, les choses sont simples : ta nouvelle maîtresse c’est Valérie et moi je reste ton maître. Tu continues à obéir et à exécuter les ordres. Mais je te préviens que nous allons être beaucoup plus exigeants et les punitions extrêmement sévères. Et on va tout de suite commencer à repartir sur de bonnes bases, va chercher les cannes et le fouet, il a trop longtemps qu’on ne s’en est pas servi. Et déshabille-toi. Je veux que tu sois à poil du soir au matin sauf si on te donne l’autorisation de t’habiller.

Quand je suis revenu avec de quoi me punir, Mike avait été chercher la corde pour m’attacher. Il m’a lié les chevilles et puis les poignets avant de m’accrocher à la poutre de l’auvent qui couvre une partie de la terrasse. Alors il a demandé à Valérie de lui passer son slip, il me l’a mis dans la bouche et fixé avec de l’auto-collant brun comme on utilise pour fermer des caisses.

-Les voisins sont loin mais on ne sait jamais.

Ceci n’était pas pour me rassurer. J’ai très rarement été battu par Alicia, et si c’était suffisant pour me faire mal, cela n’a pas provoqué des cris qui auraient pu déranger qui que ce soit. La seule fois où j’ai été bâillonné c’est parce qu’elle avait voulu qu’une dominatrice professionnelle me punisse pour que je comprenne les limites à ne pas dépasser, le bâillon avait été bien nécessaire.

-Valérie tu commences avec les cannes, quinze coups avec la plus souple et puis quinze avec une plus raide. Vise bien ses fesses.

Si les deux premiers coups m’ont surpris, ils n’étaient pas trop appuyés. Mais Valérie a vite eu le tour de main et les autres coups ont commencé à me faire mal et je ne pouvais m’empêcher de gémir. Après la première série de quinze elle a fait une pause et, déjà en transpiration, en a profité pour enlever son chemisier et son soutien. Elle est venue se planter devant moi et m’a mis sa magnifique poitrine sous les yeux.

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The loud banging on the front door awoke Katie from her deep sleep she pulled the curtain slightly open and could see a courier van in the driveway. Katie put on her dressing gown and walked to the front door peering through the peephole, standing on the porch was a young man in a FedEx uniform.

“Who is it?” Katie inquired.

” I have a delivery for a Miss Katie Fitzgerald.” Replied the courier.

“Just leave it by the door.” Katie asked.

“Cant do that Maim I need a signature.” Demanded the courier.

Katie slid the security chain from the door, unlatched the deadlock, and then opened the door. The courier looked directly at Katie’s cleavage her pert breasts slightly exposed, she quickly scrunched the front of her dressing gown hiding any exposed flesh. The courier removed his attention from her cleavage and pushed his folder at Katie motioning where she needed to sign, he smiled and turned on his heels turning around as he reached his vehicle.

“You have a nice day now.” He announced.

Nice day thought Katie, my Saturday morning sleep in disrupted by some smart pervert courier guy with that she headed into the kitchen throwing the parcel onto the bench and flicking the kettle on. It was not long before Katie was sitting outside on the decking enjoying her hot coffee. Katie felt the warmth of the morning sun on her body and she allowed the top her dressing gown to slightly open permitting its rays to greet the smooth skin of her pert breast’s she titled head back a little forcing her breasts outwards enjoy it’s touch.

Katie sipped at the last of her coffee and headed back inside to make another cup; whilst she waited for the kettle to boil, she glanced at the parcel and picked it up giving it a shake, Katie made her coffee and returned outside with the parcel. Katie ripped the bag open and tilted the parcel shaking it’s contents onto the table, the brown package dropped and a tiny white piece of paper floated down onto the ground, Katie leant down picking up the paper it simply read ENJOY.

Katie quickly tore away the plain brown wrapping to discover someone had sent her a sex toy; her immediate reaction was to drop the box back onto the table as if it had some danger element to it. She picked up the FedEx bag looking for a sender’s name one could not be found. Katie gulped her coffee staring intently at the sex toy, as she tried to think who would send her such a thing.

It wasn’t the fact that it was a sex toy that made her feel slightly disgusted it was the fact someone thought she needed it, perhaps it was that slimy young courier, her commonsense took control as she had never met the courier guy before he was just doing his job she told herself. Katie picked up the box and headed into her bedroom grabbing the cordless telephone along the way, her initial reaction was to ring all her friends and ex boyfriends and interrogate each one until she was able to reveal the sender, it was still early and she knew none of them would probably be awake or answer their phones.

Katie’s curiosity eventually got the better of her she picked up the box and studied it. The Sensational Woman’s Wonder Toy the title touted, Katie smiled this will be good she cynically said to herself as she opened the box and shook the contents onto the bed. Katie giggled out loud as the flaccid latex seks hikayeleri dildo slinked out onto the bed amused at how it looked like a giant worm.

Katie opened the instruction book.

Step one press button one on the remote control before inserting into vagina.

Katie pressed button one and the dildo started to self inflate stopping once it had slightly hardened.

Step two insert Dildo fully into vagina leaving cord at base outside for easy removal of Dildo and press button two on the remote control.

Katie pressed button two and watched as the dildo inflated to it’s full nine inches and it’s girth widen to two inches, once the dildo had hardened Katie noticed that the dildo had thick ribs an inch apart increasing in size along the shaft of the toy, the cord at the base now prominent with it’s fluorescent pink tiny nodule end

Step three once dildo is fully inserted into vagina press button three on the remote, this will secure dildo in place.

Katie pressed button three and the base of the dildo inflated a large ring like rib about four inches in diameter, Katie picked up the dildo and examined it she felt gentle pulses against her palm emanating from it.

Step four once satisfaction has been reached press button four on the remote control, and remove dildo-using cord attached to the base.

Katie pressed button four on the remote control and the dildo instantly became flaccid, just the same as a man she giggled to herself. Katie felt warmness in her pussy; she put her hand against her pussy and was surprised by it is wetness,

Katie removed her dressing gown and laid down on the bed, she ran her hands across her smooth breasts and over her nipples her touch making them stand to attention she parted her legs and gently stroked her silky inner thighs with her hands. Katie parted her pussy lips with her finger sliding up and down the entirety of her pussy with ease.

She looked over at the dildo next to her and pressed button one on the remote control the dildo slightly inflated. Katie picked up the dildo and slid into her tight hole, she then pressed button two and the dildo started to enlarge Katie pushed the dildo completely inside her, struggling to keep it inserted as each reached it’s full nine inches and spread her pussy wide with it’s thickness. Katie opened hers legs as wide as she could and pushed the dildo in deep quickly pressing button three, the base of the dildo grew in size and Katie felt uncomfortable as the dildo stretched across her opening.

Katie’s first reaction was to pull on the cord to remove the dildo, however it would not budge and she then remembered the instructions, pressing button four on the remote control, she waited a few seconds for the dildo to deflate which it didn’t, she pressed the button again and nothing happen.

Katie started to panic she wanted this thing out of her and started to worry how she was going to achieve this and then in a moment of clarity she got up and walked to kitchen with some difficulty as the large object inside made moving quickly an impossibility, she opened the top draw and rummaged around for a packet of batteries she found them and hastily opened the packet and replaced them with the ones in the remote control.

Katie calmed down feeling gaziantep şişman escort a little silly about the logical answer to her predicament she pressed the button on the remote and waited, once again nothing happened and fear again raced through her mind. Katie went back to the bedroom and read the instructions hoping she had not followed them correctly, she went through each step one by one and then reversed them and then in frustration continually pressed and held down buttons, still nothing happened. Katie noticed a sentence in small print on the booklet.

Please note dildo will self deflate in thirty minutes of operation, if satisfaction has not been achieved simply repeat steps one through to three again.

Katie let out a sigh of relief, I just have to wait thirty minutes and be done with it she thought she took looked at her watch and took note of the time. Katie sat upright on her bed trying to comfortably position herself, fluffing up pillows and placing them behind her trying to find some relief from the fullness of the dildo deep inside her. Once she had found a position that gave her some relief she picked up a book and started to read, her concentration only lasted a few minutes as the dildo pulsed inside her pussy.

Once again, Katie became agitated, what happens if this thing inside me does not deflate, she thought. Katie walked back into the kitchen and started to pace back and forth, trying to think of the alternatives if the dildo did not deflate would she call a friend or drive straight to the hospital, she became angry at herself for her own stupidity what was she thinking when she did this.

Katie glanced at her watch twenty minutes to go, crap she thought and with that Katie plunked her self down onto the kitchen chair, the dildo pushed deep inside her pussy forcing Katie to involuntarily stand up grabbing the table with both hands to prevent her losing her balance.

“Fuck.” Katie screamed out aloud.

Katie took a moment to catch her breath and then gently and slowly sat back down she cupped her pussy with her hand trying to relief the pain she had just encountered. Katie could not believe how wet and swollen her pussy was, with all the panic and distress in Katie’s mind the dildo was still working its magic on her pussy.

Katie took a moment to sit still to feel the vibrations deep inside her hot cunt, the more calmness she felt the more intense the vibrations seemed to become. Katie’s released the tight grip of her cupped hand and slid her finger along her pussy feeling her hardened clit and then down circling the rim of her stretched hole. Katie felt pleasure for the first time since she had inserted the dildo some ten minutes before, her mind and body finally in unison with each other.

Katie opened her legs as wide a she could and slowly pushed her pussy hard down onto the seat forcing the top of the dildo to touch her deeper inside than she had ever felt before. The tip of the dildo pulsated against the top of Katie’s cunt and she felt her swollen clit throb against the polished wooden seat. Katie grabbed the edge of the dinning room table with clenched fists as her hips rocked back and forth, her back arched pushing her body forward on the chair as her orgasm screamed through her body, the sensation gaziantep sınırsız escort of her clit throbbing against the hard surface sent another fiery orgasm through her.

Katie slowly released her grip on the table as her body calmed down and after a few moments, she stood up, gingerly as her knees still trembled from the intensity of the dildo’s pleasure. She glanced at her watch she could not believe that only five minutes had passed and that she still had to wait another fifteen minutes before the dildo would supposedly deflate she pressed the button on the remote once again with no result. Katie finally succumbed to the fact she would have to wait out the time and hope that the dildo would comply with the manufacturers statement and deflate.

Katie felt the sudden urge to pea the effects of the morning coffees and the large dildo inside her put pressure against her bladder. Katie sat down on the toilet just in time as her gold fluid released itself, the quickness of the flow and the relief of fullness within her bladder sent a strange feeling through her body, and once again the pulsating of the dildo became prominent.

Katie decided to lie down on her bed eager to drift off to sleep making the time pass quicker and to hopefully wake up with the dildo deflated inside her. Katie closed her eyes trying to ignore the pulsation deep with inside her swollen tender cunt. She rolled over on her side thinking that the rhythm in her pelvis would be less exaggerated to her dismay it didn’t, her position made the dildo move inside her and put uncomfortable pressure against the left wall of her vagina, she returned to lying on her back.

Katie placed her hand between her legs, touching her drenched pussy in an attempt to give some comfort to her engorged clit and swollen pussy lips, she gently caressed her fingers along the inside of her sticky lips, and momentarily felt relief from her touch. The fullness of the dildo inside Katie’s pussy had kept her clit from it’s cover pushing it out to it’s fullest extent, exposing it’s sensitivity for the last twenty minutes, Katie ran her finger around the edge of her hardened clit trying to avoid any direct physical contact, she was sexually exhausted and believed her body could not reach another orgasm.

Katie moved her finger down to her stretched filled hole and traced the edges of it, her finger gliding easily around soothing its taught ness. Katie’s finger entwined with the cord attached to the base of the dildo and she grabbed it with her finger and thumb and enjoyed the feel of the nodule tip. She placed the tip against her hard clit applying gentle pressure with her thumb, Katie’s hips lifted of the bed briefly from its touch, allowing Katie to slide her other hand underneath her buttocks and push the dildo in as deep as she could take into her cunt.

Katie stroked the nodule tip against her clit the ends of the silicone nodes fondling every part of her swollen sensitive pink love button, Katie felt her pussy muscles tense around the huge long dildo, she felt her clit start to thump and her pussy muscles contract. Katie fingered her clit faster and faster her pussy responded contracting quicker and quicker around the dildo, finally Katie’s back arched pushing her pert tits upwards her body lunging forward out of control as wave after wave of pleasure filled her pussy as multiple orgasms exploded within her, finally Katie spent and exhausted drifted off to sleep.

The loud banging on the front door awoke Katie from her deep sleep she pulled the curtain slightly open and could see a courier van in the driveway; she sheepishly looked around for the dildo, and could not find it.

Had it all been a dream?

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La « Lancenoir » 05

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Brunette

Dans les épisodes précédents :

Léa, suite à un quiproquo devient la petite amie d’Amadou. En conséquent, ce dernier se rend chez les parents de sa nouvelle conquête pour se présenter. Mais, ceux-ci font preuve de peu d’enthousiasme à ce qu’un noir fréquente leur fille, ils parviennent cependant à un accord. Que Léa devienne membre de la tribu de la « Lancenoir » et Amadou acceptera de la laisser à un autre. Mais pour devenir membre de cette tribu certains rituels sont exigés, le premier est que la famille de la jeune fille assiste à l’accouplement des deux jeunes tourtereaux, et voilà qu’Amadou porte Léa jusqu’au lit parental…

Après s’être débarrassé de son « fardeau » sur le lit, Amadou regarda autour de lui. La chambre était on ne peut plus sobre : un grand lit avec des couvertures à motifs géométriques, une armoire et une bibliothèque Ikea, d’épais rideaux aux fenêtres, rien ne transpirait un quelconque érotisme, on ne devait se coucher dans cette chambre que pour dormir.

« Alors c’est là que vous faites vos saloperies? Pas très bandant… Pourtant, je suis que Madame est une grande amatrice de cochonneries. Où vous planquez vos sex-toys?

— Je n’ai pas de gadget!

— Alors je suis sûr que Monsieur doit être fort occupé pour combler une cochonne comme vous.

— Je ne suis pas…

— Oui, oui, je sais… Vous êtes du genre bien propre sur vous, mais dans votre petite caboche alors là, vous êtes une grosse perverse. Et je suis sûr que votre fille est pareille, on peut la croire toute pure, mais elle a plein d’immondices dans sa tête. C’est pas vrai? »

Mais la fille était surtout affolé à l’idée que ses parents puissent la voir en train de se faire posséder charnellement par Amadou, aussi tenta-t-elle timidement de le dissuader :

« Amadou, on peut pas faire ça devant mes parents…

— Tais-toi et retire ta jupe. »

Léa hésita, mais finit par obéir. Elle fit lentement glisser sa jupe sur ses jambes, pas par lubricité, mais parce qu’elle ne voulait pas quitter ce dernier morceau de tissu qui la protégeait. Sa toison pelvienne apparaissant à son grand désespoir à mesure qu’elle se débarrassait de sa jupe, elle n’avait rien en dessous et elle laissait voir son minou à ses géniteurs et à son amant. La pauvre à demi nue avait devant elle un colosse grimaçant et juste derrière lui, ses parents inquiets.

« Amadou, je t’en prie…

— Toi, ferme ta gueule. Combien de fois il va falloir que je te le dise! Et écarte les jambes plutôt que de geindre! »

Léa obéit sans plus rien à dire. À quoi bon… à chaque mot qu’elle sortait, elle se faisait rembarrer par Amadou, et ses parents étaient tellement gênés de la situation qu’ils n’osaient rien dire. Elle s’allongea donc sur le dos, évitant de regarder son père et sa mère, et elle ouvrit les jambes pour montrer sa fente.

« Qu’est-ce que vous pensez de sa boîte à jus? demanda Amadou. Approchez-vous! Ça doit faire un bail que vous ne l’avez pas vu. Maintenant elle est pleine de poils, enfin heureusement pas trop ; elle se rase la foufoune comme une vraie salope, hein? Toujours prête à se faire saillir par une grosse queue noire. Allons, avancez-vous! Vous ne voyez rien d’ici. »

Les parents toujours serrés l’un contre l’autre, pour se donner courage, obéirent. Ils virent leur fille vêtue d’une simple chemisette, les jambes ouvertes en position pour se faire pénétrer.

« Alors, redemanda Amadou. Qu’est-ce que vous en pensez? »

Les parents gardaient le silence, bien trop embarrassés pour dire quoi que ce soit. Amadou se pencha sur Léa et lui effleura le clitoris, passa ensuite son doigt sur sa fente avant de la porter à son nez. Puis il présenta son doigt sous le nez de Jean.

« Elle est bien mouillée, non?

— C’est… Vraiment…

— Alors qu’est-ce que vous en pensez? »

Jean, dut prendre sur lui, il voulait en finir en vitesse, il dit la première chose qui lui venait à l’esprit :

« Elle est jolie?

— Tu entends ça, Léa? Ton père trouve que tu as un minou qui lui donne la trique. Comme c’est mignon… Vous autres, les blancs, vous êtes quand même une sacrée bande de pervers, des homos ou des pères qui veulent se taper leur fille. Que des vicieux. Et vous, Madame, vous ne devez pas être en reste. Une MILF comme vous, vous devez aller voir ailleurs, je suis sûr. Les petits jeunes que votre fille amène à la maison, vous goûter leur sucre d’orge quand personne ne regarde, non?

— Certainement pas!

— À d’autres! Avec votre tailleur sexy, vous pourriez aussi bien avoir “pute” écrit sur le front. Vous ne me ferez pas croire que vous ne vous retrouvez pas sous le bureau de votre patron en train de lui astiquer le manche… Mais revenons au berlingot de votre fille, vous le trouvez mouillé vous?

— Euh oui…

— Forcément, rien que d’imaginer ma bite, elle est en chaleur, mais elle pourrait l’être nettement plus, non? Madame quand vous vous apprêtez à vous faire mettre, vous mouiller comme une huître juteuse? J’imagine que vous ateşli gaziantep escort avez les lèvres gonflées, vous vous pâmez comme une salope… Et là, vous avez l’impression que votre fille se pâme?

— Non.

— Alors qu’est-ce qu’elle doit faire?

— …

— Allons, vous avez quelques années d’expérience de plus qu’elle donc vous êtes une bien plus grosse salope, c’est évident. Vous pouvez lui donner des conseils. Que doit-elle faire pour être bien chaude avant que je lui enfonce mon manche?

— Mais! Mon Dieu! Vous êtes vraiment immonde…

— Restez poli, je vous prie! Et concentrez-vous, elle doit se br…? proposa Amadou… Se bran… allons, essayez de deviner.

— Se branler, gémit le père.

— Ah! Voilà, tu entends ton papa, Léa? Quand je t’annonce que tu vas te faire baiser, tu dois te masturber jusqu’à ce que tu sois humide comme une fontaine. Et comment doit-elle faire ça, Madame?

— Moi… mais… il faut… les doigts… vous savez bien!

— Eh bien, tu as entendu ton papa et ta maman, Léa? Alors qu’est-ce que tu attends? »

Et Léa, devant les commandes données par sa famille, commença à introduire quelques doigts dans sa fente baveuse. Amadou regarda cette fille de bonne famille se masturber quelques minutes devant les yeux éberlués de ses parents. Puis, lorsqu’elle commença à vraiment prendre du plaisir, il l’interrompit :

« Maintenant, retire-moi mon froc! »

Aussitôt Léa cessa ses activités un peu trop impudiques et referma immédiatement ses jambes. Elle allait s’occuper du jean d’Amadou mais celui-ci lui ordonna d’y mettre les formes :

« À quatre pattes, salope! lève bien le cul, montre-le à tes parents! »

Léa hésita, Amadou lui demanda donc

« Tu sais pourquoi je veux te voir à quatre pattes?

— Non.

— Tu me causes comme à un chien ou quoi? Si tu me parles, tu me sers du “Monsieur”.

— Non, Monsieur, je sais pas.

— Ta salope de mère doit savoir. »

Cette dernière ne s’offusquant même plus des insultes… Elle aurait tout de même préféré rester bouche close, mais sous le regard imposant d’Amadou elle se sentit obligée de lui donner satisfaction en répondant :

« C’est plus sexy.

— Voilà, on voit la bonne pute qui connait son affaire… Oui tu montres à ton maître que tu es une chienne, une trainée bonne à baiser. Une femelle comme toi n’a pas besoin de savoir marcher sur deux jambes. Elle doit juste savoir comment dresser son cul en l’air!

— En France les femmes sont libres, se formalisa Jean.

— Je ne dis pas le contraire. Elles sont libres de choisir par quelles queues elles veulent se faire mettre. Mais à la fin elles se font toujours baiser par une queue de noir… Pas vrai gros cul, » dit-il en fichant une claque sur le cul de Léa.

Celle-ci ayant fini de présenter son cul, se retourna, toujours à quatre pattes sur le lit, la tête au niveau de l’entrejambe du grand noir et défit l’épaisse ceinture en cuir avec un gros ceinturon.

« Donne la ceinture à ton père. Il pourra l’utiliser sur ton cul si tu ne te montres pas assez bonne baiseuse. »

Et avant que Jean puisse refuser, il ajouta :

« Si vous ne vous montrez pas assez juste et sévère quant aux talents de votre fille au lit, c’est moi qui la fouetterais et j’ai bien plus de force que vous. »

Léa à moitié nue offrit donc la ceinture à son père. Puis elle enleva le jean d’Amadou, et fit descendre son slip. Les parents glapirent de surprise devant l’énormité de ce qui se présentait à leurs yeux

« Qu’est-ce que! »

Et la mère : « Mon Dieu! C’est impossible! »

Et le père : « C’est donc ça la lance noire… »

« Eh oui! Et elle n’est pas encore tout à fait bandée! Léa, fais-moi une branlette espagnole pour faire durcir tout ça, montre à tes parents le morceau de choix avec lequel tu vas te faire mettre.

— Une quoi? demanda Léa

— Mais cette femelle ne sait rien! Qu’est-ce que vous lui avez appris toutes ces années? Madame, expliquez-lui!

— Euh… Une branlette espagnole c’est quand tu mets le pénis du monsieur entre tes seins et que tu lui branles le sexe comme ça.

— Vraiment comment peut-elle ignorer ça?! Surtout avec les gènes de vache qui courent dans la famille. Madame est plantureuse comme une actrice de porno, et votre cadette, Mamamia! Ce n’est pas des seins qu’elle a, c’est des pastèques!

Léa retira sa chemisette, exposant ses seins qui, pour être les plus petits de la famille, n’en faisaient pas moins la taille de grosses mangues, et elle tenta de faire glisser le long tuyau noir en train de durcir entre ses seins. Les émotions se mélangeaient. Léa était honteuse du spectacle qu’elle offrait, tout en se souvenant avec délectation du plaisir qu’elle avait éprouvé quand cette bite de cheval l’avait possédée. Hélène et Jean étaient époustouflés par cette bite, suffisamment pour oublier un instant qu’elle faisait des va-et-vient entre les seins de leur fille.

Amadou bakımlı gaziantep escort sentait avec plaisir la jeune fille serrer ses seins autour de sa bite. Avoir une gonzesse qui utilisait ses grosses loches pour lui donner du plaisir était toujours un incomparable bonheur. Une femme ne sait pas bien branler une queue avec ses mains, le rythme ne va pas, la queue est trop serrée, ou elle fait des mouvements trop violents, alors qu’entre ses seins… On profite de la douceur de leurs rondeurs graisseuses, et on y lézarde avec la satisfaction de se savoir notre membre aussi bien entouré. Aussi Amadou fut-il assez mécontent quand il sentit le mouvement progressivement ralentir jusqu’à cesser tout à fait : Léa avait pris peur. Devant la bite qui lui arrivait maintenant devant le visage, elle était comme hypnotiser par le gland qui trônait entre ses deux yeux.

Amadou avisa le père de l’inefficience coupable de sa fille bien aimée :

« Qu’est-ce que vous attendez! Vous voyez bien qu’elle a arrêté de me branler, fouettez là! Ou faut-il que je le fasse à votre place? »

Le père n’eut pas le choix ; il se rappelait la menace d’Amadou, soit il infligeait lui-même le fouet à sa fille, soit Amadou s’occupait de la châtier avec toute la puissance de ses muscles. Bien à contrecœur, et même bouleversé de devoir lui infliger ce châtiment, il se mit à exécuter l’ordre terrible. Il leva la ceinture et la fit chuter sur le corps nu de Léa.

« Ahhhh!! »

Même avec toute la mollesse que son père y avait mise, Léa sentit la lanière en cuir lui frapper le dos, lui causant un brutal rappel à la réalité. Quelque dix secondes plus tard, elle sentit un second coup lui arriver dessus. Cette fois un peu plus fort et laissant une marque visible pour quelques jours. Léa regarda derrière elle avec des yeux de chiens battus, elle put observer son père brandissant la ceinture en l’air prêt à la cravacher. Elle se sentait malheureuse, son père ne l’avait jamais frappé. Pas une seule fois ses parents ne lui avait infligé une claque ou une simple fessée, au pire on l’avait privée de dessert, et voilà qu’à son âge elle se faisait marquer à la ceinture. Et pas parce qu’elle avait eu un zéro en cours, ou s’était montrée insolente, mais parce qu’elle n’était pas capable de branler correctement un noir…

Elle serra ses seins bien fort autour du sexe d’Amadou et recommença à frotter ses nichons de bas en haut contre le gros manche. Il était passé de la taille d’un gros joystick, à celui d’une batte de base-ball. Et rien ne semblait indiquer que sa croissance était terminée.

« Mon Dieu, on dirait un cheval, susurra Hélène. C’est plus qu’humain… »

Jean eut un frisson en entendant sa femme s’exprimer ainsi. Il savait parfaitement identifier l’état d’esprit de sa femme au timbre de sa voix, et il reconnaissait le ton : elle ne faisait pas que constater, elle était excitée.

« C’est tellement énorme… » ne pouvait-elle s’empêcher de commenter.

Amadou jeta un œil sur la mère de famille. Lui aussi entendait dans sa voix le son d’une chatte en chaleur, et d’ailleurs sans même s’en rendre compte, la maman avait inconsciemment posé une main sur son sein qu’elle caressait. Amadou était flatté que le spectacle de sa bite dans toute sa gloire fît un tel effet. Mais il était temps de passer aux choses sérieuses, il s’adressa donc à sa proie :

« Aller sur le dos, les pattes écartées, femelle. »

Léa obéit. Elle commençait à avoir le tournis avec cette bite qui lui passait entre les deux yeux. Elle se demandait jusqu’où elle pouvait monter. Elle reposa son dos contre le matelas et les draps de ses parents, et ouvrit les cuisses devant son amant.

« C’est écarté ça?! Je ne veux pas être gênée par tes mollets quand je te baise! Madame, Monsieur, tenez les jambes de votre fille. Ma bite est large et il lui faut une bonne ouverture. »

Jean et Hélène se regardèrent embarrassés… Certes ils voulaient être le moins actif possible dans la copulation de leur fille, mais ils voyaient la bite monstrueuse et se devaient d’agir pour éviter que leur ange chéri ne soit sauvagement labouré. Peut-être pouvaient-ils faire en sorte que la pénétration se déroule sans heurts. Ils prirent l’un le pied droit, l’autre le pied gauche, lui écartant amplement les jambes pour que la cramouille de leur fille soit facilement accessible au gourdin noir. Une fois ses ordres suivis, Amadou avait devant lui une chatte bien ouverte à défoncer, et dégoulinante. Léa devant le spectacle de cette énorme tige turgescente avait réagi comme un animal : instinctivement. Sans se soucier de la présence de ses parents, elle mouillait comme un jour de pluie.

Amadou entra lentement dans la fente juteuse, enfonçant d’abord son mandrin à mi-longueur. Ce fut assez pour que Léa crut qu’on lui ouvrait le ventre. Amadou retrouvant un habitat bien plaisant pour sa queue commença à s’occuper à prendre son pied. Il ne tint plus compte des cris de bayan escort la femelle et commença à exercer des va-et-vient puissants.

Madame tenant un des pieds de sa fille, sentit le choc quand l’anaconda s’enfonça dans le minou de sa fille. Et elle ne fit pas que sentir, elle entendit Léa hurler comme si elle était seule au monde! Incapable de se contenir, la mouille inondait le lit. Madame elle-même fut prise de jalousie. Elle avait presque quarante-cinq ans, elle était belle et n’avait jamais connu une jouissance telle que le manifestait sa fille. Elle voyait le chibre marbré pilonner la chatte de fille avec une force, une vitesse qui avait de quoi la faire défaillir. En observant cet accouplement bestial, elle oublia qu’elle était mère, oublia l’inconvenance de voir sa fille se faire défoncer, elle se mordait les lèvres de désir quand…

« Un préservatif! Il faut un préservatif! » cria son mari.

Amadou se retourna vers lui et se mit à rire comme un forcené.

« Une capote?! Mais mon vieux, tu en as de bonnes toi! Les capotes pour des bites à ma taille ça n’existe pas! Où il faut en commander sur des sites spécialisés! Mais ne t’inquiète pas. Je ne baise que des femelles saines. C’est pas avec moi qu’elle va tomber malade…

— Mais si elle tombe enceinte?

— Et bien, son gosse aura une grosse bite, je peux te l’assurer. »

Et, disant cela, il lui en remit un coup de mandrin.

« Mais ce serait un enfant noir… C’est hors de question!

— Bon… si tu tiens tant à ce qu’elle ne se retrouve pas en cloque, on peut arranger quelque chose. Et puis tu as peut-être raison, je veux pas avoir un chiard d’une gonzesse qui n’est pas encore de la tribu. D’autant qu’avec le sperme que je décharge, il faudrait un miracle pour qu’elle ne se retrouve pas avec un petit nègre dans le tiroir-caisse.

— Tu as entendu? Amadou veut bien arrêter de te faire l’amour, mon chou, » affirma sa mère qui trouvait injuste que sa fille ait le droit de connaître un plaisir aussi intense.

Léa était loin d’être aussi contente que sa jalouse de mère. Elle était à deux doigts d’atteindre un nouvel orgasme et voilà, que ses parents l’ennuyaient pour des précautions dont elle n’avait que faire. Renoncer à ce plaisir était quand même bien décevant.

Les deux parents regardèrent Amadou retirer son énorme engin de la chatte de leur fille. Quand il en sortit le gland, Léa poussa un gémissement se sentant le corps vidé, tandis que sa chatte complètement déformée tentait tant bien que mal de se refermer.

« Putain! Mais quelle salope, hein? Allez, retourne-toi, morue. »

Mais Léa était bien trop épuisée pour bouger

« Vous voyez, à peine quelques coups de pines et c’est H.S, faudra qu’elle boive plus de jus de couille, ça donne de la force… En attendant, Monsieur, forcez là à obéir! »

Jean fut obligé d’avoir recours à de nouveaux coups de ceintures pour que Léa trouve la force de bouger. Mais encore fallait-il qu’elle trouve la bonne position…

« Cambre tes fesses mieux que ça, ordonnait Amadou, forçant Jean à fouetter une nouvelle fois le postérieur de sa fille. Plus vite que ça! »

Finalement, lorsque le cul de Léa se trouva bien en hauteur, Amadou se dirigea vers elle, la bite toujours dressée…

« Mais, qu’est-ce que vous faites?! s’inquiéta Jean qui craignait avoir deviné sur l’objectif visé par Amadou.

— Eh bien, je ne la mets pas enceinte!

— Oui… mais…

— Voyons un peu ce que vaut ce trou du cul…

— Mais que comptez-vous faire?!

— L’enculer bien sûr!

— Mais c’est impossible! s’exclama Madame, rougissant fortement. Votre bite est bien trop grosse!

— Ah ça, elle va la sentir passer. Mais, ne vous inquiétez pas, elle finira par en redemander. Toutes les salopes sont les mêmes.

— Chéri, dis-lui de refuser.

— Tu la préfères enceinte?

— Oh non!

— Alors c’est décidé, conclu Amadou, à la une! À la deux! À la tr…

— Non! cria Hélène. Vous ne pouvez pas faire ça à sec. Jean vient avec moi. Et vous, Amadou, je vous en supplie, attendez que je revienne avant d’enculer ma fille.

— Très bien, je poiroterais en me faisant dégorger le poireau, pas vrai Léa. »

Léa rougit, en apercevant la taille de ce qu’elle devait mettre en bouche. Hélène agrippa le bras de Jean et ils décampèrent prestement.

*****

Les parents ne tardèrent pas à revenir, voulant éviter que leur fille ne prenne goût au braquemart saveur chocolat.

Aussi furent-ils consternés en rentrant dans leur chambre de voir leur douce enfant avalant une immense queue noire. Elle semblait avoir la bouche remplie plus qu’à ras bord et pourtant, elle avait encore bien du chemin à faire avant d’en arriver à la moitié. Amadou lui tirait les oreilles pour l’obliger à emboucher une plus grande quantité de bite dans sa bouche. Il forçait l’entrée comme s’il essayait d’enfiler une chaussure trop serrée.

Hélène avait retrouvé ses réflexes de mère et eut pitié de sa fille en la voyant asphyxiée par ce mastodonte noir :

« Arrêtez!

— Ah voilà les parents qui se décident à revenir. Mais qu’est-ce que vous apportez? »

Amadou plissa les yeux pour distinguer ce que le couple amenait comme ustensile. Il distingua dans la main d’Hélène une bouteille d’huile et dans celle de Jean, une plaquette de beurre.

« Ma choutte! Ça va?! » demanda Hélène.

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Kary 07

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Big Dick

Mercredi 6 avril

Mes chevilles étaient reliées ensemble mais avec un certain degré de liberté, ce qui me permettait de faire de petits pas. Je me suis étendue sur le canapé et, avec un peu de contorsions, j’ai réussi à passer mes bras devant moi. J’ai envoyé un texto à Maîtresse.

“Je suis arrivée à placer mes mains devant moi”

Il me restait encore 2 h 30 devant moi avant de pouvoir me libérer. Je pourrais le faire vers 14 h 50, il ne me resterait alors que 60 minutes environ pour me préparer et me rendre au travail.

Avec les mains devant, j’ai réussi à ranger mes jouets qui se trouvaient sur le lit, j’ai pris mon repas de midi en constatant que Madame était partie avec le contrat. J’ai préparé mon souper à emporter pour le travail. Puis je me suis assise dans le salon, sans allumer la télévision, attendant l’ouverture de ma boîte temporelle. J’ai envoyé un autre texto.

“Assise au salon, j’attends l’ouverture de ma boîte temporelle.”

Encore une heure à attendre l’ouverture. Durant ce temps, je suis passée par une multitude d’émotions. Jusqu’où était prête à aller cette femme pour me dominer? Dans quel guêpier je m’étais fourrée? Elle avait mes clés, mon code, elle s’insinuait dans ma vie sans gaziantep grup escort que je ne proteste. Jusqu’où je la laisserai aller? Mais ces 3 derniers jours ont été pour moi une telle source de satisfaction. J’ai atteint des sommets d’émotions que je n’ai jamais pu atteindre avec mes self-bondages. La raison me disait de mettre fin à cet échange, mais mon esprit pervers m’ordonnait de continuer. Je sentais toujours l’odeur de Maîtresse sur mon visage. J’étais heureuse.

Finalement, à 14 h 52, la boîte temporelle s’est déverrouillée. Je me suis libérée et j’ai rangé les derniers jouets BDSM. J’ai allumé mon ordi et j’ai rédigé mon journal intime rapidement.

“Cher journal,

Aujourd’hui, Maîtresse Liane a pris possession de mon corps et de mon esprit de façon officielle grâce à un contrat que nous avons signé toutes les deux. Donc, en ce mercredi 6 avril, je lui appartiens maintenant. Je suis terriblement nerveuse car elle a en sa possession mes clés et mon code d’accès. Suis-je allée trop loin? Je ne le sais pas, mais je n’ai nullement l’intention d’utiliser mon droit de veto, car cette situation est celle dans laquelle j’ai toujours secrètement güneyşehir escort voulu me retrouver.

Aujourd’hui, pour la première fois de ma vie, j’ai fait un cunnilingus à une femme. J’ai commencé avec beaucoup de dégoût, mais je me suis aperçue qu’au final j’avais adoré l’expérience. Cela m’a bouleversé. Suis-je lesbienne? Était-ce seulement le plaisir d’obéir? Je ne sais pas…

Je me sens prête à poursuivre l’expérience et j’espère ne pas faire d’erreur en confiant ma vie à cette femme que je connais à peine pour l’instant. Ma tête est remplie d’images, de désirs, d’interrogations, tout mon esprit est sens dessus dessous. La soirée au travail va être pénible, je crois…”

Après une bonne douche bien méritée pour enlever toute cette sueur de nervosité qui enveloppait mon corps ainsi que le jus séché de Madame sur mon visage, j’ai revêtu mon uniforme de travail et je suis partie immédiatement pour ne pas être en retard.

A 15 h 55, je prenais mon quart de travail, du moins physiquement, car au niveau de l’esprit, j’étais ailleurs. A plusieurs reprises, quelques copines de travail m’ont demandé si j’allais bien. J’ai essayé de me concentrer le plus possible. islahiye escort Depuis lundi, ma vie devenait qu’angoisse et nervosité. Ma vie m’échappait lentement et mon esprit plongeait sans retenue dans ce monde étrange qu’est le BDSM au travers d’une relation dominante/dominée.

La soirée s’est somme toute relativement bien passée. Dans l’entrée de l’hôpital, près du stationnement des employés, à minuit cinq, je contactais Maîtresse pour lui signaler que je quittais mon travail. Je l’ai contactée de nouveau lorsque je suis arrivée à la maison, et encore une fois pour lui dire que j’allais au lit.

Il n’y a rien eu de spécial pour la journée de jeudi. J’ai rapporté toutes mes activités par texto à Madame, j’ai rédigé mon journal avant de partir au travail. Et en ce jeudi soir, le travail a été légèrement plus facile que la veille, mon esprit ayant épuisé une grande partie de ses réflexions.

Finalement, vendredi après une journée comme les autres, c’est-à-dire gym, texto, journal intime et travail, j’étais heureuse de me retrouver dans l’entrée de l’hôpital pour contacter Maîtresse à la fin de ma journée. Cependant, j’étais triste. Après ses 3 jours intenses au début de semaine, je n’avais plus de nouvelles de Maîtresse. C’était inquiétant et désolant à la fois. Est-ce que j’allais passer la fin de semaine toute seule à ruminer mes idées en attendant désespérément un nouveau contact avec Maîtresse?

A peine assis dans la voiture, mon GSM a sonné.

– Oui, hello.

– Bonsoir petite salope… Ecoute attentivement et suis mes instructions à la lettre…

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Asian

Awakening to the sun peeking through the curtains, Mary marveled at how wonderful it was to have some time to herself. After all the kids were wither ex-husband this weekend, so she only had plans to enjoy the beautiful weather and the little time she had to herself. Her only plans for the weekend were to do some shopping. Maybe get a new outfit to wear to work. It wasn’t that she needed to go shopping; it was simply something she enjoyed. Knowing that she would most likely be trying multiple outfits on in different stores, she opted for the bare essentials, a bra, panties, loose fitting t-shirt, sweatpants, socks and slip on shoes. That way it wouldn’t be such a hassle getting undressed and dressed multiple times. Her hair tied back in a neat pony tail, she drove the short distance to the mall.

Entering the mall Mary wandered around the mall, just trying to decide where she wanted to start. Ambling around the mall she decided she might as well look as some lingerie. She loved black lace; it would be nice to have a matching set of lingerie, just in case she had a chance to show it off to a date, or even answer the door when her ex showed up, just to show him just what he was missing out on.

Entering the lingerie store she was confronted with more mainstream selections toward the front of the store, but as she traveled toward the back of the store the selections became more risqué. Now, this would be something she could really enjoy. She wandered around the bras, panties and teddies, looking for just what might be the most provocative lingerie she might actually wear.

Since there wasn’t really a chance that anyone would actually see her lingerie at this point, at least not for a while, Mary decided to get some extremely (for her), revealing and erotic lingerie. Choosing her final selections carefully, she found a store clerk, and asked if there were fitting rooms that she could try on the lingerie. The perky young clerk directed her toward the fitting rooms. Mary’s selections were; a pair of black lace crotchless panties, and two possible bras that could match the panties, one bra was almost a half cup bra, that would expose most of her large areolas, and the other bra had full cups, but the tips were open and lace trimmed, and would leave her entire areola and nipple exposed. The final piece of lingerie was a red lace teddy that had snaps on the crotch.

Mary was no stranger to fitting rooms or changing in fitting rooms, but this was different, she was getting to take her time, unrushed by a husband or kids. The fitting room was about five feet square, benches lined the three walls that weren’t occupied by the door, there were mirrors from the bench up to her head height on the walls with benches, and a full length mirror lined the door. Deftly removing her t-shirt, she laid it on the bench. She then unfastened the clasp on the front of her bra and removed it. Nude from the waist up, she stood and admired her breasts, they had a slight sexy droop to them, but at thirty-five and after two kids, they looked great. She took in the sight of her light brown, silver dollar sized areolas, and her pinkish brown pinkie sized nipples.

Taking her first bra, the half-cup black lace bra, placing the bra on so she could hook it easily (backward), she hooked the bra, turned it around, put the straps up on her shoulders, and placed each breast in its cup. Admiring how the bra seemed to push her breasts up and made them look perkier, she decided she liked not only the look, but the feel of this one. Removing the first bra, she leaned down to pick up the second bra, the weight of her breasts swaying in the air pendulously. Standing up she began the process of trying this bra on, hooking it, turning it around the placing her breasts in the cups. The combined effects of being nude, trying on sexy lingerie, shown as she gazed at her now fully erect nipples. The sight was so tempting that she cupped her breasts in her hands, and started teasing her nipples by touching them ever so lightly, and gently squeezing them, feeling the pressure exerted on her nipples all the way down to her clit.

“Damn, I have to stop this, this no place to be starting something I can’t finish.”

Leaving the bra on to try and lessen the temptation to continue to play with her erect nipples, when changing into her own bra, she decided to try on the panties. Leaning over to remove her sweat pants and panties, she picked up the new panties and pulled them up. The sensation of air wafting across her exposed pussy lips felt luxurious. Tilting her head to the side a bit she saw how the thin strip of fabric seemed to just appear at the top of the crack of her ass. Picking one leg up and placing it on a bench she surveyed how her pussy looked framed in lace. She turned with her ass toward the door, bent over, and looked at how her pussy seemed to bulge out of the lace opening in the panties, her trimmed bush splayed little hairs framing the opening in the panties.

Bent gaziantep zenci escort over she moved her feet farther apart to get a better view of how her pussy looked in the panties. The little hair that was exposed looked quite sexy. Standing up she turned and took a seat, again opposite the floor length mirror on the door. Wanting to see more, she picked her legs up and placed them on opposing benches, her pussy looking like a pursed pair of lips. Distancing herself from reality, she took her fingers and pulled her pussy open, exposing her inner labia, which was moist with excitement.

“Oh, God…it’s been so long…”

With all her might she let her pussy squeeze closed as she removed her fingers from her outer labia.

“Just a little bit” She thought as she dipped an index finger into her moist slit, gathering the moisture she moved her finger up to tease her clit a little. Her clit, already partially aroused from the nipple play, stiffened and begged for more attention, as she tickled her clit a bit more.

“Oh, no, I have to stop this now.”

With all the willpower she could muster, she removed the crotchless panties, the open nipple bra, and put her own underwear back on. Pulling up her sweatpants she felt a sense of relief, at least she couldn’t see how excited her pussy was. As she slid her t-shirt over her head and pulled it down to her waist she felt a little better, as no one would be able to tell how stiff her nipples were. She had decided not to even try the teddy on.

Exiting the fitting room in somewhat clouded state, she proceeded to the cahier. Mary decided to purchase both bras, the panties and the teddy, even though she hadn’t tried the teddy on. Exhaling with a sigh of relief as she exited the lingerie store she began to try and work on getting her thoughts away from her pussy.

She wandered up and down the corridors of the mall, looking in one shop or another. Her attention was drawn to a small store that had gag gifts, and other odd items. Passing through one of the small aisles, she happened upon some “back massagers.”

“Those are vibrators.” She thought as she laughed a bit.

Picking one up, to examine it, she discovered that there were three different sizes of “back massagers,” seven inch, ten inch, and twelve inch. Having been married she used to have some vibrators, but her ex in a rage had taken all of them when he left, destroying them, leaving her to her own devices to satisfy her sexual needs. Looking at the different sizes of vibrators, she couldn’t decide on which size to buy. The seven inch would probably be tight at this point, because she hadn’t had sex or any artificial penetration in almost three months, and she regularly did her kegel exercises, meant to keep the vaginal muscles tight and in shape. The ten inch and twelve inch vibrators were simply out of the question, she was sure that it would be painful to try and get one of them in her tight little pussy. Feeling like a coward, because she didn’t even buy the small vibrator she left the gag gift store.

As she strode down the mall hallways she tried to decide what would go best with the lingerie she had purchased. A short skirt and an almost sheer white blouse would be a sexy and alluring ensemble she thought. The increasing slickness of her wet vaginal lips sliding against one another as she walked to her next destination, was partially due to her fantasies about what she would like to do with the vibrators.

“Nothing like showing off, but not letting anyone really see anything.” She thought

Mary entered the department store, found a cart and began the process of picking and choosing a few different outfits to try on. She finally decided on four pairs of slacks, and three different blouses. Passing by the skirts, she decided that a nice skirt would be nice, to show off her legs, and maybe flash some unsuspecting guy. Her mind drifted temporarily on the friction of her bra cups produced as her breasts swayed, rubbing her taut nipples into the fabric of the cups.

Perusing the aisles trying to find the “perfect” skirt for her particular desire, took longer than she had imagined it would. Finally she found the type of skirt she had in mind. It should hang a few inches below her crotch, but be revealing should she choose it to be. The skirt was, light cotton, with a red paisley print. The blouse was easy to find, and it was exactly what she wanted, an opaque white, that would let a hint of what was worn underneath recognizable to anyone that was truly looking.

She walked toward the changing room with her selections in the cart. Her nipples began to ache slightly from the continuous pressure of her bra cups, and the continued fantasy thoughts Mary had been focusing on. As she checked her items with the clerk and entered the fitting room. She could feel the slickness of her inner labia sliding against one another as she gaziantep escort walked into the fitting room. She envisioned her clit hiding beneath its protective hood trying to peek out and seek attention.

Mary was having a difficult time concentrating on her shopping as her fantasies came back and began revolving around how she would look, clad only in her black lace bra and her crotchless panties.

Entering the changing room with only the skirt, the blouse and her purse, her previous purchases being watched by the clerk, she began the process of trying the clothing on. First she would try the skirt on. She removed the baggy sweat pants. The dampness in her panties felt chilly against the heat of her pussy, as she began to try on the skirt and blouse.

Mary admired the curves of her form. Her eyes settled on the dark strip of dampness soaking through her thin cotton panties. She ran her hands lightly up her thighs, her fingers stopping momentarily as the top of her mound to gently rub her pubic bone. Refocusing, she began trying on the skirt she had picked out. The act of repeatedly undressing in a public place, already aroused, seemed intensely erotic. It was becoming increasingly difficult to ignore her stiff nipples and her wet pussy; her scent filled the small room.

“Hmmm…smells like sex in here.”

Out of sheer willpower she dutifully returned to the task at hand. Mary again removed her t-shirt, to replace it with the blouse she had found. A devious thought began developing in her mind…

“This is a changing room; It’s private.”

She unbuttoned the blouse, hanging it back on the hanger, her hands shivering with excitement. Then, removed the skirt and hung it also. She could see that her face was flushed, as she decided that she had to cum, right now. She could last until she got back to the car, which was at least a half an hour away. She could feel her pulse in her stiffened nipples, and her now stiffening clit.

Thinking about the possibility that other women may have masturbated in this small mirror lined changing room tuned her on even more. She moved her hands up her body to rub her breasts, lifting them, squeezing, tracing her fingers around the areolas, her stiffening nipples begged to be free of the confinement of the thin material of the bra. Her body was giving her definite signs that it needed release, and it needed that release now. Closing her eyes, and tilting her head back in ecstasy as her hand slipped inside the elastic waistband of her plain white, thin cotton panties, her hand automatically found her slit. The moment her fingers came in contact with the hot moistness of her aching pussy, her clit stiffened in expectation.

Rubbing her mound, feeling the heat of her pussy, was all she could stand. Her mind screamed at her to control her urges, as her pulse pounded. She was beyond rational thought at this point. Finally opening her eyes to view the erotic sight she was creating, she reached up with her free hand and slid her breasts out of the confines of her bra. The collapsed cups of her bra resting on her chest above her fully exposed breasts; she turned the bra with one hand and unhooked it, allowing it to fall to the floor in a small heap of lifeless fabric.

“Oh…God, I can’t believe I am doing this.”

Mary gazed at her breasts as they bounced in rhythm matching the motions of her hand massaging her pussy. Her taut nipples stuck out like chubby little erasers on a pencil. The hand that had freed her breasts from their confinement began to tweak the nipple on her left breast, as her eyes traveled down the reflection of her body; her gaze came to rest on the movement of her hand inside her panties. She imagined what her pussy would look like framed in the black lace of the crotchless panties she had purchased. Wanting to enjoy this as much as possible, she removed her hands from her breasts and panties. She hooked her thumbs into the waistband of her panties and slid them down her legs, leaving them in a heap on the floor of the fitting room.

Sitting on the bench that ran around three walls of the fitting room, she faced the full length mirror on the door; the hairy triangle of her pussy starkly contrasted the pink of her nude body. Here she was, entirely nude in a public place, and it was so erotic to her. She raised one leg up to rest on a side bench, and to give her better access to her smoldering, wet pussy.

She really hadn’t taken the time to even really look at herself in a purely sexual way for a long time. The more she gazed at her pussy the more it amazed her, the way the outer lips pursed, revealing a trace of wetness in her folds. Using both hands she watched in the mirror as she revealed her inner folds. It was simply amazing how beautiful her pussy actually was. Creamy white lubricant was oozing from the slit of her pussy. One of her index fingers slipped down the slit of her pussy into the liquid, slowly sliding back up the crease to lubricate and moisten her now engorged and straining clit. Her clit now rosy pink, and distended just beyond its little protective hood, just begged for some attention.

Mary slowly began teasing her clit. She traced little circles around the hood, making sure not to make direct contact with her stiff little bud.

“Ah…yes…that’s it.”

Her finger flicked her clit in a desperate attempt to finish quickly, so as not to be discovered, or arouse suspicion. She would die of embarrassment if she were discovered playing with herself. Her breath came in ragged gasps, and she tried to keep her moans of pleasure subdued. Since it always helped her to get off, she raised one of her breasts to her lips, and began sucking on her breast with an intense sexual fervor. She could feel the pleasure building stirrings deep inside her groin, as her finger slid down her slit dipped back into her wet hole, to re-lubricate.

She discovered that it really increased her excitement as she watched herself frigging her clit, and watched the liquid seeping from her slit, gathering at the lower end of her slit, getting ready to drip on the seat. Hurriedly she reached down with her left hand, gathered the juices from her slit on her fingers, raised her hand to her mouth and licked the wetness from her fingers. Her hips began quivering as her orgasm began to build deep within her loins. Mary lowered her hand from her mouth to her pussy and began fingering her wet hole. She wished she had gotten the vibrator after all.

A heavy musk of wet pussy filled the small fitting room. She slid off the seat on to the floor, placing each leg on the bench closest to it, spreading her legs as far as possible in the room, as she stared at the woman in the mirror’s self-gratifying manipulations. The evident swelling of her labia and clit was fascinating; she had never really looked at herself when she played with pussy. Her fingers were a flurry of motion, one hand flitting over her clit, the other hand pumping in and out of her soggy pussy hole. She hoped the sucking and squishing sounds her pussy was making as she pumped her fingers in and out of her pussy weren’t really as loud as they seemed to her in this small room.

“Oh, God, please, please, now…I have to cum, I need to cum.”

“I’m so close…almost there…” she thought as she began concentrating solely on the manipulations of her clit and cumming.

“Come on, dammit, come on…please cum.”

“I need this.”

Her hips raising and lowering in rhythm with the pumping of her fingers in her crotch as she tried to make herself to cum faster.

“Come on sweet pussy…cum now…”

“Oh God…yeah, almost there.”

Her whole body began tensing as she reached approached the peak of her orgasm. Suddenly, the door opened, and the young female clerk gasped in astonishment. Her eyes transfixed on what was happening before her eyes.

“Close the door, dammit.” She thought.

As much as she wanted to stop and save herself from embarrassment, she just couldn’t. She had reached the point of no return, the point at which she was incapable of stopping, no matter how much she wanted to stop, she just couldn’t. Her breathing had become more panting that breathing. She continued diddling her clit furiously, trying to ignore the eyes at the door, yet aware of the heightened erotic feelings she had as a result of being watched.

“Oh…God…not now…not with her watching, please close the door.”

Contractions deep within her pussy began forcing her cum to dribble out of her slit on to the bra beneath her ass. Her whole body spasmed uncontrollably as the orgasmic contractions began deep within her loins. It didn’t matter anymore that she was being watched, she was at the precipice and was at the point of no return, the point at which, no matter what happened she simply couldn’t stop herself from cumming, even if she wanted to.

“OK, watch me cum…go ahead, look at my wet pussy, look at it leak all over your carpet.”

Even though she wished that she had not been seen, she continued. Her hips bucked involuntarily as wave after wave of her orgasm flowed over her entire body. She slowly removed her fingers from her soggy hole, as her spasms subsided. The young lady at the door closed it.

Mary continued to massage her throbbing pussy, luxuriating in the pleasure she was feeling. Her juices had matted her bush to the skin of her mound and labia. Still watching the mirror as her orgasm subsided, she saw the door close.

She reached down and located the wet panties beneath her ass, found a fairly dry spot, and began the task of trying to dry off her pussy as much as possible. Unceremoniously shoving the sodden panties in her purse, she donned her bra, t-shirt, sweat pants, and shoes. She exited the fitting room, flushed as much from masturbating as she was from the embarrassment of having been caught masturbating. She spied the young lady that had opened the door of the fitting room, avoided eye contact, and headed for the cash registers with her purchase. Paying for her purchases, she arrived at the customer service department to retrieve her lingerie, and head back into the mall.

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Le Cafe Noir Au Lit

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Cumshots

Hou là! Laregarde!

Elle étourdissait. Il n’y avait pas d’autres mots pour décrire la noire magnifique que stridiait à travers la pelouse vers moi. Ses hanches minces se sont déplacées doucement dans le jeans de Lee palî et ses seins lourds a surgi en dessous de la chemise de soie. Elle a tenu ses sandales dans une main et un sac informatique dans l’autre.

“M’excuser. Vous sont Greg?”

J’étais si a étonné qu’elle m’avait parlé qu’il a pris mon cerveau quelques moments pour traiter les mots. “Euh, er, oui.”

“Grand! Mon nom est Simona, Simona Anders. Vous avez appelé l’aide informatique?”

“Oh!” Maintenant mon cerveau a donné un coup de pied dans l’engrenage. J’avais téléphoné au Syndicat Etudiant, demandant plus tôt s’ils ont su de quelqu’un qui pourrait aider apprend m’Excelle et Accède à. Leur recommandation avait été Anders les Services Informatiques et j’ai appelé, a obtenu un répondeur et part un message. Quelqu’un a rappelé pour dire qu’un des associés me rencontreraient hors de mon PoliSci 101 classent à 11:00am. Et ici elle était, un gros morceau magnifique de chocolat de lait savoureux.

“Oui, j’ai fait.” J’ai souri, me demandant si elle pourrait dire comment nerveux j’étais. “J’ai besoin d’apprendre Excelle et Accède à.”

“Le plan particulier de temps?”

“Pas vraiment. Immédiatement avant cette fin d’année.”

“Bien, cela nous donne quelque temps.” Simona a souri à moi et j’ai suffoqué à la beauté de ses dents blancs contre que la peau sombre. “Avez-vous faim?”

“Toujours!” J’ai ri et elle a fait, aussi.

“Bon. Pourquoi nous ne frappons pas Maxie et commençons un projet de leçon pour vous?”

Passe en haut le déjeuner avec cette belle créature? Vous devez kidding!! “Sûr!”

Par-dessus les sandwichs de club et la bière froide, nous avons parlé. Elle s’est avéré être celui des filles les plus intéressantes je’ d jamais a rencontré. J’ai aimé entendant sa voix et regardant sa face animée. Et elle avait les mains les plus charmantes, clous courtes et manucurées et épais, les doigts de muscled, sans aucun doute de traiter l’ordinateur. Notre conversation a coulé facilement du logiciel à la musique aux activités d’étudiant et j’ai aimé qu’elle était si knowledgable. Nous avons fini le repas avec les tranches de cheesecake de fraise-lacé et de café colombien noir.

“Mmm.” J’ai soupiré, posant mon grande tasse. “J’aime le café noir.”

“Oh, ouais?”

Nous les deux ri. Je ne me suis pas rendu compte que je ferais dit et n’a pas pensé certainement de comment il pourrait être interprété. “Simona, j’espère que vous ne prend pas cette la mauvaise façon, mais êtes-vous occupé ce soir?”

Elle a ri. “Greg, vous devez être désespéré si vous frappez sur un geek informatique!”

“Vous n’êtes pas un ‘geek’ par l’allongement de l’imagination, Simona. Mon camarade de chambre un commandant de Théâtre et il a donné m’étiquète à ce soir l’exécution. J’ai pensé que si vous n’étiez pas occupé, vous aimeriez me joindre.”

Simona a fermé son portable, le rangeant soigneusement dans son sac. “Je toujours ai voulu voirLes Miserables.”

“Alors c’est une date?” J’ai regardé la guerre va sur dans sa face, se demandant pourquoi c’était un tel problème pour elle. “Vous pouvez dire non, Simona.”

“Je pas veux dire non, Greg.” Je n’ai pas prévu de voir les déchirures dans ses yeux. “Il juste cela … “

“Que?”

“C’est été un temps long puisque j’ai été demandé sur une date.”

“Vous sont kidding? Un knockout comme vous?” Comment long quand elle n’a pas répondu à ma tentative à l’humour, je me suis déplacé dans la fin et chuchoté, “Ce-t-il a été?”

“Presque trois années.” Elle a ri tremblamment. “Je devine quand je suis venu à l’université et suis tombé dans l’amour avec les ordinateurs, tout était d’autre secondaire.”

“Si comment d’il?” J’ai caressé hardiment sa main, aimant la sensation de sa peau soyeuse sous mes bouts du doigt. “Nous pouvons diner après … “

“Accord.”

“Bon.”

Nous avons séparé avec une étreinte et moi le feutre aime un courreur Olympique comme j’ai sprinté à ma maison. J’ai dépensé l’heure prochaine traversant chaque article vestimentaire que j’ai possédé, essayant de trouver un équipement parfait. Mon camarade de chambre, John, est entré et tenu, riant dans la porte son âne de.

“Une date?” J’ai hoché et il a ri même plus dur, mettant un bras autour de mes épaules. “Venir et payer la note mon placard. Nous les deux sait beaucoup que vous avez fait les courses ces dernier peu d’années.”

Je l’ai détesté à ce moment, mais il avait raison. Mon extra-argent avait été dépensé sur l’une tour de gigaoctet dans le coin de ma pièce et ses accessoires: la plus grande unité dure, le clavier allumé, le moniteur de plasma … Je devine cela était pourquoi j’ai cliqueté si bien avec Simona. Je toujours avais eu assez d’amies dans l’école secondaire. Mes cheveux blanc-blonds Suédoiss et mes yeux bleus couplés avec un physique du joueur de football s’avaient occupé de cela. Mais mon affaire d’amour bayan escort gaziantep avec l’université avait tué mon dater. Entre les laboratoires de langue et les papiers de recherche, je n’avait pas de temps.

“Accord. Comment regarde-t-je?” John m’a donné un pouces-en haut et j’ai soupiré en relief.

“Elle doit être quelque chose pour vous prendre tant d’ennuie pour obtenir tout ‘gussied en haut’.” Pendant que j’ai ri, John soulevé son sac. “J’ai obtenu pour obtenir aller. Amènerez-vous sa coulisse?”

“Sûr.” J’ai frotté mon menton, faisant semblant d’être une statue de Rodin. “C’est-à-dire si elle n’est pas effrayée d’à cause de mon défectueux!”

“Mon ami” , Il a ri, fermant la porte. “Vous êtes un défectueux!”

J’avais presque deux heures pour attendre et j’ai dépensé la dernière heure devant un ventilateur, essayant désespérément de s’assurer que j’ai fait’ t trempe les aisselles de mon buttondown bleu poussiéreux. J’étais si nerveux! Finalement, j’ai fermé à clef et ai fait ma façon au Hall de Groton, sa résidence et trébuché dans l’entrée comme j’ai vu son attente.

Si j’avais pensé qu’elle était belle avant, j’ai été maintenant convaincu. Epais, les vagues de luxuriant les cheveux noirs ont encadré sa face douce, les yeux ont accentué de façon spectaculaire et ses lèvres quelque ombre de corail. La couleur a égalé sa robe, une couturière’ le rêve de s de soie brossée qui a glissé séduire par-dessus ses courbes cachées et reposé sur ses épaules gracieuses avec les spaghetti sangle. Elle a saisi un gauzy léger emballe dans elle transmet avec une bourse de pillbox en or et a cherché à moi avec les yeux effrayants.

“Hou là.” C’était le seul mot je pourrais respirer comme j’ai transféré à son côté. Elle s’est présentée et j’ai vu du brimming de déchirures dans ses yeux charmants.

“Merci.”

J’ai embrassé sa joue, hésitant un moment pour savourer la chaleur de sa peau et l’odeur qu’elle portait, un mélange exotique de tons florals et épicés qui ont envoyé des froids voyageant par-dessus ma chair. “Vous êtes absolument charmant, Simona.” J’ai ramené en arrière pour examiner ses yeux. “Je suis complètement muet.”

“Greg, vous faites ne doit pas … “

“Veuillez ne pas devoir que? Parle la vérité?” J’ai entouré son menton et ai tourné son dos de face pour creuser. “Je ne peux pas croire que vous soyez ma date!” Elle a souri et j’ai transmis son l’oeillet je ferais acheté au magasin. “Désolé ne ce pas est plus. Je suis calme attend un contrôle de mes parents.”

“Vous ne devez pas demander pardon, Greg. Ceci signifie plus me que les douzaines de roses.”

“Bon.” Je me suis tenu en haut, offrant ma main. “Maintenant, je suggère que nous obtenons aller avant que quelqu’un s’empare de nos places.”

J’ai aidé sa force l’emballe autour de ces belles épaules, résistant l’envie pour tomber un baiser sur sa nuque douce et nous avons apprécié le soir de printemps frais comme nous avons marché au Bâtiment de Théâtre de McIntosh. J’ai promis silencieusement d’embrasser John quand j’ai trouvé que nos places étaient dans le troisième rang, le centre et nous avons réglé dans pour quel était une production merveilleuse. J’ai regardé la face de Simona du coin de mon oeil et mon coeur a frémi à l’émotion j’ai vu son exprès. La confusion, la crainte, l’amour, la tristesse. J’avais vuLes Miz avant que mais c’était comme si je le voyais pour la première fois, par ses yeux.

Quand les lumières sont monté et la distribution a pris des arcs, elle a sauté en haut, donnant une ovation de position de teary, applaudissant foument. “S’allume.“ Je me suis emparé de sa main. “Allons voir mon roomie.”

Nous avons fait un arrêt bref au restroom des dames pour qu’elle pourrait fraîchir en haut et dirigé au secteur de coulisse. John m’a accueilli avec une étreinte d’ours et un sourire, alors jeté un coup d’oeil par-dessus mon épaule pour voir mon Simona doux.

“Est-ceci la dame?”

“C’est en effet. John Gardner, rencontrer Simona Anders, extraordinaire de champion informatique. Simona, rencontrer mon camarade de chambre, John.”

Je regarde la réaction de John comme elle a poussé une main en avant pour secouer sa main. “Agréable pour vous rencontrer.”

“Même ici.” Il a souri. “Greg, vous n’étiez pas kidding quand vous avez dit qu’elle était beau. La seule question est pourquoi elle avec vous?”

Nous avons ri et le souffle a gelé dans ma gorge à l’éclat de son sourire. “J’espère qu’il a un grand coq.”

John a braillé avec le rire et l’a rassemblée dans une étreinte fraternelle. “Je vous aime, Simona.” Il a embrassé sa joue. “S’allume. J’ai obtenu Cabo dans mon vestiaire.”

Le trois de nous sont allés au vestiaire de John, un qu’il a partagé avec deux autres gars: le Parc de Andy qui a joué Javert et Paul Johanssen qui avait joué Marius. Pendant que j’ai aidé John verse le tequila glacé, j’ai regardé le discours de Simona avec les acteurs, jaillissant par-dessus leurs exécutions et parlant cim cif gaziantep escort de la représentation de John de Valjean et une sensation étrange glouglouté dans ma poitrine. C’était la fierté. Elle avait augmenté à la plaque et avait ‘geekdom gauche’ derrière.

“Ici.” J’ai glissé le verre de coup dans sa main, laissant mes doigts traînent comme ils ont caressé sa peau de chocolat. Elle a remarqué et est déplacée son corps plus près me.

“A que devons-nous griller?” Elle a dit enrouément.

“A mon être idiot.” J’ai tinté mon verre avec le sien. “Autrement, je ne vous aurais jamais rencontré.”

Nous avons fixé dans chaque autres yeux pour un moment hypnotisant, a lancé alors le dos d’alcool, suivant avec une tranche de citron de sugared. Simona m’a étonné en tirant m’expédie pour un baiser dont la passion a sucé le souffle de mes poumons. Mon coq grossi dans le tendu limite de mes Dockers, s’est convulsé alors comme sa main a donné il un rapide, mais léger serre.

“Mmm.” Elle a chuchoté. “Je deviner ne doit pas espérer n’importe quel plus.”

Nous un autre couple de coups avec John avant que Anders a suggéré que nous allions à un parti de distribution qui était tenu à son ami’ la maison de s. Simona et je suis allé dehors dans la nuit fraîche pour avoir un souffle d’air frais. Je pourrais’ t garde mes mains de d’elle. Mes bras sont allés autour de sa taille et j’ai tiré son dos contre moi, appuyant un baiser au côté de son cou. Elle a bourdonné dans la reconnaissance.

“Ceci a été la meilleure nuit de ma vie.”

“C’est par-dessus déjà?” J’ai demandé, tirant son plus tendu contre moi.

“Non, pas du tout.” Simona a tourné dans mes bras. “Au moins que je n’espère pas.”

“Pas par un coup long.” Ma bouche a foncé en bas sur le sien et j’ai écrasé son corps succulent contre le mien, dévorer, vouloir devenir la partie d’elle.

Elle a frémi, se déplaçant plus près, la faisant une boucle arme autour de mon cou, suçant ma langue dans sa bouche. “Oh, Greg.”

“Nous ne devons pas aller à ce parti, vous savez.” J’ai courbé pour embrasser son, se perdant encore dans la douceur de ses lèvres et la danse de sa langue contre le mien. “Je peux avoir mon café noir au lit.” Quelque chose dans ce que je ferais dit a glacé l’atmosphère. Elle a terminé le baiser, prenant un dos d’étape de moi, ses yeux questionnant.

“Je sais.” Sa réponse était calme et je le feutre quelque genre d’ascension de mur entre nous. Je me suis demandé que le problème était. Je n’ai jamais obtenu pour demander parce que juste alors, John, Andy et Paul se sont montré et nous avons passé au parti. Et quand j’ai pensé de demandant son encore, elle avait disparu.

*****

Je n’ai pas eu son adresse ou le téléphone numérote si je ne pourrais pas appeler son le lendemain et quand j’ai appelé les Services d’Ordinateur de Anders, une voix agréable qui n’était pas le sien a dit qu’elle n’était pas dans. Je pars un message, doutant qu’elle le retournerait. J’ai été planifié pour avoir une leçon avec son et s’est demandée mercredi si elle montrerait pour il.

Pour le prochain quatre jours, je suis allé aux classes dans un brouillard, se demandant ce qu’a fait une erreur et les nuits fantasment sur sa peau brune souple et la courbe de son cou alléchant. Quand le mercredi est arrivé, j’étais à la bibliothèque une heure pleine première et assise avec mon dos à l’entrée si elle ne verrait pas comment nerveux j’étais sur le point de voir son encore.

“Salut, Greg.”

J’ai cherché dans ses yeux incertains, mon regard glissant en bas à ces lèvres délicieuses. “Bonjour, Simona.”

Elle a glissé dans la chaise, réglant son sac à dos et son sac informatique sur la table. “Etes-vous en le colère contre moi?”

“Gee, Simona, non, je devine c’est bon pour disparaître sur une date!” J’ai sifflé, essayant de maintenir mon sang-froid. “Naw, je suis comme a plu comme frappe pour vous voir!”

Simona était calme pour un moment long. “Je suis désolé, Greg.” Ni de nous a parlé pour les moments inconfortables longs, alors elle s’est tenue. “Si vous êtes intéressé toujours dans l’érudition du logiciel, j’aurai Christine vous donne un appel et vous pouvez arranger une réunion avec elle.”

“Pour que l’est? Vous êtes juste le congé de gonna avec aucune explication?” Elle a pendu sa tête dans le silence. “Je penseau moins mérite cela!” Quand elle n’a pas répondu, il a continué silencieusement, s’emparant de sa main. “Nous avions un tel bon temps, n’est-ce pas?”

Elle déchire était un accompagnement doux à son chuchotement. “Oui.” Elle a reniflé. “C’était trop bon pour être vrai.”

Son choix de mots m’a frappé.Trop bon pour être vrai? J’ai tenu en haut et ai emparé de sa main. “M’est fourni avec.” Elle a reculé au début mais je l’ai forcée à rencontrer mes yeux. “Me fier, Simona. Je jamais ne vous blesserais jamais.”

Simona a semblé dégonfler à mes mots et m’a suivi de la bibliothèque. L’extérieur, je mets mes bras cinsel bilgiler autour de son et nous avons marché dans le silence à mon appartement. John n’était pas à la maison si nous avions l’endroit entier à nous heureusement. J’ai fait’ t sait ce que pour faire mais j’ai senti qu’elle a eu besoin de quelque chose. Peut-être mon attention aiderait.

J’ai glissé le sac et le sac à dos informatique de son épaule et stashed les dans ma pièce. Elle est déplacée s’aime une personne dans le choc, raidement perching sur le bord du divan, elle transmet plié sur ses genoux. J’ai prélevé deux Michelobs du réfrigérateur et celui ai transmis à elle, s’agenouillant à ses pieds. Elle a pris une force longue, streaking de déchirures sa peau parfaite.

“Le quel est, mon miel? Me dire.”

Les déchirures ont dégoutté plus rapide et elle a sucé sur la bouteille de bière encore. Je pose mine et ai glissé ses souliers de tennis et les chaussettes de, massant doucement son pied, prenant extra-le temps pour courir les balles de mes pouces par-dessus son instep. J’ai cherché et ai été enchanté pour voir une expression de félicité sur sa face.Bon. Nous obtenons quelque part. J’ai gardé mes doigts allant, transfère à l’autre pied. Son corps supérieur a relâché un morceau et elle est tombée de retour sur le divan, les yeux toujours fermé.

J’ai continué en haut ses chevilles délicates à ses mollets forts. Là-bas, je devais arrêter parce que son jeans a bloqué ma progression mais je n’ai pas été découragé. J’ai atteint pour sa main et ai commencé à masser les doigts trapus, travaillant la tension hors. Elle a pris une autre boisson longue, alors pose la bouteille. Avec les yeux hantés, elle m’a offert son autre main. Je l’ai pris, fermement et silencieusement massant doucement, tout l’en examinant ses yeux.

“Il a dit la chose pareille me la nuit il ma violé.”

Mon sang a couru le froid. Je l’ai prise deux transmet dans la mine et a déplacé vers le haut à côté d’elle sur le divan. Je suis resté silencieux comme l’histoire a renversé hors. Elle la première danse d’étudiant de première année, elle avait rencontré un gars, un ainé. Elle ne pourrait pas s’amener même dire son nom. Je le feutre que mes joues chauffent dans la colère. Il l’a dite de ce grand parti à travers le campus et lui a demandé d’aller avec lui. Elle avait été si excitée. Elle a dit avidement qu’elle aimerait aller mais elle a voulu obtenir quelque café parce qu’elle était un petit sur le côté bu.

A mi-chemin là-bas, il l’a tirée dans un fourré profond de buissons et l’a violée sauvagement. Elle n’était pas a trouvé jusqu’ au lendemain. Son père était un homme important dans la communauté et l’incident entier a été enterré, beaucoup de comme il avait été enterré avec émotion pour elle. La partie de moi feutre extrêmement fâché mais l’autre partie était heureuse qu’elle avait pu partager ceci avec moi. Si je n’avais pas été sûr, j’ai su immédiatement que je l’ai aimée.

“Cela est pourquoi je me suis sauvé.” Elle a fini, ses lèvres inférieures tremblant comme une autre attaque de déchirures menacées. “Il le feutre si bon avec vous. Si la droite, que j’avais peur.” Elle s’est arrêtée. “Et alors vous avez dit qu’il a dit … et je juste … Je juste … “

Je l’ai tirée dans mes bras comme trois années de déchirures sont venues l’inondation d’elle. Elle a sangloté dans sérieux, son corps entier tremble. Je lui ai roucoulé, smoothing ses cheveux et donnant son un léger serre chaque peu de minutes. Finalement, dix minutes plus tard, l’orage s’avait baissé et elle a posé moument dans mon étreinte, hiccupping chaque peu de minutes. Il a pris son un autre dix se composer et assied en haut, essuyant sa face avec un tissu je ferais donné elle, évitant mes yeux.

“Je suis désolé, Greg. Je n’ai pas signifié pour décharger sur vous comme cela.”

“C’est bon.” J’ai frotté son dos doucement. “Il a eu besoin de sortir.”

“Ouais, mais pas comme cela!” Elle a ri nerveusement, a tourné alors ces beaux yeux me. “Je mieux obtient aller.”

“Simona,” J’ai touché sa main. “Resteriez-vous ici avec moi?” Elle m’a regardé d’un air absent. “Vous pouvez avoir le lit. Je dormirai ici sur le divan.” J’ai touché sa joue. “Je ne peux pas sonder juste l’a pensé de vous seul ce soir. Pas après ceci.”

“Cela est très agréable de vous, Greg, mais je serai juste l’amende.”

Mon coeur a cogné dans ma poitrine. J’ai gardé la pensée de ce qu’elle ferait m’a dit. De mon Simona doux étant brutalisé. De mon Simona charmant est gauche dans un torticolis pour mort. De mon Simona léger habitant une demi-vie, son âme déchirée dans les brins. “Vous pourriez être, mais je ne ferai pas.”

J’ai espéré qu’elle ait vu la sincérité dans mes yeux. “Accord. Je resterai.” Elle m’a donné un sourire tremblant. “Mais pourrions-nous regarder le télé pour un instant?”

“Sûr.”

Je mets mon bras autour de son et elle a posé de retour contre moi. Les heures plus tard, quand elle ferait s’est endormie, je me suis permis finalement pleurer.

*****

Simona avait paru si paisible sur le divan que j’ai plissé mon consolateur autour de son et part son dormir. John a erré dans et j’avais quelques mots avec lui, rien beaucoup de, mais il a dit qu’il était heureux de voir Simona ici. J’ai enlevé mes vêtements et ai glissé dans mon lit, appartenir à un sommeil sans rêves jusqu’à ce que je le feutre une main douce sur mon épaule.

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The Cure for Insomnia (Part 8, Day 5 PM

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Brunette

“Do it, baby! Cum for Mommy.” “I’m cumming!” I shouted as I shot rope after rope of thick cum all over my mom’s tits. “Me too!” she moaned, “I’m cumming too.” After I squeezed out the last drop of cum, I looked down at my mom’s cum-covered tits and laughed. “What?” my mom asked, confused. I pointed at her tits, and said, “Who looks like a glazed donut now?” We both laughed and then cleaned ourselves off with a towel. We then got under the covers and my mom pulled my arm around her and I cupped her breast as we took a nap while spooning naked. Part 8I woke up about an hour later with a raging hard-on. My mother was still sleeping peacefully next to me. Her bald pussy was on full display as she slept on her stomach.I wanted to bury my cock deep inside of her but I chose restraint and climbed out of bed instead.As I walked out into the living room I locked eyes with Jenny who was standing there in the nude.“Did you have a nice nap?” she asked me and then looked down at my hard cock, “It sure looks like you did.”Jenny looked at me for a moment while thinking about her next words carefully.“I told you that you need to take care of yourself whenever the need arises. Please go back to your room and take care of that for me,” she said sweetly but without room for argument.“I can’t do that in the same room as my mom,” I lied.“Is she awake?”“No, but…”“Then she’ll never know. Run along now.”I turned and walked back to my room. Normally my hardness would have subsided during a conversation such as that one, but the idea of masturbating over my sleeping mother kept me hard.As I entered my room, I noticed that my mom had rolled over onto her back and her legs were parted slightly. I took another step forward and grabbed my cock.I stroked my cock slowly as I admired my mom’s nude body.Just then I felt a hand wrap around my cock from behind and I heard Jenny whisper in my ear, “I thought you might need a hand.”I let Jenny stroke my cock and nibble on my ear.“Your mom is very sexy. Did you know that?” she whispered.“Yes,” I said quietly.“Just look at that beautiful pussy,” she said, as she started walking forward, pushing me along with her.We stopped when we reached the foot of the bed, directly between my mom’s spread legs. Jenny squeezed and stroked my cock harder.I closed my eyes and leaned my head back into Jenny’s shoulder.“Open your eyes, look at that inviting pussy,” Jenny said in my ear, “What would you like to do to a pussy like that?”“I’d like to fuck it,” I moaned.“You want to fuck that pussy? That sexy wet pussy?”“Yes.”“You want to fuck your mom’s sexy wet pussy?”Jenny reached around and fondled my balls with her other hand.“What if I told you that I could make that happen? Would you let me watch while you fucked your mother?”“Yes!” I moaned loudly as I shot my load.My strong orgasm sent my cum across the bed landing directly on my mom’s cunt.Jenny slowed her stroking until she had drained my balls completely. She wiped the last drop of cum off of my cock with her fingertip and then placed it in her mouth and sucked it off with a smack.“Good job. Run along now while I clean up this mess,” Jenny instructed.I walked to my door, opened it, and stepped outside. I turned to pull the door closed behind me and saw Jenny had crawled onto the bed and was moving her mouth toward my mother’s pussy.I closed the door fully before my brain had registered what it had just seen but now it was too late to see anymore.I cursed at myself for closing the door so quickly. I sulked back to the kitchen in search of something to eat. I poured myself a bowl of cereal and took a seat at the kitchen table. I sat in a chair that had a karataş escort view of the hallway to my room.I watched the empty hallway trying to picture what was happening inside my room while wishing I was in there too.I had just about finished eating my cereal when I saw someone step out of my room. It was Jenny. She made her way down the hall toward me. When she was close enough for clear eye contact, she gave me a wink and a smile and continued toward her room.I continued watching the hall, waiting for my mother to exit my room, but I saw something else entirely.I saw Johnny step out of the closet that was next to my room. He peeked his head out slowly and looked down the hallway in both directions. Thinking he had gone undetected, he darted out of the closet and into his room located directly opposite the closet.I began to wonder immediately what he was doing in there. Given his history of peeping, it didn’t take me long to conclude his intentions.I decided to do some investigating to see what I could find. I rose from my seat and made my way down the hall. The bedroom doors were closed so I opened the closet door.Nothing out of the ordinary jumped out at me. It looked just like any other hallway closet. There were towels and bedding on the shelves. In the corner was a broom, a vacuum, and a step stool.I knew I must be missing something so I turned on the light, stepped inside, and closed the door. I checked the walls, especially the wall that was shared with my bedroom but found nothing.Figuring that I had not found out why Jonny had been in here, I decided to leave the closet for now, and investigate further when the house was not so busy.I poked my head out of the closet and closed the door behind me when I saw that the coast was clear. I made my way back to the kitchen and cleaned my cereal bowl.As soon as I finished cleaning there was a knock at the door. I stood in the kitchen, frozen in place. I didn’t know what to do. It was not my house and I was naked.I waited a minute for someone else to answer the door. There was a second knock and no one else showed.I approached the front door and without opening it I spoke loudly through the door, “Hello?”I hoped the visitor had left when a woman’s voice on the other side responded, “Special delivery.”I cracked the door open and peeked around the door. There stood a beautiful young blond woman with large tits.She was holding a medium-sized package and an electronic signature device. Her delivery truck could be seen in front of the house.“Good afternoon. I need a signature from a Miss Jenny, or any adult in the house. Can you sign for me please?”“Umm, I don’t live here, and I don’t have any clothes on at the moment,” I squeaked out.“That’s okay, as long as you are legally on the property, you can sign for acceptance. And as for the other thing, I don’t mind if you don’t. You’d be surprised how often that happens. I can step inside and close the door if you’re worried about the neighborhood seeing you.”I backed the door open further, staying behind it, inviting her inside.  She stepped over the threshold and pulled the door closed, revealing my nakedness to her prying eyes.She looked down at my exposed cock immediately and smiled, “I don’t know why you were hiding, you certainly have nothing to be ashamed of.”Just then Jenny walked into the room. She was still naked and unabashed about it, “Who’s your new friend, Steve?”“She has a package that needs to be signed for,” I replied.“Hello, ma’am. I’m Lisa, and Steve is correct. I need a signature for this package.”“No problem,” she said, as she stepped closer karkamış escort and took the signature pad from Lisa, “Oh my, look at you!”I went wide-eyed wondering what Jenny would say next.“You look overheated working outside in this heat. Can I get you a glass of lemonade or offer you a dip in our pool?”“As tempting as your pool sounds, I think I’ll just accept the lemonade. I need to finish my deliveries.”Jenny started walking to the kitchen and Lisa followed. I reached out to take the box from her.Lisa took another glance at my cock before smiling at me, giving me a wink, and then handing me the box.I followed Lisa and found myself looking at her ass as she walked in front of me. When we made it to the kitchen I set the box down on the counter and took a step back. I immediately noticed what Lisa had seen.The excitement of the situation had caused the blood to flow to my cock, causing it to grow in size and harness.Jenny and Lisa had made their way around the counter while I remained on the side with my back to the living room.Jenny handed Lisa a glass of ice-cold lemonade. After she took a couple of sips she set the glass on the counter and then unbuttoned all four buttons on her polo shirt revealing her ample cleavage.Jenny and I looked on in anticipation of her next move. She picked up her lemonade and ran the glass across her cleavage allowing the condensation to cool her warm tits.Lisa closed her eyes and leaned her head back. She had to know the effect she was having on Jenny and me until I noticed Jenny was no longer looking at Lisa.Jenny had turned her attention to the living room but didn’t say a word. I turned to see what she was looking at and saw my mom standing in the living room, naked, stretching her arms into the air.She hadn’t seen Lisa because I was blocking her view until I turned to look at her.My mom let out a sudden shriek and attempted to cover herself, “Who is that?” she gasped.Lisa’s eyes shot open and looked at my mom’s gorgeous nude body.Jenny responded quickly and calmly, “This is Lisa and she is going to join us in the pool as soon as she’s done with her deliveries.”Jenny then looked at Lisa, and said, “Isn’t that right?”Lisa paused for a moment and then said, “I don’t know. Steve seems to have his hands full already.”Just then Johnny emerged from his room, and asked, “What’s with all the commotion? I was trying to take a nap.”Lisa looked at Johnny and then said to us, “Boy, this house is full of naked bodies. I guess one more won’t hurt. I’ll finish my route and come right back. Should be back in about an hour.”Lisa hustled out the door without assistance as Johnny looked at us with a confused expression.“Party starts in an hour,” Jenny announced, as she turned and opened the refrigerator, “I’ll prepare some hors d’oeuvres.”I made my way to take a shower because I knew I wouldn’t be able to sit patiently as an hour slowly passed by. I took my time in the shower and even rubbed one out to hopefully avoid any premature erections.I managed to distract myself for the next hour and a half. I heard the doorbell ring and made my way into the living room. Jenny had opened the door and Lisa was walking through it carrying a large bottle of Patrón tequila.We made eye contact and Lisa smiled at me. She lifted the bottle of Patrón and said, “Who wants a shot?”I was only wearing a towel wrapped around my waist and could not hide the immediate bulge that formed when I saw Lisa.  She wearing a white and pink polka-dot bikini.Her top did little to cover the flesh of her tits and her skin appeared silky and smooth.Jenny’s outfit was even kilis escort sexier. She wore a black one-piece that looked more like a bikini with all the flesh that was exposed. She finished off her outfit with a long black lace coverup robe. Her outfit looked more like lingerie than a swimsuit.“I do,” I responded.“I don’t think we have any shot glasses,” Jenny said.“That’s okay, I know how to improvise. Do you have limes and salt?” asked Lisa.“Yes. Steve, please take Lisa out to the pool and I will bring them out.”“Follow me,” I said.I led Lisa out to the backyard still wearing nothing but a towel.“Would you like a shot,” she asked me.“Sure, but we don’t have any glasses.”“That’s okay, I can pour it straight in.”Sounds scary but I agreed. She opened the bottle and approached me.“Lean your head back and open your mouth.”I felt her breast press against my chest as she lifted the bottle over my head. I was slightly taller than her so she struggled to aim the bottle over my mouth. Looking back on it now, I probably should have crouched down, but things worked out for the best.I closed my eyes as she began to tip the bottle. I felt the flow of tequila against my tongue and mouth. She had better aim than I had imagined.However, my mouth was filling up quickly and she was not stopping. I had to shut my mouth as liquor continued to pour down my chin and down the front of me.“Oops. Sorry about that,” Lisa said, “Let me get that.”I looked down and saw that my chest and hers wear covered in tequila. Lisa grabbed my towel and pulled it off my waist.“Oh my gosh, I didn’t know you were naked. I’m sorry.”“It’s okay. I don’t mind,” I reassured her.Lisa smiled and pressed the towel against my chest. She slowly moved it in circles while looking seductively into my eyes.My cock began to inflate slightly giving it a larger look which was fine by me.After a minute of rubbing, Lisa stepped back to admire her work, or the view. She then pressed the towel to her tits and tried to dry them. Her bathing suit had absorbed most of the spilled liquor and the only effect her rubbing had was making her nipples hard.She looked at her wet top and hard nipples and then looked at me, “I guess it’s no use, it will dry better in the sun.”I thought she was going to go lay in the sun but instead, she reached behind her back and pulled on the string of her bikini top. Her top came loose and she pulled it up over her head and sat it down in the fading sunlight.“That’s much better,” she said.Lisa laid my towel across one of the recliners and sat on the edge. She held the bottle out to me, and said, “Do you want to return the favor and pour me a shot?”My cock continued to grow in length and thickness but not enough to rise. It helped me grow my confidence as well and I walked over to Lisa, stood right in front of her, and took the bottle out of her hand.My cock was near right in front of Lisa’s face and she used the opportunity to look at it unabashedly.“Open wide,” I said.Lisa put her hands on my hips, closed her eyes, and leaned her head back slightly. She then opened her mouth and stuck her tongue out of her mouth about half an inch.It was not lost on me or my cock that it looked like Lisa was ready to receive my hardening cock into her mouth and part of me was tempted to do just that. My cock finally started to rise at the thought.I opened the bottle and held it over her head, “Ready?”“Uh-huh,” she replied, with her mouth still open. I tilted the bottle and imagined that it was my cum spraying into her mouth as the liquor splashed down.My cock pointed halfway out as it had not reached full hardness yet. Lisa nodded her head slightly and I stopped pouring. She closed her mouth and swallowed. Then she tilted her head back down and opened her eyes.She looked at my cock which was looking right back at her with one eye. With her hands still on my hips she said, “Looks like you enjoyed that almost as much as me. But now I need something to chase the shot down with.”

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Fleshlight

Traduction d’un texte de 62_goo.

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Avertissement : Ce récit n’est qu’une FICTION sortie de l’imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant brutalité, soumission et humiliation Si vous n’aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.

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Je m’appelle Jody Morrison. Je suis mariée à James, l’homme le plus merveilleux et le plus doux du monde. Je l’aime profondément. Nous avons un enfant, Bonnie, une fille de neuf mois.

Nous sommes une famille classique. Mon mari apprécie son travail donc il a obtenu des promotions rapides. Il est le directeur régional d’une chaîne de magasins d’électronique. Il est donc obligé de voyager, mais il est absent la nuit que lorsque c’est nécessaire.

Notre vie sexuelle est merveilleuse. Mon mari est un amant doux et attentionné. Son but principal est de s’assurer que je suis satisfaite. Même après l’arrivée de notre fille, il a toujours compris mes besoins. Il a été très prudent et doux lorsque nous avons fait l’amour pour la première fois après la naissance.

J’ai tout ce que je veux, mais je suis prête à tout abandonner en un instant.

Très jeune j’ai compris que j’étais une personne soumise. J’ai eu des petits amis qui l’avaient compris et qui ont pris un grand plaisir à m’humilier en public. J’avais tellement honte, mais ça m’excitait énormément.

J’ai rencontré mon maître il y a deux ans. Je me promenais sur internet dans des salles de chat BDSM, quand j’ai trouvé un homme qui semblait pouvoir être le maître auquel je pouvais appartenir. J’ai commencé à dialoguer avec lui et nous avons découvert que nous vivions dans la même ville. Immédiatement nous avons débuté une conversation en privé. Dès le début, il m’a ordonné de me déshabiller.

J’étais chez moi, sur mon ordinateur portable. C’était tôt le soir et mon mari allait bientôt rentrer. Bonnie faisait la sieste. Ma chatte était humide. J’ai enlevé tous mes vêtements.

L’homme a alors écrit : « Prends une photo et envoie-la moi! MAINTENANT! »

J’ai fait ce qu’il voulait. Ma chatte dégoulinait d’excitation.

« Très bien salope » fut son prochain message suivi immédiatement de « Maintenant filme-toi en train de te masturber et envoie-moi l’enregistrement ».

J’ai tout de suite obéi. J’ai allumé la caméra vidéo et j’ai commencé à me toucher. Il ne m’a pas fallu longtemps avant d’avoir un orgasme. Il fut un des plus intenses depuis mon mariage. Ensuite, j’ai posté le film avec mon prochain message.

« Bien salope! Tu peux te rhabiller, je te contacterai demain. »

Et ce fut tout. En moins de dix minutes, cet homme m’avait ordonné de me déshabiller et de me masturber, et j’avais obéi. C’était excitant. Je venais de finir de m’habiller quand j’ai entendu la voiture de mon mari. J’ai nettoyé du mieux que j’ai pu. Bonnie se réveillait alors je suis allée la chercher. James mon mari était dans le salon quand je suis revenue avec notre fille. Il m’a embrassé sur la joue et a pris notre bébé.

Notre soirée fut relativement normale, même si je ne pus m’empêcher de penser à l’homme d’internet. Après avoir mis Bonnie au lit pour la nuit, James et moi étions trop fatigués pour faire l’amour. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain, dès que James fut parti travailler, je me suis mise sur mon ordinateur. Et bientôt j’ai reçu un message :

« Salope, sois à l’adresse 1640 Mouton Drive avant 9h30 ce matin. Tu ne porteras rien sous une robe moulante. Et tu seras épilée. Je veux que tu sois maquillée comme une salope. Ne sois pas en retard et apportes des vêtements de rechange avec toi! »

J’ai regardé l’horloge, il était escort presque 8h30. J’avais un peu plus d’une heure pour me préparer et me rendre à ce rendez-vous. Mais j’ai commencé à paniquer, il me faudrait plus d’une heure pour m’épiler et m’habiller. Je savais quelle robe j’allais porter. Je possédais une robe de soirée bien serrée qui faisait bien ressortir mes courbes.

Je me suis douchée et épilée en un temps record. Je me suis maquillée aussi rapidement, yeux sombres et fumés, beaucoup de fard à joues et un rouge à lèvres rubis. Je suis montée dans ma voiture et je suis partie pour ce rendez-vous. A mi-chemin, j’ai réalisé que je n’avais même pas pensé à ne pas y aller. En fait, ma chatte dégoulinait par anticipation.

Je suis arrivée à l’adresse et je me suis retrouvée devant un manoir. J’ai garé ma voiture et je me suis avancée jusqu’à la porte d’entrée. Avant que je ne puisse frapper, elle est ouverte par le plus bel homme noir que je n’aie jamais vu.

– Bienvenue chez moi salope! Tu es juste à l’heure! Entre! Donne-moi tes clés de voiture, va dans la pièce là, enlève ta robe et agenouille-toi face au bureau, les mains dans le dos!

J’ai fait ce qu’il m’a demandé et j’ai attendu ce qui m’a semblé être une éternité. Puis j’ai entendu la porte se fermer. J’ai senti qu’il était juste derrière moi. Il m’a chuchoté à l’oreille :

– Bonne salope!

Sur ce, il m’a menottée. Puis il m’a fait plier à la taille jusqu’à me faire poser le front sur le sol. J’ai senti ses mains sur mes fesses qu’il a retirées cinq secondes plus tard. J’ai entendu un bruissement et quelques instants après mon cul a ressenti une grande douleur. Il m’avait fouettée. Je savais que je n’aurais pas dû pleurer, mais je ne pouvais pas m’en empêcher.

– Ne pleure JAMAIS en ma présence salope. Tu viens de mériter une raclée.

Il m’a fouettée encore et encore. J’ai rapidement perdu le compte du nombre de fois où il m’a frappée. Mon cul était en feu, mais ma chatte dégoulinait. Il l’a vu quand il a fini de me punir. Il a doucement joué avec ma chatte jusqu’à ce que j’aie un orgasme massif. Je pense que je me suis évanouie, mais je sais que j’ai giclé sur sa main.

Quand j’ai repris mes esprits, il a mis sa main près de ma bouche. J’ai compris qu’il voulait que je nettoie sa main de mon jus. Je l’ai fait avec empressement, en léchant sa paume et en suçant ses doigts un par un.

– Bonne petite salope! Dit-il.

Je rayonnai de joie.

– Maintenant suce ma bite! Et ne laisse pas une goutte s’échapper.

Il a baissé son pantalon et j’étais face à une énorme queue noire. Elle mesurait bien 25 centimètres et elle était aussi épaisse que mon poignet. J’ai engouffré son membre avec impatience. Je l’ai sucé en essayant d’en prendre le plus possible dans ma gorge. Ça m’a pris du temps, mais j’ai réussi. Puis il a donné des coups de reins. Chaque poussée a cogné son ventre contre mon visage, durement. Ma gorge était en feu, mais j’ai adoré ce traitement. C’était ma place. C’est ainsi que je devais être traitée. J’étais sur le point de jouir sans que l’on touche mon sexe.

Soudain, l’homme s’est raidi et a poussé encore plus fort sa bite dans ma bouche. Puis des litres de sperme sont descendus directement dans mon gosier. Je n’en ai pas perdu une goutte. Quand il s’est retiré, j’ai suivi sa queue pour la nettoyer. Je voulais qu’il me baise brutalement alors j’espérais qu’il continue de bander.

Il m’a contourné et a fourré sa bite dans ma chatte. J’ai gémi de bonheur alors qu’il me pilonnait. Il était brutal. Il m’a traitée comme une poupée de chiffon. Il m’a baisé plus violemment que ce que j’ai connu auparavant. C’était animal et j’ai aimé chaque escort bayan minute de ce traitement.

Soudain, il a ralenti et a demandé :

– Qui est ton Maître?

– Vous.

– Que vas-tu faire pour moi?

– Tout ce que vous me demanderez.

– N’importe quoi?

– N’importe quoi. Je serai votre putain. N’arrêtez pas! Je ferai n’importe quoi pour que vous me fassiez. Je ferai tout ce que vous voudrez.

– Tu feras tout ce que je te dis? Même si je veux donner ton cul de salope?

– Oh oui, je vous en prie, faîtes de moi une pute. Faites-moi baiser par n’importe qui, du moment que vous me baisez aussi.

– Tais-toi salope! Je te baiserai si ça me plaît, pas si tu le souhaites. Tu es là pour mon plaisir, et seulement pour le mien.

– Je comprends Maître, je ferai tout ce que vous me demanderez. Je me consacrerai à vous et à votre plaisir. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec moi.

– Ne parle plus de toi en disant « je ». Tu n’es plus rien. Tu parleras de toi à la troisième personne, compris?

– Votre salope vous comprend Maître. S’il vous plaît, baisez votre salope pour s’être trompée.

– Bien salope!

Il attrape ensuite mes cheveux et recommence à me pilonner. Je suis baisée au-delà de ce que je souhaitais. Et je jouis continuellement du traitement brutal que je reçois.

Il éjacule en moi, me gifle et s’en va en disant simplement :

– Ne bouge pas!

Je peux sentir son sperme couler sur mes jambes. J’ai le souffle court comme une chienne en chaleur. Et c’est merveilleux. Pendant qu’il me baisait, j’avais l’impression d’être morte et d’être montée au paradis. Il est tout ce que je veux chez un Maître. j’ai oublié que je suis une femme et une mère, mais je sais que je quitterai cette vie dans la seconde si mon Maître me le demande.

Il revient un peu plus tard avec un groupe d’amis. Immédiatement je recommence à être baisée. L’un d’eux enfonce sa bite dans ma bouche pendant qu’autre investit ma chatte. J’aime ça. Je suis malmenée et contusionnée, mes poignets sont à vif là où les menottes frottent contre ma peau, mais je suis là où je voulais être.

Ça dure toute la matinée. Personne ne me parle, ils se contentent de me baiser. Je les fais jouir, mais je ne suis rien à leurs yeux. Je suis une chose, un jouet sexuel, une pute.

Quand ils ont tous fini, ils me pissent dessus à tour de rôle. Mon Maître m’ordonne de tout boire, mais j’en renverse beaucoup. Je suis fouettée pour ça. Je suis tellement excitée que je jouis lorsque le fouet tombe sur ma chatte.

Après que les hommes soient partis, le Maître me fait prendre une douche et me rend ma robe. Puis il me fait monter dans sa voiture et me dit :

– J’ai une surprise pour toi, mais je dois d’abord savoir quelque chose. Es-tu ma salope?

– Oui Maître, cette salope est à vous et à vous seul.

– Et ton enfant et ton mari?

– Cette salope est à vous Maître. Peu importe le reste.

– Bonne salope!

Il me conduit en ville et nous entrons dans un salon de tatouage. Il m’ordonne de soulever ma robe pour que le tatoueur puisse travailler. Celui-ci siffle quand il voit que je ne porte pas de culotte.

Il me tatoue ces mots : Esclave d’Antwan.

Je pense que j’ai joui pendant qu’il le faisait. J’étais si heureuse qu’un homme me croit digne d’être marquée d’une manière qui montrait mon dévouement envers lui. La douleur de l’opération n’a fait qu’améliorer l’expérience.

Le Maître me ramène ensuite chez lui. Il m’ordonne de prendre mes vêtements de rechange et de rentrer chez moi. Je suis dévastée :

– Maître, cette esclave a-t-elle fait quelque chose de mal?

escort bayan gaziantep Non salope!

– Mais Maître, je veux rester ici avec vous.

Il me gifle durement au visage et me coupe la lèvre. Un peu de sang coule.

– Ce que tu veux n’a pas d’importance, c’est ce que je veux qui importe. Je veux que tu rentres chez toi en sachant que je veux que ton tatouage reste loin des yeux de ton mari. Je t’ordonne de le baiser ce soir. On va voir s’il remarque quelque chose.

– Oui Maître, tout ce que vous voulez.

Je rentre à la maison. Ma petite fille est heureuse de me voir et la nounou peut rentrer chez elle. Je passe le reste de la journée à revivre tout ce qui s’est passé. Maintenant que je suis à la maison, j’ai peur. Et si mon Maître ne voulait plus vraiment de sa salope? Et si mon mari découvre ce que j’ai fait et ne veut plus de moi?

J’essaie d’agir normalement quand mon mari est de retour à la maison. Sachant que mon Maître veut que je le baise ce soir, je me montre particulièrement amoureuse.

Nous nous sommes couchés nous avons fait l’amour. Nous n’avons pas baisé, nous avons fait l’amour. Sa petite bite trouve son chemin dans ma chatte, mais je ne sens rien du tout. Après quelques secondes, mon mari éjacule et me demande si j’ai joui. Je lui mens et je lui dis qu’il est merveilleux et que j’ai joui. Ne m’a-t-il pas toujours fait jouir? Ajouté-je.

Plus tard dans la nuit, je reçois un message de mon Maître : « Salope, sois chez moi à 9 heures du matin. Pas de sous-vêtements et une robe moulante. »

Mon cœur bondit. Il veut encore de moi. Je m’endors, un sourire sur le visage.

Le lendemain je suis à l’heure. Mon Maître me fait pénétrer à l’intérieur, m’oblige à m’agenouiller et baise ma bouche. J’ai du mal à respirer , mais il insiste jusqu’au moment où il se vide dans ma gorge.

Ensuite, il me traîne dehors jusqu’à ma voiture et me dit :

– Monte et conduis!

Il me donne des instructions et nous retournons au salon de tatouage. Cette fois-ci , je dois me faire tatouer un pique noir sur le sein droit afin de montrer mon amour pour la bite noire.

Nous allons ensuite au club préféré de mon Maître, un club de strip-tease. Il m’emmène dans une chambre privée où il m’ordonne de me déshabiller et de faire tout ce voudront les personnes qui entreront.

Je passe les quatre heures suivantes à me faire baiser dans tous les sens. J’ai des queues dans ma chatte, des queues dans mon cul et des queues dans ma bouche. Tous les hommes qui entrent me dégradent d’une manière ou d’une autre. En plus de me baiser, ils m’insultent, me traitent de chienne sans valeur, de vide-couilles ou de salope stupide. A chaque fois qu’ils me traitent mal, une vague de plaisir me traverse. Chaque fois qu’une bite abuse de moi, j’ai un mini orgasme. Je sais que c’est là que je dois être et c’est ma vie maintenant. M’en rendre compte me fait jouir.

Puis mon Maître Antwan m’ordonne de rentrer à la maison et de baiser à nouveau mon mari. Il m’ordonne aussi de lui cacher mes tatouages.

J’essaie, mais je pense qu’il soupçonne que quelque chose se passe. Quand nous faisons l’amour, je garde mon haut au lieu de l’enlever comme d’habitude. Heureusement mon mari ne dit rien et moi non plus.

Plus tard je reçois un message de mon Maître : « Salope, tu es à moi. Demain, amène toutes tes affaires chez moi. Tu vivras ici maintenant. Tu feras tout ce que je te dis. Ne dis rien à ton mari ».

Je frissonne de joie. Je suis sur le point de quitter un homme que j’aime et qui sait m’aimer ainsi que mon bébé pour être l’esclave d’un Maître noir. Je ne peux pas attendre.

Je dors à peine cette nuit-là, mais je ne suis pas tout à fait réveillée lorsque mon mari part travailler. Il embrasse ma joue et s’en va. Je me lève immédiatement et j’emballe tous mes vêtements et effets personnels dans deux valises que je mets dans ma voiture. Quand la nounou est arrivée, j’embrasse ma petite fille et je pars pour ma nouvelle vie avec mon Maître.

FIN

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La Sortie de la Truie

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Il ne fait pas beau ce vendredi matin, le temps est gris. Cela change un peu de la veille où il a plu toute la journée. Là il ne pleut pas, il fait même plutôt lourd.

Je prépare le petit déjeuner de ma Maîtresse, des oranges pressées et un bon croissant tout frais.

Ma Maitresse se lève tranquillement, elle a le sourire aux lèvres comme d’habitude. C’est un bonheur une Maîtresse qui a le sourire, cela change de celles qui veulent toujours se donner un air méchant.

Pendant que je suis à mes occupations de ménage, ma Maîtresse textote tranquillement. Une fois fini, je viens vers elle à quatre pattes, pose ma tête sur ses genoux. J’aime qu’elle me caresse les cheveux. Je viens aussi près d’elle pour qu’elle sente l’odeur de ma couche et m’autorise à l’enlever pour me nettoyer. Mais ça n’a pas l’air d’être sa préoccupation du moment car elle file dans la salle de bain.

Elle ressort trente minutes plus tard douchée et maquillée, et s’enferme dans la chambre.

Ma couche est saturée de pipi et j’ai envie de faire la grosse commission.

Ma Maitresse ressort de la chambre avec une petite robe d’été très légère, ses baskets aux pieds.

Au même moment, on sonne a la porte. Là, elle me dit :

Ne bouge pas, tu restes sur ton coussin.

Mon coussin se trouve au milieu du salon, difficile pour un visiteur de me rater. je suis nue, juste vêtue de ma couche qui pendouille tellement elle est pleine. Je suis rassurée de voir que c’est son amant, il me connait et connait ma condition de truie.

Ils s’embrassent tendrement comme deux amoureux, à ce moment-la je suis invisible à leurs yeux.

Après dix bonnes minutes de bisous et caresses, j’ai même cru qu’ils allaient faire l’amour dans l’entrée. Ils viennent vers moi. Lui me salue avec juste une petite caresse sur la tête en me disant :

Tu pues la truie.

Ma Maîtresse arrive avec mon collier et la laisse. Elle me passe le collier autour de mon cou, me pose mon groin en plastique sur le nez et un écarteur dans la bouche en forme de lèvres. Avec ça, je peux difficilement fermer la bouche. Ma Maîtresse me tire vers la porte de la maison. (Ah oui je dois vous dire, ma maison est une maison de ville, le jardin est sur l’arrière et la porte d’entrée donne directement dans la rue.) Elle m’autorise à me mettre debout et elle ouvre la porte en me tirant à l’extérieur. Je suis paniquée si un voisin me voit ou si une voiture passe. Elle me conduit en vitesse sur l’arrière de la voiture de son homme, ouvre le coffre en me disant de monter dedans. Je ne demande pas mon reste et saute dedans vite fait.

Elle referme le coffre, je suis dans le noir, c’est une voiture où le coffre ne communique pas kahramanmaraş escort avec l’habitacle.

Je reste là dans le noir, on ne démarre pas de suite. C’est la première fois que je sort dans cette tenue de chez moi, je suis un peu paniquée. Avec la peur et l’appréhension, ma vessie ne tient plus et je me lâche. La couche fuit mais je me rend compte que tout a été prévu et que le sol du coffre est recouvert de plastique. Dans le noir, pas facile de se rendre compte du temps mais on finit par démarrer. J’essaye de savoir où nous allons en écoutant leur conversation mais j’entends surtout les bruits de roulement et des éclats de rire. Le reste est très confus. Au début, en fonction des virages, j’arrive à me repérer mais je suis vite perdue.

Je suis un peu ballotée mais ça va, il conduit doucement et sans à-coup. Je pense qu’il ne souhaite pas avoir d’accident ou être contrôlé avec une truie humaine dans son coffre. Nous roulons un long moment, puis je sens la route plus cahoteuse. Je suppose que nous sommes sur un chemin. Enfin le moteur s’arrête, je dois dire que cela fait du bien, car le confort d’un coffre ce n’est pas terrible.

La porte du coffre s’ouvre et, malgré l’absence de soleil, je suis éblouie. Ma Maîtresse prend ma laisse et me fait descendre de la voiture.

Elle me demande:

Comment c’est passé ton voyage, pas trop mal installée?

Je lui réponds que ça va bien.

A partir de maintenant, tu restes à quatre pattes. Tu ne devrais pas avoir mal aux genoux, la terre est trempée et donc moelleuse. Tu as interdiction de parler, juste grogner comme une truie. Si on croise du monde, tu restes comme tu es, mais bon il y a peu de voitures sur le parking, cela devrait être calme. De toute façon, tu restes une truie quoiqu’il se passe. Si tu te lèves, ou que tu parles ou que tu désobéis, je te plante la. Nous on rentre en voiture et toi tu te démerdes à rentrer à pieds dans la tenue où tu es.

Pour être sûr que je ne puisse pas enlever mon groin, celui-ci est accroché a mon écarteur de bouche et fermé avec un petit cadenas derrière ma tête. Mon collier est lui aussi fermé avec un cadenas. Ma couche est enlevée et son amant arrive avec une espèce de harnais qu’il passe entre mes jambes. C’est une ceinture de chasteté qui vient couvrir mon sexe et qui est munie d’un plug rose en forme de queue de cochon. Il se verrouille autour de ma taille et un cadenas dans mon dos ferme le système.

C’est harnaché de manière poussée mais comme cela je ne souhaiterais pas rentrer à pied chez moi, surtout que je n’ai aucune idée de l’endroit où nous sommes.

Pour compléter le tout, ma Maîtresse kapalı gaziantep escort prend ma couche et l’essore au dessus de moi. Je suis couvert de pisse qui sent fort, elle finit par me l’écraser sur le visage pour finir de bien m’en étaler partout. La couche finit dans la poubelle qui se trouve à proximité.

Nous commençons à marcher, eux se tiennent la main et moi je dois marcher devant. Nous entrons dans la forêt par des petits chemins. Le sol est couvert de boue. Ma Maîtresse, en plus de la laisse, a apporté une cravache et ne manque pas de me fouetter sur la fesse droite si l’on doit aller à droite et la gauche si l’on doit aller à gauche.

C’est pour eux une ballade en amoureux car à quatre pattes, je ne marche pas vite.

Au bout d’un moment, je ne tiens plus et la grosse commission que je retenais depuis le matin se fait sentir. N’ayant pas le droit de parler, j’essaye de faire comprendre à mes dominants que je dois faire caca. Je baisse mes fesses comme ferait un chien et je les regarde. Ma Maîtresse comprend vite mais avec le plug c’est compliqué.

Son amant me détache la ceinture pour retirer le plug. Comme il ne sait pas où le mettre vu son état, il ne trouve rien de mieux que de me le fourrer dans la bouche tenue ouverte par l’écarteur. Je me retrouve avec un plug queue de cochon plein de merde dans la bouche, le cul baissé à chier devant eux qui me regardent.

Une fois un bon gros caca sorti, Monsieur me prend le plug de la bouche, le trouvant trop sale me l’essuie sur les joues et le front. Il replace le gode dans mes fesses et referme la ceinture. Je pense que nous allons repartir mais ma Maîtresse décide que je dois avoir le cul sale comme les truies donc me force à m’asseoir dans mon caca tout frais. Je remue bien les fesses pour bien en étaler. Je dois dire que la sensation est très agréable. Une fois le cul bien sale, ma Maîtresse me dit qu’une bonne truie recouvre toujours sa merde avec son groin. Donc j’obtempère l’histoire que mon groin soit bien recouvert de merde et de terre, ce qui me donne une bonne odeur à respirer.

Nous reprenons la ballade, eux doivent avoir une vue magnifique sur mon postérieur merdique. Nous arrivons sur le chemin à une grande flaque de boue. A croire qu’ils sont venus repérer les lieux avant. Ma Maîtresse détache ma laisse et me demande de lui montrer comment je suis une truie heureuse. Je m’avance dans la flaque de boue en essayant de m’en mettre le moins possible sur moi. Là, je sens une douleur atroce. Ma Maîtresse, armée de sa cravache, vient de me mettre un coup de toutes ses forces sur le cul.

C’est quoi cette truie??? Tu kaliteli gaziantep escort te prends pour une diva??? Je te propose une belle ballade et tu fais ta mijorée de petite merde, montre-moi la vraie truie que tu es!!!

Un nouveau coup de cravache m’aide à me jeter dans la flaque de boue, je me roule dedans, je m’en étale partout et je plonge même mon groin dedans, mais avec la bouche ouverte, pas une bonne idée.

Ma Maîtresse a raison, en fait je kiffe vraiment cela, et si je n’avais pas la ceinture de chasteté, elle verrait ma petite bite toute dure. Ma Maîtresse finit par savoir mieux que moi ce qui me plait vraiment.

Je suis vraiment dans mon élément comme ça et, chose bénéfique, le goût de la terre vient remplacer celui de la merde. La texture dans la bouche n’est pas des plus agréable mais le goût est moins fort. De plus, le temps est lourd et la boue me rafraîchit.

La récréation se termine et ma Maîtresse me rappelle à ses pieds pour raccrocher ma laisse. Je n’ai plus une parcelle de peau visible. Sur le chemin, nous croisons un joggeur, il passe en nous regardant et une fois plus loin on entend Bande de tarés!

Je n’ai même pas relever, en fait j’éprouve une fierté à être traitée ainsi, je peux m’assumer, je suis bien et dans mon élément.

Je ressens des petits coups de cravache sur la fesse droite, mais il n’y a pas de chemins à droite. Je me retourne et ma Maîtresse me fait signe avec son menton d’aller à droite. Je commence à m’enfoncer dans les broussailles qui ne sont pas très hautes mais quand on est nu et à quatre pattes, ce n’est pas facile. Je les entends rigoler, eux me suivent facilement debout, moi je me fais griffer le ventre, les bras, les jambes, heureusement que mon sexe est enfermé dans sa prison.

Nous parcourons une dizaine de mètres qui nous éloigne et nous cache du chemin.

Ma Maîtresse me fait allonger sur le dos, elle vient chevaucher ma tête et reste comme ça. Je sens les pieds de son amant de chaque coté de mon corps. Ma Maîtresse baisse ses fesses au contact de mon groin et de ma langue, ce qui, je suppose, veut dire que je dois la lécher. Je parcours de ma langue son anus, c’est une caresse que j’adore lui faire mais là avec le nez de cochon et l’écarteur, ce n’est pas simple.

Je la sens faire des mouvements, je pense qu’elle suce son homme. Il va la relever et me demander de me remettre à quatre pattes. Ma Maîtresse se place au dessus de ma tête, les mains en appui sur le haut de mes fesses et son homme vient la prendre en levrette. Leur coït dure quelques moments et lui se retire et s’accroupit pour venir jouir sur mon visage.

Nous prendrons le chemin du retour où ma Maîtresse me dira qu’elle a été fière de sa truie. C’est pour moi, une véritable preuve d’amour la reconnaissance de ma Maîtresse.

Je retourne dans le coffre pour le retour et au vu de mon état. Arrivée a la maison, je passe pas mal de temps dans le coffre, en attendant le bon moment pour sortir sans me faire voir.

Voilà une superbe sortie pour une truie avec la meilleure des Maîtresses.

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Tante Beth – Chapitre 04

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Babe

Je finis de prendre une douche chaude et revigorante. Beth prépare des pâtes à la carbonara pour le déjeuner. Je n’en ai jamais mangé auparavant, nous buvons un vin rouge. Pendant que l’orage continue de tomber dehors.

Pendant le déjeuner, Beth se saoule, raconte des blagues, des phrases épicées, dit des indécences, la boisson altère ma tante. Tout cela me rendait fou de monter cette vilaine pouliche. J’avoue que j’étais aussi affecté par le vin, je suis très faible pour les boissons.

Beth a commencé à parler de ses trahisons, je pense que c’était juste pour m’exciter encore plus, je ne pouvais pas croire ce que j’entendais. Elle ne ressemblait même pas à ma tante.

“C’était ton premier mec noir?”

“Le seul, mais c’était sensationnel. C’est dommage.”

Je sentais ma bite s’épaissir.

“Keto, magnifique. Je ne sais pas si je dois te le dire. Que vas-tu penser de moi? Je suis ta tante, mon garçon!”

“C’est juste que tu as parlé si bien de lui. Tu m’as rendu curieux?”

“Curieux, hein? Curieux ou pervers?”

“Les deux.”

“Vous êtes vraiment ma parente, n’est-ce pas? Alors Keto m’a appris beaucoup de choses, quelle langue avait cet homme. Quels doigts, quel pénis.”

“Vraiment!”

“Aussi avec un si long, si large. Et en plus de ça, noir. C’était il y a environ trois ans. Je ne l’ai jamais revu. C’était lors d’un voyage, il m’a invité à boire un verre, puis m’a emmené dans sa chambre.”

“L’oncle n’était pas avec la dame?”

“Bien sûr que non! Imaginez. J’étais ivre, plus que je ne le suis maintenant. Je me suis retrouvée allongée sur le lit, sans mes chaussures, la tête hors du matelas. Une ambiance savoureuse, la boisson, je devenais coquine, je me souviens avoir déboutonné mon chemisier. Je lui ai demandé s’il aimait ça.”

“Et il a aimé?”

“Il a dit qu’ils étaient beaux, parfaits.”

“Très poli, votre ami.”

“Poli! C’est un salaud, voilà ce qu’il est. Il a fait l’imbécile juste pour me provoquer.”

“Qu’est-ce qu’il a fait?”

“C’est ça que tu veux, connaître mes secrets?

***

“Juste jolie”? Ouais, mais qu’en est-il de toi? Tu as l’air si… gros, épais. Je peux voir?

Il s’est levé et s’est placé au-dessus de moi. Il a déboutonné son pantalon, lentement et de manière très sensuelle. Le magnifique homme a enlevé ses chaussures et ses sous-vêtements. Sa bite noire est apparue penchée devant moi, une bite épaisse touchant presque mon menton.

“Tout ça, plus gros que je ne l’imaginais! Plus épais, wow!”

Et il a eu l’effronterie de me dire qu’il n’était même pas excité. J’ai éclaté de rire. Et j’ai demandé si je pouvais faire quelque chose pour lui.

“Je peux le mettre dans ta bouche, Beth.”

Avec la voix la plus innocente. Il a brandi le bout rouge, l’a mis devant ma bouche, le truc à grosse tête. Qu’est-ce que je pouvais faire? Je léché, embrassé. Keto a gémi savoureusement. C’est si bon d’entendre un homme gémir, encore plus les jeunes. J’ai ouvert ma bouche et il a mis ce tronc à l’intérieur. Je ne sais pas comment j’ai réussi, et c’est entré, j’avalais tout, jusqu’à ce que ça atteigne ma gorge.

“Aaannhhh!”

J’ai gémi, c’était ma première fois dans une gorge profonde, j’ai attrapé le couvre-lit à deux mains. J’ai vibré et montré plus que je n’aurais dû. Keto est devenu encore plus fou.

Il pilonnait, pilonnait cette bite épaisse dans ma bouche, perçant ma gorge. C’est là qu’il m’a rendue folle pour de bon. Keto était grand, avec de grandes mains et de longs doigts. Il s’est penché sur moi et a commencé à me toucher, à me gifler, à me tapoter la chatte.

Je suçais sa bite et il me masturbait, juste pour me rendre encore plus folle. C’était une nuit incroyable! Quel homme merveilleux. Dommage que nous ne nous soyons plus vus.

***

Beth a pris une autre gorgée de sa tasse, je pouvais sentir mon short devenir humide. Mais elle ne voulait plus parler. J’ai insisté.

“Et il a joui dans ta bouche?”

Elle a ri en se mordant les lèvres, elle avait l’air embarrassée.

“Ce n’est pas quelque chose qu’on demande à une dame, encore moins à ta tante.”

“Je suis désolée, je… je voulais juste comprendre.”

“Il n’y a rien à comprendre. J’en ai trop dit, comme d’habitude.Ton oncle se plaint toujours de moi.”

Elle a ri en prenant une autre gorgée. Le regard brillant dans ma direction. Le visage de quelqu’un qui veut vous taquiner.

“Donc, tu l’as aimé, tu as aimé l’histoire de tatie? Laisse-moi voir.”

Beth a ouvert ce sourire captivant, a fait descendre sa main pour caresser mon genou, puis ma cuisse. Lentement, elle est montée jusqu’à glisser sa main dans mon short. J’étais surpris, elle m’a offert un baiser pendant que ses doigts examinaient ma queue.

“Maintenant oui, je pense que tu es prêt. Viens avec moi, dans ma chambre.”

Nous nous sommes levés et je l’ai accompagnée dans les couloirs de la maison.

“Mais dans ton lit?”

“Quel est le problème, c’est là que je dors! Mon lit est super.”

“Mais c’est là que l’oncle dort, gaziantep escort sitesi que tu dors. C’est bizarre, en tout cas pour moi.”

“Arrête ces bêtises, ça n’a rien à voir.”

Nous atteignons la chambre, le grondement du tonnerre fait vibrer les fenêtres de la chambre. Beth commence à enlever le couvre-lit et à arranger les oreillers.

Je termine de laver les couverts, en essuyant tout, je me remémore les images de sa chambre ce jour-là. Le décor était incroyable. La moquette au sol, avec des motifs géométriques dans des tons gris clair. L’éclairage rendait la pièce douillette et sensuelle. Des peintures modernes, certaines montrant la silhouette de corps nus, insinuant des actes intimes.

Je m’essuie les mains et éteins la lumière de la cuisine. Les souvenirs sont encore si vivaces, on dirait que c’était hier, pourtant, cela fait plus de trente ans. J’allume la télévision, mais je finis par m’endormir et le rêve me ramène dans la chambre de ma tante. Notre première rencontre. C’est avec elle que j’ai fini par devenir un homme.

Après que tout soit arrangé, le lit préparé, Beth se rend compte que je suis gêné. Elle s’approche de moi et me donne deux baisers sur la joue. Ce regard pénétrant dans ses yeux, elle commence à me déshabiller. Le chemisier, le short, je me débarrasse des baskets. Et juste au moment où elle est sur le point de se débarrasser de mes sous-vêtements, le téléphone sonne.

Beth fait une grimace comme si elle n’aimait pas ça. Elle va jusqu’à l’endroit où se trouve le téléphone, le sort et le pose contre son oreille, parle d’une voix anxieuse.

“Allô!”

“Oui…, qui? Ah!…. C’est vous Silvana?”

“Nerveux, moi? Pourquoi?”

Elle lève les yeux en souriant, je sens un frisson dans mon estomac, maman veut des nouvelles de moi.

“Je me suis réveillé ce matin avec la gorge qui me faisait mal, je pense que c’est le jus froid que j’ai bu hier avant d’aller me coucher.”

Il parle en se raclant la gorge, essayant de se ressaisir.

“Je sais. C’est une bonne idée, c’est juste que je n’ai pas de thé ici à la maison, j’ai oublié d’en acheter. Tu peux le croire? Dans un petit moment, je vais me faire un verre de lait chaud, ça fera l’affaire.”

Elle sourit, ses yeux brillants fixés sur moi.

“Ce n’est pas la même chose que le thé, mais c’est bon pour toi, c’est agréable de sentir la chaleur descendre dans ta gorge, c’est relaxant, j’en ai bu deux fois aujourd’hui”.

Elle rit et me fait un clin d’œil.

“Et moi je sors sous la tempête pour acheter du thé, arrête de faire l’idiote? Si j’en ai besoin, je demande à Denis et il fait plus de ‘lait chaud’ pour moi.”

Beth me frotte l’index sur le nez en riant de mon air effrayé.

“Je sais, femme, je sais, mais il y a encore beaucoup à faire, je t’ai dit que la garde-robe est très désordonnée. Et en plus, ça fait plus d’une heure qu’on est sans lumière. Il n’y a pas eu une coupure de courant chez toi?”

Je ne sais pas comment elle a pu mentir comme ça. La voix la plus naturelle du monde, même moi je croyais qu’on n’avait plus d’électricité.

“Nous avons déjeuné à la lumière des bougies. J’ai raconté des histoires drôles, Denis a adoré, il était tout excité, votre fils est un drôle de garçon.”

Beth me fait un clin d’œil en reposant le téléphone sur son épaule.

“Il pleut toujours aussi fort ici, c’est comme un déluge.”

Je regarde le paysage à travers les fenêtres de la chambre, il pleut, mais rien à voir avec ce qu’elle décrit au téléphone.

“Soyez rassurée Silvana. Nous reprenons le travail et quand tout sera terminé ici, je vous amènerai Denis, ça devrait être après sept heures. Rassurez-vous, il est en sécurité avec moi. Bisous. Au revoir.”

Beth repose le téléphone sur le crochet de la même manière qu’elle l’a décroché, elle ne se tourne même pas vers le domestique, elle me fixe toujours avec le sourire de quelqu’un qui sait qu’elle a menti.

“Ta mère est très méfiante. Ne t’inquiète pas, elle a accepté tout ce que j’ai dit. Tu dois juste le confirmer.”

“Mais est-ce que tu étais obligée de parler du lait?”

“Et j’ai menti? Je n’ai pas eu de lait chaud aujourd’hui? Ce que vous avez fait pour moi! En fait, délicieux.”

Je montre mon inquiétude en fronçant les sourcils. Beth laisse échapper un rire.

“Bobo, tu es vraiment le fils de Silvana! Ne t’inquiète pas, mon garçon.”

Beth s’approche en affichant un large sourire séducteur, me prend dans ses bras et pose sa tête sur mon épaule. Je sens son parfum, les ongles de Beth commencent à me gratter, et j’ai la chair de poule. Ça m’excite, je commence à durcir.

“Bon garçon. J’aime ça quand mes hommes sont charmés par moi. C’est mieux que de sortir dîner.”

Un autre baiser arrive, un baiser flottant et humide. Et la prochaine chose que je sais, c’est que ma bite est libre, massée dans la soie de la robe de chambre et le long de la cuisse de Beth. Ma respiration devient lourde, le regard de la femme gaziantep escort forum me contrôle. Mon cœur bat la chamade. Ma tante défait le noeud de la robe. Sa beauté émerge, les seins parfaits d’une femme mûre, sa peau douce.

Je me délecte de ce qu’elle me provoque en tenant son sein, et en passant mon doigt sur son téton.

“Embrasse, mords-moi ici. Goûte ta taaante!”

Elle parle lentement, et je me penche pour sentir la douceur de sa peau sur mes lèvres, le téton brun se durcissant à mon contact. Beth frissonne.

“Suce, suce mon bébé. Mords le téton de tatie.”

Je place ma bouche autour du mamelon, je sens la texture dure. Je mords, suce. Je suce le délicieux sein de ma Beth. Mieux qu’un rêve.

“Là! Pas si vite, ça me fait mal.”

Je ralentis le rythme, mais le sein est toujours dans ma bouche, des gouttes de salive mouillent le sein. Le sein commence à briller, j’entends les gémissements de Beth. Les phrases floues.

Elle m’offre l’autre sein, j’y vais avec plus d’ardeur. Je le lèche comme un pervers affamé. Beth enroule ses doigts expérimentés autour de mon phallus et me masturbe. Je lève le visage et affronte son sourire magistral, un baiser vient, nos bouches se collent l’une à l’autre, nos langues s’agitent dans nos bouches.

Les mamelons durs et humides grattent ma poitrine et les doigts de ma tante massent mon sexe.

“Assez! Comme ça, tu me laisses sans souffle. Les garçons, toujours pressés. Détendez, on a le temps de tout faire.”

Elle montre un merveilleux rire. Les yeux noirs brillants, montre ses doigts mouillés par mon désir. Indécemment, Tatie suce un doigt, le mord, puis ricane à nouveau comme une vilaine fille. Ma bite est chaude, la sueur coule sur mon front. La trique augmente, la tension s’amplifie.

“Je vais t’apprendre comment on fait pour faire plaisir à une fille. Vas-y, bébé, descends. Descends et embrasse-moi ici… Ça fait longteÇa fait longtemps que personne n’a fait ça pour moi.”

Beth ouvre sa vulve charnue et poilue avec deux doigts. Je m’agenouille devant ce trésor qu’est le vagin de ma tante Je sens l’odeur du sexe, la sueur sur son entrejambe et ses doigts qui me laissent admirer l’intérieur de son vagin. La divine chatte de ma tante.

“Ici, mets ta bouche ici. Unnnh! Bébé lèche moi en tournant autour, tu vois ce joli petit point? La petite cerise de ta tante. Mon secret, embrasse-moi très lentement. Aaaaiii! Oui, oui, comme ça!”

C’est plus que fascinant, c’est stimulant d’embrasser le vagin interdit d’une tante. La délicieuse culpabilité de me savoir l’amant de Beth. Ma bite palpite, mon cœur est presque dans ma gorge et ma bouche boit le goût d’agrumes de cette stupéfiante vulve. L’odeur forte d’une femme excitée. Le goût indécent de cette chatte.

Beth est allongée sur le lit, les jambes écartées, la chatte d’une femme mûre sur mon visage.

“Viens mon amour, mon ange. Mords mes lèvres… aaahh! Fais-moi mal, chérie. Enfonce cette langue perverse dans mon aaahh! Embrasse ta salope de tante! “Lèche, suce-moi partout.”

J’enfonce mon visage au milieu de son corps. Les poils me griffent le visage, mon tête pénètre sa vulve. Beth me tire par les cheveux, j’attrape ses cuisses. Elle se frotte contre mon visage, se masturbe avec mon visage.

Les cuisses dodues, rondes, douces de cette femme salope qui est ma tante. Je les embrasse toutes les deux, je mords, je gratte, ma langue lèche la peau douce. Le souffle chaud de la vulve indécente.

Devant moi, Tante travaille son clito rouge et pointu, sans limites, dans le désir le plus pur, Beth se masturbe devant moi. Une odeur forte, un parfum acide qui dégouline chaud entre ses doigts, sur ses lèvres repliées. Je suis de plus en plus hypnotisé, le paysage me rend encore tendu, dur comme une pierre.

“Viens, donne un baiser, chérie. Embrasse-moi et je remplirai ta bouche de mon amour! Denis!!!”

Jamais plus je n’ai embrassé une femme comme Beth, comme la tante. Un baiser si fort, si percutant, j’étais un innocent et cet orgasme d’une femme si forte a fait de moi un homme. C’était le début de tout.

– Ahnnnnn!!! Ahnnnhhhh!!! Mmmmmmm!

Mon visage sur son corps, ses lèvres sur ma bouche. J’ai utilisé ma langue pour lécher sa belle vulve, Beth a poussé en moi, j’ai senti ma tante frémir, ses cuisses se sont agitées et elle a commencé à jouir. Elle se tortillait comme une femme, le goût aigre se mêlant au goût sucré de l’orgasme.

Beth m’a baigné le visage en criant, en braillant comme une folle. Ses doigts agitant son clito, ses lèvres, je la vois dans un nouvel orgasme. Sans peur, sans culpabilité, à l’apogée de la trique d’une femme mûre.

– Aannnhhhhhh!!! OOoooohhhhhh!!! Ooooooohhhhhhhhh!!!

Ma Tante est laissée haletante, épuisée, se remettant de cette folie. Elle a joui devant son neveu, dans le lit où elle dort avec son mari, dans la maison où elle vit avec ses enfants.

Je me tiens devant elle, ma bite chaude, la peau tendue et une goutte sortant du bout, la escort gaziantep tête violette semblant sur le point d’exploser. Beth rit, passe sa langue en mouillant ses lèvres.

“As-tu aimé voir comment tu me quittes? As-tu aimé voir les indécences que j’ai faites pour toi? Wow! Tu as envie de faire l’amour à une femme? Faire de tatie une salope, ta pute?”

Ce trouble de l’élocution, cette voix fatiguée, rire cynique. Beth me taquinait, me rendant encore plus fou d’elle.

“Aïe, Denis, mon garçon. Si belle, qui aurait cru que je serais celle qui prendrait ta virginité. Hmm? Veux-tu baiser ta tante? Ta bite a l’air si savoureuse d’ici. J’en ai vu peu comme ça.”

La voix rauque, le visage coquin. Beth s’ajuste sur le lit, écarte les jambes et m’offre son univers. La vulve sombre, les lèvres humides, ses mains qui caressent ses cuisses. Mes yeux piégés sur le visage rectangulaire, le sourire cible, la bouche pulpeuse.

“C’est chaud, super chaud mon garçon. Viens, viens mon fils. Aaahhh!”

A ce jour, je ne sais pas comment tout cela est arrivé. Je sais seulement que j’ai chevauché Beth, j’ai chevauché cette femme comme un pervers. Un moment j’étais sur elle, le suivant mon pénis envahissant la grotte interdite. J’étais comme un animal, l’instinct me poussant à faire des choses que je ne connaissais pas. Agité, anxieux, un fou qui baise sa propre tante.

“Ralentissez mon garçon, ralentissez Denis! Doucement, qu’est-ce qui presse? Embrasse-moi d’abord, j’aime mon goût dans la bouche de mes hommes”.

Nous nous embrassons, un baiser intense, les langues folles se battant dans l’espace minimal de nos bouches, nous salivons à nouveau en mouillant nos visages. Beth force nos bouches à s’écarter, cherchant de l’air…..

“C’est ça, vas-y, vas-y, vas-y mon joli.”

Le visage de Beth me montre que j’ai trouvé l’endroit, un endroit humide, dense, une crème épaisse. Un nouveau monde. Je ne sais pas si c’est de la douleur ou du plaisir, je ne sais pas si c’est de la tare ou de la folie. Le visage de Beth s’illumine, ses joues sont roses, son sourire est forcé. Elle enlace mes cuisses avec ses jambes.

J’entre profondément, ma bite perçant la chair tendre de ma tante.

“Aaannhh! Aaaaahhh! Tanteeehh.”

“Denis chérieee… Ahhhh! ma douce, baise, baise-moooiii!”

“Tanteeehh!!”

Les corps qui s’entrechoquent, les chocs, les bruits humides de notre union. Beth s’ouvre, enlace ma taille avec ses pieds. La sueur qui mouille nos corps, les baisers avec nos langues qui s’enlacent à l’extérieur de nos bouches. Et mon torse perçant l’intérieur de ma tante excitée. Magnifique!

Jusqu’à ce qu’elle me demande quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas, je n’imaginais même pas qu’il y avait des femmes comme ça, encore moins une aussi élégante qu’elle.

“Appelle-moi salope! Une salope!”

“Petite sSalope! Enculé!”

“Encore, encore, encore!”

“Salope, pute!”

“Oooh! J’adore qu’on me traite de petite salope! C’est ça, mon amour, baise ta tante, baise-moi bien, remplis-moi de sperme.”

Beth devient folle, elle embrasse encore, suce ma langue, mord ma lèvre, de plus en plus abusée. Je fais claquer mon corps dans le sien, les bosses deviennent plus fortes. Beth me gratte le dos avec ses ongles, jusqu’à ce qu’elle me gratte le cul avec ses doigts.

La douleur, l’excitation et la surprise me font vibrer. Un tremblement de terre, un tourbillon venant de l’intérieur de moi.

“Tu es un délice Beth. Je pense… aaahh! Aaaahhh!”

L’expression enfantine sur le visage d’une femme expérimentée. Beth savourant mon moment, et elle m’a aguiché comme une prostituée.

“C’est ça, c’est ça mon garçon. Va remplir ta tante avec ton lait chaud. Vide tes couilles pleines à l’intérieur de mon corps. Tout, tout Denissssss! Mon amouuuurrrr!”

Nous sommes arrivés ensemble, reliés par ma bite, unis dans un baiser mouillé, nos langues liées ensemble et tous les deux hurlant le plaisir de cet instant. L’orgasme ultime. Unique et délicieusement incestueux. Interdit et inoubliable.

Nous sommes restés dans cette position pendant un moment, je ne savais pas si c’était un rêve. Tandis que Beth caressait mon dos avec ses doigts. Jusqu’à ce que les caresses se transforment en chatouilles et que je me lève de ma tante. Nous avons tous les deux regardé le plafond en nous tenant la main. La pluie s’était arrêtée depuis un moment. On n’entendait que les gouttes qui tombaient sur les plantes dehors.

“Ça t’a plu?”

“J’ai adoré. Tu es incroyable. Je n’ai jamais eu une femme comme toi.”

“Tu n’as jamais été avec une femme, Denis.”

On a ri, ensemble, complices. Elle sur le côté, sa tête reposant sur la paume d’une main. Ses doigts jouant avec les poils de ma poitrine.

“Delight, j’étais dans le besoin. Je suis heureux que tu aies voulu de moi.”

“Et qui ne voudrait pas d’une femme comme toi?”

Elle a laissé échapper un rire moqueur.

“Merci mon amour, dommage que ce ne soit pas comme ça dans la vraie vie. J’aimerais bien!”

“Quelle heure est-il?”

“Je crois… plus de six heures.”

“Oh, mon Dieu. Ma mère va me tuer.”

“Non, elle ne le fera pas. J’ai fait quelque chose de bien pour son fils. Elle ne le sait même pas, mais je l’ai fait.”

Elle m’embrasse sur l’épaule, sur la joue.

“Viens prendre une douche et je te ramène chez toi.”

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Surprising

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Babes

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Emmanuelle et le doyen Sélim

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Amateur

Dimanche matin , seuls à l’appartement à Neuilly avec mon époux , nous traînons , car nous sommes rentrés tard cette nuit.

Michel mon mari , offrait un repas à son ami Sélim doyen de faculté au Liban pour fêter un protocole de recherche et d’échange entre leurs Universités . Comme je suis aussi universitaire, j’étais de la partie, mais en plus je suis plutôt jolie fine et agréable à l’œil ( j’ai rêvé d’être mannequin mais mon père a fortement insisté pour que je poursuive une carrière scientifique en l’occurrence dentiste hospitalo-universitaire et libérale ) donc Michel m’avait demandé d’être en représentation en tenue plus jolie et transparente .

Pendant le repas, arrosé de bons vins, Mr Sélim, gros mangeur bien éduqué, à la corpulence imposante, n’arrêtait pas de me regarder puis de reluquer , et comme j’avais aussi bu ma poitrine se soulevait et sous les regards masculins mes tétons étaient érigés!!!!

Bref, les propos avaient été un peu macho et un soupçon salace ( mais dans le cadre de ce grand restaurant la tenue avait prévalu).

La nuit fut courte et chaude, Michel a remarqué tout de suite en rentrant en taxi, Emmanuelle tu es excitée hum tes penchants de bourgeoise à forcer? Dans le taxi je lui intimais l’ordre de se taire , mais en lui sussurant que oui mais que je l’adore quand il bande et ce sans qu’il ne doive porter mes dessous , ce qui d’habitude le dope!

Dès l’arrivé à l’appartement je me suis laissée prendre comme une femelle en rut dans le salon sans fermer les rideaux ( mais avec juste la lumière de la rue ).

Au matin , vers 10 h coup de fil de Sélim, un problème dentaire , Michel qui a pris le téléphone, me demande si on peut se retrouver au cabinet dentaire près des champs? Je ne peux qu’acquiescer. Je m’habille plus sérieuse que la veille , body noir Eres avec ses jarretelles pour mes bas gris foncés robe maille noire moulante et petits trotteurs aux pieds. Au cabinet , Sélim est déjà là , en fait il a une couronne descellée , je ne vais pas en avoir pour longtemps . Le temps de mettre une blouse , mais trop courte et je n’aimerais pas salir ma jolie robe alors je m’excuse et pars me changeret ôter ma robe, évidemment quelques plaisanteries masculines fusent en arabe , et comme je ne comprend pas , Michel traduit : mr le Doyen te propose sans blouse!!! et il rajoute ce qui ne serait pas plus déshabillé que sur une plage, comme l’été dernier éructe Mr Sélim avec gentillesse gauloise et autorité évidente . j’élude la proposition avec élégance en faisant remarquer que l’érotisme commence avec le rêve et que ma blouse plissée ( en fait celle de mon assistante plus petite de 15 cm que moi ) permet de faire évader son esprit plus que mon corps physique! J’avoue qu’une blouse croisée sans boutons juste tenue par un lien dessous et une ceinture dessus, plissée pour le volume et les mouvements, un peu trop petite en tour de taille et en longueur , m’ a fait sourire in petto au moment de me changer et avoir l’envie de jouer à la dentiste bourgeoise trop sexy!

Mais je me tiens bien , même si mes tétons me trahissent un peu et essaient de se dresser au dessus du balconnet si fin de mon body , j’essaie de les y replacer mais je n’arrive qu’ à les pincer et les exciter encore plus, un désastre, ils ressortent du bord de mon body et pointent dans les plis trop transparents , à mon goût, de la blouse!

Pour les soins , c’est facile : couronne descellée et patient allongé , moi assise derrière. Sa tête me suit quand je me lève et me déplace pour prendre le matériel nécessaire . Son regard affole mes jambes mais ma tête arrive à rester froide, malgré les réflexions macho de mon mari si faible dans ces circonstances et de son ami qui a l’ascendant du macho méditerranéen et l’aplomb de l’obèse!! Je dois éviter les mains qui glissent sous le siège et palpent mes genoux et , ses lèvres qui sucent mes doigts gainés de latex.

J’arrive à nettoyer la dent , et Michel m’aide en allant nettoyer la couronne au laboratoire , Oh mr Selim en profite pour me demander de lui montrer mon body , il a des demande de lingerie de la part de sa fille adorée , et mon body lui semble parfait!!!!! et mon regard sur son pantalon, m’indique que celui ci est déformé par un sexe de taille sans doute monstrueuse . Mais j’essaie de lutter car il tire sur ma ceinture qui se défait , et toute ma blouse s’ouvre retenue que par le lien interne , j’essaie de me dérober mais je suis en plein soin . et Michel qui revient avec la couronne parfaitement nettoyée qui ne regarde pas! Je me lève et me retourne vite pour remettre ma ceinture , je suis rouge de confusion! et oh sur mon écran je vois les deux encadrés des caméras de surveillance ouverts : on m’y voit parfaitement , donc tout a été filmé! Mr Sélim blague Michel sur mon côté bourgeoise française sexy!!! oh , je me dépêche de me rasseoir , de lui poser écarteur et digue pour sceller à l’abris de la salive , ouf il ne peut plus parler . Michel me fait l’assistante et la couronne est scellée!!! . Après escort numaraları avoir tout nettoyé , et relevé le siège , mr Sélim me demande ce qu’il me doit. Bien évidement : rien!

Oh mais si , répond il, je vous invite à déjeuner aux Champs

, et comme je dois faire des achats pour ma fille je vous pourrais vous offrir quelques jolies pièces, glisse mr Sélim . Michel se dépêche d’acquiescer, et me laisse aller me changer .

Il n’a pas saisi que ce sont des pièces de lingerie dont veut parler mr Sélim , cela me contrarie, mais bon un bon repas cela aidera . Dans le laboratoire , j’ôte la blouse et comme je suis excitée je m’essuie le sexe avec un kleenex , et me palpe les tétons qui sont un peu trop érigés à mon goût ( ils sont si impulsifs dans leur réactions ) , je remet ma robe noire maille , et me recoiffe dans la glace , oh mais je vois un petit voyant rouge dans un coin du miroir, me retourne , oui la caméra de surveillance est allumée!!!, j’espère que personne ne l’a remarqué.

Je regarde le petit écran du labo, les fenêtres de surveillance sont ouvertes, michel m’a t il regardé tout à l’heure??? il faut que je pense à effacer les enregistrements! Mr Selim , est ravi il est tout sourire et avec son tel me prend en photos « ma dentiste préférée » dit il , sur le trottoir , sa limousine attend et comme le chauffeur m’ouvre la porte et que je m’y gliss , je n’arrive pas à contrôler la remontée de ma robe et mr Selim filme!!!!!

Le chauffeur ( un grand black ) nous dépose devant le restaurant sur les Champs-Elysés juste à côté d’une galerie marchande .

Hélas il va nous falloir attendre environ 30 minutes , et Mr Selim qui propose : si nous en profitions pour faire quelques achats , je dois rapporter des cadeaux pour la fille!

Dans la galerie , marchande les deux hommes parlent cadeaux à raporter à la fille de mr Sélim , et, alors que je suis génée de son regard perpétuellement vicieux et de voir son pantalon trop moulant pour ses parties génitales , alors qu’il écarte toujours les pans de son veston devant moi.

Les deux hommes s’arrêtent devant une boutique de mode et de lingerie de luxe .

La bosse sur son pantalon augmente en observant la vitrine avec ses mannequins en robes et tenues sexy juste devant des rideaux opaques . Il s’attarde sur des petites culottes transparentes et des porte-jarretelles et propose allons faire des achats!

Il ouvre la porte et mielleux m’invite à rentrer , puis michel et il ferme la marche .

Une vendeuse de grande tenue en robe croisée,talons très hauts, mais de silhouette plus petite et plus enrobée que moi, nous accueille tout sourire .

Mr Sélim se présente et demande pour des cadeaux de lingerie pour sa fille de 25 a restée à Beyrouth .

Quelle taille demande la vendeuse? oh elle a les mêmes mensurations que notre amie Emmanuelle ici présente , ose mr Sélim , du coup je vois venir le plan et je suis déjà avec une rougeur aux joues, un frisson au creux des reins et des tétons qui s’érigent!

Mr Sélim insiste et dévoile , je pourrais même adresser les photos de mon E phone et j’aimerais montrer différentes tenues à ma fille pour qu’elle choisisse elle-même! Michel a l’air stupéfait mais comme je sais bien qu’il rêve de photos déshabillées de sa femme , je ne suis pas surprise de sa réflexion : oh Emmanuelle qui a toujours rêvé de faire mannequin , tu vas pouvoir jouer à Victoria’s secret!

J’ai bien remarqué que Mr Sélim me regardait toujours d’un air vicieux comme s’il avait une idée précise derrière la tête.

Il me demande évidemment de l’aide et son pantalon qui est trop moulant pour ses parties génitales révèle un volume impressionnant et perturbant. Il écarte toujours son veston devant moi et je ne peux que voir la bosse sur son pantalon Il s’attarde sur des petites culottes transparentes et des porte-jarretelles. Mais il ne sait que choisir, il me demande alors avec un sourire pervers en me regardant droit dans les yeux (oh je suis pivoine car je sens où il veut en venir surtout qu’il a son portable à la main) : Emmanuelle, j’aimerais montrer différentes tenues à ma fille pour qu’elle choisisse elle-même

Mais elle a du mal à se faire une idée sur les manequins : Pourriez-vous m’aider? Vous allez mettre les culottes que ma fille souhaiterait essayer et vous les essaierez pour elle?

Je vous filmerai pour qu’elle puisse nous donner son avis. C’est une bonne idée n’est-ce pas?

Et il demande même à mon mari son accord qui acquiesce aussitôt.

J’en bafouille et michel qui insiste en me prenant manteau et sac pour me débarrasser et cacher son camescope

Mr Sélim demande à la vendeuse un endroit tranquille pour pouvoir faire les essayages.

Je vois qu’il lui glisse quelques billet dans la main au passage, elle sourit et nous pousse dans une pièce discrète située au fond de la boutique et aux murs composés de miroirs Mr Sélim me dit: préparez-vous Emmanuelle, voici une première escort pornoları culotte à essayer, elle est transparente!

Mon mari et son ami attendent dans la pièce que je me déshabille. Ils ont tous deux préparé leurs téléphones et camescope. Je ne peux résister. Elle est hors de prix, je la prend en main et ôte les chaussures et m’apprête à l’essayer sur mes bas et mon body sans remonter ma robe pendant qu’ils commencent à filmer.

Non non non! Emmanuelle, enfin il faut la passer sous votre robe pour que ma fille puisse se faire une opinion!Allez, retirez cette robe, mais gardez vos escarpins, s’esclame Mr Sélim, retirez également votre body pour plus de justesse dans l’essayage!

Je vois le gros homme transpirer, je perd contenance et devant les yeux des 2 hommes je laisse la vendeuse m’ôter ma robe , puis le body.

Elle profite de la situation pour me caresser la peau, je frémis, les seins, la taille, et elle m’aide à passer cette culotte. Devant les 2 voyeurs, elle ôte mes bas qui ont perdu leur jarretelles attachées au body

Je vois le libanais se frotter le pantalon tout en me filmant.

La vendeuse m’aide à remettre mes escarpins

Je suis nue, simplement avec la culotte et mes escarpins.

La vendeuse est derrière moi. Elle a donné à michel mes bas et mon body , cet idiot se dépêche de glisser cela dans son pantalon, tellement il adore le contact des dessous féminins.

Elle remonte ses mains sur mes seins, oui mes seins et elle suggère de choisir une tenue osée pour eux

Sélim ose demander à michel de prendre le soutien gorge ou la guépière le plus pute en cuir rouge à côté de lui , il obéit et Sélim demande à la vendeuse si, comme cela se fait beaucoup au Liban, elle a des bijoux de tétons .

Elle revient avec les bijoux et un plug anal qu’elle exhibe fièrement devant moi. Oh des lassos cuirs pour tétons avec une chaînette comme une laisse et michel tend une guépière cuir rouge à taille si fine et aux bonnets 1/4.

Elle m’aide à enfiler ma tenue si pute, et la vendeuse mielleuse qui sussure ( et ordonne ) madame devrait être maquillée .

Mr Sélim saute sur cette proposition : oui maquillée comme un vraie putain! La vendeuses me cale contre un poteau pour mieux enrober et dessiner mes lèvres de rouge sombre . Et le contour de mes yeux dans une couleur très sombre pour en faire ressortir mes iris si bleu.

Mr Selim demande mais il faudrait raser les poils pubiens à cette sale petite pute! Michel se permet de suggérer qu’ il apprécierait des aréoles creusées et des tétons érigés par de l’astringence et des couleurs sombres.

La langue de la vendeuse se glisse de façon gourmande sur ses lèvres et elle me pousse dans un grand fauteuil, place mes jambes sur les accoudoirs pour une épilation rapide et chimique et mes deux salauds qui me filment!

Mr Sélim s’approche de moi sur mon côté gauche . Il m’ordonne de sortir son sexe La vendeuse est entre mes jambes, elle a ôté la culotte pour me raser .

J’ ouvre son pantalon pendant qu’il filme toute la scène, j’hésite essaie de reculer , mais la vendeuse me tord un téton , et une gifle me force à obéir.

Mr Sélim excité révèle son goût pour l’autorité et me crie Sors ma bite salope! Et il m’attrappe par les cheveux.

Michel sur mon côté droit, qui se branle en cachette dans mon body, m’intime de satisfaire mes vices car il sait que j’aime ces genres de rêves (je lui as déjà parlé de mes fantasmes) être une Salope!

Je baisse le pantalon de Mr Sélim. Je découvre un caleçon gonflé par son plaisir. La taille m’impressionne, me fait peur, j’hésite à descendre le caleçon.

Mais Mr Sélim n’aime pas attendre. Il me gifle à nouveau. Dépêche toi petite pute!

La vendeuse à fini de me raser

Oui je défais le pantalon descends son caleçon et oh quel sexe. Oh ouiiii je me laisse faire

Le sexe jaillit du caleçon. Il est large et long.

Mr Selim ordonne alors emmanuelle admet que tu es une sale bourgeoise prête à faire la pute, que tu es une bonne petite soumise : Dis le! Et michel aussi me pousse , alors je murmure : je suis une sale bourgeoise heureuse de faire la pute pour vous mr Selim

Mmr Selim éclate de rire et propose à michel de dire la même chose, et insiste auprès d’Emmanuelle : fais-le dire à ton mari .

Je pleure et halète de plaisir ( être démasquée et me faire gouiner par cette vendeuses) et ordonne d’une voix cassée : michel épile toi met ce body et dévoile ta nature de sissy lesbienne .

Mr Sélim profite aussitôt de la fin de ta phrase pour engouffrer sa queue dans ma bouche de pute.

Elle est tellement grosse que j’ai du mal à le mettre en bouche .

Et Mr Sélim regarde en même temps ton mari se préparer

La vendeuse est encore occupée avec mon sexe.

Mr Sélim lui ordonne de placer les lassos de cuir sur mes tétons maquillés érigés et durcis sur mes aréoles creusées par l’astringence du produit de maquillage et puis escort portalı de mettre le plug dans mon cul de bourgeoise.

oh ouiiii je ne peux que sentir la tension de la laisse sur mes tétons ( mr Sélim la tire vers lui sauvagement) et son vit qui force ma bouche , ma gorge et je sens les doigts de la vendeuse dans mon cul. Dans mon sale trou du cul de bourgeoise .

Elle l’enfonce sans se préoccuper de ma jouissance ou de ma douleur, elle m’enfonce ce plug de belle taille à fond , et part s’occuper de l’épilation de michel , nu avec sa queue ridicule enrobée de mon body et de mes bas .

Je ne suis plus qu’un jouet pour le plaisir de Mr Sélim et de la vendeuse.

Mr Sélim ordonne : Suce-moi Emmanuelle! Sale pute. Tu te prends pour une bourgeoise mais tu n’es qu’une sale putain!

Et la vendeuse rase ton mari, pendant que Mr Sélim te bourre la bouche le cul rempli par le plug.

Oh ouiiiiii je ne savais pas que j’étais capable d’acharnement animal pour pouvoir avaler le foutre d’un étranger mysteryoo: Je sens ses grosses testicules contre mes joues à chaque fois qu’il s’enfonce dans ma gorge. Il tire en meme temps sur mes tétons.

Mr Selim est ravi mais ironique s’interroge sur l’endroit où j’ai pu apprendre à faire une gorge profonde?Tu suces comme une vraie putain. C’est à l’hopital que tu as appris à sucer comme ca? La vendeuse qui tord les couilles de mon époux lui demande si il n’a pas d’idée sur la question, michel d’une voix faible répond : je crois qu’un garagiste à gazeran le sait! Mr Sélim lui, me pose une question-affirmation : je suis sûr que tu es également la pute de tes élèves! Malgré mes tentatives de dénégations en essayant de secouer négativement la tête, mr Sélim insiste : Avoue salope! Tu es la pute de tes élèves! Dès qu’ils ont découvert tes penchants masochistes ils en ont profité.Tu n’es qu’une pute!

Il ressort son sexe de ma bouche, je crie : non, mais c’est vrai qu’ils m’ont par deux fois invitée à des soirées et j’ai refusé.

Menteuse!!! affirme mr Sélim qui est si excité à cette idée Et il me gifle et il me tend le téléphone et il m’ordonne: Appelle un de tes élève! Je veux vérifier.

Il tire sur mes tétons : Appelle!

Mon époux adoré , michel, fouille mon sac et me tend mon téléphone alors chérie appelle celui qui t’a insulté pour des mauvaises notes. Dis-lui que tu as quelque chose de très important à lui dire.

Mr Sélim insiste : Fais-le venir ici! Et il me gifle de nouveau. J’ai les yeux humides et j’essaie un « oh non pas cela , je préfère encore retourner à Gazeran »

Mr Sélim replonge son sexe dans ma bouche et se masturbe avec ma gorge. Tu vas l’appeler sale pute! Il gicle tout son foutre dans ma gorge tout en tirant très fort sur mes tétons tendus.

Il prend le téléphone et me le tend: Appelle pute!Michel est en body bas et perruque!!!! et la vendeuse agenouillée devant moi lui ordonne de prendre mon relais pour essuyer le sperme qui coule sur mon visage.

Je me mords les lèvres et je prend mon téléphone , ma vie va basculer .

mr Sélim s’étonne : alors michel-le tu suces aussi bien que ta femme!

J’ai son répondeur et je lui demande de rappeler pour vérifier les erreurs de notes!!!! je pleure

Mr Sélim me demande: Qu’est-ce qui t’arrive? Tu veux jouer les putes et tu n’assume pas? Regarde ton mari, lui il assume!C’est une pute comme toi!

La vendeuse arrive avec un gode ceinture. Pendant que ton mari suce Mr Sélim, elle vient derrière michel.

Mr Sélim le fait mettre à 4 pattes et ordonne à la vendeuse encule -le!Et elle place le gode à l’entrée du cul de ton mari

Mon téléphone sonne , c’et Olivier l’étudiant râleur , il s’interroge sur ces “erreurs de notes “

Mr Sélim m’ordonne : Fais-le venir! Maintenant!

La scène est surréaliste, mon mari prêt à se faire enculer au fond d’un magasin et moi en train d’appeler mon futur bourreau.

La vendeuse plonge d’un coup sec son gode dans le cul de mon mari.

Je suis perdue , olivier m’explique qu’il se promène av de la grande armée avec sa copine et son chien, je lui indique la galerie des champs et le nom de la boutique chez fabienne mais je tais que c’est un magasin de luxe .

Mr Sélim insiste : Tu vois c’est pas très compliqué de faire la pute! Et il se met à rire, sa bite dans la bouche de mon époux Sélim s’esclaffe : Je sens qu’on va bien s’amuser avec ton élève. J’espère que tu n’as pas été trop dure avec lui Ha Ha .

La vendeuse avoue , surtout que derrière les miroirs tout est filmé, leurs nouveaux métiers sont tout trouvés. Mais elle poursuit je suis de Rambouillet et ce garagiste de Gazeran j’aimerai bien comprendre?Raconte-nous sale pute de bourgeoise! Qu’est-ce qu’il t’a fait ce garagiste?

Je pleure et raconte que j’AI DECOUVERT LE SEXE VIOLENT après une panne de voiture chez un garagiste ou plutôt une famille assez attardée qui tenait un garage.

Mr Sélim exulte Tu as découvert que tu aimais être prise de force, faire la pute!

J’avoue que j’y retourne tous les ans pour éviter tout chantage et scandale

Mr Sélim me sussure : tu as le vice dans la peau!

Michelle confirme , il a intercepté 5 photos pour relancer le chantage, qui sont explicites et qui le font bander à mort Mr Sélim te rabaisse d’un Ta gueule pouffiasse! Je ne t’ai rien demandé sale pédale!

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