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Dominatrices Inattendues Ch. 31

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Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 31 l’échec de Maeva.

Extrait ; » Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille. Ça ne présage rien de bon….Les garçons installent un plateau identique à Gisèle. Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles. Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos… »

Maëva a fait transformer une pièce au sous-sol de sa maison en donjon. Elle a donné comme explication la vengeance qu’elle voulait obtenir sur martine et elle est arrivée à ses fins.

Mais le but principal de ce donjon c’était de soumettre petit à petit son mari Laurent.

Afin d’y aller progressivement elle lui a proposé de jouer ensembles en tenant le rôle du dominant chacun son tour.

Laurent à qui les quelque jours passés à dresser martine ont laissé un souvenir génial n’est pas contre et entre complétement dans le jeu.

Ils commencent ainsi un innocent jeu de bondage et domination au début très soft puis de plus en plus hard.

Maëva a sa grande surprise aime autant être dominée que le contraire.

Laurent est particulièrement ingénieux et elle finit toujours les séances ou elle est dominée en feu après des orgasmes mémorables.

Maintenant contrairement au plan initial de Maeva c’est presque toujours elle qui est dominée. Mais elle kiffe trop ça pour imposer plus d’équilibre.

Deux mois plus tard elle doit l’admettre. C’est toujours elle qui subit. Et elle voit que Laurent prend particulièrement son pied.

Elle décide de prendre sur elle et de renverser la vapeur.

Elle prévient Laurent qu’elle veut reprendre un peu la main et cesser pendant quelque temps d’être la soumise.

Il réfléchit et accepte à la condition qu’il joue encore une fois le rôle de dominant avant d’échanger.

Elle accepte.

Laurent commence par l’attacher dans le donjon.

En quelques minutes elle se retrouve debout, les jambes écartées au maximum par une barre d’écartement, les bras liés dans le dos et accrochée à une poulie au plafond ce qui la force à se pencher en avant.

Elle a le torse à l’horizontale.

Il lui met un écarteur de mâchoire et un masque aveuglant.

C’est classique et elle trouve qu’il n’a pas fait preuve d’imagination.

Mais elle n’est pas au bout des surprises qu’il a concoctées.

Il lui annonce qu’offerte comme elle est, il serait dommage de ne pas en faire profiter un ami.

Elle pense qu’il plaisante mais ça la chauffe quand même au fond d’elle-même.

Puis un sexe dressé se présente à sa bouche et force sans difficulté l’entrée, l’écarteur obligeant Maeva à garder la bouche béante.

Elle fait de son mieux pour faire une bonne fellation en imaginant qu’il s’agit d’un étranger.

Une paire de mains attrape sa croupe.

Et aussitôt elle sent une queue pénétrer sa chatte en force et alors qu’une autre paire de mains lui attrape les seins.

Ce coup-ci c’est sur Laurent n’est pas seul.

Elle panique un peu.

Elle ne peut rien voir et le deuxième homme ne dit pas un mot.

Ils la besognent puissamment et elle s’abandonne à la jouissance en se demandant qui ça peut bien être.

Après qu’ils se soient répandus en elle ils ne la détachent pas. Elle sent qu’ils quittent la pièce.

Plus tard alors que les crampes commencent à la travailler elle entend des bruits de pas. Lurent lui annonce qu’un bon whisky remet en forme et que son compagnon en redemande.

Elle est de nouveau prise en sandwich. Une légère différence d’odeur lui fait comprendre qu’ils ont échangé les places.

Quand Laurent la détache enfin il est seul.

Elle demande avec une colère feinte qui était la deuxième personne il lui répond qu’il fera partie de invités à la soirée poker prévu à la maison ce soir-là.

Il ajoute que si elle ne le reconnait pas la prochaine fois il y aura plus de monde.

Ça l’affole et en même temps ça l’excite profondément.

Etre prise par un inconnu l’a déjà beaucoup allumée mais par plusieurs elle a du mal à l’imaginer.

Ce soir elle est l’hôtesse des quatre amis de Laurent qui sont venus jouer.

Elle cherche dans les attitudes ou regards celui qui l’a embroché plus tôt dans la journée mais ils ont tous l’air de la regarder avec un œil égrillard et elle les imagine tous en train de la posséder.

Une fois les invités partis Laurent demande à Maeva si elle a reconnu son amant inconnu.

Elle répond par la négative.

Il lui dit alors que le lendemain elle devra repasser par la case donjon pour essayer de faire un effort pour reconnaitre le prochain invité.

Elle veut refuser mais l’excitation et toujours là et elle accepte le challenge.

Le lendemain elle est dans la même position et Laurent lui annonce qu’ils ont de la visite.

Elle attend avec impatience et est vite comblée.

Une bite dans la bouche et une dans le cul.

Elle kiffe quand elle entend la voix de Laurent qui vient de l’autre bout de la pièce.

Je gaziantep bayan escort ilanları vous avais bien dit qu’elle était docile et qu’elle était fait pour s’enfourner plusieurs queues en même temps.

Maeva a un sursaut ils sont au moins deux en plus de Laurent.

Elle veut ruer mais elle ne peut pas bouger et fini par se laisser fourrer.

Tant qu’à faire autant profiter de ses bonnes queues.

Lorsque Laurent vient enfin la détacher elle est incapable de mettre des noms sur les queues avec qui elle a fait connaissance.

Il lui dit alors qu’elle aura un gage pour la prochaine soirée poker.

Elle est interdite. Qu’à t-il inventé. En même temps elle est impatiente d’être à cette soirée.

Le jour arrive et Laurent lui dit d’aller se mettre en tenue pour accueillir ses invités.

Elle est étonnée car elle est déjà correctement habillée. Il lui précise que sa tenue est sur le lit.

Curieuse elle va voir la tenue sur le lit.

Il s’agit d’une tenue de soubrette très sexy en bas une mini jupette avec un tablier riquiqui et en haut une espèce de body avec balconnets qui soutient le bas de seins tout en laissant ceux-ci visibles.

Un porte jarretelles et des bas assortis et enfin une petite coiffe mignonne.

Elle ne trouve pas de sous-vêtements.

Par défi elle met la tenue et va voir Laurent en lui disant qu’il manque les sous-vêtements.

Heureusement elle en a qui iront bien avec la tenue et elle lui dit que cette tenue doit plutôt être réservée à des jeux entre eux deux.

Il l’attire vers lui et lui dit de se retourner.

Elle le fait volontiers pour montrer ses belles fesses.

Il en profite pour lui passer les menottes dans le dos.

Elle se retourne étonnée mais il lui dit qu’elle n’a pas besoin de sous-vêtements car ses amis connaissent tous son intimité profondément.

Elle est interloquée et veut râler.

Il lui insère de force un bâillon boule dans la bouche la réduisant au silence.

Elle est à la fois en colère et à la fois complétement émoustillée.

Il lui montre alors un plateau de service.

Ce plateau dispose d’une espèce de sangle qui sert à ceinturer le plateau sur la taille et une chainette qui passée autour du cou de Maëva relie les deux coté du plateau gardant celui-ci horizontal.

Tu pourras nous servir les rafraichissements comme ça lui dit-il.

Elle commence à se poser des questions.

Il a vraiment l’air sérieux.

Pourtant elle ne veut pas être exhibée ainsi devant les amis de poker de Laurent elle en connait certains mais deux d’entre eux lui sont complétement inconnus.

Comment pourraient-ils avoir participé aux jeux sexuels de Laurent et Maëva.

La sonnerie de l’entrée retentit.

Laurent va ouvrir et revient dans la chambre avec son ami Maurice et sa femme Gisèle.

Maeva ne sait pas ou se mettre elle est exposée plus que nue devant ce couple d’ami.

Puis elle remarque que Gisèle est enveloppée dans un grand manteau qui la couvre des pieds au cou.

Maurice enlève alors le manteau et elle constate que Gisèle porte la même tenue qu’elle en dehors du bâillon.

Elles sont magnifiques déclare Maurice en mettant les deux jeunes femmes l’une à côté de l’autre.

Gisèle est un peu plus potelée que Maëva mais elle possède des fesses magnifiques et se poitrine opulente couleur de lait doit donner beaucoup de plaisir à son homme.

Bon il ne nous reste plus beaucoup de temps dit Laurent.

Gisèle n’a pas desserré la bouche mais fait un petit sourire contrit à Maëva.

Elles sont dans la même galère.

Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille.

Ça ne présage rien de bon.

Ils les relèvent et leur mettent un écarteur de bouche après avoir ôté le bâillon de Maëva.

Elle n’ose pas râler devant giselle qui a l’air d’accepter son sort.

Quand on aura besoin de quelques choses on vous appellera comme ça dit Maurice en actionnant les télécommandes.

Le plug s’ébranle et Maëva ressent de puissantes vibrations dans le bas ventre.

Oups ça risque d’être dur car en quelques secondes les vibrations font monter une grosse chaleur du tréfonds de Maëva.

Elle voit la tête de Gisèle et se dit qu’elle aussi est sensible aux vibrations.

Les garçons installent un plateau identique à Gisèle.

Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles.

Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos.

La sonnette retentit. Les garçons emmènent les filles dans la cuisine et vont ouvrir la porte d’entrée.

Laurent installe les trois autres participants dans le salon ou une table de jeu les attend.

Ils tirent au sort les places et s’installent tranquillement.

Le jeu peut commencer.

Après quelques minutes Laurent demande aux invités s’ils veulent boire ou manger quelque chose.

Tout le gaziantep bayan eskort monde est d’accord pour une coupe de champagne.

Laurent et Maurice montrent leurs télécommandes aux autres et les actionnent.

Maeva et Gisèle qui se regardent un peu apeurées ressentent soudain simultanément les vibrations.

Elles se regardent et Gisèle fait le premier pas vers la sortie de la cuisine.

Elles entrent dans le salon ou elles font un effet bœuf.

Les loups de Tex Avery seraient jaloux des réactions des convives qui s’en mettent plein les yeux.

Du champagne pour tout le monde ordonne Laurent.

Les filles retournent dans la cuisine et ouvrent le frigo.

Plusieurs bouteilles sont dedans dont deux ouvertes.

Laurent avait prévu le coup.

Elles réussissent en s’aidant mutuellement à remplir de coupes et à les installer sur les plateaux.

Puis elles se dirigent vers le salon.

Elles font de nouveau de l’effet en entrant.

Maeva a du mal à en convenir mais ça l’excite au plus haut point.

Elles font le tour de la table chacune de son côté.

Maurice dit aux invités elles sont à votre disposition vous pouvez toucher.

Au passage de Maëva des mains lui flattent la croupe. Elle en ressent une délicieuse chaleur.

Laurent et Maurice leur montrent chacun un coin de la pièce et elles s’y mettent attendant les nouveaux ordres.

Plusieurs fois elles sont mises à contribution. Elles arrivent même à rire entre elles lorsqu’elles doivent taire des clubs sandwichs à l’aveugle avec les mains dans le dos.

Vers la fin, de la soirée Laurent et Maurice viennent dans la cuisine féliciter les filles pour leur service.

Ils ôtent les plateaux et leurs disent maintenant on va faire un jeu avec tout le monde.

On va décerner le prix de la meilleure suceuse.

Ne nous décevez pas ou la nuit sera pénible.

Gisèle et Maëva se regardent interdites mais elles n’ont pas le temps de réfléchir que déjà Maurice et Laurent les entrainent dans le salon.

Ils les font mettre à quatre pattes et les forcent à passer sous la table.

Là elles peuvent voir que tout le monde s’est débraguetté et que les chibres sont plus ou moins raidis.

Elles se regardent et ont un fou rire.

Il y en a des grosses et de moins grosses des longues et des courtes.

Puis ensemble elles commencent à pomper.

Maeva a les mâchoires douloureuses à force d’être écartées mais elle fait au mieux avec sa langue.

Gisèle semble absorbée par sa tâche.

Soudain Laurent et Maurice ajoutent du piquant en activant les plugs.

Les filles redoublent de travail mais elles sont de temps en temps fauchées par un orgasme.

Enfin elles ont vidé les couilles de tous les garçons car les chibres sont maintenant au repos.

Maëva a l’impression que certains ont remis le couvert pendant qu’elles s’occupaient des autres.

Laurent et Maurice sortent les filles de sous la table et les remmène dans la cuisine après qu’elles aient été déclarées ex aequo.

Ils les libèrent ôtent les écarteurs et les ramènent dans le salon.

Elles ont un petit sourire en voyant l’air heureux des invités.

Ceux-ci les féliciteront pour la magnifique soirée qu’elles leur ont fait passer au moment du départ.

Laurent et Maurice laissent alors les deux filles seules un moment dans la cuisine.

Elles parlent alors du cheminement qu’elles ont pris pour en arriver là et s’aperçoivent que c’est quasiment le même parcours.

Laurent et Maurice avaient dû se concerter pour ça.

Gisèle lui avoue que ça la fait kiffer grave et Maëva ne peut que lui dire qu’il en est de même pour elle.

Gisèle lui dit que la prochaine soirée poker devrait avoir lieu chez elle.

Maeva lui dit qu’elle pourra compter sur elle pour ne pas la laisser seule.

Cette nuit-là Laurent est particulièrement doux avec Maëva.

Elle espère que ce moment de douceur ne durera pas et qu’il trouvera qu’autres challenges pour elle.

Elle a définitivement renoncé à dresser Laurent.

Elle a trouvé bien mieux.

Laurent a décidé de continuer l’éducation sexuelle de Maëva.

Ce jour-là elle attend nue à genoux une nouvelle surprise.

Elle est dos à la porte du donjon dans lequel elle passe de plus en plus de temps.

La porte s’ouvre mais elle n’a pas le droit de se retourner. Elle entend des pas s’approcher.

Elle essaye de compter pour voir s’il y a plusieurs personnes. Une main lui caresse le cou.

Elle frissonne. Quelqu’un passe devant elle et elle reconnait un des amis de Laurent.

La main sur son cou continue à la caresser.

La main est douce et commence à descendre vers ses seins.

Elle soupire d’impatience d’être pétrie.

Elle sent que le propriétaire des mains la contourne elle va voir qui est cet homme aux mains si douces.

A sa grande surprise c’est une femme très jolie et très jeune qui la regarde avec une certaine timidité dans le regard.

L’ami de Laurent se recule gaziantep escort et la femme se met à genoux face à Maëva.

Elle lui embrasse les seins.

Maëva est surprise par la douceur du baiser.

L’ami de Laurent lui fait signe de participer.

Elle caresse la tête de la jeune femme qui frissonne à son contact.

Peu à peu elles se caressent de plus en plus intimement.

L’ami de Laurent impassible observe le manège.

La jeune femme fait relever Maëva et elle qui est restée à genoux embrasse le sexe de Maëva.

Ça ne l’étonnerait pas que ce soit la première fois pour sa voisine.

Petit à petit les deux femmes se Lâchent et finissent par oublier l’homme.

Celui-ci se rappelle à elle en les menottant les mains dans le dos. Elles sont à genoux toutes les deux.

Du bruit se fait entendre et Laurent entre dans la pièce. Il approche des deux femmes qui sont de nouveau à genou et sort son membre qui est bien érigé.

L’une après l’autre elles le sucent.

Laurent se retire et les attire jusqu’au lit et les fait monter sur le lit.

Elles sont à genoux sur le lit attendant qu’il décide quoi faire.

Il prend la jeune femme en levrette et indique à Maëva de se mettre allongée les jambes écartées au niveau du visage de la jeune femme.

Celle-ci embrasse le sexe de Maëva tout en étant fourrée par Laurent.

Puis Laurent les fait inverser les positions.

Maeva n’a pas l’habitude de brouter une femme mais elle est bien excitée par la situation et la jeune femme lui plait.

L’ami de Laurent observe toujours.

Laurent se retire et les mets toutes les deux face à lui pour une fellation alternée.

Il finit par gicler et les deux femmes sont aspergées.

Il leur fait comprendre de se lécher pour avaler les gouttes de sperme. Ce qu’elles font sans déplaisir.

Laurent quitte le lit et les laisse à genou. L’autre homme se déshabille enfin.

Laurent revient avec deux godes ceintures qu’il pose sur Maeva et la jeune femme.

Il donne une paire de menottes à Maeva et lui montre l’homme qui se retourne et présente ses poignets.

Maëva va attacher les poignets de l’homme dans le dos. Il monte sur le lit et se met à genoux.

La jeune femme se penche pour lui faire une fellation.

Pendant ce temps Maëva passe derrière lui et l’embroche avec le gode.

Il est résistant à la fellation et bientôt Maeva et la jeune femme échangent les places.

Elle se retrouve à sucer l’homme pendant que la jeune femme le travaille avec le gode.

Maeva voudrait que ça se conclue et pince les seins de l’homme .

Il réagit aussitôt et son sexe se durci un peu plus dans la bouche de Maëva.

La jeune femme voit l’effet et de son côté elle serre entre les mains les couilles de l’homme.

Ruades.

Ce coup-ci il a l’air de prendre son pied.

Maeva pince plus fort les tétons et la jeune femme presse littéralement les couilles.

L’homme se cabre et décharge dans la bouche de Maëva.

L’homme se retire et Maeva et la jeune femme se retrouvent seules sur le lit.

Je m’appelle Aude dit la jeune femme.

Et moi c’est Maëva répond celle-ci. Très heureuse de te connaitre.

L’intermède avec le couple bizarre n’a pas été totalement cool pour Maëva.

D’autres visites se succèdent. Une d’entre elle est inoubliable pour Maeva.

Laurent l’a attachée au piton situé au plafond elle a les bras tendu vers le haut et doit se tenir sur la pointe des pieds.

Un homme masqué entre dans la pièce.

Elle ne le reconnait pas. Il lui met un bâillon boule. Elle se dit qu’elle ne pourra pas le sucer.

Il prend une petite cravache et se met méticuleusement à la cravacher pas trop fort pour ne pas l’abimer mais les coups sont portés avec suffisamment de puissance pour qu’elle sursaute.

Il la cravache ainsi longtemps s’assurant de ne pas oublier un centimètre carré de son corps.

Au début elle résiste mais peu à peu elle est obligée de crier dans son bâillon et les larmes coulent sur son visage.

Il n’en tient pas cure et continue sa besogne.

Maintenant une douleur brulante couvre tout son corps elle n’en peut plus et se laisse pendre au bout de ses bras n’ayant plus la force de se tenir debout.

Il arrête enfin et la détache elle pleure et se laisse faire il la porte jusqu’au lit ou il la couche. Elle se laisse faire n’ayant plus aucune force.

Il la couche sur le dos et la pénètre vigoureusement.

La douleur fait place à une chaleur qui vient du creux de ses reins. Elle a l’impression qu’elle n’a plus mal et elle se laisse emporter par une jouissance inconnue.

Il se retire après avoir joui mais reste à côté d’elle dans le lit.

Elle est la première surprise en se blottissant contre lui le plus près possible alors qu’il a été son pire bourreau.

Maintenant les soirées poker se multiplient.

La jeune Aude rejoint Gisèle et Maëva et elles servent durant les soirées.

Elles n’ont plus besoin de l’écarteur car elles sont bien soumises.

Lorsqu’elles sont seules en cuisine en attendant qu’on les appelle elles rient entre elles.

Un soir Laurent les surprend à rire et désormais elles sont punies.

Elles passent les soirées à genou dans le salon empalées sur des godes motorisés.

Comme elles sont bâillonnées elles ne peuvent plus se parler.

Il va sans dire que les bâillons sont ôtés pour les fellations qu’elles ne manquent pas de prodiguer.

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Make My Life Happy – Chapter 8 – Claudia’s Cards, Candles And Flowers

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When his phone buzzed, Paul was working on a design for McCormick and Garrison.“This is Paul.”“Paul, this is Deena, from the bakery.  We heard a horrible crash.  When we investigated, a car slid into the flower shop.  We didn’t see – ”Paul ended the call, grabbed his coat and keys, and headed for the flower shop.  When he arrived, it was total destruction.  The car had slid into the shop sideways.  Try as he might, he could not get around the vehicle. Paul saw the ambulance standing by and the cop was in standing by his car.  He did not look happy.  Then Paul saw the guy in the back seat.  He was ripped, period.  Paul gaziantep olgun escort tried to get into the shop.  There was no way.“CLAUDIA!  CLAUDIA!  WHERE ARE YOU, BABY?  ARE YOU ALL RIGHT?  CLAUDIA TALK TO ME!”Paul went to the delivery door.  It was unlocked so Paul was able to get into the back of the shop.  The counter had been shoved against the flower cooler, with one of the corners crushing the motor.   He heard a faint sobbing from under the counter.“Claudia, are you under there?  Claudia, are you there?”“Yes, Paul.  Come get me out.  I can’t gaziantep oral yapan escort push the counter away.  I just need a little more room to get out.”Paul pushed and pulled at the counter.  Finally, he was able to move the counter enough to free Claudia.  She emerged holding a broken tulip.  She fell into his arms sobbing uncontrollably.“MY SHOP!  WHAT HAPPENED TO MY SHOP?  WHAT SON OF A BITCH DID THIS?  I’LL BREAK HIS FUCKING NECK.”Paul and Claudia went to the front of the shop.  She looked at the medic and cop standing by the cop’s car. gaziantep otele gelen escort Just about this time, her Mother and Dad arrived. Claudia threw down the flower and headed for the cop car.“YOU’RE THE SON OF A BITCH THAT DESTROYED MY SHOP.  YOU ASSHOLE, YOU KILLED EVERY ONE OF MY PLANTS, MY BABIES.  GET OUT HERE SO I CAN WIPE THE STREET UP WITH YOUR FACE.”Claudia was screaming, kicking, and pounding on the police car.  She was sobbing uncontrollably.  Paul went over to try to comfort her, he was hugging her.“Claudia, it will be okay.  We can make this work.  Mr. Garrison’s offer is still open.  We can open in the city.”“I DON’T WANT A FUCKING CITY SHOP!  I WANT MY SHOP, IT’S MINE.  I BUILT IT FROM SEVEN LITTLE PLANTS.  IT’S MY SHOP.”                  Claudia collapsed from Paul’s arms to the asphalt.  She landed face down sobbing and pounding her fist on the pavement.  Paul knelt next to her and rolled her into his arms.  She buried her face in his shoulder, her arms wrapped loosely around his neck.

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Kidnapping et Soumission Tome 04

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Anri

I. La tournée des clubs

Arrivé à Tournai au Kit Kat Klub, N°1 et Sweet Pussy furent reçues par le tenancier du club.

« Bonjour, mes esclaves. Comment va N°1?

« Bien, Maître. »

« Et qui est cette nouvelle esclave? »

« Sweet Pussy, Maître. » dit doucement Isabelle.

« Je vois que Maîtresse Aurore a opéré sur ton joli corps, pour un début c’est pas mal du tout. » Dit le tenancier en tâtant les seins de Sweet Pussy et en pinçant ses tétons.

« N°1, tu lui donnes les instructions de vie ici pendant votre séjour en allant à votre chambre, vous commencez demain. »

« Mais, nous n’avons encore pas répéter le numéro de danse! »

« Demain, j’ai dit, pas de temps à perdre, le retour sur investissement doit être rapide! »

« Bien Maître. »

Les deux esclaves marchèrent le long d’un couloir et arrivèrent dans leur chambre. Deux lits à baldaquin collés l’un à l’autre trônaient au milieu de la chambre. Les murs étaient couverts en alternance de miroirs et de photo SM, le plafond n’était qu’un miroir. Pendant que Sweet Pussy regardait la chambre, des hommes amenaient de grosses valises et les déposaient dans un coin de la chambre.

« Je vais te donner quelques instructions et Il faut se reposer un peu, car après, nous devons répéter notre numéro. Nous dormirons ensemble dans cette chambre. Nous y mangerons et passerons tout le temps sauf pendant nos numéros et séances. Nous n’avons pas le droit de sortir. Les toilettes sont dans ce coin comme tu peux le voir. Il y a tout ce qu’il faut pour se maquiller et s’habiller. Quand nous aurons fini nos prestations, le 4×4 viendra nous chercher et nous emmènera dans un autre club. Il faut dormir et prendre des forces pendant la journée car, dans les clubs, c’est nuit blanche!»

« Mais on ne va jamais dehors? »

« Pendant la tournée, on ne va jamais hors des clubs. On ne voit l’extérieur que lorsque l’on revient au château. »

Sweet Pussy commençait à regretter d’avoir accepté de venir. Elle pensait voir le monde extérieur et peut-être pouvoir s’échapper! Mal lui en a pris.

« Quel est le programme des festivités, que fait-on? »

« Nous ferons notre numéro de danse ensemble, ensuite je te laisse la surprise, sinon, ça n’a plus grand intérêt! D’ailleurs, il faut que je te montre certains mouvements et ensuite on répétera notre numéro. Il faut que l’on choisisse aussi nos vêtements. »

N°1 mit un CD dans le lecteur de la chaîne hi-fi et se positionna au centre de la chambre, la tête relevée, le regard sévère au travers de son masque. Ses mains reposaient sur sa taille, elle avait écarté les jambes. Sa position altière rendaient encore plus proéminents ses énormes seins. Les enceintes crachèrent subitement une musique techno et N°1 commença à headbanguer et sa tresse pivota comme on fait tournoyer un fouet. Puis elle fit des mouvements de hanche pour montrer ses fesses couvertes de latex rouge. N°1 fit glisser ses mains sur ses seins et tira sur ses anneaux comme elle l’avait fait lors de sa présentation au château devant les nouvelles esclaves. Elle pivota sur ses talons et mit sa tête en arrière et pliait ses jambes comme si elle voulait s’empaler sur un phallus. Sa main caressait sa chatte au travers du latex. Puis elle se mit à terre et écarta les jambes tout en ouvrant le zip de sa combinaison pour montrer sa chatte annelée. Elle roula sur elle-même et se mit à quatre pattes, sa main passait entre les lèvres annelées de son sexe. Elle enfonçait ses doigts dans son sexe puis ils ressortaient pour entrer dans son cul. Elle lécha ses doigts en fermant les yeux. Elle se remit sur le dos et prit ses seins à pleines mains. Elle les faisait bouger comme un gâteau de gelée. Ses doigts pincèrent ses tétons et elle tira fortement pour les allonger. Elle se releva.

« Voilà, ma petite Sweet Pussy, les principaux mouvements que tu dois faire. Quand on sera à deux, on improvisera pour charmer les Maîtres. Maintenant, il faut nous reposer. »

N°1 et Sweet Pussy se couchèrent dans leur lit. N°1 mit l’alarme du réveil pour deux heures de sommeil.

Deux heures plus tard, le réveil sonna et les deux esclaves se libérèrent des bras de Morphée. Elles enlevèrent leurs vêtements, leurs corps étaient en sueur. Elles allèrent à la douche et se savonnèrent le corps. Sweet Pussy voulut embrasser N°1 mais elle l’en empêcha.

« On n’a pas le temps de s’amuser! Il faut se préparer, on doit être irréprochable dans nos tenues. »

N°1 vérifia si le crâne de Sweet Pussy ne comportait pas de repousse. Elle prit un rasoir et de la mousse et rasa une nouvelle fois son crâne.

« Il faut que tu fasses des séances d’épilation laser, j’en ai assez de te raser le crâne tous les jours! »

« Mais si je veux retrouver mes cheveux! »

« Maîtresse Aurore a choisi pour toi la coupe que j’ai, tu n’auras plus que celle-ci! »

Les deux esclaves sortirent de la douche et se séchèrent. N°1 s’occupa d’abord de Sweet Pussy. Elle ouvrit la valise et prit une combinaison latex semi-transparente mauve. Sweet Pussy l’enfila par les pieds. Cette combinaison comportait gaziantep escort bayan des pieds et gants, mais avait des ouvertures au sexe, aux globes fessiers et aux seins. La combinaison fut zippée dans le dos. N°1 maquilla les yeux de Sweet Pussy, un maquillage flashy et des épais traitss de rimmel. Ses lèvres reçurent un rouge cerise du plus bel effet. N°1 prit le masque de latex et l’enfila délicatement sur la tête de Sweet Pussy pour ne pas toucher le maquillage. Elle passa sa tresse dans le tube prévu et serra les lacets du masque. Le masque était un peu différent de celui qu’elle avait avant la douche car des boucles de ceinture se trouvaient près des yeux et de la bouche.

N°1 termina par chausser les bottes noires en vinyle avec une semelle compensée de 10 centimètres. Sweet Pussy se leva mais vacilla car elle n’avait jamais marché avec de telles bottes.

« Il faut que tu marches un peu dans la chambre pour t’y habituer. »

Sweet Pussy avait une démarche hésitante et se tenait au lit pour ne pas tomber. Elle marcha dans la chambre pour s’habituer à ces bottes inhabituelles.

N°1 se prépara en ajustant une combinaison rouge à liseré noir, elle farda ses paupières, mit du rimmel et son rouge à lèvres puis enfila son masque et demanda à Sweet Pussy de serrer les lacets et le zip de sa combinaison.

« Nous sommes prêtes. Nous n’avons plus qu’à attendre l’ordre du Maître. »

Le Maître arriva dans la chambre sans frapper.

« Allez les esclaves, on y va et que la prestation soit bonne car il y a du beau linge dans la salle pour vous. »

N°1 et Sweet Pussy se levèrent et suivirent le Maître jusqu’aux coulisses de la scène. Une musique techno assourdissante retentissait dans la salle. Les deux esclaves attendaient au pied des quelques marches qui permettaient d’accéder à la scène. Le Maître du club prit le micro sur pied et fit sa présentation.

« Bonsoir mes chers confrères. Pour vous ce soir, j’ai le plaisir de vous présenter votre esclave préférée N°1 qui sera accompagnée de Sweet Pussy qui fait ses débuts. Esclaves, c’est à vous! »

Une musique rythmée et des rais de lumière tourbillonnaient sur la scène pour accueillir les deux esclaves. Elles montèrent les marches et commencèrent à danser sur la scène. Ce fut d’abord N°1 qui apparut sur le devant de la scène. L’expérience aidant, ses mouvements étaient pleins d’assurance et de professionnalisme. Elle présenta ses énormes seins à l’assistance. Elle pinça ses tétons annelés et tira sur les énormes anneaux. Elle fit volte-face pour présenter son cul. Elle ondula de la taille pour aguicher les Maîtres. Elle fit tourner dans les airs sa tresse. Elle passa la main sur son sexe et ouvrit le zip pour faire apparaitre ses lèvres annelées qui pendirent sous le poids des anneaux. Elle les frotta et simula un orgasme en fermant les yeux et porta à sa bouche les doigts humides. Puis elle se coucha sur le sol et glissa sous son élan. Elle écarta les jambes et ses mains prirent ses talons. Sweet Pussy qui n’avait jamais pris de cours de danse se demandait comment elle allait faire pour se présenter aussi bien. Son corps n’était pas aussi souple et svelte que celui de N°1. Elle appréhendait le moment où elle devrait danser devant les Maîtres.

N°1 continua sa prestation sans aucune faute. N°1 fit un geste vers Sweet Pussy pour « passer le relais ». Sweet Pussy sut alors qu’elle devait faire son numéro.

Sweet Pussy était légèrement hésitante mais avait le rythme dans la peau car ces pas de danse furent assurés. Elle reprit les mouvements de N°1 et y mit sa petite touche personnelle. Sweet Pussy, qui avait sa combinaison ouverte sur ses fesses, avait le zip qui lui séparait à merveille ses globes fessiers. Elle ondulait des fesses et ses rats tatoués sur ses fesses ravissaient le regard des Maîtres. Elle pivota sur elle-même grâce à ses semelles compensées et présenta ses seins. Même s’ils n’étaient pas aussi gros que ceux de N°1, Sweet Pussy vit les Maîtres parlaient entre eux. Elle passa sa langue piercée pour que les Maîtres voient ses trois piercings et qu’ils voient qu’elle était envieuse. Elle posa sa main sur sa chatte annelée et enfonça un doigt dans son vagin. Celui-ci glissa facilement avec le latex. Un deuxième s’aventura en elle, puis un troisième. Elle porta sa main gantée à la bouche et lécha avidement ses doigts. Des sifflets et des applaudissements se firent entendre dans la salle. N°1 avança vers Sweet Pussy et improvisa un numéro à deux. Cela surprit Sweet Pussy car N°1 ne lui avait pas parlé d’un show à deux. N°1 se blottit dans le dos de Sweet Pussy et commença à caresser son corps. Ses mains glissèrent sur sa taille, descendirent sur ses jambes, puis remontèrent vers ses seins. N°1 empoigna les seins pour les soupeser puis pinça ses tétons. Sweet Pussy ferma les yeux sous ses caresses et commença à se balancer de droite et de gauche en suivant le rythme langoureux de la musique. N°1 descendit de nouveau ses mains et en s’accroupissant derrière Sweet Pussy enfonça ses doigts dans la chatte de sa gaziantep escort bayan ilanları compagne. Ses doigts commencèrent un va et vient lent qui s’accéléra subitement. Sweet Pussy commença à gémir et montra son orgasme dans un cri rauque et une giclée abondante qui déclencha un tonnerre d’applaudissement et des « ooohhh » de surprise de la part des Maîtres. N°1 reprit ses mouvements et Sweet Pussy jouit de nouveau dans une giclée abondante qui coula sur le sol de la scène.

Sweet Pussy coula abondamment et sa jouissance fit une flaque sur le sol. Son orgasme se transformait en jet d’urine. N°1 incita Sweet Pussy à venir au sol et à s’allonger. Les deux esclaves se roulèrent dans ce mélange de cyprine et de pisse. N°1 se mit à plat ventre sur le sol et lécha la jouissance de Sweet Pussy. Sweet Pussy se positionna devant N°1 tête contre tête et lécha aussi sa jouissance. Puis Sweet Pussy se fit glisser sur le sol et embrassa N°1. Cette dernière scène ravit au plus haut point les Maîtres qui s’étaient levés et applaudissaient chaudement.

Les deux esclaves se relevèrent et saluèrent les « spectateurs ».

« C’est gagné, tu as été parfaite. » dit N°1 à l’oreille de Sweet Pussy.

Le tenancier du club monta sur scène et reprit le micro.

« Ne vous avais-je pas dit que vous seriez aux anges, chers Maîtres? Eh bien, maintenant à vos enchères et que le meilleur gagne! »

« 1000€ » cria un Maître au fond de la salle.

« 2500 » Entendit-on sur la gauche.

« Allons mes chers confrères, un peu plus d’enthousiasme pour ces esclaves. »

« 3000 » redit le Maître au fond de la salle.

« 5500 » dit un Maître tout de cuir habillé.

« 10000€ pour les deux. » dit un Maître noir qui se tenait debout près de la porte.

Le silence se fit dans la salle. Les têtes pivotèrent pour savoir qui avait émis une enchère aussi élevée.

« Personne pour surenchérir? » dit le tenancier.

« Adjugé » pour Maître Tumba.

« Les deux esclaves sont à vous pour cette nuit. »

Le tenancier s’approcha des deux esclaves et les emmena vers leur propriétaire d’une nuit.

« Qu’est ce qui se passe? » dit Sweet Pussy à l’oreille de N°1.

« Lorsque ton numéro est terminé, et si tout s’est bien passé, tu passes la nuit avec un ou plusieurs Maîtres, cela dépend. Les nuits sont blanches, je te l’ai dit. »

Les deux esclaves descendirent les marches et virent un grand black, la tête rasée, habillé d’un costume noir. Il mesurait environ deux mètres, que du muscle, un vrai colosse.

« Bonsoir les putes. » dit-il.

« Bonsoir, Maître. » dirent à la cantonade les deux esclaves.

« Je sens que je vais bien m’amuser, ce soir. Allez, dans la chambre. »

Le Maître et les deux esclaves allèrent à la chambre. Sitôt entré, le Maître ferma la porte à clé et mit celle-ci dans la poche de sa veste. N°1 et Sweet Pussy virent que la chambre avait été légèrement aménagée car deux portiques avaient été posés en travers de la chambre

« A genoux toutes les deux sous les barres, mains sur la tête. »

Le Maître prit plusieurs brins de corde, et attacha les bras et les jambes de ses esclaves aux montants des portiques.

« Ouvre ta gueule, Sweet Pussy. »

Sweet Pussy ouvrit la bouche. Le Maître posa un ball-gag formé d’un anneau de métal qu’il serra derrière la tête avec la courroie en cuir, enfonça ses doigts dans la bouche de son esclave et prit la langue par les piercings pour la tirer vers l’extérieur.

Sweet Pussy gémit.

« Ta gueule, ce serait dommage de couper une si belle langue, n’est-ce pas? »

Sweet Pussy fit signe oui de la tête.

Le Maître s’approcha de N°1. Il pinça fortement son sein droit, puis tira sur la barre qui traversait entièrement ses seins. N°1 ferma les yeux pour endurer la souffrance mais le Maître tira si fortement que N°1 poussa un cri bestial tellement la douleur était devenue insupportable. Il lui posa aussi un ball-gag formé d’un anneau de métal.

Le Maître passa derrière ses deux esclaves et fouilla dans une valise. Sweet Pussy sentit quelque chose de froid qui glissait sur le dos. Le Maître venait de passer la lame d’un couteau et trancha la combinaison de latex. Son dos et ses fesses étaient maintenant bien apparents. Il fit de même avec N°1. Puis il passa devant les esclaves et trancha l’avant de leur combinaison. Leurs seins proéminents furent libérés du latex. Elles étaient comme deux prisonnières avec des lambeaux de vêtements. Seuls leurs bras et leurs jambes portaient encore du latex. Le Maître sortit de leur champ de vision et repassa derrière elles.

Soudain, Sweet Pussy hurla au travers de son anneau. Elle venait de recevoir un coup de cravache sur les fesses.

« Tu vas compter jusqu’à dix et n’oublie pas un seul coup, sinon on recommence. Et tu me remercieras pour chaque coup reçu. »

« Oui Maître. » fit Sweet Pussy entre deux soupirs de souffrance.

Le premier coup s’abattit sur ses globes fessiers.

« Un, merci Maître. »

« Deux, merci Maître. gaziantep escort bayan reklamları »

Les 10 coups appuyés zébrèrent les fesses de Sweet Pussy qui compta chaque coup après un cri étouffé de douleur. Ses bras se tendaient à chaque impact. Les boursoufflures apparurent sur les fesses de l’esclave. Sweet Pussy soufflait au travers de son ball-gag et souffrait dans son corps meurtri. N°1 voyait sa compagne souffrir mais ne pouvait rien y faire. Elle comptait dans sa tête les coups reçus par Sweet Pussy et s’attendait à recevoir le même châtiment. Le Maître se positionna derrière N°1. Elle attendait la sentence et respirait fortement. C’est au moment où elle inspira que la cravache s’abattit sur ses fesses. Ce coup lui coupa le souffle.

« Un, merci Maître. »

Le second coup lui toucha le bas du dos. Les suivants zébrèrent les fesses de N°1 qui hurlait tout autant que Sweet Pussy l’avait fait.

« Une bonne entrée en matière pour vous montrer qui est votre Maître pour cette nuit, et donc que j’exige une parfaite obéissance. Sinon, ma cravache vous caressera le corps une seconde fois. Compris! » Hurla le Maître en appuyant sur son dernier mot.

Les deux esclaves firent oui de la tête.

Le Maître prit une valisette en cuir qu’il déposa sur une tablette près de Sweet Pussy. Maître Tumba sortit de la valisette des anneaux en acier. Ces anneaux s’ouvraient grâce à une petite charnière. Il passa l’anneau au sein gauche de Sweet Pussy juste derrière la barre qui lui traversait le sein. Il répéta l’opération avec le sein droit. Sweet Pussy grimaça car les anneaux tiraient sur les barres de ses seins, comme si on lui stretchait ses piercings. N°1 subit la même opération. Le Maître prit une autre paire d’anneaux. Maître Tumba en ouvrit un et s’approcha de Sweet Pussy. Il posa ce nouvel anneau juste derrière le précédent et répéta l’opération pour orner les deux paires de seins. Leurs seins commencèrent à gonfler sous l’effet de compression des anneaux.

« On va faire une pause pour vos nibards. »

Le Maître prit alors deux étuis à cigare. Il sortit les deux cigares, posa l’un sur la petite table. Il alluma l’autre. Sweet Pussy eut un frisson en voyant le bout incandescent du cigare. Elle pensa un instant qu’il allait lui infliger des brûlures. Le Maître prit les deux étuis métalliques et passa de nouveau derrière ses deux esclaves. N°1 sentit son anus pénétré par un plug, pensait-elle. Sweet Pussy fut aussi pénétrée par le cul. Le Maître lia ses étuis avec des cordes à la taille des deux esclaves. Il leur fit face, inspira de bonnes bouffées du cigare et cracha la fumée à leur visage. Sweet Pussy toussa au travers de son ball-gag, elle qui n’avait jamais fumé. N°1 ferma les yeux et respira quelques peu la fumée exhalée par le Maître. Puis il passa de nouveau derrière elle. Il reprit une bonne bouffée de son cigare et enfonça délicatement celui-ci dans l’étui à cigare calé dans le cul de Sweet Pussy. Sweet Pussy commença à geindre. Le cigare chauffait le cylindre et la chaleur se faisait sentir sur son anus. Le Maître sortit son cigare, en reprit une bonne bouffée et enfonça celui-ci dans l’étui ornant le cul de N°1. Elle gémit au travers de son ball-gag mais Maître Tumba ne tint aucun compte de la plainte de son esclave d’un soir et laissa son cigare chauffer l’étui métallique. L’anus de N°1 chauffait de plus en plus. Ne tenant plus, N°1 hurla à en perdre la voix. Maître Tumba ôta son cigare et l’étui en même temps. N°1 soufflait bruyamment au travers de son anneau et un filet de salive coulait lentement de sa bouche.

Maître Tumba reprit des anneaux de sa valisette et s’approcha de Sweet Pussy. Il plaça un anneau non pas derrière la barre qui traversait son sein mais devant. La peau de son sein se tendit encore un peu plus. L’autre sein reçut le même anneau. N°1 aussi reçut les mêmes anneaux par contre, ses seins étant plus volumineux, ceux-ci allaient presque exploser avec ces nouveaux anneaux. Le Maître reprit deux nouvelles paires d’anneaux et les plaça aussi devant les barres. Il tira sur l’anneau précédemment placé pour insérer celui-ci. Les gémissements se faisaient entendre dans la chambre.

Le Maître prit alors une canne en bambou et se positionna devant ses deux esclaves. Il tapotait sa main avec sa canne en faisant les cent pas se demandant ce qu’il allait faire. Soudain il s’arrêta devant N°1 et asséna un coup de canne en travers des deux seins. N°1 hurla de nouveau et la peau tendue à l’extrême rougit immédiatement et un filet de sang apparu sur le sommet de son sein droit. Maître Tumba approcha de Sweet Pussy qui commença à souffler apeurée par ce qu’elle allait subir. La canne s’abattit sur ses seins. Elle hurla aussi. Sa peau gonfla sous ce coup mais il n’y eut aucun saignement. Le Maître tourna autour de ses esclaves et lorsqu’il passa devant leur cul, il asséna un bon coup de canne sur les fesses, ce qui leur arracha de nouveau un hurlement bestial.

« Bien, maintenant on va passer à autre chose. » dit le Maître.

Il posa ses instruments de torture sur la tablette, enleva sa veste et sa chemise et se fixa devant Sweet Pussy. Il lui enleva le ball-gag. Le Maître dégrafa son pantalon et sortit sa bite. Sweet Pussy qui ouvrait et fermait sa mâchoire endolorie n’en croyait pas ses yeux. Le chibre du Maître avait des dimensions impressionnantes. Sa bite faisait au moins 25 centimètres de long pour 6 centimètres de diamètre. Le Maître approcha de Sweet Pussy et enfourna son sexe dans la bouche de Sweet Pussy.

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Amateur

It had been a long, stressful day at work. The 12 hour shift had been all I could take. I was tired, hungry and as always, slightly horny. I took care of the hunger part on the way home, grabbing a quick bite to eat. Once home, I sorted through the normal junk mail and bills, listened to the messages on my answering machine, then headed straight upstairs. I was absolutely beat and had every intention of taking a long, hot bath to relax and then head straight for bed.

After entering the spacious bathroom, I ran the water into the Roman style tub, adding several beads of bath oil to the water. I stripped out of my work clothes, relishing the feeling of each inch of skin that was exposed as each garment was dropped to the floor. Finally totally nude, I stood in front of the full length mirror as the tub continued to fill. At 31 yrs old, my body was not as taunt and fresh as when I was a teenager, but I still thought it was pretty damn good. My breast were still full and firm, topped with light brown nipples that when erect could cut glass. My stomach was still fairly flat. My hips flared out just perfect for my 5’5″ frame. My legs were lean and smooth, and turning around, I glanced at what I thought was a killer ass. Still looking over my should I saw a slightly freckled face that was accented by my flaming red hair and hazel eyes. Not bad I thought.

I lit a dozen candles throughout the bathroom, then turned out the lights, bathing the whole room in a delicate glow. I turned on soft music on the stereo and then walked to the tub. I pulled out several I knew I would need from a cabinet and placed them on the ledge of the tub. I climbed the three steps leading up to the tub and then slowly entered the almost scalding hot water. I eased myself slowly into the huge tub. I placed a small inflatable pillow on the back of the tub and leaned back, my whole body below my neck now submerged. I flipped a switch and the powerful jets came to life, churning the water wildly and massaging my tired body.

This was Heaven. My muscles were being massaged by the strong jets, the hot, oily water slashing against my body, the smell of the scented candles and the soft music were carrying away the worries of the day. With my eyes closed and completely relaxed, my hands gaziantep özbek escort started moving over my body. They rubbed my flat stomach, feeling the heated, wet skin. Without even thinking, they moved on their own downwards, sliding across my inner thighs. Without even realizing it, I was slowly starting to turn myself on. I felt the familiar stirrings as my passion started to rise. I opened my eyes and looking down, saw my large breasts sitting on top of the water like two mountains. My nipples were already rock hard. I raised one hand to them, gently tweaking first one fat nipple, then the other. My other hand was now moving across the baby smooth skin of my totally bald pussy. My juices were rising quickly.

It had been several days since my last orgasm, and I was in desperate need of release. My fingers found my already erect and extended clit, poking out slightly from its folds. I traced small circles around it with my finger tip as my other hand started kneading my breasts. My breathing was shallow and I could feel my passion rising quickly. This was not going to take long at all. I reached over to my supply on the ledge and took a small bullet vibrator in my hand. Quickly turning it on, I placed the buzzing object directly on my hard clit. There was no room for pretense at this point. I need to cum, and cum now! As I pinched and rolled a nipple as hard as I could, I moved the bullet across my clit, sending shock waves throughout my body. After only a moment, I felt my orgasm start. Just as the first wave hit, I pulled the vib off my clit and released my nipple. The sensations of my sweet release still swept through me, but stopping all stimulus, it lessened the intensity of the orgasm. There was yet more to cum.

After my orgasm started to subside, I again placed the small vib back on my now hyper sensitive clit. I almost jumped out of the tub when it first touched. I had to grit my teeth and hang on for dear life for the first moment until the sensitivity wore off, replaced once again with growing passion. I knew by having a smaller cum first, a much more powerful one would be possible. I started to squirm in the water as the buzzing effect on my clit starting reburning the flames of porno videolar desire. I reached down with my second hand and dipped a finger deep into my steaming hot pussy. I swirled the finger inside me as I continued to attack my clit. I raised both legs and put a foot on each side of the tub, spreading my legs wide open giving me better access. A second finger joined the first and I started to slowly fuck my pussy. I pulled the wet fingers all the way out, then slammed them back in. After several moments, I brought the pussy soaked fingers to my lips and tasted my own juice, mixed with the oily water. I then reached down and under my ass, bringing my fingers up until the tips were touching my tight asshole.

The combination of the oil in the water and my own juices flowing downward already had the tight hole well lubed. I placed the end of a finger against the hole and slowly pushed its way in. I love the feel of a finger, or anything else for that matter, entering my tight ass. As my clit was being pummeled by the vibrator, my finger sank up to the last knuckle into my hot ass. I then started to slowly move the digit in and out of my ass. I could feel my passion rising as I fucked my ass more quickly now with my finger. I turned sideways in the tub and lifted the top leg. I started pounding my finger as deep and as hard as I could into my ass. I was moaning out loud and trying desperately to hold off my the rising orgasm. Just when I thought I could not hold off another second, I removed the vib from my clit and with a smack, pulled my finger from my ass.

Still breathing very hard, I raised up on my knees. I loved the feel of the oily water running down my nude body. I grabbed the second toy I had with me, a brand new one I had just bought the day before, one made specifically for the tub. A huge, 8″ thick realistic looking black dildo, complete with veins and balls. At the end of the shaft was a large suction cup. I wet the suction cup in the water, then turning so my ass was facing the back of the tub, I backed up, measuring the best spot to put my new friend. I placed the suction cup against the tub and pressed hard. It held tight. I slapped the obscene looking cock a couple of times to make sure it would gaziantep rus escort hold. Satisfied, I got on all fours and then slowly backed up.

I reached between my legs and found the hard monster. When I as close enough, I rubbed the fake cock head along my soaking wet pussy. When I thought it was lubed enough, I placed it against the opening of my tight hole and moved backwards. I reached back and spread my asscheeks wide open, giving the cock more room to enter me. When it first entered, I squealed in slight pain, as this was slightly larger then anything I was used to. After getting used to its size for a moment, I eased backwards. I then started a slight rocking motion, pulling the cock out then back in. Each time it sank a little deeper into me. By the time I got the majority of it in me, I was very comfortable with the size, feeling completely full and massively turned on.

I released my ass and took ahold of either side of the tub. I then started rocking back and forth on the black toy harder and harder. Within a few moments I was fucking it in earnest, slamming back onto it with all the force I could. With each stroke I felt stretched to the limit. I had never felt anything, or anyone, this huge in me before. I reached over and again grabbed the bullet vib. It found its way onto my rock hard clit. As I rocked back and forth on the hard cock my large breasts were splashing in the water, my hard nipples delighting in the feel of the hot water against them.

I could feel the tingling in my toes as my orgasm began. I knew this was going to be huge. Just as it reached my pussy, I slammed back hard on the cock, burying as deep as I could. I also placed the vib hard against my clit. I screamed loudly as wave after wave of delicious pleasure crashed over me. My clit was screaming for me to release it, but I held the vib tightly against it. I came, and came and came, each wave harder then the first. I became dizzy and lost track of all feeling other then the throbbing pleasure in my pussy and clit. I actually saw white lights flashing behind my tightly closed eyes. I must have passed out, because then next thing I knew, I woke up when I fell face first into the bath water.

I rolled over on my back and laid there silently for several moments, trying to get my senses back. My breathing finally eased. I turned off the vib that was still in my hand and threw it out of the tub. I looked back and saw this huge, black monster of a cock hanging in midair at the back of the tub. I laughed out loud and rubbed the length up and down with my bare feet. This was the start of a beautiful friendship 🙂

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LAURA 064: je cède au chantage 03/13

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Amateur

Le dimanche matin

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Je suis réveillée depuis un moment, des idées noires tournent dans ma tête.

Mon maître entre dans le chalet où je suis séquestrée et maintenue prisonnière bâillonnée, les membres attachés par des sangles sur le plancher en bois qui me sert de lit.

Il me libère et remet autour de mon cou le gros collier clouté pour chien et y attache la laisse.

– allez viens prendre des forces tu vas en avoir besoin, aujourd’hui c’est ton jour de chance, ce ne sera que du plaisir pour toi –

Je ne cherche pas à comprendre et je le suis jusque chez lui pendant qu’il me tient en laisse.

Le petit déjeuner qu’il pose sur le sol est copieux ce qui m’étonne, je m’accroupis après qu’il m’ait enlevé la muselière/bâillon.

– Je vais bien te nourrir pour que tu ne ressembles pas à un sac d’os et fasse fuir les clients lorsque je vais te mettre sur le trottoir –

Je ne sais pas pourquoi, j’ose me rebeller.

– vous n’allez pas faire ça maître, j’accepte tout ce que vous voulez de moi mais pas ce que vous me demandez là, ça ce n’est pas possible –

la réaction de Mathieu est immédiate, je reçois une paire de gifles violentes et je me retrouve assise sur le cul les joues en feu.

– je ne te demande pas ton avis, les femmes de ton espèce c’est comme les chiens après un bon dressage ça obéit à son maître au doigt et à l’œil. Que tu le veuilles ou non c’est ce qui va se passer pour toi –

Ma situation semble désespérée, je n’ose pas lui répondre craignant qu’il me frappe encore.

Je ne vois pas comment m’en sortir devant la détermination de mon bourreau. Faisant profil bas je déjeune puis vais me laver.

De nouveau bâillonnée Mathieu m’emmène tenue en laisse dans la partie boisée de sa propriété, là où un palan est accroché à une grosse branche d’arbre.

– allonges toi sur le ventre –

J’obéis, il attache mes poignets et mes chevilles ensemble puis passe m’accroche au crochet du palan qu’il manœuvre. Je me retrouve les membres tirés vers le haut suspendue dans les airs.

Il prend entre ses doigts les tétons de mes seins, les triture et les étire sans douceur, c’est douloureux.

Il sort quelque chose d’une des poches de son pantalon, ce sont des pinces munies de chaînettes et de poids cylindriques.

Il accroche les pinces lestées sur mes tétons qui se trouvent distendus et ça tire aussi sur mes seins.

La douleur que je ressens est difficilement supportable et je me trémousse mais cela aggrave la souffrance car les poids accrochés aux pinces se balancent sollicitant encore plus mes tétons.

Mon bourreau conscient de la souffrance qu’il m’inflige rit et me lance:

– tu as de la chance c’est repos toute la matinée, je reviens te chercher à midi –

Cela me fait de longues heures à souffrir et patienter.

Quand mon maître viens me libérer du palan et enlève les pinces qui martyrisent mes tétons je n’ose pas regarder l’état de ceux-ci mais ils sont turgescents et douloureux.

De retour dans l’habitation je me mets à genoux et je mange ce qu’il m’a servi dans mon écuelle posée sur le sol.

Puis il me ramène dans le chalet qui me sert de geôle et m’attache sur le plancher/lit avant de me laisser seule.

Je suis allongée, bâillonnée et attachée par des sangles sur le plancher en bois qui me sert de lit quand Mathieu fait son apparition accompagné de six hommes.

Ils apportent du matériel avec eux.

Il y a des boitiers munis de câbles et prises électriques qu’ils posent sur le sol et relient aux prises qui se trouvent sur les cloisons du chalet.

Ils branchent une extrémité de fils électriques munies de fiches sur les boitiers, sur l’autre extrémité se trouvent des électrodes qu’ils placent sur mes seins, mon ventre, mes cuisses et mon sexe. Ils écartent mes fesses et introduisent une sonde dans mon anus puis une autre dans ma chatte.

Une fois que mon maître et les hommes qui sont présents dans le chalet qui est mon lieu de captivité et m’ont affublée de pinces gaziantep evi olan escort ,sondes et électrodes reliées à des fils qu’ils ont branchés à des boîtiers de commande, ils mettent leurs engins de torture en marche.

D’abord je ne ressens rien, l’intensité doit être à son minimum ou bien leurs engins ne marchent pas et c’est ce que j’espère.

Mais en les entendant parler je sais que la torture va commencer, avec la peur mon corps se raidit. Je crains qu’emportés par leur désir de me voir souffrir et de se servir de moi comme d’un jouet ils n’aillent trop loin.

De voir la tête que je fais les amuse.

– Mathieu, ta putain n’a pas l’air d’apprécier –

Mathieu en rajoute.

– elle n’est jamais contente cette truie, on va lui donner du plaisir et elle se plaint encore –

Mon maître me demande de bouger la tête pour dire si je ressens quelque chose pendant qu’un homme s’affaire sur les molettes des boitiers et je commence à ressentir des picotements d’abord sur un sein puis aussi sur le deuxième.

Cela continue par des sensations sur le ventre puis sur le sexe. Le courant passe maintenant jusqu’aux sondes qui sont enfoncées dans ma chatte et mon cul.

Les hommes sont satisfaits de voir que je ressens les effets du courant électrique partout sur mon corps là où ils ont posé des électrodes ainsi que dans mon fondement et dans ma grotte.

L’homme manipule des interrupteurs rotatifs et progressivement les sensations augmentent.

– mets beaucoup plus fort le courant, ce n’est pas de caresses qu’elle a besoin –

Ce que je ressens partout sur mon corps passe d’agréable à désagréable, je suis agitée par des tremblements.

– ce n’est pas assez, augmente encore l’intensité –

Alors là progressivement et rapidement cela devient douloureux puis difficilement supportable et enfin c’est l’enfer pour moi.

Mon corps tremble, je gigote beaucoup. Je ferme les yeux, pleure et crie mais avec mon bâillon c’est étouffé.

– c’est parfait, vu comment elle se comporte le système de torture est au point –

– oui! c’est bien trouvé et la voir s’agiter ça vaut le coup d’œil –

Mon corps n’arrête pas de se soulever et je me tortille sur le plancher pendant que les hommes rient.

J’ai l’impression d’être démangée par de très importantes allergies et d’être brulée par le courant électrique qui traverse mon corps en différents endroits et surtout dans mes parties intimes.

Je me demande si mon cœur va tenir.

Au bout d’un bon moment à me regarder souffrir, à commenter et rire, ils me délaissent.

Installés à la table ils boivent des verres d’alcool sans se soucier de moi et en laissant leurs appareils en marche.

J’ai compris que leur but n’était pas de me procurer du plaisir mais uniquement de me voir beaucoup souffrir et c’est réussi.

Après ce qui m’a semblé une éternité leurs verres sont vides. Ils s’intéressent de nouveau à moi et baissent l’intensité des gadgets sans les arrêter de ce fait ce que je ressens redevient fort mais agréable.

Enfin ils coupent le courant de tous les gadgets, je respire.

Le calme est de courte durée car mon martyr reprend mais avec des instruments différents.

Un gode vibrant est introduit dans mon cul.

Sur ma poitrine ils mettent deux pompes aspirantes, lorsqu’ils manipulent cela étire et déforme salement les seins et les tétons.

Ils écartent les lèvres de ma chatte pour dégager mon clitoris qu’ils masturbent un peu pour le faire saillir puis ils appliquent dessus une pompe vibrante que l’un d’eux tient fermement, pendant qu’elle fonctionne mon ventre n’arrête pas de se soulever.

Un autre applique sur mon intimité un vibromasseur de massage externe qui fait vite monter le plaisir dans mon ventre.

Tout cela me fait énormément d’effet, mon corps se déplace sans que je puisse le maitriser.

Je ne tarde pas à être secouée par des spasmes et à atteindre l’orgasme ce qui les encourage dans leur gaziantep fetiş escort entreprise.

Amusés par le résultat obtenu, surtout par la vue des jets de cyprine qui sortent de mon vagin ils continuent à torturer mon clitoris et mon intimité et me font jouir de nombreuses fois avec des intervalles de plus en plus courts car le plaisir ne redescend plus dans mon ventre.

Même si dans ma position je ne vois pas bien ce qu’ils utilisent je sais en les entendant parler qu’ils testent toutes sortes de godemichets et vibromasseurs.

Je râle et crie mais les sons sont très étouffés à cause du bâillon, mon corps bouge sans cesse sur le plancher ce qui les amuse.

Arrive le moment où je n’en peux plus de tous ces orgasmes avec la cyprine qui s’échappe à chaque fois en jets de mon vagin et qui semble inépuisable, je garde les yeux fermés et je suis dans le brouillard.

Le temps passe la torture et les jouissances continuent, je me sens de plus en plus fatiguée même si mon corps réagit sans que je puisse le contrôler.

Tout cela à bien excité les mâles et ils n’en peuvent plus, certains doivent être frustrés à force d’avoir leur engin raide et comprimé dans leur pantalon et certainement commencer à ressentir de la douleur entre les jambes à force d’attendre de pouvoir se soulager.

– vous ne pensez pas que la putain a assez joui, elle ne semble plus en état d’apprécier le plaisir que nous lui donnons –

– tu as raison, cela suffit, à notre tour de prendre du plaisir –

Tous les instruments de torture disparaissent. Je reste inerte bien trop fatiguée pour réagir.

Les hommes avec leurs envies décuplées doivent faire sans ma participation.

Une queue s’introduit dans ma bouche et c’est son propriétaire qui doit donner des coups de reins pour la faire aller et venir dans ma cavité buccale.

En même temps un pénis va-et-vient dans ma chatte.

Il ne se passe pas beaucoup de temps avant que la verge qui est dans ma bouche tressaute et envoie des jets de sperme dans ma gorge. Pendant que j’avale une partie du liquide mon vagin est lui aussi arrosé.

Ma bouche et ma grotte sont investies par d’autres verges et rapidement arrosées de sperme.

Ensuite c’est au tour des derniers qui attendaient leur tour de se soulager dans les mêmes orifices que leurs compères.

Des mains me libèrent des sangles qui retiennent mes poignets et mes chevilles prisonniers.

Mon corps est déplacé, un homme se met sous moi et pénètre ma chatte pendant qu’un autre à genoux derrière moi enfonce sa queue dans mon cul.

C’est la valse des pénis dans ma chatte, mon cul et ma bouche.

Quand des verges ne sont plus en forme ils me les mettent dans les mains mais je ne suis plus capable de les mettre en érection alors ils se masturbent eux même.

Quand le mâles sont bien vidés je ne suis pas en état de faire quoi que ce soit.

Ils me saisissent par les bras et les jambes, ils me transportent à l’extérieur du chalet jusqu’à l’endroit où se trouve un robinet.

Ils branchent un tuyau d’arrosage et dirigent le jet sur mon corps. L’eau froide me glace.

Me laver au jet amuse les hommes, le tuyau passe de main en main et ils tournent autour de moi dans le but de me laver partout.

Mais je sais que surtout ça les amusent.

– c’est bon ramenez la dans le chalet –

De nouveau des mains me prennent par les bras et les jambes et décollant du sol je suis transportée vers mon lieu de résidence.

– attachez la contre la cloison pour qu’elle sèche –

Me tenant à plusieurs en position verticale ils présentent mes poignets et mes chevilles aux endroits où des sangles sont fixées sur la cloison.

Mon maître referme les boucles puis je reste pendue les yeux fermés et la tête baissée.

Les hommes sortent à l’extérieur du chalet et discutent. Bien que pas très lucide j’entends ce qui se dit et certains propos me glacent.

– tu vas t’ennuyer quand ta putain va retourner chez gaziantep bayan escort elle –

– elle va rester ici très longtemps –

– elle a bien une famille et une vie, elle ne va pas quitter tout ça pour tes beaux yeux –

– elle n’a pas le choix, je la dresse pour qu’elle m’obéisse au doigt et à l’œil et qu’elle ne pense plus par elle même –

– dans quel but –

– faire le trottoir pour moi tant qu’elle pourra me rapporter de l’argent –

– tu crois pouvoir arriver à ça –

– reviens dans une semaine et tu verras le résultat –

Après un moment je n’entends plus rien et je reste seule maintenue par des sangles contre la cloison.

Le soir après avoir le dîner mon maître m’immobilise de nouveau à l’aide des sangles sur le plancher en bois dans le chalet.

Malgré la fatigue j’ai du mal à m’endormir. J

e ressasse les paroles que j’ai entendues et cherche vainement le moyen de me sortir de cette situation.

Les jours suivants pendant la journée c’est Amandine qui s’occupe de moi.

Avant de déjeuner je dois faire jouir Max son Labrador dans ma bouche et malgré mon dégoût avaler son sperme.

Ensuite elle a décrété que je devais faire de l’exercice physique.

Dans l’herbe je dois ramper ou marcher à quatre pattes sans plier les genoux, faire un maximum de pompes, m’allonger les jambes un peu surélevées tenir le plus longtemps possible.

Ensuite les mains accrochées à la barre du palan m’élever par la force des bras.

Elle me fait courir autour de l’habitation et surtout sauter des obstacles qu’elle réhausse quand j’arrive à les passer jusqu’à ce que je me prenne les pieds dedans et que je chute.

Moi qui ne suis pas sportive c’est dur et les coups de cravache pleuvent car ce n’est jamais assez bien pour elle.

Même s’il ne fait pas chaud je suis en sueur, j’ai souvent le souffle coupé et un point de côté.

Suivant ses lubies je passe du temps prisonnière du carcan ou pendue de différentes façons au palan. Finalement les moments les moins difficiles c’est quand un ou des hommes viennent me sauter.

Je m’aperçois que Mathieu me trouve des clients facilement et de plus en plus souvent.

Deux fois dans la semaine le vieux jardinier au corps décharné et aux vêtements à l’aspect douteux vient me dire qu’il travaille pour mon bien être en fabriquant des instruments de torture et je dois lui faire l’amour.

Je parviens toujours à le faire jouir une première fois sans problème.

Puis en y mettant beaucoup de bonne volonté j’arrive encore à le faire éjaculer une deuxième fois mais vu l’état dans lequel il est après avoir versé quelques gouttes de sperme je me demande toujours s’il ne va pas faire une crise cardiaque.

En fin de journée quand mon maître est de retour il s’arrange lui aussi pour me faire souffrir.

Il n’éteint plus la lumière dans la chalet et me fait dormir attachée dans des positions inconfortables afin que mes membres soient ankylosés et douloureux.

Je passe même des nuits avec dans mon cul et ma chatte des godes qui vibrent ou font des va-et-vient en permanence.

Mon cerveau est très perturbé.

Comme Mathieu l’avait prévu au bout d’une semaine je n’en peux plus.

Je le supplie d’arrêter de me faire souffrir et je lui dis que je suis prête à accepter tout ce qu’il me demandera.

Quand il entend ça un large sourire éclaire son visage.

– tu es prête à accepter de faire tout ce que je te demanderais et même de te prostituer –

– oui maître, tout ce que vous voudrez. Mon obéissance sera totale –

– dés demain on passe aux choses sérieuses et pour commencer je vais te confectionner un super book –

– dans quel but –

– pour te faire connaitre partout et même à l’étranger et ainsi attirer des clients qui me paieront bien pour utiliser ton cul –

– des connaissances risquent de me reconnaitre –

– ça je m’en fiche –

Il en rajoute jusqu’à me donner des frissons.

– j’espère que quelqu’un voudra t’acheter et me proposera un bon prix –

– vous n’allez pas faire ça maître –

– si, que tu finisse dans un bordel en France ou à l’étranger je n’en ai rien à foutre, tu n’es bonne qu’à te faire baiser jusqu’à ce que tu y laisse ta santé en chopant des maladies –

Décontenancée je ne cherche plus à discuter tout en espérant qu’il dit ça pour finir de casser ma volonté et me rendre totalement dépendante de lui.

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A Night to Remember

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Babes

While I was searching the internet earlier I ran across a picture that sent a jolt of pleasure surging to my clit increasing its already swollen size and sensitivity. I was having a hard time controlling the spasms that wanted to send me into an incredibly hot orgasm. My eyes were glued to the screen savoring the sight that brought back memories of an incredibly hot evening I had several years ago.

It was a warm summer evening, I was in the shower getting ready for a visit from a couple of old friends. Shelley, Jo and I have know each other for many years. Then it grew to a whole new relationship when I had invited them over one night at the request of my husband (now ex). He wanted to have a threesome and since I couldn’t decide which one to ask I asked both. I don’t think that it turned out quite like he expected though, it turned out that they were more into women than men, but that is another story I will have to write about later.

Ever since that night Shelley has been obsessed with my pussy, she cant get enough of it. Every time she comes over she is all over me. It is hard to deny her because she can eat pussy like nobodies business. I cant even count the number of orgasms I have had just during one session with her. It has been over a year since I saw her last, she moved out of state to be closer to her family. So I knew this would be an incredibly hot evening.

I was just finishing up in the shower, making sure that everything was nice and smooth when the doorbell rang. She was here early. I toweled off real quick and threw on a light summer dress and ran downstairs to open the door. As soon as I opened it she was inside, she put her arms around me and gave me a kiss. She stepped back took a look at me, then with a big smile on her face she said “I caught you in the shower? Does that mean that you don’t have anything on under your dress?”. I told her yes but we had to wait cause I was expecting Bob to come by. Bob is another friend of mine that has treated me to some of the most incredible masturbation shows I have ever seen. As Shelley reached under my dress she said “So why do we have to wait, he knows what’s up and he has wanted to watch us for a long time”. Her finger slid between the lips of my pussy and she rubbed lightly on my clit. She made it so hard to say no, besides she was right Bob has made it very well known that catching us together was one of his biggest fantasies while masturbating.

As she was teasing my clit with one hand Shelley pulled down the front of my dress to expose my breasts. She licked her lips and bent down and sucked my nipple into her mouth. She could do amazing things with that mouth of hers. She had a way of sucking and moving her tongue what drove me wild. She gently pushed me backwards until I fell backwards onto the sofa. Before I could steady myself gaziantep sahibe escort she had my legs spread and her mouth between them. She started making sounds as if she were eating a gourmet meal. She looked up at me, I couldn’t even see her mouth it was covered by the lips of my pussy. After a few minutes she backed off long enough to tell me how much she missed having my pussy in her mouth and she was going to make up for lost time.

Oh my god she was, she had my clit twice its normal size in no time. I loved to watch her as she ate me out. She was in ecstasy, her eyes were only half way open, like she was in another world. She would suck my clit in-between her lips and suck it in and out. My body was jerking all over from the sensations I was having. I watched her as I was humping her mouth. Grinding my pussy as far as I could on her face. I didn’t want to cum yet but I couldn’t stop it felt so good besides I knew Shelley and there would be many more to come. I grabbed her head and held it tight as I rubbed my clit all around her mouth, she knew she had me and sucked even harder. I must of cum for five minuets my hips rotating around adding to the suction Shelley had on my clit. At times I could see my clit between the lips of my pussy and her mouth. It was so swollen and hard almost like a small penis. That sent me over the top, I had no control over convulsions my body was having.

Shelley backed off a little knowing that I would continue to cum as long as she had her lip lock on my clit. She said “Enjoyed that did you? Well you haven’t seen anything yet! So catch your breath and then we can get down to business.” I knew I was in for it, gasping for air I laid there unable to move.

Shelley took full advantage and pulled my dress off of me. She leaned over me grabbing a tit in each hand. As she squeezed them together she played with each nipple with her tongue. They were so hard begging for her to suck them into her mouth. God I love having my nipples sucked so much so that if there isn’t a mouth available to suck them, I will, but for now she was taking her time enjoying giving me so much pleasure.

As she sucked on my nipples I caught my breath and felt my clit start to tingle with desire. I reached down and grabbed my plump lips, it feels so good feeling my clit pop back and forth from the pressure of my fingers. I looked up at Shelley and asked her to let me suck on her nipples, I knew she wouldn’t let me anywhere near her pussy for quite a while. She pulled her tee shirt over her head and took off her bra. Then she leaned back over me to return to sucking my nipples but this time she did it so hers were right in my face. Her breasts are smaller than mine but she has very suckable nipples. Taking turns with each one I sucked and lightly şahinbey escort nibbled them. I could feel Shelley getting turned on, she was sucking harder and harder on my nipples. She told me to nibble a little harder and every now and then she wanted me to flick my tongue on them.

We heard a car pull up, she looked at me and I said it must be Bob. With that she got up and placed herself back between my legs. Saying that she wanted Bob to catch her eating me out. Shelley knew that she was the best at eating pussy and got off on showing men how good she was. The doorbell rang, we didn’t move, it rang again. Then we heard footsteps going away from the door. After a few moments the sliding glass door opened, it was Bob.

He came around the corner and stopped dead in his tracks. A big smile came to his face and it wasn’t hard to miss the big bulge in his jeans. “Well, well what do we have here ladies. Enjoying yourselves are you?”. with that he unbuttoned his tight jeans. Bob had a huge cock and when it is hard its straight as an arrow. He took his hand, which isn’t small either, and licked it with his tongue. Then he wrapped it around the shaft of his cock and started stroking. He walked over to the chair by the sofa so he could get a better view. He took off his shoes,his jeans and shirt never missing one stroke of his magnificent cock. I get so hot watching Bob masturbate, he is truly a master masturbator. The different strokes he uses, you can see his cock respond to his every touch. His body will spasm and jerk as he strokes away. I get real hot when I see him watch himself and get so turned on that he gasps for air with each spasm he has.

Boy this is going to be some evening, I have Shelley is doing her best to show Bob what she is doing stopping every so often so he can see how swollen my pussy is and I have Bob showing me how he likes what he sees by giving me the best jerk off show I have ever seen. Oh, I’m on the edge of cumming again but this time I keep it under control. Both Shelley and Bob know this and are trying their best to send me over the edge.

Bob stopped stroking for a moment as he reached over and took a hold of my tits, pushing them together sucking one nipple then the other. Then he took his fingers pinching and twisting them at the same time. Then he put them to my mouth for me to suck on, he loves watching me as I suck on my own nipples as I hold them to my lips, this is the first time he has held them to my lips for me. He looked down at the view that I had of Shelley sucking on my clit and back at me sucking on my nipples. He let go and got up stroking like mad.

He went behind Shelley and pulled her pants off. Kneeling behind her he put his dick in her pussy. He pumped it in and out a few times then he laid over beside şahinbey escort bayan so his face was even with hers. He started encouraging her to suck harder and faster. Telling her that by the looks of how I was shaking and wiggling my hip around I must be enjoying it. Asking her if my pussy tasted good , if she liked having her mouth between my smooth plump lips. All Shelley could do was turn her head so she could look at him and then she pulled her head back so he got a close up view of my clit as she sucked on it.

Then he looked up at me I was watching and listening to what they were doing and it was turning me on. He asked me if I liked what Shelley was doing, if it was getting me hot. I told him “Oh my god yes, she already got me off once before you got here”. He smiled and said “Oh yeah, she must really love the taste of your pussy”. Shelley stopped for a moment and told him that she cant get enough that she could suck it for hours. Bob looked back at me and said “Why don’t you show us how much you like it. Your nipples look like they need attention”.kI grabbed on to them and started sucking like mad. Shelley looked up at me sucking feverously at one then the ther, every once and a while stopping to run the tip of my tongue around each nipple. I was getting so hot watching them watch me as I watched them. My hips were pumping back and forth. With each pump Shelley would pull her head back playing tug of war with my clit. God it felt so good.

Bob got back behind Shelley and pulled his dick back so it almost came out of her pussy. He stroked the shaft while the head was still in her hot pussy, then he would put it back in and do it all over again. After a while he got up and told us he wanted to try something, to see if we enjoyed it. He sat down on the rocking chair stroking his huge cock. He told me to come over to him, when I reached him he turned me around and told me to sit down onto his cock. I started to sit, feeling the huge wet head slide between my lips. He started to enter me and it was so big I didn’t think it would fit. He said “Fuck, your so tight”. He took it slow and it finally went in. He was rocking back and forth in the chair. He told Shelley to suck on my clit as I was riding him. Once Shelley got her mouth on me that was it, I came and came it felt so good.

Then Bob said it was Shelley’s turn so we switched places and I finally got to get my lips on her pussy. We gave Shelley such a working over she was speechless when we were finally done but she still wanted my clit in her mouth. Since I got turned on again taking care of Shelley I was more than happy to let her. Bob had had just about enough and was ready cum. He got behind Shelley again and pumped his shaft against her ass. Just as he was ready to blow, he grabbed it with both hands stroking wildly. He shot his load of cum from along Shelley’s back, all over me, to over my head. That set me off and I came again.

We laid there for a while then Bob asked if we were hungry for something other than each other. Shelley and I both laughed. We got dressed and went to dinner. This was such a hot encounter that I remember every moment of it as I am sure Shelley and Bob do to.

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La nouvelle vie de Christine Ch. 23

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Arietta Adams

Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire .

Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur “MILowner”

************************

L’idée de Francis était d’utiliser Christine comme récompense pour l’équipe de gars dont le moral était au plus bas depuis qu’il avait eu un mauvais chef. Une fois qu’il m’eut parlé et que nous nous sommes mis d’accord sur une compensation, l’accord fut scellé le soir même dans l’entrepôt où Christine fut recouverte de sperme par l’équipe d’employés.

Pour la première récompense, ma belle-mère devrait utiliser sa bouche les lundis matin si Francis, le patron constatait une amélioration notable de la production. L’objectif était respecté lorsqu’il regarda le premier dimanche.

Je ne vais pas vous décrire chaque fellation que devra donner Christine au cours de ce premier mois. Je ne vais pas être tout le temps présent. Il y a 7 employés et Colin le chef d’équipe. Il est facile de compter qu’elle devra faire 8 fellations chaque lundi. Et en sachant que ce mois comporte 4 lundis, il vous est facile de trouver le chiffre exact de pipes qu’elle fera dans le mois.

Au bout de trois semaines, Francis réalise que son idée est un succès. Les hommes travaillent six jours par semaine et douze heures par jour et arrivent à tenir la cadence. Dès la fin du mois, ma belle-mère est familière avec chacune des 8 bites des ouvriers.

Le premier lundi, lorsque je l’ai récupérée au bureau, elle m’a dit que Colin avait réglé l’ordre de passage des gars. Bien sûr, il était le premier. Tandis que nous retournons à la maison, elle me fait le récit des événements :

– Je quitte mon bureau à 9 heures 50 en ayant pris dans l’armoire un grand imperméable. Vous savez déjà que je dois porter très peu de vêtements au travail. Contrairement à la première fois où j’ai été à l’entrepôt et que l’entreprise était presque vide, j’ai rencontré beaucoup de personnes qui ne m’avaient pas vue depuis longtemps et se demandaient si je n’avais pas quitté la compagnie.

– Qu’est-ce que tu leur as dit? Demandé-je.

– Je leur ai dit que je travaillais sur des projets spéciaux et que je devais beaucoup voyager. Ils m’ont crue. J’ai eu tellement peur de parler à tous ces gens, sachant que sous mon manteau, je ne portais qu’un soutien-gorge à balconnet et un string. Mais je suis arrivée à l’entrepôt à 10 heures moins une. Tous les hommes ont cessé de travailler et ont mis la main à leur bite.

– Je parie que tu étais pressée de voir leur queue, n’est-ce pas? Demandé-je.

Elle me répond.

– Oui maître, je dois admettre que j’étais excitée. Colin est sorti de son bureau et m’a dit bonjour en disant « voilà la chienne ». Il m’a attrapé le bras et m’a conduit vers une petite salle de l’entrepôt. En passant devant un tableau d’affichage, nous nous sommes arrêtés et il a épinglé une liste écrite sur une feuille blanche.

– Qu’est-ce que c’était? Questionné-je tout en sachant bien mais voulant qu’elle le dise.

– C’était l’ordre dans laquelle les hommes devaient venir pour leur fellation. Je ne me souviens pas exactement de l’ordre car je dus suivre Colin mais je sais que son nom était en haut de la liste. Une fois dans la salle, il m’a dit d’enlever mon imperméable et de m’asseoir sur une chaise contre le mur du fond. Une fois que j’eus obéi, il sortit sa bite et la fourra dans ma bouche. Après que je l’eus sucé pendant cinq minutes environ, il m’a demandé de me lever, de me tourner et de me pencher en m’appuyant sur la chaise. Une fois que je fus positionnée comme il le voulait, je sentis ses mains sur mes hanches et sa bite à l’entrée de ma chatte. Je ne savais plus que faire car M. MULLER avait dit que je ne devais faire que des fellations le premier mois. Je lui ai dit.

Elle me dit ces mots tout doucement comme si elle avait honte ou peur d’avoir fait quelque chose de mal.

– Et qu’est-ce que Colin a répondu?

– Il a claqué mon cul et tiré mon string de côté. Et il m’a dit que M. MULLER l’avait appelé pour lui dire qu’en tant que chef d’équipe il pouvait avoir la récompense qu’il voulait et que si je n’étais pas d’accord je devais l’appeler. Je ne voulais pas déranger M. MULLER donc je n’ai rien dit de plus. Colin a baisé ma chatte et a éjaculé dans mon ventre.

Je lui dis en colère :

– Il n’est pas question de déranger Francis. Tu es la pute de la société. Si Colin veut baiser ton visage, ton cul ou ta chatte, tu le laisses faire, surtout si Francis lui a dit qu’il le pouvait. Tu comprends salope?

– Oui Maître. Répond-elle.

– Continue alors! Dis-je en continuant de conduire.

– Les hommes sont venus l’un après l’autre pour mettre leur bite dans ma bouche. Je les ai sucés jusqu’à ce qu’ils jouissent. Certains l’ont fait dans ma bouche et m’ont demandé d’avaler. D’autres ont giclé sur mon visage et mes seins. Au moment où je devais partir, j’étais couverte de sperme et j’ai fait gaziantep escort ilanları de mon mieux pour nettoyer mon visage et mon cou afin de pouvoir remonter sans problème.

Elle s’arrête de parler, ayant fini de me raconter. A chaque fois que je la récupérais à son travail et que je la questionnais, elle me disait que Colin l’avait baisé et que les autres avaient éjaculé dans sa gorge ou sur elle. Cela arriva tous les lundis du premier mois. La productivité de cette équipe augmenta de plus en plus.

Francis fut heureux de dire à ses ouvriers qu’ils avaient dépassé les objectifs et qu’à partir du lundi suivant, ils auraient la deuxième récompense.

Encore une fois, elle va à l’entrepôt habillée d’un imperméable couvrant son corps nu. En effet ce jour-là, il lui avait été ordonné de rester nue toute la journée. Après le premier lundi, Colin lui avait dit de ne plus venir à son bureau mais d’aller directement dans la petite salle, d’enlever son imperméable et de l’attendre. Ce lundi n’est pas différent des autres. Elle va dans la petite salle, ôte son manteau et reste nue au milieu de la pièce en attendant le contremaître.

Quelques minutes plus tard il arrive et la salue à sa manière en la traitant de chienne. Il lui demande de se mettre à genoux pour le sucer. Puis il baise son cul et sa chatte, à quatre pattes sur le sol dur en béton. Elle reçoit sa première décharge de sperme de la journée dans sa chatte. Enfin Colin la laisse à quatre pattes et lui demande de ne pas bouger.

Elle reste dans cette position toute l’heure suivante. Elle est pénétrée et baisée par sept bites qui laissent leur foutre en elle. Elle m’avoue plus tard avoir été déçue de ne pas savoir à qui appartenait les queues. Et elle m’avoue aussi avoir eu au moins cinq orgasmes. Toutes ces queues avaient été agréables et avaient bien rempli sa chatte.

Le troisième lundi de ce mois, après que Colin a utilisé ses trois trous, il lui ordonne de s’allonger sur le sol sale et froid, d’écarter ses jambes et de les garder ouvertes. Lorsque la septième bite qui appartient à un homme d’âge moyen s’appelant Sidney a fini de la baiser et s’est vidée en elle, ses jambes lui font mal et ses cuisses sont douloureuses. Elle réfléchit qu’elle doit être sur le dos depuis plus d’une heure. La seule chose de positive est qu’elle peut mettre un visage sur chaque bite.

Le dernier lundi du mois, Après que Colin a eu sa part de plaisir, il déploie sur le sol une grande couverture et dit à ma belle-mère que lorsque le prochain gars arrivera il devra lui montrer sa bite et s’allonger sur la couverture. Elle obéit et demande à chaque homme de sortir sa bite et de se coucher par terre. Avec ses mains et sa bouche elle fait durcir les queues puis elle se place au-dessus d’eux, les jambes écartées, les mains sur les cuisses afin qu’ils puissent bien voir quand elle descend et que sa chatte engloutit leur sexe.

Une fois encore, après plus d’une heure, la dernière bite la pénètre. Mais elle n’est pas très heureuse car il s’agit du membre de l’un des jeunes ouvriers. Ce n’est pas qu’elle ne voulait pas cette jeune bite bien dure car elle n’est pas loin de l’orgasme, le dernier homme ayant joui juste avant qu’elle le fasse aussi. Elle sait qu’elle va exploser sur la jeune queue de Tom mais le problème est qu’elle est fatiguée, ses jambes et ses bras lui font mal de s’être baissée et relevée sur des bites pendant une heure.

Alors qu’elle dit au jeune homme qu’elle est là pour chevaucher sa bite, elle sait qu’elle va devoir trouver l’énergie pour le monter pendant vingt bonnes minutes.

Plus tard, elle me dit qu’après avoir pris sa bite raide entièrement dans sa chatte, les douleurs dans ses jambes et ses bras ont disparu de ses pensées. Elle a commencé à monter et descendre sur l’engin dans l’espoir de se retrouver au bord de l’orgasme et d’enfin pouvoir jouir à nouveau. La queue rigide fait son œuvre et bientôt Christine jouit et couvre de son jus son septième amant de ce jour.

Elle continue à baiser le jeune homme pendant vingt-cinq bonnes minutes. Puis Tom la tire vers le bas et se vide en elle avec de gros jets de sperme.

A la fin du deuxième mois, Francis vérifie les chiffres de production et est très heureux du résultat. A ce rythme, le contrat va être terminé une semaine plus tôt que prévu. Les hommes sont en surproduction. Leurs soldes bancaires sont enjolivés par les heures supplémentaires et leurs bites sont satisfaites par l’animatrice de l’entreprise.

Francis envoie un mail à Colin pour le remercier ainsi que ses hommes. Il lui dit aussi que Christine est chargée, dès le lundi prochain, d’assurer la troisième récompense.

Le lundi suivant, après avoir pris la tenue pour la journée aimablement fournie par Francis, ma belle-mère se couvre avec un grand imperméable et se dirige vers la petite salle dans l’entrepôt. Elle sait qu’elle va être durement sodomisée par tous les hommes pendant une bonne gaziantep escort kadın heure. Elle me dit, plus tard, que sa chatte mouillait à cette idée.

Elle entre dans la réserve et accroche son imper au dos de la porte puis elle attend Colin comme les derniers lundis. En regardant autour d’elle dans la pièce, elle remarque de nouveaux crochets qui ont été boulonnés au sol dans un coin. Elle se demande à quoi ils servent quand le contremaître arrive derrière elle.

– Bien salope, quel beau cul tu as! Dit-il.

Elle se retourne et le voit qui est en train de branler sa queue déjà raide. Il lui demande :

– A genoux et ouvre ta jolie bouche!

Elle s’agenouille et ouvre la bouche comme demandé. Elle le regarde se diriger vers elle, sa bite raide dans la main droite qu’il guide entre ses lèvres. Elle ferme sa bouche et il enlève sa main afin qu’elle puisse coulisser sur son engin pendant sept à huit minutes. Elle lui fait une splendide fellation.

– Debout et va dans le coin! Ordonne-t-il.

Il reste debout et derrière elle quand elle obéit à son ordre et qu’elle se place dans le coin face au mur, des crochets près de ses pieds.

– Maintenant penche-toi et saisis les anneaux. Dit-il.

Il regarde Christine qui se plie à la taille et attrape les crochets nouvellement installés. Ma belle-mère entend trifouiller dans des boîtes puis le contremaître l’approche sur son côté gauche, se penche et referme une menotte autour de son poignet et autour du crochet fixé sur le sol.

– Que faites-vous? Proteste Christine.

Mais Colin l’ignore et se met à attacher l’autre poignet au crochet opposé. Cela fait, il passe derrière elle et elle sent qu’il lui soulève la jambe droite. Il passe une corde autour de sa cheville et la noue serrée. Puis il tire l’autre extrémité de la corde vers un autre crochet sur le sol qu’elle n’avait pas vu. Sa jambe droite est écartée quand Colin passe la corde dans l’anneau et tire dessus pour la nouer. Il fait la même chose avec la jambe gauche. Elle regarde quand il tire sur la corde et attache son autre jambe à un autre crochet.

Elle est maintenant complètement attachée par ses poignets et ses chevilles. Ses jambes sont écartées. La position n’est pas trop inconfortable. Colin revient derrière elle. Elle sent ses mains calleuses courir sur ses fesses nues, sur ses cuisses, des doigts vagabondant jusqu’aux lèvres de sa petite chatte par-dessus le tissu de son petit string.

L’homme passe ses mains sous elle et tire le soutien-gorge afin que ses gros seins sortent et tombent. Il tire les tétons jusqu’à ce qu’elle gémisse. Il les sent durcir sous ses doigts. Puis il retourne à son cul. Elle sent le string se détacher de sa chatte. L’air frais est agréable car il souffle sur son sexe brûlant et mouillé. Colin tire le string vers le bas aussi loin qu’il le peut. Dans la position qu’elle est, elle peut voir qu’il ne descend pas loin et qu’il est tendu jusqu’au point de rupture entre ses cuisses à 10 centimètres de sa chatte.

Ainsi ses deux trous, son cul et sa chatte sont exposés comme le contremaître le voulait.

Ma belle-mère sent un doigt qui plonge avec beaucoup de facilité dans son sexe. Elle sait que l’homme s’était aperçu qu’elle mouillait déjà. Elle sent ses lèvres s’écarter alors qu’un deuxième doigt la pénètre. Puis un troisième doigt rejoint les deux premiers. L’homme pompe sa chatte et commence à écarter ses doigts afin qu’elle les sente bien dans son antre dégoulinante.

– Tu es chaude salope. Ta chatte est trempée. Pourquoi salope? C’est à la pensée de toutes ces bites qui vont t’enculer qui te fait mouiller à ce point? Demande-t-il en continuant de la pistonner avec ses doigts.

Soudain, sans crier gare, il retire ses doigts et la pénètre avec sa bite.

– Oh mon Dieu! Crie-t-elle quand elle se sent remplie par la queue déjà familière de Colin.

Christine me dit que comme elle était attachée au sol, elle ne pouvait qu’accepter sa bite. Dans sa position elle ne pouvait rien faire d’autre.

Puis elle sent une pression sur son trou du cul et quelque chose entre à l’intérieur. Quoi que ce soit, ce n’est pas long et elle peut sentir comme une phalange contre sa peau. Elle en déduit que Colin a enfoncé son pouce dans son cul et qu’il le travaille et l’assouplit pour sa queue pendant qu’il baise sa chatte.

Elle me dit qu’elle dériva dans un rêve éveillé pendant les prochaines minutes en pensant aux sept bites qui allaient la sodomiser pour la première fois. Elle me dit aussi qu’elle mouilla encore plus à l’attente de ces sept queues après que colin eut fini avec elle.

– Ohhhh Colin , je jouis! Cria-te-elle.

Elle est arrachée à son rêve par l’orgasme qui la secoue sous l’impulsion de la bite et du pouce du contremaître. Être ainsi attachée, les jambes grandes ouvertes empêchait son corps de réagir comme il le voulait. Elle aurait voulu serrer les cuisses pour retenir la bite de Colin en elle, gaziantep escort kız mais elle ne pouvait pas. Alors elle fait de son mieux pour contracter les muscles de son vagin autour du membre et elle jouit dessus.

– Oui salope, jouis sur ma bite, ça va la lubrifier pour ton cul. Dit Colin tout en continuant d’enfoncer et bouger chaque centimètre de sa verge dans son jus de jouissance.

Une fois qu’elle a terminé, il enlève son pouce et sa queue. Pendant un bref moment Christine se sent vide. Elle m’a avoué plus tard qu’elle remua son cul sans vergogne, à la recherche de l’engin du contremaître et que celui-ci se délectait de son comportement dévergondé de salope.

– Regarde toi salope, tu es désespérée au point de demander une queue. C’est pas vrai?

Il pose sa question tout en la taquinant avec sa bite sur sa chatte. Ma belle-mère n’a plus de retenue, elle essaie en vain de s’empaler sur la queue raide.

– Colin, salaud, baisez-moi, j’en ai besoin Colin, je veux votre bite en moi. Crie-t-elle désespérée et sans honte.

Elle m’avoua plus tard avoir montré ses faiblesses au contremaître et qu’il avait aimé.

Colin frotte de nouveau le bout de sa queue autour du trou humide. Il se met à rire devant ses tentatives désespérées de bouger son cul pour l’empaler sur la bite. Puis pour satisfaire momentanément, il pousse son membre dans la chatte inondée.

– Oh merci Colin, baisez-moi! Dit-elle.

Mais la bite ressort. Elle est de nouveau vide alors elle se remet à bouger du cul pour retrouver le membre.

Elle n’a pas longtemps à attendre cette fois. Elle sent le gland de Colin pressé contre son trou du cul. Elle est poussée en avant sur ses appuis quand il fait pression pour la pénétrer. Elle dit alors :

– Oh Colin merci. Baisez mon cul, j’ai besoin d’une grosse bite bien dure. Et je veux votre sperme.

Le contremaître pousse et commence à se frayer un passage dans le petit trou serré. Puis il la baise comme il baisait sa chatte.

Christine m’avoua qu’elle était tellement excitée qu’elle jouit deux fois en moins de trois minutes.

Elle le supplie de remplir son cul avec sa semence. Il la sodomise près de 10 minutes avant d’éjaculer dans ses entrailles. Puis il sort de son cul, essuie sa bite avec le bout de tissu du string et il remonte son pantalon.

Avant de partir, il donne à ma belle-mère quelques instructions à respecter strictement :

– Maintenant tu vas te faire baiser par mes hommes. Tu vas les traiter de la même manière que moi. Tu les supplieras de t’enculer, tu les supplieras de te baiser durement et tu les supplieras de remplir ton cul avec leur sperme. C’est compris salope?

– Oui compris Colin. Répond-elle.

– Bien. Dit-il en giflant son cul et en sortant de la salle. Christine attend environ cinq minutes avant d’entendre un bruit derrière elle et sentir quelqu’un dans la salle. Elle essaie de regarder entre ses jambes mais l’homme est déjà derrière elle et elle ne voit que ses jambes. Elle le vit défaire son pantalon puis son caleçon qui tombèrent à terre. Elle bouge la tête pour voir la bite. Elle pourra peut-être savoir qui est l’homme en la voyant. Mais elle ne la voit pas. Mais l’homme dit :

– C’est la récompense que j’attendais avec le plus d’impatience.

Ses mains rugueuses ont tripoté ses fesses, ses doigts ont pénétré sa chatte et son cul.

Elle sait maintenant quel est l’homme qui va la baiser. Elle est un peu déçue que ce ne soit pas un des jeunes. Il s’agit d’un des hommes les plus âgés. Bien que tous ces hommes aient une bite de 18 centimètres ou plus, elle préférait la dureté et l’endurance des plus jeunes.

La déception lui fit presque oublier les instructions du contremaître. Mais il ne lui faut pas longtemps pour s’en rappeler et dire ce qu’elle devait dire. De toute façon elle n’avait pas besoin d’encouragements pour le faire. Christine était habituée maintenant de demander aux hommes de la baiser et de se vider dans son ventre. Des hommes comme Colin pensaient qu’ils l’humiliaient en lui demandant cela. Mais elle était désensibilisée à ce niveau. Et même si parfois elle ressentait un léger embarras, elle ne se sentait plus humiliée comme à ses débuts.

– Baisez mon cul durement avec votre grosse bite. Baisez-moi bien et giclez dans mon trou du cul de salope! Dit-elle.

L’homme derrière elle frotte sa bite contre sa chatte bien humide puis il pose son gland à l’entrée de l’anus déjà utilisé.

– Oh ne t’inquiète pas, je vais le faire sale chienne. Répond-il en même temps qu’il investit son cul avec sa queue.

Trois hommes suivent celui-là et la baise comme elle le demande, rudement et rapidement. En vingt minutes quatre hommes en plus de Colin se sont vidés les couilles profondément dans son rectum. Elle jouit aussi. C’était une chose qu’elle ne pouvait stopper quand son cul était baisé encore et encore. Mais elle ne jouit que deux fois depuis que le contremaître était parti car les hommes âgés avaient peu de résistance.

Toutefois, elle sait qu’il reste encore trois bites à satisfaire et deux d’entre elles appartiennent aux jeunes hommes. Immédiatement à cette pensée sa chatte s’humidifie encore. Elle regarde impatiemment entre ses jambes pour voir le prochain. Et elle sait immédiatement que c’est un jeune quand elle voit les bottes.

Le désir et la soif d’une jeune bite la font crier :

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So Unfair

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Brunette

Let me start out by saying, it’s SO not fair for you to drive me this crazy during work. I only talked to you for a few minutes on my lunch break, and you managed to get me so worked up that I started fondling myself through my jeans. Anyone could have walked in at that moment. There would have been no question of what I was doing — my right hand working the mouse (god, even that sounds sexual) while my left was in my lap gently kneading my erection, working it through the fly of my boxers so there was only one layer of clothing between …

But no one did see me. And I signed off the computer because my lunch break was almost over, and you probably went back to your day (hopefully thinking of me), and I was ready to let my erection subside and go back to work. But then I walked past the men’s room door, and your words were still in my mind, and my body seemed to switch to automatic and I stepped inside, locking the door behind me.

It’s actually pretty large for a men’s toilet, but it’s typical of a wood shop area. There’s a sink and a toilet and a urinal all in a row along the wall. It’s close, not enough ventilation; I can hear myself breathe in here. But it’s also very private, and that’s what I need right now.

Lid up on the toilet, and I undo my belt. As my jeans drop, there’s a metallic noise as my belt buckle hits the floor. The noise is echoed, as şanlıurfa escort is my breathing, in that way that only public bathrooms seem to manipulate sound.

The seat here is just right, too — not too hard, not too skinny (I am a big boy). I sit down. I’m slid forward to the front of it, hunkered over a little bit, and though I’m not touching myself yet my cock is fully hard and pointing forward. My shirt is pulled up — I need to feel a little more naked, I think is why. And I do run my hand over my belly as I’m working my way down. It’s rough from work, but the touch can turn so careful, so gentle.

And I take my cock into that hand. God, that first touch! I almost call your name out loud, but I murmur it under my breath in time. That touch is so good, so sweet, so fucking absolutely right that it feels like it must be yours. I curl my fingers around myself and take one or two experimental strokes.

It’s going to be one of those times when I could come almost immediately, where I have to find ways to slow myself down. This is what you do to me, your words and your pictures and my dream of your voice. You make it so hard not to go off like a firecracker the minute I’m lit.

But I pull back, I play a little more. My hand moves down to cup my balls, fondle them. My other hand slides up my stomach to my gaziantep sarışın escort chest, ruffling the hair there, and I close my eyes and it is you. I’m so into the fantasy of you, my lips are formed in a kiss. My hand below grabs cock, balls and all, and gently shakes them together for a feeling of soft flesh against flesh … and I wish all the harder for your body to be rubbing against.

When I’m imagining your body, your touch, my skin feels so different … my cock feels like an altogether new thing. I’ve gone back to holding it in my fist now, as my desire has subsided enough that I can touch. And while my hand is not moving much, I’m gently rocking my hips back and forth, fucking it, feeling my foreskin close over the head and then be pulled back again, closed and pulled back, sliding again and again. I make a small noise deep in my throat.

For a minute, voices are close out in the hallway, and I stop, frozen in this pose, not wanting anything to give my actions away. But the people walk past, and what their intrusion on my pleasure has given me is a sense of urgency.

Now I’m leaning back a bit so my cock points up in a diagonal, and I begin to stroke in earnest. My hand closes tighter, and I bend down a bit back toward the earth, the pressures driving me crazier, like being squeezed şehitkamil escort inside you. But I’ve stopped moving my hips; I’m no longer fucking, it’s more like I’m being fucked, like my cock is a stationary point now being used to get my whole body off. It’s my hand that is fucking, my fingers that are moving deftly with such an intimate knowledge of just what touches in what order will get me off. God, my hand is you closed around me, with my eyes clenched shut I can see your wicked smile as you raise and lower above me …

And so much quicker than I expect it starts rising in me, I begin to shake, my hand moving in fits and starts as it tries to keep the feeling rising and rising, without yet going too far. The whole toilet is rocking, I’m jacking off with such syncopated fury. I’m speaking again now, trying to keep it quiet, but saying yes, god, oh please, let me come for you …

I barely move back in time on the seat so I won’t make a mess, and I lean forward so I can press my cock WAY down before god, it rises through me like a swarm of symphonic notes, like laughter, like a shout and god I am coming, my cock is goddamn-spurting and my whole body is shaking and for a few moments there is nothing else in the universe but the shattering sensation as I come, even my hand and my cock have vanished, the only thing I can feel in existence is this and it is good.

I sit there, panting, and slowly the world comes back into focus. I give myself one or two final squeezes as I stand up; one luminous drip falls to the floor before I can catch it with a sheet of tissue. And as I put my clothes back in order and try to compose myself, I realize there never really was any choice. I had to come for you. No matter where I was.

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Ma ChefeEst Nymphomane

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Amateur

Mathilde, ma chef, vient de m’appeler au téléphone : il faut que je passe la voir à son bureau de toute urgence. Pour cela, il me faut traverser la cour centrale et plusieurs bâtiments de l’entreprise. Sans hésiter, je prends mes jambes à mon cou et accours, tout essoufflé. Je frappe à la porte. Silence. Je frappe à nouveau. J’entends :

— Entrez!

Elle est seule, derrière son grand bureau de directrice des ressources humaines. Les dossiers s’empilent devant elle. Je referme la porte derrière moi.

— Ah, mon petit Stéphane! Merci d’être venu si vite.

— À vos ordres, chef!

— Es-tu prêt à obéir aveuglément à mes ordres?

— Oui, chef, oui!

— Alors, mets-toi tout nu, tout de suite.

— Bien, chef!

Rapidement, je retire presque tous mes vêtements. Mais il me reste un peu de pudeur.

— Le slip aussi, chef?

— Bien sûr, Stéphane. Quel abruti tu fais! Surtout le slip.

Elle inspecte mon slip blanc et constate avec satisfaction qu’il est propre. Je crois que s’il avait été souillé de traces brunes, ma chef m’aurait sévèrement puni. Puis elle examine mes organes génitaux. Je bande. Là aussi, dans le cas contraire, j’aurais encouru son courroux qui se serait traduit pas une impitoyable séance de flagellation en public, nu devant tous les collègues. Pendant l’inspection, je reste au garde-à-vous, le petit doigt sur la couture du pantalon que je n’ai plus sur moi. Mathilde me tripote dans tous les sens, puis elle mesure les dimensions de mon pénis en érection, elle en prend des photos, ainsi que d’autres parties de mon corps, et saisit toutes ces informations dans une base de données dans laquelle je me rends compte que l’ensemble du personnel féminin et masculin y est classé, avec des notes sur 20 et des appréciations souvent peu glorieuses. Elle me pose des questions sur ma vie intime : suis-je homosexuel (non), ai-je des relations extraconjugales (oui), mon épouse en a-t-elle à mon avis (oui, y compris en ma présence), ai-je l’habitude de me masturber (oui), de quelle manière (à une main, avec de la pornographie, mais sans sex-toys ; cette occasion, je lui avoue que le fais aussi au bureau et que je suis parvenu à contourner les restrictions du pare-feu de l’Entreprise afin d’accéder à des sites coquins) et à quelle fréquence (pratiquement tous les jours), etc. L’interrogatoire dure une heure. L’ensemble des aspects de ma sexualité sont abordés. Lorsqu’elle pense que je lui mens, par pudeur ou bien pas vantardise, Mathilde presse mes testicules entre ses doigts de fer. Ensuite, elle me branle doucement, du bout des doigts. La rosée gaziantep escort numaraları du désir dégouline.

— Interdiction d’éjaculer! Tu te retiens! Tu as bien compris?

— Oui, chef, oui!

Elle ouvre un tiroir de son bureau, prend une badine et me frappe juste derrière les genoux, d’un coup sec.

— À genoux! Et pose tes mains croisées sur ta tête.

J’obtempère.

— Penche-toi en avant! Face contre terre!

Elle aboie ses ordres. On doit l’entendre dans les bureaux voisins. Mais la porte reste fermée. Les collègues doivent avoir l’habitude de ces séances de soumission obligatoires.

Puis Mathilde enlève ses chaussures. Je comprends qu’elle veut que je lui lèche les pieds, ce que je fais avec passion. Enivré par ma passion pour les petons si charmants qu’elle m’offre, je relève la tête lui dis :

— Je vous aime, chef.

— De toute façon, en vertu de ton contrat de travail, tu me dois un amour inconditionnel. Pour ton information, et pour ce qui me concerne, je ressens qu’un profond mépris à ton égard. Pour moi, tu n’es qu’un pion parmi des milliers.

— Le mépris est encore un sentiment : c’est déjà mieux que l’indifférence.

Mathilde s’offusque de cette remarque.

— Mais… mais qui es-tu, pauvre crétin, pour oser parler sans avoir été interrogé?

— Je ne suis même pas un bâton merdeux et puant tombé dans vos toilettes dans vous avez la gastro, chef. Lui, au moins, a le droit de traverser votre petite rosette.

— Effectivement. Tu as très bien résumé la situation. Mais si tu n’as pas le droit de me pénétrer par quelque trou que ce soit, moi, en revanche, je vais ce que je veux que mes esclaves salariés. Notamment avec ton cul, qui m’appartient.

Tout en parlant, elle prend un long gode-ceinture dans le caisson qui est rempli de jouets sexuels en tous genres.

— J’éprouve une furieuse envie de te défoncer la rondelle. Celui-ci est bien gros et t’écartèlera très fort. Que dis-tu de cela, mon cher Stéphane, me demande-t-elle en brandissant l’impressionnant braquemart artificiel sous mon nez?

— Ma douleur vous est offerte, chef. J’éprouve une grande joie à l’idée de souffrir pour vous. Telle est ma destinée. Je n’ai pas d’autre horizon.

— Suce-moi encore les pieds. Fais-les entrer jusqu’au fond de ta gorge, allez.

Les ongles de ses orteils sont magnifiquement recouverts d’un vernis écarlate. Pendant je travaille avec application au massage buccal, elle décroche son téléphone, et demande à Ingrid, sa secrétaire, gaziantep escort reklamları de venir immédiatement.

Ingrid frappe à la porte, puis entre dans le bureau. Elle n’a que vingt ans et elle est très jolie. Ses yeux verts et brillants séduisent tous les hommes qu’elle croise sur son passage. Pas un seul, pas une seule, ne reste indemne d’avoir croisé, dans un couloir, son parfum naturel envoutant qui fait rêver d’étreintes fabuleuses. Tout le monde et fou d’elle et son bureau est constamment fleuri de roses qu’on lui offre dans l’espoir vain de conquérir le cœur de la belle. Vain, car elle appartient seulement à Mathilde à qui elle est dévouée corps et âme. Elle est aussi, pour sa patronne, l’exécutrice des basses œuvres, de sorte qu’il se chuchote, au coin café, qu’il vaut mieux éviter de la croiser dans l’arrière-cour du bâtiment de l’Entreprise, une fois la nuit tombée.

Sur ordre de sa chef, elle enfile le gode-ceinture par-dessus son tailleur rouge impeccable. Je croise le regard d’Ingrid, qui, aujourd’hui, est dur comme celui d’un bourreau — mais d’un bourreau magnifique dont j’ai hâte de subir l’exquise exécution. Après avoir bécoté les pieds de la jeune secrétaire à travers le cuir noir de ses longues bottes, je lui tends respectueusement mes fesses frémissantes comme une offrande de toute ma chair pour le bien de l’Entreprise que nous chérissons toutes et tous, jusqu’à la préférer à nos propres vies. J’en reviens aux petons de ma chef bien-aimée. Les orteils de Mathilde, au fond de la gorge, me donnent des nausées. Ingrid lubrifie son gode, comme un homme qui se branle.

Elle prend son temps. Elle a l’air d’aimer ça. Mathilde et elle s’embrassent sur la bouche. Elles prennent à malin plaisir à me rendre jaloux, ce que je ne suis pas, car je m’émerveille à regarder l’amour lesbien. Maintenant, la tige est luisante et reflète les rayons du soleil par la fenêtre ouverte. Ma chef fume avec nonchalance en me regardant dans humiliante adoration de ses pieds. Elle relève sa jupe, glisse une main sous sa petite culotte de dentelles, et se caresse avec délice, en roulant son clitoris sous la dernière phalange du majeur. Sous le tissu presque transparent de son cache-sexe, je constate qu’elle a gardé une abondante toison pubienne. Je brûle d’aller y porter ma langue servile. Ou bien qu’elle me branle avec ses délicieux petits pieds. Elle sait, grâce au questionnaire, que je suis passionnément fétichiste de cette zone du corps féminin et que je raffole du contact podal sur mon sexe. Mais je sais gaziantep escort telefonları bien qu’à l’instar d’une augmentation, il ne faut rien de demander et se contenter d’espérer.

Comme le bureau est bien chauffé, Ingrid transpire — ce parfum est un délice! — et retire la veste de son tailleur, ainsi que son corsage, afin de rester en soutien-gorge. Puis, profitant que je suis penché et avant et complètement vulnérable, elle me donne un coup de pied bien sec dans les testicules, puis m’attrape par les hanches et m’encule sans le moindre ménagement. Moi qui étais jusqu’ici vierge du cul, me voici dépucelé. Ingrid m’empoigne la verge en même temps. Elle décalotte et recalotte en serrant très fort. La tige de plastique appuie sur ma prostate, ce qui fait monter le plaisir d’une manière vertigineuse. Mais, juste avant que j’éjacule, elle lâche mon sexe, de sorte que mon orgasme est ruiné. Mathilde m’attrape par les cheveux, m’obligeant à abandonner ses jolis pieds. Je suis contraint de laper mon sperme qui s’est répandu sur le lino et sur les petons de ma chef, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus une seule goutte.

Ensuite, Mathilde me passe un collier de chien autour du cou, et demande à sa secrétaire :

— Ingrid, va me chercher la clé de la salle de torture. Oui, la grande salle, avec la baignoire et le nouveau matériel électrique que j’ai fait importer de Corée du Nord. Ce pauvre crétin de Stéphane et moi allons y passer deux ou trois heures, ou peut-être la nuit entière. Je crois que nous allons bien nous amuser. Et que l’on ne nous dérange pas. Nous allons voir jusqu’à quel point ce petit imbécile est prêt à souffrir pour le bien de l’Entreprise. Je me sens d’humeur sadique, aujourd’hui.

En avant pour l’enfer. Pour m’obliger à la suivre et marcher à son rythme, Mathilde me tient fermement par la laisse. Je reste nu, toujours bandant mollement. Nous traversons les couloirs et croisons les collègues qui l’inclinent respectueusement devant Mathilde. Certaines femmes me crachent au visage, ou bien se déchaussent et, orteils recroquevillés, elles prennent mes testicules pour des punching-balls de kickboxing japonais, tout en souplesse et en force. Elles organisent même le concours de celle qui me fera crier le plus fort, en utilisant un sonomètre. Ma mine déconfite les fait beaucoup rire. D’autres pleurent, parce qu’elles ont pitié de moi, à cause de ce que je m’apprête à subir dans la cave, ou plutôt le donjon, de l’Entreprise. Elles se font insulter, parce que ce genre de bons sentiments n’ont pas de place dans cette Entreprise où les performances et le collectif passent avant toute considération d’humanisme dépassé. Mais moi, quitte à crever sous la torture — il paraît qu’on n’est jamais sûr de revenir du donjon vivant, surtout entre les mains expertes de Mathilde – je suis content de recevoir cette gratification de la part de ma chef bien aimée à laquelle je dois éternellement fidélité et obéissance aveugle. Aveugle comme l’amour que je lui voue, ainsi qu’à l’Entreprise.

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Asian

I laid in bed once again, listening to the rain beat against my window. The wind whistled against the pane and the cold dampness of the house permeated my very being. While outside my skin was covered in goose bumps and chills, inside I was burning hot, on fire with a slow burn, aching and ready to be ignited.

The lights were dim in the room, with only the small illumination from a nearby candle on the dresser. I had put on some alternative music with a hard, pounding beat, meant to remind you of the fevered fucking you so favor. As you had requested, I was dressed only in my 6 inch high heeled red leather pumps, and a scrap of red mesh and black lace, known as a thong. My hair was pulled back into small little pigtails and I had applied a lovely wet sheen of blood red lip-gloss on my pink and pouty lips. I was reclined on the bed waiting for you to arrive.

I sometimes wonder what our friends might think if they knew that you and I liked to play these games. Would they laugh? Would they be disgusted? Or would they be aroused the way I am whenever a new fantasy begins to take form gaziantep vip escort in your head? Would they find the dichotomy of such a “wholesome” couple playing such naughty games a turn on? Sometimes I wish we could invite them to watch just to see their reaction. But instead, I am fully content in being the vessel in which you sate your desires, and the actress in our romantic notions.

As I recline against a mountain of cool pillows and watch the candlelight flicker across my abundant frame, (for I am no petite thing, a trait you admire so in me), I take note how my 42D breasts lay against my chest. They are heavy and aching to be touched. My nipples begin to harden at the thought of your wicked mouth and the way you move your lips across my little peaks, teasing them to attention then sucking the tips with your tongue. As I reminisce, my fingers start to wander under the waistband of my thong and with one hand teasing the lips of my pink slick pussy, and the other pinching my nipples painfully hard, I begin to grow wet and the gaziantep yabancı escort desire to be filled with your cock overwhelms me.

I close my eyes, slide the red mesh fabric down my hips to my ankles then proceed to spread my lips, allowing my short red tipped fingernails access to my cunt. First one finger slips dutifully inside, then I add another finger, its tight but it feels so slick and hot, and full that I can’t help but add my third finger into my pussy. As I grind my fingers inside my moist vagina, with my other hand I begin to stroke that small tiny bundle of nerves that is my clit. It’s a little button and its throbbing with sensation, it wants to be sucked and stroked. I wet my finger on my left hand with my tongue and begin to stroke my clit in slow light circles all the while, pumping into my nether lips with my other hand.

I begin to feel my body start to tighten, the red high heels digging into the mattress, the scrap of mesh and lace now down at my ankles binding my feet. I am biting my teeth gaziantep yaşlı escort into my glossy stained red lips, and my nipples are flushed and aroused.

My whole body is on fire, needing to feel you, needing to smell the scent of your cologne, the taste of your sweat, and the rough sweeping of your fingertips as you slide your blunt digits deep inside my hot, slippery pussy. All these memories converge as I stroke my clit and it’s the memory of your tongue on that bundle of nerves, that sends my spine to tingle, my back to arch and my body to shake as my orgasm rips through my body making me pussy tighten around my fingers itching them to keep pumping into me and my moans to keen at a higher pitch as if its you that is inside of me, instead of my own hands.

After my body begins to settle and I withdraw my hands from my body, aftershocks begin to ripple through my lips and I wish you were here; your cock inside me to feel it. My eyes are closed as I make this silent prayer but it is then that I am aware there is someone in the room with me. The smell of cinnamon and leather permeates the room and I know its you. My eyes are hazy with the afterglow of the orgasm I just received, but I see you shift toward me, your pants unbuckled and your cock gloriously aroused. I feel your hands sliding my thong completely off my legs and you caress the leather of my shoes. It’s the firm touch at my ankles that tells me soon my fantasy is about to become a reality.

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Soirée Entre Amies Ch. 09

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Premier jour d’une nouvelle vie

Laurence

Le réveil sonne, Je me tourne en grognant dans le lit. Mon mari pose sa main sur mon épaule et m’embrasse dans le cou. Je frissonne mais je n’ai pas envie de ses marques d’affection. J’ai honte de ce que j’ai fait au cours de la soirée et mon corps est encore tout endolori. Mon anus est irrité, mes seins sensibles au moindre frottement et cette chose ignoble dans mon ventre.

-Alors, ma chérie, Tu as passé une bonne soirée avec Carole, me dit-il en se levant.

Je me tourne vers lui en souriant du mieux possible.

-Oui, Mais on a un peu abusé de la boisson et Carole n’était pas en état de me ramener de suite, du coup, Je ne suis rentrée qu’à cinq heures…

-Je vais te préparer le café, va te doucher en attendant.

Je me lève et je découvre un message de Maître Luc. “Aujourd’hui, mets ta jupe la plus courte que tu aies et rase-toi la chatte.” À la lecture de ce message, j’ai envie de jeter mon téléphone par la fenêtre. Mais, Je dois me lever, j’ai une réunion importante ce matin, je ne peux pas être en retard.

Malgré ma haine pour Maître Luc et Maîtresse Françoise, Je ne peux pas m’empêcher de penser à eux, Je caresse mon ventre et sous la douche, Je glisse un doigt dans ma fente et je commence à me caresser. Je trouve une bombe de déodorant et je me la glisse dans la chatte, Je la fait aller et venir en moi et je tombe à genou pour jouir. Que m’arrive-t-il?

Je reprends mes esprits et je regarde ma toison brune dans le miroir. Avec des larmes dans les yeux, Je commence à mettre de la crème dépilatoire. Mon mari frappe à la porte.

-Tout va bien chérie?

-Oui! Oui! J’arrive.

Je finis cette opération délicate et je sors en peignoir pour prendre mon café avec lui. Il me raconte ces projets de la journée que j’écoute d’une oreille distraite. Il m’embrasse avant de partir et je vais réveiller les enfants pour qu’ils soient prêts pour l’école.

Comme s’il savait ce que je fais, Je reçois une nouvelle demande de Maître Luc. “Envoie-moi tout de suite une photo de ta chatte lisse avec ton visage visible.”

Comme je traîne un peu, Mon gaziantep jigolo escort téléphone vibre de nouveau et je reçois une photo de moi hier soir en tablier de soubrette avec un message “Veux-tu que ton mari reçoive cette photo?”

Vaincue, Je m’enferme dans la chambre et allongée sur le lit, cuisses écartées je prends un selfie de ma chatte et de mon visage.

J’enfile la jupe la plus courte que je trouve, j’hésite à mettre une culotte du fait de l’état de mon cul. Je suis bien obligée de mettre un soutien-gorge à cause du travail et cela atténuera aussi peut être les frottements de mon chemisier sur mes tétons encore trop sensibles.

Je dépose les enfants à l’école et j’arrive à la gare juste à temps pour avoir mon train. Maître Luc est là tout sourire à m’attendre.

-Bonjour Laurence! Je n’ai pas droit à une bise ce matin?

La tête basse, j’approche mon visage du sien pour l’embrasser et je sens sa main sur mes fesses.

Il se recule un peu et le visage grave, Il m’ordonne.

-Si tu veux monter dans ce train, retire ta culotte…

Je sursaute, Je regarde partout et malgré le monde, Je fais glisser ma culotte Sur mes cuisses sous la jupe. J’ai de la chance, Elle glisse presque seule à mes chevilles.

-Très bien, retire-la complètement, que dirais les gens s’ils te voyaient la culotte au pieds…

Je l’enjambe et d’un geste discret avec son pied, Maître Luc la pousse contre un poteau. Il me tient par la taille pour monter avec moi dans le train et nous nous asseyons face à face. Lorsque nous descendons, Il se penche vers moi et pose ses lèvres sur les miennes pour me souhaiter une bonne journée.

Avec ma réunion et le travail, j’arrive à oublier cette soirée maudite, mais en milieu d’après-midi, je suis prise d’un malaise comme je n’en n’avais jamais connu. Heureusement que je suis seule dans mon bureau, sans rendez-vous de prévus.

J’ai des sueurs froides, mon cœur semble sortir de ma poitrine, j’ai des vertiges et je tremble comme une toxicomane en manque. En plus de ça j’ai le ventre en feu, mon sexe est pris de spasmes, gaziantep lezbiyen escort je dégouline entre les jambes et je salive. Je comprends très vite que j’ai un besoin imminent de sexe. Le goût du cocktail me revient à la bouche. Je me souviens des paroles de maître Luc qui disait que ce soir je réclamerai de revenir chez lui pour boire un cocktail.

Pour le moment la seule chose que j’ai en tête c’est d’essayer de me soulager. Je vais fermer la porte de mon bureau à clef et je regarde autour de moi ce qui pourrait faire office de sexe. Je jette mon dévolu sur un vaporisateur d’eau. La bombe d’un petit format me permet de me fourrer la chatte pendant que mes doigts pressent et font rouler mon clitoris gonflé de désir. C’est la première fois que je me masturbe et que je jouis sur mon lieu de travail. Mais je sens que cela est insuffisant, j’ai vraiment besoin de sexe avec un ou plusieurs hommes. Heureusement que Maître Luc m’a retiré ma culotte ce matin, sinon elle serait trempée…

L’après-midi me semble longue. je serre les jambes et dès que j’en ai l’occasion je vais aux toilettes pour me caresser et me faire jouir. J’ai des images plein la tête. Je me vois avec Maître Luc et maître Françoise et d’autres hommes me faire prendre par tous les trous. Ces images m’obsèdent. Je n’ai qu’une seule hâte c’est de retrouver maître Luc sur le quai de la gare peut-être pourra-t-il me soulager!

Maître Luc

Laurence tient toutes ses promesses. Ce matin, Je n’ai pas eu à insister pour qu’elle retire sa culotte. J’ai hâte de voir dans quel état elle est ce soir. L’effet de manque du cocktail devrait avoir commencé à faire son effet depuis une à deux heures environ.

Pour Carole, nous lui avons donné ce qu’il fallait avant son départ pour qu’elle ne souffre pas de manque. Mais pour Laurence, elle doit commencer à ressentir des picotements dans sa poitrine et entre ses cuisses.

Je l’attends assis à la terrasse d’une brasserie en bout de quai. Je suis intrigué de savoir comment elle réagit au effets du cocktail. Je la vois arriver de loin, elle semble impatiente gaziantep masaj salonları et me cherche du regard. Je souris en voyant son air désespéré de ne pas me trouver.

Je fais semblant de ne pas la voir et continue la discussion avec une femme en partance pour ses vacances avec des enfants en bas âge que j’amuse avec des tours que je connais en raison de ma profession. Même si je ne suis pas un artiste, je connais quelques tours qui subjugue les petits et les grands.

J’ai même réussi à convaincre cette jeune femme de retirer son string et de le poser en évidence sur la table, si je joue bien le coup, dans quelques minutes, elle va le donner comme doudou à sa petite fille dans sa poussette. Je regarde Laurence me chercher et son regard affolé, je crois même qu’elle pleure, mais je veux voir jusqu’où je peux aller avec Mélanie.

D’un revers de main, je fais tomber le sous vêtement au sol.

-Oh je crois que la petite a perdu son doudou…

Elle regarde le bout de tissu au sol et se penche pour le ramasser. Après l’avoir secoué un peu, elle le donne à sa fille qui l’attrape et le porte à sa bouche pour le téter. La petite grimace un peu mais reconnaissant l’odeur de sa mère, elle se frotte le visage avec.

-Excusez-moi! Mais mon train est annoncé.

Je lui laisse ma carte en lui disant de me contacter si elle souhaite me revoir et elle me donne alors son numéro de portable.

Je me lève en laissant un jeu de cartes truqué à son petit garçon qui est ravi. Il pourra tenter les tours que je lui ai montrés.

Je me dirige vers Laurence qui me tourne le dos.

-Alors petite chienne, en manque?

-Que m’avez-vous fait? me dit-elle, le visage écarlate, les yeux rougis par les larmes et la coiffure défaite.

-Moi? Absolument rien. C’est votre nature de salope qui ressort… suivez-moi.

Je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir qu’elle me suit et je sais ce qu’elle veut, mais je ne le lui donnerai pas tout de suite.

Nous nous installons dans le train et je me plonge dans mon roman, la surveillant du coin de l’œil. Elle serre et écarte ses cuisses régulièrement. Comme je m’en doutais, elle est en manque.

-Vous êtes venues en voiture? Donc vous allez pouvoir me ramener chez moi?

-Oui Maître Luc, me dit-elle quand nous sortons de la gare.

Je prends place à ses côtés et en arrivant à la villa, Françoise nous attend devant la porte.

-Je crois que notre chienne est venue prendre sa dose de cocktail et sa séance de gonflage.

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Amateur

It was my birthday, and my new friend Teri had arranged to take me out for a day’s shopping. I had only known her three weeks, meeting her at an evening dance class, but already we were firm friends and getting closer all the time. She was wild, forever saying outrageous things, flirting shamelessly with men, dressing how she pleased, trying to get me to ‘let myself go’. I didn’t consider myself a prude – I’d had several boyfriends and was always open to approaches from others – but Teri took my breath away sometimes. Last week she’d invited me to an orgy – I think she was serious – but I chickened out at the last minute.

Perhaps I should tell you a little about us. My name’s Lisa and I’m 25, secretary, fairly small but well-formed, short blonde hair, pretty (I’m told), fond of sunbathing so I’ve got a good tan that covers all but a few strategic square inches. Teri is taller, same age, hair a little darker than mine (when it’s not dyed), slimmer but with a nice bust. Her love life is so complex (if you believe her) that she needs a laptop to keep track of who she’s dating that day.

Anyway, she turned up on time in a bright pink sundress bearing a huge card and a small gift-wrapped box. We kissed – Teri kisses everybody and I’m getting the habit now. The card bore some obscene greeting, and the box was very heavy. Inside were two smooth balls made of some golden metal.

‘Uh, thanks,’ I said. ‘They’re very nice . . .’ I had seen similar objects designed for exercising the fingers. It seemed a strange gift. Teri was looking at me with suppressed laughter.

‘Don’t you know what they’re for?’

‘Uh . . . ‘

‘They’re called ben-wa balls. Lots of women use them. They’ll drive you wild!’

I must have been thick that morning, because I still didn’t see what she was driving at.

‘You put them in your cunt,’ she said, grinning at my discomfort. I opened my mouth but no sound emerged.

‘Go on, try them,’ said Teri.

‘Are you sure?’ I mumbled. I couldn’t imagine using them, and yet deep inside me something subconscious obviously liked the idea because I felt a tiny quiver in my loins.

‘Of course I’m sure,’ she said, holding her arms out and wriggling like a belly dancer.

‘You mean – you use them?’ I was stunned.

‘Yep. Quite a lot of the time. I’m wearing some now. I feel great – ready for anything!’

I swallowed. Well, it was my quarter century, so I felt I ought to try something new. And my body was liking the idea more and more, if the trace of hot wetness in my pussy was any signal.

I went to the bathroom (I wasn’t going to put them in with her watching, was I?) and took off my panties. I ran the balls under the hot tap for a minute as Teri had advised me, then squatted down in the tampon-inserting position. I took a deep breath, wondering whether to just tell her they were in without actually doing it. Courage, Lisa. Today is the first day, etc.

The warm smooth spheres, about the size of a hen’s egg, went in with surprising ease. I stood up slowly, examining the novel sensations: a dragging on my pelvic floor muscles, a satisfying feeling of fullness in my cunt – and a sudden surge of sexual arousal that swept through me and made me clutch at the basin for support. Wow! That was like nothing I’d ever experienced before, neither with a man, nor with myself. There was no focus of pleasure – clitoris or whatever – just a hot glow of sexual power diffusing through my entire body. My breasts tingled and I felt my nipples harden. My pussy grew wet with my juices.

I pulled my panties back on and tried to walk nonchalantly back into the lounge. Every step sent a wave of pleasure coursing through me. I gasped and swayed, and Teri, coming to see what was taking so long, caught me before I stumbled. I felt her warm arms around me, through my thin dress, and felt a definite sexual current flowing between us.

‘Good, heh?’ she said, ‘Here, sit down till you get used to it.’

I sat on the sofa and, once still, the feelings subsided a little. ‘How do you manage?’ I said, ‘I feel like – I don’t know what.’

‘Like you’re going to cum all the time?’ she asked, grinning, and I nodded. ‘You’ll get used to it. You’re just on a higher plane. It took me a few hours to be able to act natural.’

I sat there with an inward look, shifting my hips occasionally and analysing the sensations it produced. I did feel as if I was at that plateau stage when you want to cum but need just a bit more stimulation – not much! – to tip you over the edge. It was delicious, gaziantep yavuzeli escort in fact, and I could see it would be addictive.

Teri was looking at her watch. ‘Come on, we want to get some shopping in before lunch.’ I wasn’t sure that I could manage walking round the shops, but she persuaded me. I hung on to her arm as we went out to her car, gasping and giggling with pleasure.

The faint vibration of her car set up sympathetic trembling in my ‘balls’, and by the time we arrived at the mall I was as close to cuming as if I was being tongued by a professional linguist. I had to sit there for five minutes before I was able to get out of the car. Teri looked at me with amusement. I knew now why she out of all my friends had a different air about her, an air of excitement, daredevil, arousal. It was because she was constantly on a sexual high. I found myself looking at her as if I were a man, admiring her long legs, her high breasts with their prominent nipples showing under the dress, her moist full lips, her nostrils flaring with excitement. Faintly I thought I could smell her sexual musk – or perhaps it was mine!

We strolled into the mall, me desperately trying to pretend I was normal. I found myself adopting a slower, more sensuous, hip-rolling walk – sudden movements tended to make the balls bump against the walls of my vagina. I realised that Teri walked like that: it was one of the causes of her innate sexuality. We linked arms and I took pleasure in the feel of her warmth against me.

Soon I had to sit down on one of the benches until I had got myself under control. We laughed together at my predicament, and Teri suggested we grab a coffee and doughnut at the stall opposite. I thought I could make it that far.

We stood at the counter, making small talk with the young assistant, a teenage girl with long black hair. Suddenly she stopped and looked at me directly.

‘You wearing?’ she asked.

I didn’t understand. ‘What?’

‘Are you wearing?’ she repeated.

‘Yes, she is,’ Teri said. ‘First time today.’

The girl grinned at me. ‘Welcome to the club,’ she said. ‘Have a nice day!’ She winked.

I was stunned. We went and sat down and Teri explained that women who were wearing ben-wa balls, or anything similar, generally had a air about them which was recognisable by those in the know. A sort of underground subculture.

‘I could tell she was,’ Teri said, ‘and she didn’t have to ask me. But maybe you haven’t learnt how to show it properly yet.’

I breathed deeply. There was a lot I had to learn about life. The girl flashed another grin at me.

We spent the next half-hour just watching the people walking past. I lusted after the men – anything between 15 and 55 that was halfway decent seemed like a sex god to me just then – but Teri told me to concentrate on the women.

‘Here’s one,’ she whispered, ‘Coming from the left.’ She was 35ish, business type, smartly dressed, short skirt. But yes, her walk was just a little too slow and swinging, her breasts held a little too proudly, her mouth open slightly, her misty eyes focused inwards on her bodily sensations. ‘She’s wearing, I’ll bet you. Look at the eyes, they’re the key.’

By the end of the half-hour I could identify them with reasonable accuracy – probably about 1 in 20. Of course, we had no way of knowing whether we were right, although Teri said that we could always ask. I thought she was joking, but she reckoned that they would be pleased to meet a fellow wearer. There was a sort of freemasonry at work here. Certainly I hadn’t been offended by the coffee stall girl – in a way I had felt closer to her.

But the purpose of our visit had after all been some serious shopping. We browsed around the clothes shops, not finding anything that we liked much. I must admit that my mind wasn’t totally on the task in hand – every so often a too sudden movement would send a bigger than normal wave of pleasure through me, and I would have to suppress a whimper. One time, I was squatting down looking at shoes, and it was too much. I clutched Teri’s arm. ‘Teri, I’ve got to cum!’ I whispered.

She smiled at me. ‘Me too,’ she said, ‘Cmon, let’s go outside.’ We staggered to the bench out in the mall and sat. I was shaking with the climax that hovered just under the surface.

‘Cross your legs,’ whispered Teri. I pressed my thighs together and squeezed my internal muscles, knowing instinctively what to do. Teri and I gripped hands and I felt her trembling. gaziantep yeni escort The climax burned through me like a hot wind, I felt myself flushing and my vision went misty for a moment. Faintly I heard Teri moaning beside me. I came down from the heights very slowly – it hadn’t been like a normal orgasm I get with a man, more of a great heat filling my body.

‘Wow,’ I breathed, and Teri looked at me and grinned. I could see her lips moist and her eyes smoky with the afterglow of her own climax. We sat there gathering strength – I for one felt as horny as before.

A woman came out of the shop opposite and approached us. She was in her thirties, attractive and well-dressed. I though I could detect in her movements and demeanour the signs of a fellow wearer.

‘Hi,’ she said, ‘Do you want to use one of our changing rooms? You’re welcome, you know.’

I was taken aback, but Teri said, ‘OK, I guess we need that. Lisa here’s not used to it.’

The shop woman smiled at me. ‘Quite a buzz, isn’t it?’ she said. ‘Took me weeks to act normal.’

‘You’re . . . wearing?’ I asked, using the accepted phrase.

‘Sure,’ she said, ‘Wouldn’t be without them. Helps pass the time. Couldn’t stand this job otherwise.’

We got up shakily and went into the shop. She handed us some dresses. ‘Here, pretend you’re trying these on. Changing rooms are through the back.’

Teri and I got into the small mirrored room and shut the door. I clung to her, feeling another climax welling up in me. She helped me off with my dress and took her own off. I was shocked to see the large damp patch in the crotch of her panties, but I realised that I was just as wet. She slipped them off and leaned back against the wall, sliding her fingers down between her legs. In a few seconds she was shuddering and gasping her way through an orgasm, rubbing her hard nipples with her other hand. I felt more juice spill into my panties, and slipped them off, unable to take my eyes off Teri. My hand found its way to my clit of its own volition and with shocking suddenness I came powerfully. The balls held in my spasming vagina pressed against my sensitive places and renewed my climax again and again.

Eventually Teri and I came down to earth, looked at each other and laughed. ‘Like it?’ she said.

She pulled out another pair of panties from her bag. ‘Got a spare pair?’ she asked, and I shook my head.

‘Always carry a couple of spares. Here, borrow one of mine.’

We dressed and tried to make ourselves look presentable. My orgasms had relieved my more urgent needs but I was still on that sexual plateau where a small extra stimulation would trigger off further climaxes. The woman grinned at us as we gave her back the dresses that we had ‘tried on’.

‘Feel better now?’

Teri grinned at her, unembarrassed. ‘You bet. Thanks.’

‘I know what it’s like. What are you wearing?’

‘Lisa here’s got a pair of balls. It’s her first time. I’ve got four in. What about you?’

I was taken aback. Four! Teri must be stretched to bursting.

‘Just a couple of balls. Sometimes I use a big egg, sometimes a butt plug as well. I like a bit of variety.’

I wanted to ask what a butt plug was, but decided to wait. Teri was talking to the woman, analysing different designs, most of the jargon over my head.

‘Some of us here go to a work-out class on Wednesday evening,’ the woman said. ‘We all wear something for that. It’s wild! You should try it. And the shower-room afterwards, wow! We really have some fun.’

‘I’ve got an exercise bike,’ Teri said. ‘That’s nice. I can cum continuously for half-an-hour!’

‘I can imagine,’ said the woman, smiling to herself. ‘Well, guess I got to go in back after that! Have fun!’

We wandered out into the mall again. I felt as though I was in a dream, where anything was allowed and possible. Had I really just cum on the seat there, and again in the changing room?

‘Was that true, about the exercise bike?’

‘What?’ said Teri, distracted. ‘Oh, yeah, of course. You should try it.’

We suddenly felt hungry so found a cafe and stuffed ourselves for a while, watching the people walk by and trying to identify the ‘wearers’. Teri reckoned that most of the waitresses and assistants were, but I wasn’t so sure. I found that I was getting used to the glow of sexual arousal suffusing my body – I could ignore it for periods, although I realised that I was smiling at everyone and unconsciously giving come-on gaziantep zayıf escort signals to men (and women too, probably). Then I would concentrate on my insides and feel the balls rolling against my vagina, and a wave of pleasure would break inside me. My borrowed panties grew wet.

Over coffee, Teri and I had to let ourselves cum again. I managed it quite well, my breathing growing deeper and louder but no other outward signs. It was a good way to end the meal.

‘How many spare pairs have you got?’ I asked her, and she laughed.

‘You’ll just have to leave them off, Lisa. That dress’s long enough – just.’

We strolled around, getting chatted up by a couple of men working on an empty shop. I think if Teri had been on her own she would have ended up fucking them both, but I wasn’t ready for that – yet.

‘Can men tell?’ I asked her.

‘No, don’t think so. Not consciously anyway. They just know whether a woman’s sexy or not, don’t stop to ask why. Probably don’t even know about wearing things.’

We browsed around a stall selling silver jewellery. The owner was a tall striking Afro-American woman; she radiated sexuality like an electric fire and I felt that no man would have been able to resist her. I found her quite exciting myself. She held some of the chains up to my neck and the touch of her warm fingers sent a spark through me. Teri was looking at another counter.

‘What are you wearing?’ she asked me in a low voice.

‘Couple of ben-wa balls,’ I answered, then realised that she might have been asking about my perfume.

‘Thought so,’ she said.

‘What about you?’ I was bold enough now to ask.

‘Come through the back and I’ll show you.’ She called to the other assistant to watch the front, and led me through into the storeroom. She put a foot up on a crate, and hitched up her long skirt with no embarrassment.

She was naked under the skirt. Her long brown legs flowed endlessly upwards to her dark crotch. She was shaven, and her labia were black and velvety. But what drew my eye was the large cream object sticking out of her vagina. It looked like a sculpted pair of testicles, and a wire led from it upwards across her stomach. I saw also that there was a silver ring in one of her outer labia. I couldn’t tear my eyes away.

She pulled something out of a pocket in her skirt; it looked like a small TV remote control. She turned a knob on it and I heard a faint buzzing sound. She breathed fast and I saw her hips writhe slowly.

‘Batteries are inside,’ she said breathlessly. ‘I can control the power from this thing.’

She put her leg down, letting the skirt fall to cover her. Her hand gripped my shoulder, and she looked into my eyes as her climax swelled. She turned the knob again and an expression of pure ecstasy swept across her face. She gasped and moaned, her hips jerking. I grew ever wetter. . .

When she had calmed down, she felt in her other pocket and gave me a small business card. She looked hard at me and said, ‘Why don’t you visit me and my husband some time? We’d both like to get to know you better. Call us anytime.’

I looked at the card – just their names and a street address, with ‘Handmade Silver Jewellery’ underneath. They lived not far from me.

‘I might do that,’ I said, smiling at her, and thinking that I had to get to a place where I could cum quickly.

‘I better get back to the shop. You can stay here – if you need to.’ She grinned at me.

She left me in the storeroom and I watched her shapely figure walk out into the shop with that sensuous roll she had. I slipped off my panties, pushed my hand between my legs and squeezed my thighs together. The climax burst inside me and I nearly fell over with the ferocity of the heat burning through my body. The spasms lasted for minutes as I fought for breath.

Later, I left the sodden panties on a box and tottered weak-kneed through the shop. The black woman winked at me as I left. I found Teri on a bench, looking as if she’d also just finished cuming. I collapsed beside her.

‘I think I’ve just been invited to a threesome,’ I said, and told her what had happened.

‘Lucky you,’ said Teri. ‘Can you bring a friend?’

I was exhausted, both physically and emotionally, and persuaded Teri that we should go home, even though we hadn’t bought anything (the object of the trip, after all).

‘OK,’ she said, ‘but don’t forget I’m taking you to a party tonight.’

I had forgotten, in the heat and excitement of the day. ‘What sort of party?’

‘You’ll find out.’ She grinned.

‘What should I wear?’

‘What you’re wearing now,’ she said, pointing at my crotch.

‘No, I mean clothes.’

‘Oh, anything. Nothing you don’t want to take off and probably lose track of.’

So it was that sort of party – Teri had told me about the parties she went to and I only half believed her. Soon I would find out.

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