Gün: 28 Ocak 2024

Kidnapping et Soumission Tome 04

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Anri

I. La tournée des clubs

Arrivé à Tournai au Kit Kat Klub, N°1 et Sweet Pussy furent reçues par le tenancier du club.

« Bonjour, mes esclaves. Comment va N°1?

« Bien, Maître. »

« Et qui est cette nouvelle esclave? »

« Sweet Pussy, Maître. » dit doucement Isabelle.

« Je vois que Maîtresse Aurore a opéré sur ton joli corps, pour un début c’est pas mal du tout. » Dit le tenancier en tâtant les seins de Sweet Pussy et en pinçant ses tétons.

« N°1, tu lui donnes les instructions de vie ici pendant votre séjour en allant à votre chambre, vous commencez demain. »

« Mais, nous n’avons encore pas répéter le numéro de danse! »

« Demain, j’ai dit, pas de temps à perdre, le retour sur investissement doit être rapide! »

« Bien Maître. »

Les deux esclaves marchèrent le long d’un couloir et arrivèrent dans leur chambre. Deux lits à baldaquin collés l’un à l’autre trônaient au milieu de la chambre. Les murs étaient couverts en alternance de miroirs et de photo SM, le plafond n’était qu’un miroir. Pendant que Sweet Pussy regardait la chambre, des hommes amenaient de grosses valises et les déposaient dans un coin de la chambre.

« Je vais te donner quelques instructions et Il faut se reposer un peu, car après, nous devons répéter notre numéro. Nous dormirons ensemble dans cette chambre. Nous y mangerons et passerons tout le temps sauf pendant nos numéros et séances. Nous n’avons pas le droit de sortir. Les toilettes sont dans ce coin comme tu peux le voir. Il y a tout ce qu’il faut pour se maquiller et s’habiller. Quand nous aurons fini nos prestations, le 4×4 viendra nous chercher et nous emmènera dans un autre club. Il faut dormir et prendre des forces pendant la journée car, dans les clubs, c’est nuit blanche!»

« Mais on ne va jamais dehors? »

« Pendant la tournée, on ne va jamais hors des clubs. On ne voit l’extérieur que lorsque l’on revient au château. »

Sweet Pussy commençait à regretter d’avoir accepté de venir. Elle pensait voir le monde extérieur et peut-être pouvoir s’échapper! Mal lui en a pris.

« Quel est le programme des festivités, que fait-on? »

« Nous ferons notre numéro de danse ensemble, ensuite je te laisse la surprise, sinon, ça n’a plus grand intérêt! D’ailleurs, il faut que je te montre certains mouvements et ensuite on répétera notre numéro. Il faut que l’on choisisse aussi nos vêtements. »

N°1 mit un CD dans le lecteur de la chaîne hi-fi et se positionna au centre de la chambre, la tête relevée, le regard sévère au travers de son masque. Ses mains reposaient sur sa taille, elle avait écarté les jambes. Sa position altière rendaient encore plus proéminents ses énormes seins. Les enceintes crachèrent subitement une musique techno et N°1 commença à headbanguer et sa tresse pivota comme on fait tournoyer un fouet. Puis elle fit des mouvements de hanche pour montrer ses fesses couvertes de latex rouge. N°1 fit glisser ses mains sur ses seins et tira sur ses anneaux comme elle l’avait fait lors de sa présentation au château devant les nouvelles esclaves. Elle pivota sur ses talons et mit sa tête en arrière et pliait ses jambes comme si elle voulait s’empaler sur un phallus. Sa main caressait sa chatte au travers du latex. Puis elle se mit à terre et écarta les jambes tout en ouvrant le zip de sa combinaison pour montrer sa chatte annelée. Elle roula sur elle-même et se mit à quatre pattes, sa main passait entre les lèvres annelées de son sexe. Elle enfonçait ses doigts dans son sexe puis ils ressortaient pour entrer dans son cul. Elle lécha ses doigts en fermant les yeux. Elle se remit sur le dos et prit ses seins à pleines mains. Elle les faisait bouger comme un gâteau de gelée. Ses doigts pincèrent ses tétons et elle tira fortement pour les allonger. Elle se releva.

« Voilà, ma petite Sweet Pussy, les principaux mouvements que tu dois faire. Quand on sera à deux, on improvisera pour charmer les Maîtres. Maintenant, il faut nous reposer. »

N°1 et Sweet Pussy se couchèrent dans leur lit. N°1 mit l’alarme du réveil pour deux heures de sommeil.

Deux heures plus tard, le réveil sonna et les deux esclaves se libérèrent des bras de Morphée. Elles enlevèrent leurs vêtements, leurs corps étaient en sueur. Elles allèrent à la douche et se savonnèrent le corps. Sweet Pussy voulut embrasser N°1 mais elle l’en empêcha.

« On n’a pas le temps de s’amuser! Il faut se préparer, on doit être irréprochable dans nos tenues. »

N°1 vérifia si le crâne de Sweet Pussy ne comportait pas de repousse. Elle prit un rasoir et de la mousse et rasa une nouvelle fois son crâne.

« Il faut que tu fasses des séances d’épilation laser, j’en ai assez de te raser le crâne tous les jours! »

« Mais si je veux retrouver mes cheveux! »

« Maîtresse Aurore a choisi pour toi la coupe que j’ai, tu n’auras plus que celle-ci! »

Les deux esclaves sortirent de la douche et se séchèrent. N°1 s’occupa d’abord de Sweet Pussy. Elle ouvrit la valise et prit une combinaison latex semi-transparente mauve. Sweet Pussy l’enfila par les pieds. Cette combinaison comportait gaziantep escort bayan des pieds et gants, mais avait des ouvertures au sexe, aux globes fessiers et aux seins. La combinaison fut zippée dans le dos. N°1 maquilla les yeux de Sweet Pussy, un maquillage flashy et des épais traitss de rimmel. Ses lèvres reçurent un rouge cerise du plus bel effet. N°1 prit le masque de latex et l’enfila délicatement sur la tête de Sweet Pussy pour ne pas toucher le maquillage. Elle passa sa tresse dans le tube prévu et serra les lacets du masque. Le masque était un peu différent de celui qu’elle avait avant la douche car des boucles de ceinture se trouvaient près des yeux et de la bouche.

N°1 termina par chausser les bottes noires en vinyle avec une semelle compensée de 10 centimètres. Sweet Pussy se leva mais vacilla car elle n’avait jamais marché avec de telles bottes.

« Il faut que tu marches un peu dans la chambre pour t’y habituer. »

Sweet Pussy avait une démarche hésitante et se tenait au lit pour ne pas tomber. Elle marcha dans la chambre pour s’habituer à ces bottes inhabituelles.

N°1 se prépara en ajustant une combinaison rouge à liseré noir, elle farda ses paupières, mit du rimmel et son rouge à lèvres puis enfila son masque et demanda à Sweet Pussy de serrer les lacets et le zip de sa combinaison.

« Nous sommes prêtes. Nous n’avons plus qu’à attendre l’ordre du Maître. »

Le Maître arriva dans la chambre sans frapper.

« Allez les esclaves, on y va et que la prestation soit bonne car il y a du beau linge dans la salle pour vous. »

N°1 et Sweet Pussy se levèrent et suivirent le Maître jusqu’aux coulisses de la scène. Une musique techno assourdissante retentissait dans la salle. Les deux esclaves attendaient au pied des quelques marches qui permettaient d’accéder à la scène. Le Maître du club prit le micro sur pied et fit sa présentation.

« Bonsoir mes chers confrères. Pour vous ce soir, j’ai le plaisir de vous présenter votre esclave préférée N°1 qui sera accompagnée de Sweet Pussy qui fait ses débuts. Esclaves, c’est à vous! »

Une musique rythmée et des rais de lumière tourbillonnaient sur la scène pour accueillir les deux esclaves. Elles montèrent les marches et commencèrent à danser sur la scène. Ce fut d’abord N°1 qui apparut sur le devant de la scène. L’expérience aidant, ses mouvements étaient pleins d’assurance et de professionnalisme. Elle présenta ses énormes seins à l’assistance. Elle pinça ses tétons annelés et tira sur les énormes anneaux. Elle fit volte-face pour présenter son cul. Elle ondula de la taille pour aguicher les Maîtres. Elle fit tourner dans les airs sa tresse. Elle passa la main sur son sexe et ouvrit le zip pour faire apparaitre ses lèvres annelées qui pendirent sous le poids des anneaux. Elle les frotta et simula un orgasme en fermant les yeux et porta à sa bouche les doigts humides. Puis elle se coucha sur le sol et glissa sous son élan. Elle écarta les jambes et ses mains prirent ses talons. Sweet Pussy qui n’avait jamais pris de cours de danse se demandait comment elle allait faire pour se présenter aussi bien. Son corps n’était pas aussi souple et svelte que celui de N°1. Elle appréhendait le moment où elle devrait danser devant les Maîtres.

N°1 continua sa prestation sans aucune faute. N°1 fit un geste vers Sweet Pussy pour « passer le relais ». Sweet Pussy sut alors qu’elle devait faire son numéro.

Sweet Pussy était légèrement hésitante mais avait le rythme dans la peau car ces pas de danse furent assurés. Elle reprit les mouvements de N°1 et y mit sa petite touche personnelle. Sweet Pussy, qui avait sa combinaison ouverte sur ses fesses, avait le zip qui lui séparait à merveille ses globes fessiers. Elle ondulait des fesses et ses rats tatoués sur ses fesses ravissaient le regard des Maîtres. Elle pivota sur elle-même grâce à ses semelles compensées et présenta ses seins. Même s’ils n’étaient pas aussi gros que ceux de N°1, Sweet Pussy vit les Maîtres parlaient entre eux. Elle passa sa langue piercée pour que les Maîtres voient ses trois piercings et qu’ils voient qu’elle était envieuse. Elle posa sa main sur sa chatte annelée et enfonça un doigt dans son vagin. Celui-ci glissa facilement avec le latex. Un deuxième s’aventura en elle, puis un troisième. Elle porta sa main gantée à la bouche et lécha avidement ses doigts. Des sifflets et des applaudissements se firent entendre dans la salle. N°1 avança vers Sweet Pussy et improvisa un numéro à deux. Cela surprit Sweet Pussy car N°1 ne lui avait pas parlé d’un show à deux. N°1 se blottit dans le dos de Sweet Pussy et commença à caresser son corps. Ses mains glissèrent sur sa taille, descendirent sur ses jambes, puis remontèrent vers ses seins. N°1 empoigna les seins pour les soupeser puis pinça ses tétons. Sweet Pussy ferma les yeux sous ses caresses et commença à se balancer de droite et de gauche en suivant le rythme langoureux de la musique. N°1 descendit de nouveau ses mains et en s’accroupissant derrière Sweet Pussy enfonça ses doigts dans la chatte de sa gaziantep escort bayan ilanları compagne. Ses doigts commencèrent un va et vient lent qui s’accéléra subitement. Sweet Pussy commença à gémir et montra son orgasme dans un cri rauque et une giclée abondante qui déclencha un tonnerre d’applaudissement et des « ooohhh » de surprise de la part des Maîtres. N°1 reprit ses mouvements et Sweet Pussy jouit de nouveau dans une giclée abondante qui coula sur le sol de la scène.

Sweet Pussy coula abondamment et sa jouissance fit une flaque sur le sol. Son orgasme se transformait en jet d’urine. N°1 incita Sweet Pussy à venir au sol et à s’allonger. Les deux esclaves se roulèrent dans ce mélange de cyprine et de pisse. N°1 se mit à plat ventre sur le sol et lécha la jouissance de Sweet Pussy. Sweet Pussy se positionna devant N°1 tête contre tête et lécha aussi sa jouissance. Puis Sweet Pussy se fit glisser sur le sol et embrassa N°1. Cette dernière scène ravit au plus haut point les Maîtres qui s’étaient levés et applaudissaient chaudement.

Les deux esclaves se relevèrent et saluèrent les « spectateurs ».

« C’est gagné, tu as été parfaite. » dit N°1 à l’oreille de Sweet Pussy.

Le tenancier du club monta sur scène et reprit le micro.

« Ne vous avais-je pas dit que vous seriez aux anges, chers Maîtres? Eh bien, maintenant à vos enchères et que le meilleur gagne! »

« 1000€ » cria un Maître au fond de la salle.

« 2500 » Entendit-on sur la gauche.

« Allons mes chers confrères, un peu plus d’enthousiasme pour ces esclaves. »

« 3000 » redit le Maître au fond de la salle.

« 5500 » dit un Maître tout de cuir habillé.

« 10000€ pour les deux. » dit un Maître noir qui se tenait debout près de la porte.

Le silence se fit dans la salle. Les têtes pivotèrent pour savoir qui avait émis une enchère aussi élevée.

« Personne pour surenchérir? » dit le tenancier.

« Adjugé » pour Maître Tumba.

« Les deux esclaves sont à vous pour cette nuit. »

Le tenancier s’approcha des deux esclaves et les emmena vers leur propriétaire d’une nuit.

« Qu’est ce qui se passe? » dit Sweet Pussy à l’oreille de N°1.

« Lorsque ton numéro est terminé, et si tout s’est bien passé, tu passes la nuit avec un ou plusieurs Maîtres, cela dépend. Les nuits sont blanches, je te l’ai dit. »

Les deux esclaves descendirent les marches et virent un grand black, la tête rasée, habillé d’un costume noir. Il mesurait environ deux mètres, que du muscle, un vrai colosse.

« Bonsoir les putes. » dit-il.

« Bonsoir, Maître. » dirent à la cantonade les deux esclaves.

« Je sens que je vais bien m’amuser, ce soir. Allez, dans la chambre. »

Le Maître et les deux esclaves allèrent à la chambre. Sitôt entré, le Maître ferma la porte à clé et mit celle-ci dans la poche de sa veste. N°1 et Sweet Pussy virent que la chambre avait été légèrement aménagée car deux portiques avaient été posés en travers de la chambre

« A genoux toutes les deux sous les barres, mains sur la tête. »

Le Maître prit plusieurs brins de corde, et attacha les bras et les jambes de ses esclaves aux montants des portiques.

« Ouvre ta gueule, Sweet Pussy. »

Sweet Pussy ouvrit la bouche. Le Maître posa un ball-gag formé d’un anneau de métal qu’il serra derrière la tête avec la courroie en cuir, enfonça ses doigts dans la bouche de son esclave et prit la langue par les piercings pour la tirer vers l’extérieur.

Sweet Pussy gémit.

« Ta gueule, ce serait dommage de couper une si belle langue, n’est-ce pas? »

Sweet Pussy fit signe oui de la tête.

Le Maître s’approcha de N°1. Il pinça fortement son sein droit, puis tira sur la barre qui traversait entièrement ses seins. N°1 ferma les yeux pour endurer la souffrance mais le Maître tira si fortement que N°1 poussa un cri bestial tellement la douleur était devenue insupportable. Il lui posa aussi un ball-gag formé d’un anneau de métal.

Le Maître passa derrière ses deux esclaves et fouilla dans une valise. Sweet Pussy sentit quelque chose de froid qui glissait sur le dos. Le Maître venait de passer la lame d’un couteau et trancha la combinaison de latex. Son dos et ses fesses étaient maintenant bien apparents. Il fit de même avec N°1. Puis il passa devant les esclaves et trancha l’avant de leur combinaison. Leurs seins proéminents furent libérés du latex. Elles étaient comme deux prisonnières avec des lambeaux de vêtements. Seuls leurs bras et leurs jambes portaient encore du latex. Le Maître sortit de leur champ de vision et repassa derrière elles.

Soudain, Sweet Pussy hurla au travers de son anneau. Elle venait de recevoir un coup de cravache sur les fesses.

« Tu vas compter jusqu’à dix et n’oublie pas un seul coup, sinon on recommence. Et tu me remercieras pour chaque coup reçu. »

« Oui Maître. » fit Sweet Pussy entre deux soupirs de souffrance.

Le premier coup s’abattit sur ses globes fessiers.

« Un, merci Maître. »

« Deux, merci Maître. gaziantep escort bayan reklamları »

Les 10 coups appuyés zébrèrent les fesses de Sweet Pussy qui compta chaque coup après un cri étouffé de douleur. Ses bras se tendaient à chaque impact. Les boursoufflures apparurent sur les fesses de l’esclave. Sweet Pussy soufflait au travers de son ball-gag et souffrait dans son corps meurtri. N°1 voyait sa compagne souffrir mais ne pouvait rien y faire. Elle comptait dans sa tête les coups reçus par Sweet Pussy et s’attendait à recevoir le même châtiment. Le Maître se positionna derrière N°1. Elle attendait la sentence et respirait fortement. C’est au moment où elle inspira que la cravache s’abattit sur ses fesses. Ce coup lui coupa le souffle.

« Un, merci Maître. »

Le second coup lui toucha le bas du dos. Les suivants zébrèrent les fesses de N°1 qui hurlait tout autant que Sweet Pussy l’avait fait.

« Une bonne entrée en matière pour vous montrer qui est votre Maître pour cette nuit, et donc que j’exige une parfaite obéissance. Sinon, ma cravache vous caressera le corps une seconde fois. Compris! » Hurla le Maître en appuyant sur son dernier mot.

Les deux esclaves firent oui de la tête.

Le Maître prit une valisette en cuir qu’il déposa sur une tablette près de Sweet Pussy. Maître Tumba sortit de la valisette des anneaux en acier. Ces anneaux s’ouvraient grâce à une petite charnière. Il passa l’anneau au sein gauche de Sweet Pussy juste derrière la barre qui lui traversait le sein. Il répéta l’opération avec le sein droit. Sweet Pussy grimaça car les anneaux tiraient sur les barres de ses seins, comme si on lui stretchait ses piercings. N°1 subit la même opération. Le Maître prit une autre paire d’anneaux. Maître Tumba en ouvrit un et s’approcha de Sweet Pussy. Il posa ce nouvel anneau juste derrière le précédent et répéta l’opération pour orner les deux paires de seins. Leurs seins commencèrent à gonfler sous l’effet de compression des anneaux.

« On va faire une pause pour vos nibards. »

Le Maître prit alors deux étuis à cigare. Il sortit les deux cigares, posa l’un sur la petite table. Il alluma l’autre. Sweet Pussy eut un frisson en voyant le bout incandescent du cigare. Elle pensa un instant qu’il allait lui infliger des brûlures. Le Maître prit les deux étuis métalliques et passa de nouveau derrière ses deux esclaves. N°1 sentit son anus pénétré par un plug, pensait-elle. Sweet Pussy fut aussi pénétrée par le cul. Le Maître lia ses étuis avec des cordes à la taille des deux esclaves. Il leur fit face, inspira de bonnes bouffées du cigare et cracha la fumée à leur visage. Sweet Pussy toussa au travers de son ball-gag, elle qui n’avait jamais fumé. N°1 ferma les yeux et respira quelques peu la fumée exhalée par le Maître. Puis il passa de nouveau derrière elle. Il reprit une bonne bouffée de son cigare et enfonça délicatement celui-ci dans l’étui à cigare calé dans le cul de Sweet Pussy. Sweet Pussy commença à geindre. Le cigare chauffait le cylindre et la chaleur se faisait sentir sur son anus. Le Maître sortit son cigare, en reprit une bonne bouffée et enfonça celui-ci dans l’étui ornant le cul de N°1. Elle gémit au travers de son ball-gag mais Maître Tumba ne tint aucun compte de la plainte de son esclave d’un soir et laissa son cigare chauffer l’étui métallique. L’anus de N°1 chauffait de plus en plus. Ne tenant plus, N°1 hurla à en perdre la voix. Maître Tumba ôta son cigare et l’étui en même temps. N°1 soufflait bruyamment au travers de son anneau et un filet de salive coulait lentement de sa bouche.

Maître Tumba reprit des anneaux de sa valisette et s’approcha de Sweet Pussy. Il plaça un anneau non pas derrière la barre qui traversait son sein mais devant. La peau de son sein se tendit encore un peu plus. L’autre sein reçut le même anneau. N°1 aussi reçut les mêmes anneaux par contre, ses seins étant plus volumineux, ceux-ci allaient presque exploser avec ces nouveaux anneaux. Le Maître reprit deux nouvelles paires d’anneaux et les plaça aussi devant les barres. Il tira sur l’anneau précédemment placé pour insérer celui-ci. Les gémissements se faisaient entendre dans la chambre.

Le Maître prit alors une canne en bambou et se positionna devant ses deux esclaves. Il tapotait sa main avec sa canne en faisant les cent pas se demandant ce qu’il allait faire. Soudain il s’arrêta devant N°1 et asséna un coup de canne en travers des deux seins. N°1 hurla de nouveau et la peau tendue à l’extrême rougit immédiatement et un filet de sang apparu sur le sommet de son sein droit. Maître Tumba approcha de Sweet Pussy qui commença à souffler apeurée par ce qu’elle allait subir. La canne s’abattit sur ses seins. Elle hurla aussi. Sa peau gonfla sous ce coup mais il n’y eut aucun saignement. Le Maître tourna autour de ses esclaves et lorsqu’il passa devant leur cul, il asséna un bon coup de canne sur les fesses, ce qui leur arracha de nouveau un hurlement bestial.

« Bien, maintenant on va passer à autre chose. » dit le Maître.

Il posa ses instruments de torture sur la tablette, enleva sa veste et sa chemise et se fixa devant Sweet Pussy. Il lui enleva le ball-gag. Le Maître dégrafa son pantalon et sortit sa bite. Sweet Pussy qui ouvrait et fermait sa mâchoire endolorie n’en croyait pas ses yeux. Le chibre du Maître avait des dimensions impressionnantes. Sa bite faisait au moins 25 centimètres de long pour 6 centimètres de diamètre. Le Maître approcha de Sweet Pussy et enfourna son sexe dans la bouche de Sweet Pussy.

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Dominatrices Inattendues Ch. 31

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Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 31 l’échec de Maeva.

Extrait ; » Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille. Ça ne présage rien de bon….Les garçons installent un plateau identique à Gisèle. Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles. Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos… »

Maëva a fait transformer une pièce au sous-sol de sa maison en donjon. Elle a donné comme explication la vengeance qu’elle voulait obtenir sur martine et elle est arrivée à ses fins.

Mais le but principal de ce donjon c’était de soumettre petit à petit son mari Laurent.

Afin d’y aller progressivement elle lui a proposé de jouer ensembles en tenant le rôle du dominant chacun son tour.

Laurent à qui les quelque jours passés à dresser martine ont laissé un souvenir génial n’est pas contre et entre complétement dans le jeu.

Ils commencent ainsi un innocent jeu de bondage et domination au début très soft puis de plus en plus hard.

Maëva a sa grande surprise aime autant être dominée que le contraire.

Laurent est particulièrement ingénieux et elle finit toujours les séances ou elle est dominée en feu après des orgasmes mémorables.

Maintenant contrairement au plan initial de Maeva c’est presque toujours elle qui est dominée. Mais elle kiffe trop ça pour imposer plus d’équilibre.

Deux mois plus tard elle doit l’admettre. C’est toujours elle qui subit. Et elle voit que Laurent prend particulièrement son pied.

Elle décide de prendre sur elle et de renverser la vapeur.

Elle prévient Laurent qu’elle veut reprendre un peu la main et cesser pendant quelque temps d’être la soumise.

Il réfléchit et accepte à la condition qu’il joue encore une fois le rôle de dominant avant d’échanger.

Elle accepte.

Laurent commence par l’attacher dans le donjon.

En quelques minutes elle se retrouve debout, les jambes écartées au maximum par une barre d’écartement, les bras liés dans le dos et accrochée à une poulie au plafond ce qui la force à se pencher en avant.

Elle a le torse à l’horizontale.

Il lui met un écarteur de mâchoire et un masque aveuglant.

C’est classique et elle trouve qu’il n’a pas fait preuve d’imagination.

Mais elle n’est pas au bout des surprises qu’il a concoctées.

Il lui annonce qu’offerte comme elle est, il serait dommage de ne pas en faire profiter un ami.

Elle pense qu’il plaisante mais ça la chauffe quand même au fond d’elle-même.

Puis un sexe dressé se présente à sa bouche et force sans difficulté l’entrée, l’écarteur obligeant Maeva à garder la bouche béante.

Elle fait de son mieux pour faire une bonne fellation en imaginant qu’il s’agit d’un étranger.

Une paire de mains attrape sa croupe.

Et aussitôt elle sent une queue pénétrer sa chatte en force et alors qu’une autre paire de mains lui attrape les seins.

Ce coup-ci c’est sur Laurent n’est pas seul.

Elle panique un peu.

Elle ne peut rien voir et le deuxième homme ne dit pas un mot.

Ils la besognent puissamment et elle s’abandonne à la jouissance en se demandant qui ça peut bien être.

Après qu’ils se soient répandus en elle ils ne la détachent pas. Elle sent qu’ils quittent la pièce.

Plus tard alors que les crampes commencent à la travailler elle entend des bruits de pas. Lurent lui annonce qu’un bon whisky remet en forme et que son compagnon en redemande.

Elle est de nouveau prise en sandwich. Une légère différence d’odeur lui fait comprendre qu’ils ont échangé les places.

Quand Laurent la détache enfin il est seul.

Elle demande avec une colère feinte qui était la deuxième personne il lui répond qu’il fera partie de invités à la soirée poker prévu à la maison ce soir-là.

Il ajoute que si elle ne le reconnait pas la prochaine fois il y aura plus de monde.

Ça l’affole et en même temps ça l’excite profondément.

Etre prise par un inconnu l’a déjà beaucoup allumée mais par plusieurs elle a du mal à l’imaginer.

Ce soir elle est l’hôtesse des quatre amis de Laurent qui sont venus jouer.

Elle cherche dans les attitudes ou regards celui qui l’a embroché plus tôt dans la journée mais ils ont tous l’air de la regarder avec un œil égrillard et elle les imagine tous en train de la posséder.

Une fois les invités partis Laurent demande à Maeva si elle a reconnu son amant inconnu.

Elle répond par la négative.

Il lui dit alors que le lendemain elle devra repasser par la case donjon pour essayer de faire un effort pour reconnaitre le prochain invité.

Elle veut refuser mais l’excitation et toujours là et elle accepte le challenge.

Le lendemain elle est dans la même position et Laurent lui annonce qu’ils ont de la visite.

Elle attend avec impatience et est vite comblée.

Une bite dans la bouche et une dans le cul.

Elle kiffe quand elle entend la voix de Laurent qui vient de l’autre bout de la pièce.

Je gaziantep bayan escort ilanları vous avais bien dit qu’elle était docile et qu’elle était fait pour s’enfourner plusieurs queues en même temps.

Maeva a un sursaut ils sont au moins deux en plus de Laurent.

Elle veut ruer mais elle ne peut pas bouger et fini par se laisser fourrer.

Tant qu’à faire autant profiter de ses bonnes queues.

Lorsque Laurent vient enfin la détacher elle est incapable de mettre des noms sur les queues avec qui elle a fait connaissance.

Il lui dit alors qu’elle aura un gage pour la prochaine soirée poker.

Elle est interdite. Qu’à t-il inventé. En même temps elle est impatiente d’être à cette soirée.

Le jour arrive et Laurent lui dit d’aller se mettre en tenue pour accueillir ses invités.

Elle est étonnée car elle est déjà correctement habillée. Il lui précise que sa tenue est sur le lit.

Curieuse elle va voir la tenue sur le lit.

Il s’agit d’une tenue de soubrette très sexy en bas une mini jupette avec un tablier riquiqui et en haut une espèce de body avec balconnets qui soutient le bas de seins tout en laissant ceux-ci visibles.

Un porte jarretelles et des bas assortis et enfin une petite coiffe mignonne.

Elle ne trouve pas de sous-vêtements.

Par défi elle met la tenue et va voir Laurent en lui disant qu’il manque les sous-vêtements.

Heureusement elle en a qui iront bien avec la tenue et elle lui dit que cette tenue doit plutôt être réservée à des jeux entre eux deux.

Il l’attire vers lui et lui dit de se retourner.

Elle le fait volontiers pour montrer ses belles fesses.

Il en profite pour lui passer les menottes dans le dos.

Elle se retourne étonnée mais il lui dit qu’elle n’a pas besoin de sous-vêtements car ses amis connaissent tous son intimité profondément.

Elle est interloquée et veut râler.

Il lui insère de force un bâillon boule dans la bouche la réduisant au silence.

Elle est à la fois en colère et à la fois complétement émoustillée.

Il lui montre alors un plateau de service.

Ce plateau dispose d’une espèce de sangle qui sert à ceinturer le plateau sur la taille et une chainette qui passée autour du cou de Maëva relie les deux coté du plateau gardant celui-ci horizontal.

Tu pourras nous servir les rafraichissements comme ça lui dit-il.

Elle commence à se poser des questions.

Il a vraiment l’air sérieux.

Pourtant elle ne veut pas être exhibée ainsi devant les amis de poker de Laurent elle en connait certains mais deux d’entre eux lui sont complétement inconnus.

Comment pourraient-ils avoir participé aux jeux sexuels de Laurent et Maëva.

La sonnerie de l’entrée retentit.

Laurent va ouvrir et revient dans la chambre avec son ami Maurice et sa femme Gisèle.

Maeva ne sait pas ou se mettre elle est exposée plus que nue devant ce couple d’ami.

Puis elle remarque que Gisèle est enveloppée dans un grand manteau qui la couvre des pieds au cou.

Maurice enlève alors le manteau et elle constate que Gisèle porte la même tenue qu’elle en dehors du bâillon.

Elles sont magnifiques déclare Maurice en mettant les deux jeunes femmes l’une à côté de l’autre.

Gisèle est un peu plus potelée que Maëva mais elle possède des fesses magnifiques et se poitrine opulente couleur de lait doit donner beaucoup de plaisir à son homme.

Bon il ne nous reste plus beaucoup de temps dit Laurent.

Gisèle n’a pas desserré la bouche mais fait un petit sourire contrit à Maëva.

Elles sont dans la même galère.

Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille.

Ça ne présage rien de bon.

Ils les relèvent et leur mettent un écarteur de bouche après avoir ôté le bâillon de Maëva.

Elle n’ose pas râler devant giselle qui a l’air d’accepter son sort.

Quand on aura besoin de quelques choses on vous appellera comme ça dit Maurice en actionnant les télécommandes.

Le plug s’ébranle et Maëva ressent de puissantes vibrations dans le bas ventre.

Oups ça risque d’être dur car en quelques secondes les vibrations font monter une grosse chaleur du tréfonds de Maëva.

Elle voit la tête de Gisèle et se dit qu’elle aussi est sensible aux vibrations.

Les garçons installent un plateau identique à Gisèle.

Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles.

Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos.

La sonnette retentit. Les garçons emmènent les filles dans la cuisine et vont ouvrir la porte d’entrée.

Laurent installe les trois autres participants dans le salon ou une table de jeu les attend.

Ils tirent au sort les places et s’installent tranquillement.

Le jeu peut commencer.

Après quelques minutes Laurent demande aux invités s’ils veulent boire ou manger quelque chose.

Tout le gaziantep bayan eskort monde est d’accord pour une coupe de champagne.

Laurent et Maurice montrent leurs télécommandes aux autres et les actionnent.

Maeva et Gisèle qui se regardent un peu apeurées ressentent soudain simultanément les vibrations.

Elles se regardent et Gisèle fait le premier pas vers la sortie de la cuisine.

Elles entrent dans le salon ou elles font un effet bœuf.

Les loups de Tex Avery seraient jaloux des réactions des convives qui s’en mettent plein les yeux.

Du champagne pour tout le monde ordonne Laurent.

Les filles retournent dans la cuisine et ouvrent le frigo.

Plusieurs bouteilles sont dedans dont deux ouvertes.

Laurent avait prévu le coup.

Elles réussissent en s’aidant mutuellement à remplir de coupes et à les installer sur les plateaux.

Puis elles se dirigent vers le salon.

Elles font de nouveau de l’effet en entrant.

Maeva a du mal à en convenir mais ça l’excite au plus haut point.

Elles font le tour de la table chacune de son côté.

Maurice dit aux invités elles sont à votre disposition vous pouvez toucher.

Au passage de Maëva des mains lui flattent la croupe. Elle en ressent une délicieuse chaleur.

Laurent et Maurice leur montrent chacun un coin de la pièce et elles s’y mettent attendant les nouveaux ordres.

Plusieurs fois elles sont mises à contribution. Elles arrivent même à rire entre elles lorsqu’elles doivent taire des clubs sandwichs à l’aveugle avec les mains dans le dos.

Vers la fin, de la soirée Laurent et Maurice viennent dans la cuisine féliciter les filles pour leur service.

Ils ôtent les plateaux et leurs disent maintenant on va faire un jeu avec tout le monde.

On va décerner le prix de la meilleure suceuse.

Ne nous décevez pas ou la nuit sera pénible.

Gisèle et Maëva se regardent interdites mais elles n’ont pas le temps de réfléchir que déjà Maurice et Laurent les entrainent dans le salon.

Ils les font mettre à quatre pattes et les forcent à passer sous la table.

Là elles peuvent voir que tout le monde s’est débraguetté et que les chibres sont plus ou moins raidis.

Elles se regardent et ont un fou rire.

Il y en a des grosses et de moins grosses des longues et des courtes.

Puis ensemble elles commencent à pomper.

Maeva a les mâchoires douloureuses à force d’être écartées mais elle fait au mieux avec sa langue.

Gisèle semble absorbée par sa tâche.

Soudain Laurent et Maurice ajoutent du piquant en activant les plugs.

Les filles redoublent de travail mais elles sont de temps en temps fauchées par un orgasme.

Enfin elles ont vidé les couilles de tous les garçons car les chibres sont maintenant au repos.

Maëva a l’impression que certains ont remis le couvert pendant qu’elles s’occupaient des autres.

Laurent et Maurice sortent les filles de sous la table et les remmène dans la cuisine après qu’elles aient été déclarées ex aequo.

Ils les libèrent ôtent les écarteurs et les ramènent dans le salon.

Elles ont un petit sourire en voyant l’air heureux des invités.

Ceux-ci les féliciteront pour la magnifique soirée qu’elles leur ont fait passer au moment du départ.

Laurent et Maurice laissent alors les deux filles seules un moment dans la cuisine.

Elles parlent alors du cheminement qu’elles ont pris pour en arriver là et s’aperçoivent que c’est quasiment le même parcours.

Laurent et Maurice avaient dû se concerter pour ça.

Gisèle lui avoue que ça la fait kiffer grave et Maëva ne peut que lui dire qu’il en est de même pour elle.

Gisèle lui dit que la prochaine soirée poker devrait avoir lieu chez elle.

Maeva lui dit qu’elle pourra compter sur elle pour ne pas la laisser seule.

Cette nuit-là Laurent est particulièrement doux avec Maëva.

Elle espère que ce moment de douceur ne durera pas et qu’il trouvera qu’autres challenges pour elle.

Elle a définitivement renoncé à dresser Laurent.

Elle a trouvé bien mieux.

Laurent a décidé de continuer l’éducation sexuelle de Maëva.

Ce jour-là elle attend nue à genoux une nouvelle surprise.

Elle est dos à la porte du donjon dans lequel elle passe de plus en plus de temps.

La porte s’ouvre mais elle n’a pas le droit de se retourner. Elle entend des pas s’approcher.

Elle essaye de compter pour voir s’il y a plusieurs personnes. Une main lui caresse le cou.

Elle frissonne. Quelqu’un passe devant elle et elle reconnait un des amis de Laurent.

La main sur son cou continue à la caresser.

La main est douce et commence à descendre vers ses seins.

Elle soupire d’impatience d’être pétrie.

Elle sent que le propriétaire des mains la contourne elle va voir qui est cet homme aux mains si douces.

A sa grande surprise c’est une femme très jolie et très jeune qui la regarde avec une certaine timidité dans le regard.

L’ami de Laurent se recule gaziantep escort et la femme se met à genoux face à Maëva.

Elle lui embrasse les seins.

Maëva est surprise par la douceur du baiser.

L’ami de Laurent lui fait signe de participer.

Elle caresse la tête de la jeune femme qui frissonne à son contact.

Peu à peu elles se caressent de plus en plus intimement.

L’ami de Laurent impassible observe le manège.

La jeune femme fait relever Maëva et elle qui est restée à genoux embrasse le sexe de Maëva.

Ça ne l’étonnerait pas que ce soit la première fois pour sa voisine.

Petit à petit les deux femmes se Lâchent et finissent par oublier l’homme.

Celui-ci se rappelle à elle en les menottant les mains dans le dos. Elles sont à genoux toutes les deux.

Du bruit se fait entendre et Laurent entre dans la pièce. Il approche des deux femmes qui sont de nouveau à genou et sort son membre qui est bien érigé.

L’une après l’autre elles le sucent.

Laurent se retire et les attire jusqu’au lit et les fait monter sur le lit.

Elles sont à genoux sur le lit attendant qu’il décide quoi faire.

Il prend la jeune femme en levrette et indique à Maëva de se mettre allongée les jambes écartées au niveau du visage de la jeune femme.

Celle-ci embrasse le sexe de Maëva tout en étant fourrée par Laurent.

Puis Laurent les fait inverser les positions.

Maeva n’a pas l’habitude de brouter une femme mais elle est bien excitée par la situation et la jeune femme lui plait.

L’ami de Laurent observe toujours.

Laurent se retire et les mets toutes les deux face à lui pour une fellation alternée.

Il finit par gicler et les deux femmes sont aspergées.

Il leur fait comprendre de se lécher pour avaler les gouttes de sperme. Ce qu’elles font sans déplaisir.

Laurent quitte le lit et les laisse à genou. L’autre homme se déshabille enfin.

Laurent revient avec deux godes ceintures qu’il pose sur Maeva et la jeune femme.

Il donne une paire de menottes à Maeva et lui montre l’homme qui se retourne et présente ses poignets.

Maëva va attacher les poignets de l’homme dans le dos. Il monte sur le lit et se met à genoux.

La jeune femme se penche pour lui faire une fellation.

Pendant ce temps Maëva passe derrière lui et l’embroche avec le gode.

Il est résistant à la fellation et bientôt Maeva et la jeune femme échangent les places.

Elle se retrouve à sucer l’homme pendant que la jeune femme le travaille avec le gode.

Maeva voudrait que ça se conclue et pince les seins de l’homme .

Il réagit aussitôt et son sexe se durci un peu plus dans la bouche de Maëva.

La jeune femme voit l’effet et de son côté elle serre entre les mains les couilles de l’homme.

Ruades.

Ce coup-ci il a l’air de prendre son pied.

Maeva pince plus fort les tétons et la jeune femme presse littéralement les couilles.

L’homme se cabre et décharge dans la bouche de Maëva.

L’homme se retire et Maeva et la jeune femme se retrouvent seules sur le lit.

Je m’appelle Aude dit la jeune femme.

Et moi c’est Maëva répond celle-ci. Très heureuse de te connaitre.

L’intermède avec le couple bizarre n’a pas été totalement cool pour Maëva.

D’autres visites se succèdent. Une d’entre elle est inoubliable pour Maeva.

Laurent l’a attachée au piton situé au plafond elle a les bras tendu vers le haut et doit se tenir sur la pointe des pieds.

Un homme masqué entre dans la pièce.

Elle ne le reconnait pas. Il lui met un bâillon boule. Elle se dit qu’elle ne pourra pas le sucer.

Il prend une petite cravache et se met méticuleusement à la cravacher pas trop fort pour ne pas l’abimer mais les coups sont portés avec suffisamment de puissance pour qu’elle sursaute.

Il la cravache ainsi longtemps s’assurant de ne pas oublier un centimètre carré de son corps.

Au début elle résiste mais peu à peu elle est obligée de crier dans son bâillon et les larmes coulent sur son visage.

Il n’en tient pas cure et continue sa besogne.

Maintenant une douleur brulante couvre tout son corps elle n’en peut plus et se laisse pendre au bout de ses bras n’ayant plus la force de se tenir debout.

Il arrête enfin et la détache elle pleure et se laisse faire il la porte jusqu’au lit ou il la couche. Elle se laisse faire n’ayant plus aucune force.

Il la couche sur le dos et la pénètre vigoureusement.

La douleur fait place à une chaleur qui vient du creux de ses reins. Elle a l’impression qu’elle n’a plus mal et elle se laisse emporter par une jouissance inconnue.

Il se retire après avoir joui mais reste à côté d’elle dans le lit.

Elle est la première surprise en se blottissant contre lui le plus près possible alors qu’il a été son pire bourreau.

Maintenant les soirées poker se multiplient.

La jeune Aude rejoint Gisèle et Maëva et elles servent durant les soirées.

Elles n’ont plus besoin de l’écarteur car elles sont bien soumises.

Lorsqu’elles sont seules en cuisine en attendant qu’on les appelle elles rient entre elles.

Un soir Laurent les surprend à rire et désormais elles sont punies.

Elles passent les soirées à genou dans le salon empalées sur des godes motorisés.

Comme elles sont bâillonnées elles ne peuvent plus se parler.

Il va sans dire que les bâillons sont ôtés pour les fellations qu’elles ne manquent pas de prodiguer.

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Château Ragia Chapitre 17

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Amateur

-Aaaaah.

Gémit Rose en s’enfonçant profondément sur le gode. Tirant un petit cri de plaisir à Mathilde qui sentit l’objet s’enfoncer également en elle.

La soubrette la chevauchait lentement depuis maintenant une dizaine de minutes. Bien décider à prendre du plaisir ce soir Rose s’était montré extrêmement motivée. Avec de lents mouvements de bassin, elle levait et baissait son entrejambe autour du long phallus qui luisait désormais de ses jus.

-Mhhhhh.

Grimaça-t-elle de plaisir alors que sa chatte s’agrippait au gode pour en tirer le plus de plaisir possible.

Elle malaxait doucement les gros seins de Mathilde tout en pressant les siens afin de les faire ressortir. Ses tétons durs comme la pierre s’offrant à la chasseresse qui se redressa afin d’un attraper un avec les dents.

-Aaah ouiii! Encore encore.

S’exclama-t-elle quand elle sentit Mathilde donner des coups plus rapides de bassin alors que celle-ci mordait ses tétons.

La jeune fille sentait un puissant orgasme se préparer entre ses jambes. Depuis que Sofia et ses amies l’avaient frustré, elle pouvait enfin jouir comme elle le voulait. Chaque orgasme était plus intense et agréable que le précédent. Elle se moquait de savoir si tout cela était un plan de Mathilde. Tout ce qui comptait c’est qu’elle pouvait enfin se faire plaisir!

-Ah! ah! ah! ah! je ja vais jouir!

Mathilde cessa de mordiller son sein et regarda le visage rouge pivoine tordu par le plaisir de la jeune soubrette en souriant tout en ralentissant ses coups de reins.

-t-t-t une bonne soubrette demande l’autorisation pour jouir.

Dit-elle en pinçant le téton de la jeune fille qui manqua de se faire dessus de plaisir.

-ah! aaaah ouiii madameeee. Est-ce que je peux jouiiir madame?

Gémise Rose en se mordant la lèvre pour ne pas jouir sans autorisation.

Mathilde s’allongea sur toute sa longueur en souriant observant la soubrette tremblante fermement fixée sur le gode qui sortait de sa propre chatte

-Mieux que ça esclave.

Le souffle pesant et la sueur couvrant ses seins, Rose saisit doucement les bords de la jupe de son uniforme et les souleva. Découvrant clairement sa chatte couverte de jus, ses lèvres fermement fixées au gode qui la pénétrait.

Tremblante de plaisir, elle tenta de faire une révérence en bredouillant d’une voix rendue faible par le plaisir.

-Es-est ce que je peut j-jouir madame?

En maintenant son bassin parfaitement immobile, Mathilde tendit la main vers les seins exposés de la jeune fille, jouant un instant avec ses tétons, faisant mine de réfléchir alors que Rose gardait cette pose de révérence.

-Dix coups.

Déclara-t-elle en s’installant confortablement.

-Qu-quoi?

Gémis Rose alors que l’envie de jouir se faisait de plus en plus insupportable.

-Tiens dix coups sans jouir et ta gentille maîtresse continuera à te faire plaisir. Mais attention.

Elle caressa doucement le clitoris exposé de la jeune fille lui tirant un profond gémissement de gêne alors qu’elle se retenait de toute ses forces.

-Si tu jouis, je te laisserais repartir sans plus de caresse. Compris.

Rose en voulait plus! Elle voulait encore jouir! Pour une fois qu’elle se sentait si bien elle ne voulait pas que ça cesse!

Elle hocha la tête se préparant à subir le plaisir sans jouir.

-Et je veux que tu me dises à chaque coup que tu es une soubrette perverse.

Lentement Rose souleva son corps, lui tirant un profond gémissement alors que le gode glissait en elle. Maintenir cette pose lui demandait un effort certain, mais sa musculature le lui permettait.

-Ghaaaaah. j-je suis une soubrette perverse nhhhhhhh!

Elle se laissa glisser sur le long phallus, résistant au feu entre ses jambes qui lui hurlait de jouir.

Une fois tout au bout elle répéta l’opération encore une fois en maintenant sa pose humiliante alors que Mathilde savourait chaque tressautement de sa victime.

-Nhhhh je suiiiiisss gaaaah!

L’onde de plaisir la coupa alors qu’elle crut se jouir dessus, bloquant son mouvement à mis parcours.

-Aller tu en es à peine à deux. Je croyais que tu étais une bonne soubrette perverse. Ça ne t’excite pas de te faire plaisir sur une de tes maitresse?

-siii je je suis une soubrette perverse maîtresse ghaaaah

Gémis Rose en reprenant ses mouvements de pompes

Le troisième coup fut plus facile malgré qu’elle sentait de moins en moins ses jambes

-Je suis une soubrette perverse!

Dit-elle avec force alors que le membre voyageait en elle.

Le quatrième coup Mathilde changea les règles.

-dis que tu aimes une esclave soumise.

-Mhhh ouiiii je -je j’aime être une esclave soumise mhhhhhhh!

Gémit-elle en s’enfonçant de nouveau.

Cinquièmes coups, elle manque de jouir, mais résiste au dernier instant.

-Tu es contente que Maria ait fait de toi une esclave?

-Aaaaaah o-oui! Je -je suis contente que Maitresse Maria ait fait de moi son esclave!

Sa chatte glissait avec grand bruit autour du membre alors qu’elle escort reklamları se mettait à trembler de tout son corps.

-Gnhhhh je suis la soubrette perverse de ma maîtresse aaaaah.

Mathilde n’avait plus besoin de la guider. Rose avait compris quoi faire.

Au septième coup elle manqua de tomber dans l’inconscience.

-Aaaha je suis une bonne soubrette soumise qui aime servir maîtresse Maria.

Aux huitièmes coups Mathilde se mit à pincer ses tétons, ajoutant à l’envie de jouir de la jeune fille.

-Ah! je suis une soubrette qui veut jouir aaaaah!

Mathilde s’amusait à voir Rose sombrer ainsi.

-Et tu aimes tété petite perverse?

Dis Mathilde alors que Rose préparait son avant-dernier coup.

-nhaaaaaa! oui! je -je -je suis une soubrette qui aime tété ses maîtresses! aaaaaah maîtresse je veux jouiiiiir!!!

Cria-t-elle de toute ses forces alors que son esprit s’embrumait de plaisir.

Un long filet de bave coulait de sa bouche sur son corset alors que ses seins étaient pressés par les mains de Mathilde.

Dans un hurlement de plaisir, elle se laissa lourdement tomber sur le gode, le faisant pénétrer le plus profondément possible alors que son corps se cabrait en tremblant sous le coup de l’orgasme.

-Aaaaaah aaaaaaaaaah! ghaaaah!!

Les jambes s’agitaient autour des hanches de Mathilde alors que son corps tressautait à chaque micro mouvement de la chasseresse.

Celle-ci passa sa main sur la peau tannée de la jeune fille, savourant son état d’épuisement après un orgasme aussi violent. Lentement elle rapprocha le visage essoufler de la soubrette du sien.

-Bonne fille. Viens là.

Lui susurra-t-elle avant de poser ses lèvres sur les siennes. L’esprit embrumé de Rose lui fit voir le visage doux de Maria et la soubrette laissa sa langue se balader dans la bouche de la grande blonde qui commença a faire de tendre mouvement de bassin.

-Aaaaah. Mhhhh.

Gémis doucement Rose dont la poitrine pressait fortement contre celle de Mathilde.

La chasseresse la caressa doucement pendant leur baiser puis elle déposa son corps encore faible sur le lit.

Encore tremblante Rose ne résista pas un seul instant, elle soufflait comme un animal alors que sa chatte semblait se contracter d’elle-même.

-Mhhhhh.

Gémit-elle doucement alors qu’elle sentait le gode de Mathilde pénétrer en elle. Les mouvements étaient doux et délicats, les lents vas et viens lui tirait de petit gémissement qu’elle ne tentait plus de cacher alors que de tendres orgasmes travaillaient son corps.

Mathilde jouit de nombreuses fois alors qu’elle lui faisait l’amour, ses orgasmes semblant redoubler par l’entrain de la soubrette qui désormais se tordait de plaisir sous elle. Obéissant à ses commandes et régissant à chacune de ses caresses.

-Ah! ah! ah! oui! madame! ah oui je je vais jouir!

Rose tremblait en gémissant alors que ses bras s’accrochaient avec tout ce qu’il restait de leur force aux piliers du lit. Derrière elle Mathilde la prenait désormais avec vigueur après avoir mise la soubrette debout devant le lit. Son gode voyageant par à coup dans l’intimité de la soubrette dont les seins balançaient de haut en bas à chaque mouvement.

-Mhhh ah! moi aussi! ah! Tiens!

Rose gémit de plus belle quand la main s’écrasa sur sa fesse pendant que le gode atteignait sa plus profonde intimité.

-Ghhhh!!

La jupe de son uniforme voletait à chaque coup de la chasseresse, Rose pouvait tout voir, en effet un miroir était apparu sur le sommier du lit. Ainsi elle avait une vue parfaite sur ses seins qui gigotait à chaque coup. Elle pouvoirs vois son visage couver de sueur se tordre de plaisir alors que sa coiffe s’agitait de concert. Elle pouvait voir son corps réagir a ses orgasmes, mais a l’inverse de la couvrir de honte cela l’excitait encore plus.

Elle savourait chaque goûte de plaisir pensant à ce qu’elle ferait quand elle serait libre, comment elle ferais payer ces femmes, elle jouissait en imaginant sa vengeance accomplie, ces folles a ses pieds suppliant de les épargner et elle leur refusant cet honneur.

-Aaaaaaah!!!

Elle se cabra dans un puissant orgasme, plaquant son corps contre celui de Mathilde qui jouit en même temps qu’elle, enfonçant son gode jusqu’as la peau de ses hanches soit complètement plaquée sur le fessier de Rose.

-Mhhhhh! Bonne soubrette.

Gémit-elle en donnant d’ultimes petits coups qui résonnèrent dans l’intimité de la jeune fille qui s’effondra à genoux au sol quand la chasseresse se retira.

-Vraiment ton cul est magnifique.

Rose repris son souffle alors que son entrejambe irradiait de satisfaction.

-hhhh. Merci madame.

Souffla-t-elle en se relevant doucement.

-Je n’avais jamais remarqué, mais ton teint colle parfaitement avec l’uniforme en plus. Vraiment tu étais faite pour devenir une gentille soubrette soumise.

Rose peinait à se tenir debout tant son corps avait joui, mais le miroir ne pouvait que confirmer les dire de escort resimleri Mathilde. Sa peau matte était luisante de sueur et faisait ressortir le blanc crème des frou-frou de son uniforme, sa coiffe émergeait de ses cheveux noir ébène comme un symbole de sa soumission, ses seins tendus tiraient sur la maigre fabrique du soutins gorge faisant frotter ses tétons contre le petit bout de tissus blanc qui les couvrait. Elle était incroyablement excitante dans ce costume ridicule.

Reprenant ses esprits elle fit une révérence tremblante comme Maria le lui demandait toujours.

-Merci madame.

Mathilde sourit en voyant le regard fatigué de plaisir de la jeune fille.

-Merci de quoi?

Rose soufflât et tenta de lui sourire en répétant ses mots.

-Merci d’avoir fait jouir cette soubrette soumise.

Mathilde savoura les mots humiliants alors que Rose se redressait.

-Allons c’est normal de récompenser une bonne esclave. Non?

-s-si madame.

Dit Rose alors que ses jambes manquèrent encore une fois de lâcher sous elle.

-Tu peux y aller. Demain, repose-toi tu à quartier libre.

Rose souleva un sourcil étonné. On lui offrait vraiment une journée au calme?

-Ne t’amuse pas trop avec Sofia et envois moi un des étalons, ton cul m’a donné des envies.

Rose s’inclina en reculant.

-Oui madame.

Dit-elle en quittant enfin la pièce pour retourner dans le couloir des statues. Elle frissonna quand le courant d’air provoqué par la fermeture de la porte caressa sa chatte humide.

Elle pouvait enfin souffler un peu. Sans même qu’elle s’en rende compte elle c’était mise a avoir un léger sourire. Depuis longtemps elle se sentait bien et en forme.

Même si elle détestait Mathilde elle avait beaucoup aimé leurs ébats et elle devait reconnaître qu’elle avait rarement autant joui de sa vie.

S’en rendant compte elle se donna une gifle mentale. À quoi pensait-elle! elle avait juste décidé de profiter un peu de sa situation! elle ne devait pas oublier son objectif.

Après avoir transmis les commandes Mathilde à un des étalons qui partit satisfaire sa maîtresse en silence Rose profita un peu du calme du pavillon. La nuit venait de tomber et le froid de plus en plus mordant commençait a s’infiltrer dans le grand bâtiment.

Elle poussa la porte de la chambre qu’elle partageait avec Sofia en restant sur ses gardes. Elle ne savait pas ce qu’avait prévu la soubrette aux oreilles de chat.

-Mphhhh?

Le corps bougea alors que la soubrette allumait la lumière. Rose sursauta en voyant la jeune femme.

Elle était fermement attachée sur les piliers du lit par un ensemble de corde et de sangle de cuir, le tout fermé par un cadenas rose au niveau de son nombril qui semblait maintenir le tout. Rose reconnut le dispositif qui enserrait la tête de la jeune femme. Un lourd casque cachait ses oreilles et un masque ainsi qu’un bâillon de cuir épais l’empêchait de voir et de parler.

Rose compris que Sofia n’avait même pas vu la lumière s’allumer, elle avait simplement senti un courant d’air. Restant silencieuse elle se déplaça lentement au travers de la chambre. Le matériel pour bébé à taille adulte avait été poussé dans un coin laisser place a une décoration beaucoup plus proche de sa propre chambre au château.

Continuant son étude de Sofia elle remarqua que la jeune femme portait une ceinture de chasteté équipée de nombreux vibrateur pour l’exciter et la frustrer, un petit trou ouvrait sur son anus et la plaque de métal qui couvrait sa chatte était couvert de petit trou pour laisser passer ses fluides. Un petit bruit lui indiquait que les vibrateurs s’allumaient ce qui provoqua immédiatement un gémissement chez la jeune femme.

-Mmmmmm! mmm! m!

Elle faisait de grands mouvements de bassin trahissant qu’elle voulait terriblement jouir. Rose remarqua une feuille posée sur une table comprenant un assortiment de cravaches des sex toys et de divers outils de torture

« Interdiction totale pour elle de jouir jusqu’as après-demain. En attendant, elle est toute à toi. Tu t’occuperas des punitions également demain. Je serais dans mon bureau ne me dérange pas.

Mathilde

ps : notre amie à un anus très sensible »

Rose sourit. Décidément cette journée venait de prendre un tournant très agréable. Elle reposa la lettre en se mettant à réfléchir accompagné des gémissements de Sofia. On lui offrait une journée pleine pour tenter quelque chose. C’était sa chance, Mathilde la croirait soumise après cette nuit! Elle serait moins attentive. Elle pouvait le faire!

-Mphhhh!!!

Sofia cria de frustration au travers de son bâillon quand la vibration cessa la privant d’orgasme. Rose sourit en se disant que cela devait faire plusieurs heures qu’elle subissait cette torture alors que Mathilde la faisait jouir.

-Alors comme ça on a été vilaine. Elle est plus si gentille là ta maîtresse non?

Dis Rose en saisissant une des cravaches. Avec son casque Sofia ne l’entendit pas.

-phhhhh!!!! ghaaaah!

Rose gaziantep escort sitesi frappa la fesse de la femme sans défense de toutes ses forces, lui laissant une profonde marque rouge dessinant la forme de la cravache

-Tiens!

Elle frappa de nouveau les fesses avec la longue cravache tirant un nouveau cris de douleur a la femme qui tentait de se tordre pour éviter les coups malgré le fait qu’elle ne voyait ni n’entendait rien.

-ghaaaa!!! aiiiiiie!!! phtooop! aaaah!

Rose frappait de toute ses forces, laissant ressortir sa frustration et sa colère. Cette femme qui l’avait torturé, qui l’avait humilié : elle était à sa merci!

Son bras finit par fatiguer et elle cessa de frapper les fesses rendues rouge vif par la cravache.

-Mphonnnn!

Le bruit du vibrateur se remettant en marche tira un sourire à la jeune fille alors que Sofia se remettait à gémir. La renvoyant dans un monde de frustration.

Rose savourait chaque petit gémissement de frustration, chaque tressautement du corps de celle qui l’avait traîné dans les bras de Mathilde.

Lentement elle retira les le masque et le casque de la femme, la laissant voir de nouveau.

-Phose?

Gémis elle au travers de son bâillon. La jeune fille pouvait voir que Sofia avait pleuré sous les coups de cravache.

-phest phe qu? phphphphphpph! phphphiihihihihih.

-Oooooh qu’est ce que c’est que ça?

Rose avait baladait doucement ses doigts sous les aisselles découvertes de Sofia qui se trémoussait sous les chatouilles.

-Tu es chatouilleuse aussi toi? C’set dommage dis donc.

Dis la soubrette en souriant face à la souffrance de sa victime.

-Phihihihihiih ouhihihihi. Mhhhhhh.

Gloussa sa victime alors que sa ceinture métallique se remettait à vibrer lui tirant un profond gémissement de plaisir.

Rose cessa ses chatouilles pour saisir le visage de la femme.

-Tu vois comme c’est agréable? Tu aimes quand on te fait du mal? Hein, eh bien tiens je vais te donner plein de plaisir tu vas voir!

Son ton était plein de rage. En un mouvement elle descendus du lit, sur la table elle saisit un large gode noir qui semblait déjà huilé.

-mhhhh oui je vais te donner du plaisir. Mhhh remercier ma nounou.

-Apheennnd ropheee!

Gémis Sofia quand elle sentit le gode s’approcher du gros trou qui ouvrait vers son anus.

-Mais non je dois te remercier pour tes chatouilles et tes tété non?

-Gnnnnnhhhh!

Le corps de Sofia se raidis quand le gode commençât à se frayer un chemin dans son anus, tentant de résister de toutes ses forces au corps étranger.

-Mhhh regarde comme tu es tendue oh!

Le gode se mit à bouger, le long objet semblant fondre dans la main de la soubrette en un millier de filins caoutchouteux. Elle sursauta de surprise quand ces mêmes filins se déplacèrent vers son bassin.

-qu’est-ce que? Ah!

En un instant l’ensemble dont un bon tiers était toujours enfoncé dans l’anus de Sofia se fixa à son entrejambe. Comme beaucoup de choses ici elle avait renoncé à comprendre bien des objets que ces femmes possédaient.

Désormais toute son entrejambe était couverte de cette étrange substance caoutchouteuse, elle comprit que l’objet formait un gode aux proportions parfaites pour son corps. Quelle merveille de technologie se dit-elle.

Elle gémit de surprise quand quelque chose à l’intérieur attrapa son clitoris et que des centaines de filins semblait se connectèrent ses muqueuses.

-phonnn phaa phaaa! phoooonnn.

Gémis Sofia de terreur en comprenant ce qui se passait, visiblement elle connaissait l’objet.

-Aaaah mhhh, c’est, c’est bizarre.

Gémis Rose quand elle se mit a pousser en avant pour enfoncer toujours plus loin le membre dans une Sofia qui se cabrait dans tous les sens, tentant vainement de combattre le voyage du membre.

Pour Rose la sensation que lui transmettait l’objet était étrange. Elle ressentait le gode comme si elle avait un pénis! Son clitoris semblait relié au gland et l’anus serrant l’objet lui donnait les mêmes sensations qu’un membre en elle.

-whaou! ah! ah!

Savourant la sensation elle donna de puissants coups à Sofia, manquant de jouir elle-même.

-Mphhhh phtoooop!

Gémissait Sofia de plus en plus faiblement alors que son anus semblait avaler le long phallus huilé.

-Mhhhhh

Rose gémit de contentement en sentant le gode l’exciter de nouveau. Elle se fichait de l’inconfort de Sophia alors qu’elle faisait de larges mouvements de bassin, savourant le doux plaisir que lui procurait l’objet alors qu’elle pouvait enfin savourer un orgasme au rythme qu’elle le souhaitait.

Les fesses de Sofia rebondissaient doucement à chaque coup comme deux seins parfaitement formé.

-Ah! oui, bouge ces fesses pauvre tarée. Ah!

Dit-elle en donnant des coups puissants et réguliers en profitant du spectacle.

-Mphhhhh! phhhh! huhhh!

Sofia tentait vainement de se soustraire au gode, mais ne parvenait qu’agiter autour alors que sa ceinture de chasteté continuait de l’exciter sans lui permettre de jouir.

« Clac »!

La main de Rose s’abbatit avec grand bruit sur le fessier rebondi et rouge de la femme qui poussa un cri de surprise et de douleur alors que le gode continuait de voyager en elle.

-quoi?

« Clac »

La main s’abattit de nouveau alors que Rose se sentait de nouveau prête à jouir.

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Évolution de Carrière 07

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Gangbang

La fessée.

La soirée s’annonce toride. STÉPHANIE est habillée d’une courte robe noire qui moule son magnifique corps. Elle est superbe. Elle porte la chaîne en argent autour du cou, la clef cachée entre le creux de ses délicieux seins, libres. Elle n’a pas de soutien-gorge. Elle est très belle, très sexy.

Elle a choisi mes vêtements, une chemise, un pantalon et une veste légère. Il n’y a pas de caleçon. Je lui fais remarquer, elle me répond que je n’en ai pas besoin. Devant le miroir je vois très bien ma cage, elle se devine aisément, le tube courbé et le cadenas sont très visibles. Le pantalon est assez fin, la chemise est courte, la veste couvre à peine mon entre jambe. Je suis sur que tout le monde peut la voir.

STÉPHANIE me rassure avec un gros câlin, me complimente sur mon corps de rêve. Ma queue réagit à la caresse, je sens la pression de la cage. Elle tente de se tendre. La douleur me fait grimacer, mon Épouse me regarde, elle continue ses caresses.

_S_ On ne voit rien, en plus ce pantalon met en valeur ton beau petit cul, puis pour découvrir ta cage il faut regarder de tout prêt ou te toucher. Allez soit tranquille, personne ne va voir ton petit jouet, les gens s’en foute de ta bite.

_J_ Je ne suis vraiment pas très à l’aise mon Amour, j’ai peur que quelqu’un aperçoive ma cage, que vont-ils penser de moi?

_S_ Ne t’inquiète pas mon Chéri, j’ai la clef avec moi, si tu es trop gêné, tu pourras l’enlever. Mais je dois te dire que je suis très très excitée. Je te trouve tellement sexy avec ta bite encagée. Tu sais, savoir que tu ne peux bander que pour moi, ça m’excite d’une force! Je suis tellement mouillée, je suis trempe. Regarde.

Dans un déhanché d’une sensualité si féminine, si toride, elle descend son petit string. Il tombe à ses pieds, entre ses jambes.

_S_ Tu veux bien m’aider s’il te plaît mon juju.

_J_ Oui, bien sur mon Amour.

Je m’agenouille lentement devant elle, nous ne nous quittons pas des yeux. Son regard brille d’une nouvelle lumière. C’est la première fois quelle me regarde comme ça. Son regard est incandescent. Il émane d’elle, à ce moment la, une puissance divine. C’est une Déesse.

Mon cœur bat la chamade, elle est belle, je l’aime. Son regard est intense, je ne peux le soutenir, je baisse les yeux. Je reconnais implicitement sa domination, sans aucune parole, je me soumets à son pouvoir. Cela est si naturel. Mes phantasmes sont devenus réels. Elle ne joue pas, elle n’essaie pas de me faire plaisir, elle semble vraiment heureuse de montrer son autorité.

Sa culotte est coincée sous un talon, je la prends délicatement entre les mains. Elle ne bouge pas. Je lève les yeux, à son regard je comprends qu’elle n’est pas satisfaite. J’embrasse sa chaussure, elle lève alors son pied de quelques centimètres, je fais la même chose pour l’autre pieds. Je libère son string, il est en effet très humide, son parfum me submerge. C’est vraiment un aphrodisiaque exceptionnel, ma queue va exploser, je ressens la douleur de l’érection empêchée mais je n’ai pas mal. L’instant est juste sublime.

Je plonge mon visage dans sa culotte, je la prends avec ma bouche, je relève la tête son string entre les lèvres. Un grand sourire de satisfaction éclaire son visage.

_S_ Tu es si beau mon Julien, je suis absolument conquise par ta nouvelle attitude. Je t’aime.

_J_ Moooaaaa aussiiiii moooonnn Aaaamooouuur, jeeee t’aiiimmmeeee.

_S_ Merci juju. Relève toi mon Chéri, je vois que tu aimes toujours autant ma saveur, ce soir tu pourras te régaler directement à la source. Je ne sais pas pourquoi mais je commence à beaucoup apprécier ton nouveau statut.

_J_ Merci mon Amour, ton nectar est divin. Merci.

_S_ Tu vois juju, tu porte ton petit jouet moi je n’ai pas de culotte, on est à égalité. Ce soir on est très coquin tout les deux. Tu as même plus d’habits que moi. D’ailleurs, c’est plus joli, comme ça sans marque sous ma robe. Tu ne trouves pas?

_J_ Si, si, mon Amour, tu es vraiment magnifique. Cette robe te va très bien.

_S_ Je t’aime mon juju.

_J_ Moi aussi je t’aime STÉPHANIE.

Est-ce que elle réalise que je suis tendu dans ma prison comme jamais. Je suis super excité, elle n’a pas de culotte, on sort en ville. Il faudrait être aveugle pour ne pas remarquer qu’elle ne porte que sa robe et rien d’autre. Sur le moments, j’ai juste envie de lui arracher sa robe pour la prendre sauvagement en levrette. Je suis sur que beaucoup d’hommes vont avoir les même envies. Je ne ressens pas pourtant de jalousie, elle fait tout pour m’exciter, je suis sur qu’

elle va en exciter plus d’un.

Main dans la main on se regarde dans le miroir de l’entrée. Nous sommes beaux tous les deux, je suis avec la plus belle femme de l’univers, je suis si fier, si content d’être son mari, mais en même temps, j’ai du mal à me détendre, je me sens étrange, c’est la première fois que je vais rencontrer d’autres personnes avec une cage de chasteté sous mes habits. Devant la glace, je vois escort haberleri très bien la cage qui fait une bosse et l’on voit le pourtour du cadenas très clairement.

Pourtant on part en ville malgré mes inquiétudes, j’essaie de ne pas les montrer, STÉPHANIE est tellement heureuse, si sexy, je ne veux pas la contrarier. Elle est enjouée, durant tout le trajet elle parle de son travail qui va évoluer. Des opportunités qui vont arriver. Pas une seule fois elle a évoqué ma cage. Elle pose plusieurs fois sa main sur ma cuisse, comme d’habitude, mais là c’est différent. Ses caresses m’électrise, mon sexe grandit. Elle ne montre aucune réaction, je suis sur qu’elle a vu mon pantalon se tendre à chaque fois. La voiture garée, nous marchons quelques minutes, je sens à chaque pas le plastique frotter entre mes cuisses.

C’est un restaurant que je ne connais pas. La table réservée au nom de STÉPHANIE, est dans un coin discret de la salle.

La serveuse qui nous accueille est charmante, elle me détaille de la tête au pieds, un petit sourire se dessine sur son visage quand elle me regarde puis se tourne vers mon Épouse, elle ne va s’adresser qu’à elle toute la soirée. J’ai l’impression de ne pas exister. La serveuse complimente mon Epouse sur sa tenue, elle trouve même sa chaîne charmante avec ce curieux pendentif, qui pend librement à son cou.

_S_ C’est la clef de la…des plaisirs de mon amour.

Je ne sais plus où me mettre, je suis paralysé. La serveuse semble amusée, elle nous donne le menu, nous souhaite une bonne soirée et s’éloigne discrètement. Je n’ai pas osé la regarder. STÉPHANIE s’aperçoit de mon malaise.

_S_ Mon juju, je suis désolée, je n’ai pas vu que la clef était visible. Je comprends, tu n’es pas encore prêt à assumer. C’est tout nouveau pour toi. je suis désolée que tu sois un peu gêné, un peu à l’étroit. Tu es trop mignon quand tu fais cette tête. Je suis si fière d’être ta femme. Toi aussi tu dois être fiert, tu n’as pas à avoir honte. Bien au contraire, ta petite cage est une preuve extraordinaire de ton amour pour moi. Je t’aime.

_J_ Moi aussi mon Amour je t’aime, mais n’est pas facile de…

_S_ Tiens la serveuse reviens, ne t’inquiète pas, elle ne sait pas que tu portes une cage de chasteté. Tu veux lui dire où tu préfères que je lui dise?

_J_ S’il te plaît STÉPHANIE, non, c’est trop gênant.

_S_ Mon juju, rassure toi je ne vais rien lui dire, mais en même temps je suis sûre que tu es tout excité, au fond de toi, tu aimerais qu’elle le sache.

_J_ Merci, de ne rien dire, et oui, c’est vrai tu as raison, l’idée m’excite beaucoup.

_S_ C’est pour ça que je t’aime mon juju.

La serveuse semble ravie de nous servir, STÉPHANIE à confirmé que j’étais son ”juju”, elle s’appelle MARGOT, c’est une charmante jeune femme blonde d’une vingtaine d’années. Elle plaisante toutes les deux, elles ne parlent qu’entre elles, je suis exclu des débats. Mon Épouse choisit le menu pour nous deux sur les conseils de MARGOT. Je ne rêve pas, la serveuse drague ouvertement mon Épouse devant moi. Leurs échanges sont très troublants, ce ne sont qu’allusions équivoques et sous-entendu très sexualisés. La serveuse sait maintenant que ni mon Épouse ni moi ne portons de sous-vêtement. Elle a même invité STÉPHANIE à la rejoindre plus tard.

C’est surréaliste, est-ce que c’est ma cage qui sexualise tout? Je ne débande plus depuis que l’on est parti de la maison.

Le service est assez rapide, heureusement les plats et les vins sont délicieux. J’arrive enfin à me détendre. STÉPHANIE devient de plus en plus coquine. Nous sommes dans une petite alcôve, notre intimité est préservée, les autres clients sont loins. Elle me parle sans détour, elle apprécie beaucoup l’évolution de notre relation. Elle joue nonchalamment avec la clef tout en me parlant.

_S_ Juju, notre complicité devient plus grande de jour en jour. Ses dernières semaines, j’ai appris plus de choses sur toi que durant les sept années passées ensemble. Je te dois te faire des excuses.

_J_ Pourquoi veux-tu t’excuser mon Amour?

_S_ Julien, quand tu m’a parlé les premières fois de tes désirs de soumission, j’ai trouvé ça nul. Tu te souviens que je t’ai toujours dit que je ne veux pas d’un pas d’un homme faible. Je veux, j’ai besoin d’un homme fort, viril, qui prend des décisions, quelqu’un sur lequel je puisse m’appuyer, quelqu’un qui me soutienne. Je ne veux pas d’une carpette.

_J_ Mais je ne suis pas faible, je ne suis pas une lopette.

_S_ Je sais Julien. Tu es mon mec idéal, tu es très beau physiquement, tu es intelligent, ton humour me fait craquer. Tu as tout ce qu’il faut ou il faut, tu es un homme fort, et en plus tu es blindé de thunes.

je Je suis tombé amoureuse de toi, au premier regard. Oui tu le sais je t’aime depuis le lycée.

_J_ Moi aussi je t’aime STÉPHANIE, tu es la plus belle femme du monde, tu es parfaite.

_S_ Merci Julien, mais je te demande pardon, escort hikayeleri je ne t’ai pas fait confiance.

_J_ Mon Amour, ce n’était pas le moment, nous n’étions pas prêts tous les deux.

_S_ Julien, tu es toujours positif, je t’aime aussi pour ça. Mais je dois admettre que tu avais raison. Même avec un cage de chasteté, tu n’as rien perdu de ta force, tu es un homme puissant qui impose le respect, je vois le regard des autres, tu es toujours le mâle Alpha. Les femmes te désire et les autres hommes ont peur que tu leur pique leur femme.

_J_ Tu exagère mon Amour.

_S_ Non, pas du tout. Toi tu ne fais jamais attention à l’effet que tu provoques chez lez autres. Tu n’as même pas vu le regard de désir de la fille au bar et l’altitude possessive de son mec quand on est rentré dans le restaurant.

_J_ STÉPHANIE, tu me connais, tu sais que je m’en fou. J’ai toujours été dragué par plein de femmes et même des hommes, je ne suis pas intéressé. Tu es la seule.

_S_ Tu vas un peu vite, tu oublies tes collègues.

_J_ Ça n’a rien avoir avec les sentiments que j’ai pour toi, je t’aime.

La serveuse passe plusieurs fois nous voir, mon Épouse continue de parler de notre intimité alors que la serveuse est toute proche. Elle fait exprès d’utiliser des mots, comme Obéissance, chasteté, contrôle, soumis, pouvoir, femme dominante …. j’ai l’impression que la serveuse connaît tout de nôtre intimité, de notre mode de vie. Elle doit savoir que je porte une cage de chasteté, que je suis un mâle soumis. Elle a forcément entendue. Je deviens paranoïaque. C’est très troublant d’être excité par la situation. Mon sexe est de plus en plus à l’étroit. En plus mon Épouse m’allume comme jamais. Jusqu’à me demander l’impensable.

_S_ juju, tu serais un amour si tu venais me lécher, j’ai trop envie de jouir. Je n’ai pas de culotte, je vais tremper la chaise. Passe sous la table, la nape touche le sol. Tu es seras caché. S’il te plaît mon juju d’amour.

_P_ Là, maintenant, mais il y a du monde tout autour.

_S_ Ils sont loin, personne ne nous regarde, allez s’il te plaît, je suis au bord de l’orgasme. J’ai vraiment envie de ta langue magique.

_ J_ Mais comment fait on avec la serveuse, elle vient souvent.

_S_ Ne t’inquiète pas, j’en fais mon affaire. Allez, vas y, passe vite sous la table mon juju.

STÉPHANIE sait être persuasive, en même temps j’en ai très envie de lécher sa délicieuse chatte, depuis qu’elle a enlevé sa culotte. Ni une ni deux, je me faufile sous la table. Il fait sombre, ses jambes sont écartées en grand, elle a retroussé sa robe. J’ai un accès direct à son sexe. Son excitation est grande, elle sent le sexe, elle ruisselle. J’embrasse ses cuisses délicatement, j’approche ma bouche de sa chatte baveuse. Je lèche le bas de ses grandes lèvres, je remonte lentement la langue, j’effleure du bout de ma langue son clitoris. Elle tremble à ma caresse. Je la connais, je sais qu’elle est proche de l’orgasme. Je prends mon temps, je lèche ses grandes lèvres, enfonce ma langue au fond de son sexe, je bois son nectar. Descend plus bas, son petit trou s’ouvre sous ma langue. Je veux retarder au maximum sa jouissance, elle a avancé ses fesses au bord de la chaise, son petit trou sombre frémit,il avale mon doigts. Je remonte ma langue bien a plat, je la lape de bas en haut comme un chien. Son clitoris est très sensible, elle contracte tout son corps quand je passe ma langue. A un moment mon Épouse appuie sur ma tête, la voix de notre serveuse me ramène à la réalité. J’ai oublié que lèche mon Épouse dans un restaurant.

_M_ Le beau gosse n’est plus là, il est parti?

_S_ Non non, mon mari est toujours là, il est juste un peu occupé. Il voulait un dessert supplémentaire.

_M_ Quelque chose ne va pas Madame?

_S_ Tout est parfait, merci beaucoup,

La soirée est parfaite, le repaaas est très très booonnn. Mon mariii me permet de finiiiir d’une façooon parfaite notre délicieux repaaaaaas.

__ Oh!!! Bien, très bien, je vois, je vous laisse apprécier votre dessert, je vous apporte les cafés plus tard.

_S_ Ouiiiii, merciiiii.

J’ai fait exprès, dès l’arrivée de la serveuse, de m’occuper de son clitoris. Des légers mais rapides effleurements du bout de la langue, rendent la discussion difficile avec la serveuse. Mon pouce enfoncé dans sa chatte en même temps que mon majeur dans son cul, associés aux aspirations de mes lèvres sur son clito l’emmène inexorablement vers l’orgasme. Elle serre les jambes, appuie fortement sur ma tête, elle m’écrase le visage sur sa chatte.

_S_ Julien c’est trop bon, ne t’arrête pas, ouiiiiiii, continuuuuu, ouiiiiiiiiiiiii.

Sa jouissance éclatante ruisselle directement dans ma bouche. Je ne touche plus à son clito, j’avale son divin nectar. Quelques minutes plus tard, au moment ou je sors de dessous la table, le visage luisant du plaisir de mon Épouse, la serveuse dépose les cafés. Elle a le visage rieur, elle ne escort ilanları semble pas du tout gênée ou perturbée. Elle regarde STÉPHANIE.

_M_ Avez-vous apprécié votre dessert?

_S_ Oh, oui beaucoup, comme tout le repas, merci beaucoup.

_M_ Merci à vous, la cliente est reine. Prenez votre temps, vous êtes les derniers clients.

En payant la note, la serveuse complimente encore mon Epouse pour sa beauté et me félicite pour mon attitude très respectueuse et dévouée. Je ne sais que répondre, c’est STÉPHANIE qui lui répond.

_S_ Merci beaucoup, mon petit juju est un homme très avenant et très obéissant, c’est un mari parfait.

_M_ Vous avez beaucoup de chance, j’aurais aimé être à sa place. Je suis sûre que votre pendentif y est pour quelque chose.

_S_ Merci, c’est vrai que c’est un petit jouet magique.

_M_ Bonne fin de soirée STÉPHANIE, à toi aussi juju, tu as bien de la chance.

_J_ Merci beaucoup Madame, bonne continuation. Au revoir.

Je suis abasourdi, la serveuse m’a vu sortir de dessous la table, elle sait pour la clef, elle a même félicité mon Épouse. Le restaurant est une étape supplémentaire de mon évolution, ma soumission s’accentue, la domination de mon Épouse s’affirme.

STÉPHANIE est heureuse, elle est fière de moi. Elle adore voir son beau mec “fidèle” à son bras. La balade en ville est un délice, on est un couple amoureux. Elle m’explique que la serveuse savait depuis le départ qui l’on était, c’est la fille d’une amie de PATRICIA, elle sait que je suis enfermé dans une cage de chasteté, elle sait pour le cuniligus, elle lui a même donné son numéro de téléphone.

Je réalise que je suis manipulé sans scrupules. Est-elle au courant pour l’entrepôt? Je suis surpris mais quand même très fier du plaisir que j’ai donné à mon Épouse. Je suis sur qu’elles ont prévu encore beaucoup de choses pour moi. C’est curieux mais, ne pas savoir ce qui va m’arriver m’excite encore plus.

Notre promenade se poursuit, ma libido est exacerbée, ma queue est très à l’étroit dans sa prison de plastique.

On parle de tout et de rien main dans la main. je ne sais pas si elle le fait exprès, mais STÉPHANIE ne parle plus de ma cage de chasteté, plus aucune allusion à ma soumission. Par contre, elle prend plusieurs fois la chaîne et la clef dans ses mains, joue avec, me regarde dans les yeux, me caresse avec une sensualité toride. Elle parle de tout sauf de l’utilité réelle de cet objet. La clef de ma cage trône comme un trophée à même sa peau entre ses seins. Je n’en parle pas non plus. Étrangement, la marche, à un effet sur mon érection. Je ne bande plus, j’oublie même que je porte ma cage de chasteté, elle ne me gêne plus quand je marche, mais j’angoisse toujours un peu quand on croise des gens. J’ai l’impression que tout le monde voit que je porte une cage de chasteté.

On se promène sans réel but, puis, elle décide d’aller prendre un verre dans son bar préféré. Elle est très heureuse, joyeuse, elle rayonne, tous les regards sont sur elle quand on pénétre dans le bar, je passe presque inaperçu. Elle salut beaucoup de connaissance, rigole, s’amuse, plusieurs hommes lui offre à boire, elle est dans son élément. Curieusement, je suis excité de la voir si belle, entourée et courtisée par autant de hommes. J’ai vu des caresses rapides, des effleurements, des mains posées sur ses hanches, sur le haut de ses fesses. Ils ont voulu vérifier, c’est sur, ils savent maintenant qu’elle n’a pas de culotte.

Elle est radieuse. Elle me présente à beaucoup de personnes comme étant son mari, son juju d’amour.

J’ai des craintes que quelqu’un aperçoive ma cage mais en même temps l’idée de partager mon secret m’excite.

STÉPHANIE me fait remarquer discrètement que personne n’est au courant pour ma cage, mais que tout le monde a vu la clef à son coup. Ma queue à cette évocation se tend instantanément.

_S_ Tu bande juju?

_J_ Oui mon Amour, enfin mon sexe essaie désespérément de prendre de l’ampleur. Mais je te rappelle que tu n’as pas de culotte mon Amour.

_S_ Et alors?

_J_ Tu as quand même senti les mains sur toi? Certains ne se sont pas gêné.

_S_ Et alors?

_J_ Alors rien, c’est juste que je suis…

_S_ Tu es quoi?

_J_ Euh!! Je suis troublé. Te voir allumer tous ces gens, leurs regards, ça m’excite.

_S_ Tu bandes?

_J_ Oui! Très très fort.

_S_ Tant mieux, celles qui regardent ton entrejambe vont voir ta grosse bosse, elles vont être jalouses. Tu sais que tu es beau Julien, très désirable, trop baisable, j’ai très envie de toi maintenant.

STÉPHANIE m’a dit tout ça en se frottant à moi comme une chatte en chaleur. Plusieurs personnes nous ont regardé nous embrasser, nous enlacer. J’ai vu des regards d’envie, tant féminins que masculin. Ma queue est à son maximum, c’est une délicieuse torture.

_S_ Tu as pu voir plusieurs personnes me toucher le dos, les hanches, les fesses, ils ont vérifié que je n’ai pas de culotte. J’adore faire bander tous ses mecs. Je pourrais me faire baiser par toutes les bites dures qu’il y a ici, sauf la tienne. Oups!! Je me sens si salope mon juju. Tu me donnes des ailes.

_J_ Tu es tellement sexy, si belle, tu veux t’amuser ce soir?

_S_ Mon chéri, merci, si tu savais comme j’ai envie d’une grosse bite au fond de ma chatte et de mon cul.

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Emmanuelle et le doyen Sélim

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Amateur

Dimanche matin , seuls à l’appartement à Neuilly avec mon époux , nous traînons , car nous sommes rentrés tard cette nuit.

Michel mon mari , offrait un repas à son ami Sélim doyen de faculté au Liban pour fêter un protocole de recherche et d’échange entre leurs Universités . Comme je suis aussi universitaire, j’étais de la partie, mais en plus je suis plutôt jolie fine et agréable à l’œil ( j’ai rêvé d’être mannequin mais mon père a fortement insisté pour que je poursuive une carrière scientifique en l’occurrence dentiste hospitalo-universitaire et libérale ) donc Michel m’avait demandé d’être en représentation en tenue plus jolie et transparente .

Pendant le repas, arrosé de bons vins, Mr Sélim, gros mangeur bien éduqué, à la corpulence imposante, n’arrêtait pas de me regarder puis de reluquer , et comme j’avais aussi bu ma poitrine se soulevait et sous les regards masculins mes tétons étaient érigés!!!!

Bref, les propos avaient été un peu macho et un soupçon salace ( mais dans le cadre de ce grand restaurant la tenue avait prévalu).

La nuit fut courte et chaude, Michel a remarqué tout de suite en rentrant en taxi, Emmanuelle tu es excitée hum tes penchants de bourgeoise à forcer? Dans le taxi je lui intimais l’ordre de se taire , mais en lui sussurant que oui mais que je l’adore quand il bande et ce sans qu’il ne doive porter mes dessous , ce qui d’habitude le dope!

Dès l’arrivé à l’appartement je me suis laissée prendre comme une femelle en rut dans le salon sans fermer les rideaux ( mais avec juste la lumière de la rue ).

Au matin , vers 10 h coup de fil de Sélim, un problème dentaire , Michel qui a pris le téléphone, me demande si on peut se retrouver au cabinet dentaire près des champs? Je ne peux qu’acquiescer. Je m’habille plus sérieuse que la veille , body noir Eres avec ses jarretelles pour mes bas gris foncés robe maille noire moulante et petits trotteurs aux pieds. Au cabinet , Sélim est déjà là , en fait il a une couronne descellée , je ne vais pas en avoir pour longtemps . Le temps de mettre une blouse , mais trop courte et je n’aimerais pas salir ma jolie robe alors je m’excuse et pars me changeret ôter ma robe, évidemment quelques plaisanteries masculines fusent en arabe , et comme je ne comprend pas , Michel traduit : mr le Doyen te propose sans blouse!!! et il rajoute ce qui ne serait pas plus déshabillé que sur une plage, comme l’été dernier éructe Mr Sélim avec gentillesse gauloise et autorité évidente . j’élude la proposition avec élégance en faisant remarquer que l’érotisme commence avec le rêve et que ma blouse plissée ( en fait celle de mon assistante plus petite de 15 cm que moi ) permet de faire évader son esprit plus que mon corps physique! J’avoue qu’une blouse croisée sans boutons juste tenue par un lien dessous et une ceinture dessus, plissée pour le volume et les mouvements, un peu trop petite en tour de taille et en longueur , m’ a fait sourire in petto au moment de me changer et avoir l’envie de jouer à la dentiste bourgeoise trop sexy!

Mais je me tiens bien , même si mes tétons me trahissent un peu et essaient de se dresser au dessus du balconnet si fin de mon body , j’essaie de les y replacer mais je n’arrive qu’ à les pincer et les exciter encore plus, un désastre, ils ressortent du bord de mon body et pointent dans les plis trop transparents , à mon goût, de la blouse!

Pour les soins , c’est facile : couronne descellée et patient allongé , moi assise derrière. Sa tête me suit quand je me lève et me déplace pour prendre le matériel nécessaire . Son regard affole mes jambes mais ma tête arrive à rester froide, malgré les réflexions macho de mon mari si faible dans ces circonstances et de son ami qui a l’ascendant du macho méditerranéen et l’aplomb de l’obèse!! Je dois éviter les mains qui glissent sous le siège et palpent mes genoux et , ses lèvres qui sucent mes doigts gainés de latex.

J’arrive à nettoyer la dent , et Michel m’aide en allant nettoyer la couronne au laboratoire , Oh mr Selim en profite pour me demander de lui montrer mon body , il a des demande de lingerie de la part de sa fille adorée , et mon body lui semble parfait!!!!! et mon regard sur son pantalon, m’indique que celui ci est déformé par un sexe de taille sans doute monstrueuse . Mais j’essaie de lutter car il tire sur ma ceinture qui se défait , et toute ma blouse s’ouvre retenue que par le lien interne , j’essaie de me dérober mais je suis en plein soin . et Michel qui revient avec la couronne parfaitement nettoyée qui ne regarde pas! Je me lève et me retourne vite pour remettre ma ceinture , je suis rouge de confusion! et oh sur mon écran je vois les deux encadrés des caméras de surveillance ouverts : on m’y voit parfaitement , donc tout a été filmé! Mr Sélim blague Michel sur mon côté bourgeoise française sexy!!! oh , je me dépêche de me rasseoir , de lui poser écarteur et digue pour sceller à l’abris de la salive , ouf il ne peut plus parler . Michel me fait l’assistante et la couronne est scellée!!! . Après escort numaraları avoir tout nettoyé , et relevé le siège , mr Sélim me demande ce qu’il me doit. Bien évidement : rien!

Oh mais si , répond il, je vous invite à déjeuner aux Champs

, et comme je dois faire des achats pour ma fille je vous pourrais vous offrir quelques jolies pièces, glisse mr Sélim . Michel se dépêche d’acquiescer, et me laisse aller me changer .

Il n’a pas saisi que ce sont des pièces de lingerie dont veut parler mr Sélim , cela me contrarie, mais bon un bon repas cela aidera . Dans le laboratoire , j’ôte la blouse et comme je suis excitée je m’essuie le sexe avec un kleenex , et me palpe les tétons qui sont un peu trop érigés à mon goût ( ils sont si impulsifs dans leur réactions ) , je remet ma robe noire maille , et me recoiffe dans la glace , oh mais je vois un petit voyant rouge dans un coin du miroir, me retourne , oui la caméra de surveillance est allumée!!!, j’espère que personne ne l’a remarqué.

Je regarde le petit écran du labo, les fenêtres de surveillance sont ouvertes, michel m’a t il regardé tout à l’heure??? il faut que je pense à effacer les enregistrements! Mr Selim , est ravi il est tout sourire et avec son tel me prend en photos « ma dentiste préférée » dit il , sur le trottoir , sa limousine attend et comme le chauffeur m’ouvre la porte et que je m’y gliss , je n’arrive pas à contrôler la remontée de ma robe et mr Selim filme!!!!!

Le chauffeur ( un grand black ) nous dépose devant le restaurant sur les Champs-Elysés juste à côté d’une galerie marchande .

Hélas il va nous falloir attendre environ 30 minutes , et Mr Selim qui propose : si nous en profitions pour faire quelques achats , je dois rapporter des cadeaux pour la fille!

Dans la galerie , marchande les deux hommes parlent cadeaux à raporter à la fille de mr Sélim , et, alors que je suis génée de son regard perpétuellement vicieux et de voir son pantalon trop moulant pour ses parties génitales , alors qu’il écarte toujours les pans de son veston devant moi.

Les deux hommes s’arrêtent devant une boutique de mode et de lingerie de luxe .

La bosse sur son pantalon augmente en observant la vitrine avec ses mannequins en robes et tenues sexy juste devant des rideaux opaques . Il s’attarde sur des petites culottes transparentes et des porte-jarretelles et propose allons faire des achats!

Il ouvre la porte et mielleux m’invite à rentrer , puis michel et il ferme la marche .

Une vendeuse de grande tenue en robe croisée,talons très hauts, mais de silhouette plus petite et plus enrobée que moi, nous accueille tout sourire .

Mr Sélim se présente et demande pour des cadeaux de lingerie pour sa fille de 25 a restée à Beyrouth .

Quelle taille demande la vendeuse? oh elle a les mêmes mensurations que notre amie Emmanuelle ici présente , ose mr Sélim , du coup je vois venir le plan et je suis déjà avec une rougeur aux joues, un frisson au creux des reins et des tétons qui s’érigent!

Mr Sélim insiste et dévoile , je pourrais même adresser les photos de mon E phone et j’aimerais montrer différentes tenues à ma fille pour qu’elle choisisse elle-même! Michel a l’air stupéfait mais comme je sais bien qu’il rêve de photos déshabillées de sa femme , je ne suis pas surprise de sa réflexion : oh Emmanuelle qui a toujours rêvé de faire mannequin , tu vas pouvoir jouer à Victoria’s secret!

J’ai bien remarqué que Mr Sélim me regardait toujours d’un air vicieux comme s’il avait une idée précise derrière la tête.

Il me demande évidemment de l’aide et son pantalon qui est trop moulant pour ses parties génitales révèle un volume impressionnant et perturbant. Il écarte toujours son veston devant moi et je ne peux que voir la bosse sur son pantalon Il s’attarde sur des petites culottes transparentes et des porte-jarretelles. Mais il ne sait que choisir, il me demande alors avec un sourire pervers en me regardant droit dans les yeux (oh je suis pivoine car je sens où il veut en venir surtout qu’il a son portable à la main) : Emmanuelle, j’aimerais montrer différentes tenues à ma fille pour qu’elle choisisse elle-même

Mais elle a du mal à se faire une idée sur les manequins : Pourriez-vous m’aider? Vous allez mettre les culottes que ma fille souhaiterait essayer et vous les essaierez pour elle?

Je vous filmerai pour qu’elle puisse nous donner son avis. C’est une bonne idée n’est-ce pas?

Et il demande même à mon mari son accord qui acquiesce aussitôt.

J’en bafouille et michel qui insiste en me prenant manteau et sac pour me débarrasser et cacher son camescope

Mr Sélim demande à la vendeuse un endroit tranquille pour pouvoir faire les essayages.

Je vois qu’il lui glisse quelques billet dans la main au passage, elle sourit et nous pousse dans une pièce discrète située au fond de la boutique et aux murs composés de miroirs Mr Sélim me dit: préparez-vous Emmanuelle, voici une première escort pornoları culotte à essayer, elle est transparente!

Mon mari et son ami attendent dans la pièce que je me déshabille. Ils ont tous deux préparé leurs téléphones et camescope. Je ne peux résister. Elle est hors de prix, je la prend en main et ôte les chaussures et m’apprête à l’essayer sur mes bas et mon body sans remonter ma robe pendant qu’ils commencent à filmer.

Non non non! Emmanuelle, enfin il faut la passer sous votre robe pour que ma fille puisse se faire une opinion!Allez, retirez cette robe, mais gardez vos escarpins, s’esclame Mr Sélim, retirez également votre body pour plus de justesse dans l’essayage!

Je vois le gros homme transpirer, je perd contenance et devant les yeux des 2 hommes je laisse la vendeuse m’ôter ma robe , puis le body.

Elle profite de la situation pour me caresser la peau, je frémis, les seins, la taille, et elle m’aide à passer cette culotte. Devant les 2 voyeurs, elle ôte mes bas qui ont perdu leur jarretelles attachées au body

Je vois le libanais se frotter le pantalon tout en me filmant.

La vendeuse m’aide à remettre mes escarpins

Je suis nue, simplement avec la culotte et mes escarpins.

La vendeuse est derrière moi. Elle a donné à michel mes bas et mon body , cet idiot se dépêche de glisser cela dans son pantalon, tellement il adore le contact des dessous féminins.

Elle remonte ses mains sur mes seins, oui mes seins et elle suggère de choisir une tenue osée pour eux

Sélim ose demander à michel de prendre le soutien gorge ou la guépière le plus pute en cuir rouge à côté de lui , il obéit et Sélim demande à la vendeuse si, comme cela se fait beaucoup au Liban, elle a des bijoux de tétons .

Elle revient avec les bijoux et un plug anal qu’elle exhibe fièrement devant moi. Oh des lassos cuirs pour tétons avec une chaînette comme une laisse et michel tend une guépière cuir rouge à taille si fine et aux bonnets 1/4.

Elle m’aide à enfiler ma tenue si pute, et la vendeuse mielleuse qui sussure ( et ordonne ) madame devrait être maquillée .

Mr Sélim saute sur cette proposition : oui maquillée comme un vraie putain! La vendeuses me cale contre un poteau pour mieux enrober et dessiner mes lèvres de rouge sombre . Et le contour de mes yeux dans une couleur très sombre pour en faire ressortir mes iris si bleu.

Mr Selim demande mais il faudrait raser les poils pubiens à cette sale petite pute! Michel se permet de suggérer qu’ il apprécierait des aréoles creusées et des tétons érigés par de l’astringence et des couleurs sombres.

La langue de la vendeuse se glisse de façon gourmande sur ses lèvres et elle me pousse dans un grand fauteuil, place mes jambes sur les accoudoirs pour une épilation rapide et chimique et mes deux salauds qui me filment!

Mr Sélim s’approche de moi sur mon côté gauche . Il m’ordonne de sortir son sexe La vendeuse est entre mes jambes, elle a ôté la culotte pour me raser .

J’ ouvre son pantalon pendant qu’il filme toute la scène, j’hésite essaie de reculer , mais la vendeuse me tord un téton , et une gifle me force à obéir.

Mr Sélim excité révèle son goût pour l’autorité et me crie Sors ma bite salope! Et il m’attrappe par les cheveux.

Michel sur mon côté droit, qui se branle en cachette dans mon body, m’intime de satisfaire mes vices car il sait que j’aime ces genres de rêves (je lui as déjà parlé de mes fantasmes) être une Salope!

Je baisse le pantalon de Mr Sélim. Je découvre un caleçon gonflé par son plaisir. La taille m’impressionne, me fait peur, j’hésite à descendre le caleçon.

Mais Mr Sélim n’aime pas attendre. Il me gifle à nouveau. Dépêche toi petite pute!

La vendeuse à fini de me raser

Oui je défais le pantalon descends son caleçon et oh quel sexe. Oh ouiiii je me laisse faire

Le sexe jaillit du caleçon. Il est large et long.

Mr Selim ordonne alors emmanuelle admet que tu es une sale bourgeoise prête à faire la pute, que tu es une bonne petite soumise : Dis le! Et michel aussi me pousse , alors je murmure : je suis une sale bourgeoise heureuse de faire la pute pour vous mr Selim

Mmr Selim éclate de rire et propose à michel de dire la même chose, et insiste auprès d’Emmanuelle : fais-le dire à ton mari .

Je pleure et halète de plaisir ( être démasquée et me faire gouiner par cette vendeuses) et ordonne d’une voix cassée : michel épile toi met ce body et dévoile ta nature de sissy lesbienne .

Mr Sélim profite aussitôt de la fin de ta phrase pour engouffrer sa queue dans ma bouche de pute.

Elle est tellement grosse que j’ai du mal à le mettre en bouche .

Et Mr Sélim regarde en même temps ton mari se préparer

La vendeuse est encore occupée avec mon sexe.

Mr Sélim lui ordonne de placer les lassos de cuir sur mes tétons maquillés érigés et durcis sur mes aréoles creusées par l’astringence du produit de maquillage et puis escort portalı de mettre le plug dans mon cul de bourgeoise.

oh ouiiii je ne peux que sentir la tension de la laisse sur mes tétons ( mr Sélim la tire vers lui sauvagement) et son vit qui force ma bouche , ma gorge et je sens les doigts de la vendeuse dans mon cul. Dans mon sale trou du cul de bourgeoise .

Elle l’enfonce sans se préoccuper de ma jouissance ou de ma douleur, elle m’enfonce ce plug de belle taille à fond , et part s’occuper de l’épilation de michel , nu avec sa queue ridicule enrobée de mon body et de mes bas .

Je ne suis plus qu’un jouet pour le plaisir de Mr Sélim et de la vendeuse.

Mr Sélim ordonne : Suce-moi Emmanuelle! Sale pute. Tu te prends pour une bourgeoise mais tu n’es qu’une sale putain!

Et la vendeuse rase ton mari, pendant que Mr Sélim te bourre la bouche le cul rempli par le plug.

Oh ouiiiiii je ne savais pas que j’étais capable d’acharnement animal pour pouvoir avaler le foutre d’un étranger mysteryoo: Je sens ses grosses testicules contre mes joues à chaque fois qu’il s’enfonce dans ma gorge. Il tire en meme temps sur mes tétons.

Mr Selim est ravi mais ironique s’interroge sur l’endroit où j’ai pu apprendre à faire une gorge profonde?Tu suces comme une vraie putain. C’est à l’hopital que tu as appris à sucer comme ca? La vendeuse qui tord les couilles de mon époux lui demande si il n’a pas d’idée sur la question, michel d’une voix faible répond : je crois qu’un garagiste à gazeran le sait! Mr Sélim lui, me pose une question-affirmation : je suis sûr que tu es également la pute de tes élèves! Malgré mes tentatives de dénégations en essayant de secouer négativement la tête, mr Sélim insiste : Avoue salope! Tu es la pute de tes élèves! Dès qu’ils ont découvert tes penchants masochistes ils en ont profité.Tu n’es qu’une pute!

Il ressort son sexe de ma bouche, je crie : non, mais c’est vrai qu’ils m’ont par deux fois invitée à des soirées et j’ai refusé.

Menteuse!!! affirme mr Sélim qui est si excité à cette idée Et il me gifle et il me tend le téléphone et il m’ordonne: Appelle un de tes élève! Je veux vérifier.

Il tire sur mes tétons : Appelle!

Mon époux adoré , michel, fouille mon sac et me tend mon téléphone alors chérie appelle celui qui t’a insulté pour des mauvaises notes. Dis-lui que tu as quelque chose de très important à lui dire.

Mr Sélim insiste : Fais-le venir ici! Et il me gifle de nouveau. J’ai les yeux humides et j’essaie un « oh non pas cela , je préfère encore retourner à Gazeran »

Mr Sélim replonge son sexe dans ma bouche et se masturbe avec ma gorge. Tu vas l’appeler sale pute! Il gicle tout son foutre dans ma gorge tout en tirant très fort sur mes tétons tendus.

Il prend le téléphone et me le tend: Appelle pute!Michel est en body bas et perruque!!!! et la vendeuse agenouillée devant moi lui ordonne de prendre mon relais pour essuyer le sperme qui coule sur mon visage.

Je me mords les lèvres et je prend mon téléphone , ma vie va basculer .

mr Sélim s’étonne : alors michel-le tu suces aussi bien que ta femme!

J’ai son répondeur et je lui demande de rappeler pour vérifier les erreurs de notes!!!! je pleure

Mr Sélim me demande: Qu’est-ce qui t’arrive? Tu veux jouer les putes et tu n’assume pas? Regarde ton mari, lui il assume!C’est une pute comme toi!

La vendeuse arrive avec un gode ceinture. Pendant que ton mari suce Mr Sélim, elle vient derrière michel.

Mr Sélim le fait mettre à 4 pattes et ordonne à la vendeuse encule -le!Et elle place le gode à l’entrée du cul de ton mari

Mon téléphone sonne , c’et Olivier l’étudiant râleur , il s’interroge sur ces “erreurs de notes “

Mr Sélim m’ordonne : Fais-le venir! Maintenant!

La scène est surréaliste, mon mari prêt à se faire enculer au fond d’un magasin et moi en train d’appeler mon futur bourreau.

La vendeuse plonge d’un coup sec son gode dans le cul de mon mari.

Je suis perdue , olivier m’explique qu’il se promène av de la grande armée avec sa copine et son chien, je lui indique la galerie des champs et le nom de la boutique chez fabienne mais je tais que c’est un magasin de luxe .

Mr Sélim insiste : Tu vois c’est pas très compliqué de faire la pute! Et il se met à rire, sa bite dans la bouche de mon époux Sélim s’esclaffe : Je sens qu’on va bien s’amuser avec ton élève. J’espère que tu n’as pas été trop dure avec lui Ha Ha .

La vendeuse avoue , surtout que derrière les miroirs tout est filmé, leurs nouveaux métiers sont tout trouvés. Mais elle poursuit je suis de Rambouillet et ce garagiste de Gazeran j’aimerai bien comprendre?Raconte-nous sale pute de bourgeoise! Qu’est-ce qu’il t’a fait ce garagiste?

Je pleure et raconte que j’AI DECOUVERT LE SEXE VIOLENT après une panne de voiture chez un garagiste ou plutôt une famille assez attardée qui tenait un garage.

Mr Sélim exulte Tu as découvert que tu aimais être prise de force, faire la pute!

J’avoue que j’y retourne tous les ans pour éviter tout chantage et scandale

Mr Sélim me sussure : tu as le vice dans la peau!

Michelle confirme , il a intercepté 5 photos pour relancer le chantage, qui sont explicites et qui le font bander à mort Mr Sélim te rabaisse d’un Ta gueule pouffiasse! Je ne t’ai rien demandé sale pédale!

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Tante Beth – Chapitre 04

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Babe

Je finis de prendre une douche chaude et revigorante. Beth prépare des pâtes à la carbonara pour le déjeuner. Je n’en ai jamais mangé auparavant, nous buvons un vin rouge. Pendant que l’orage continue de tomber dehors.

Pendant le déjeuner, Beth se saoule, raconte des blagues, des phrases épicées, dit des indécences, la boisson altère ma tante. Tout cela me rendait fou de monter cette vilaine pouliche. J’avoue que j’étais aussi affecté par le vin, je suis très faible pour les boissons.

Beth a commencé à parler de ses trahisons, je pense que c’était juste pour m’exciter encore plus, je ne pouvais pas croire ce que j’entendais. Elle ne ressemblait même pas à ma tante.

“C’était ton premier mec noir?”

“Le seul, mais c’était sensationnel. C’est dommage.”

Je sentais ma bite s’épaissir.

“Keto, magnifique. Je ne sais pas si je dois te le dire. Que vas-tu penser de moi? Je suis ta tante, mon garçon!”

“C’est juste que tu as parlé si bien de lui. Tu m’as rendu curieux?”

“Curieux, hein? Curieux ou pervers?”

“Les deux.”

“Vous êtes vraiment ma parente, n’est-ce pas? Alors Keto m’a appris beaucoup de choses, quelle langue avait cet homme. Quels doigts, quel pénis.”

“Vraiment!”

“Aussi avec un si long, si large. Et en plus de ça, noir. C’était il y a environ trois ans. Je ne l’ai jamais revu. C’était lors d’un voyage, il m’a invité à boire un verre, puis m’a emmené dans sa chambre.”

“L’oncle n’était pas avec la dame?”

“Bien sûr que non! Imaginez. J’étais ivre, plus que je ne le suis maintenant. Je me suis retrouvée allongée sur le lit, sans mes chaussures, la tête hors du matelas. Une ambiance savoureuse, la boisson, je devenais coquine, je me souviens avoir déboutonné mon chemisier. Je lui ai demandé s’il aimait ça.”

“Et il a aimé?”

“Il a dit qu’ils étaient beaux, parfaits.”

“Très poli, votre ami.”

“Poli! C’est un salaud, voilà ce qu’il est. Il a fait l’imbécile juste pour me provoquer.”

“Qu’est-ce qu’il a fait?”

“C’est ça que tu veux, connaître mes secrets?

***

“Juste jolie”? Ouais, mais qu’en est-il de toi? Tu as l’air si… gros, épais. Je peux voir?

Il s’est levé et s’est placé au-dessus de moi. Il a déboutonné son pantalon, lentement et de manière très sensuelle. Le magnifique homme a enlevé ses chaussures et ses sous-vêtements. Sa bite noire est apparue penchée devant moi, une bite épaisse touchant presque mon menton.

“Tout ça, plus gros que je ne l’imaginais! Plus épais, wow!”

Et il a eu l’effronterie de me dire qu’il n’était même pas excité. J’ai éclaté de rire. Et j’ai demandé si je pouvais faire quelque chose pour lui.

“Je peux le mettre dans ta bouche, Beth.”

Avec la voix la plus innocente. Il a brandi le bout rouge, l’a mis devant ma bouche, le truc à grosse tête. Qu’est-ce que je pouvais faire? Je léché, embrassé. Keto a gémi savoureusement. C’est si bon d’entendre un homme gémir, encore plus les jeunes. J’ai ouvert ma bouche et il a mis ce tronc à l’intérieur. Je ne sais pas comment j’ai réussi, et c’est entré, j’avalais tout, jusqu’à ce que ça atteigne ma gorge.

“Aaannhhh!”

J’ai gémi, c’était ma première fois dans une gorge profonde, j’ai attrapé le couvre-lit à deux mains. J’ai vibré et montré plus que je n’aurais dû. Keto est devenu encore plus fou.

Il pilonnait, pilonnait cette bite épaisse dans ma bouche, perçant ma gorge. C’est là qu’il m’a rendue folle pour de bon. Keto était grand, avec de grandes mains et de longs doigts. Il s’est penché sur moi et a commencé à me toucher, à me gifler, à me tapoter la chatte.

Je suçais sa bite et il me masturbait, juste pour me rendre encore plus folle. C’était une nuit incroyable! Quel homme merveilleux. Dommage que nous ne nous soyons plus vus.

***

Beth a pris une autre gorgée de sa tasse, je pouvais sentir mon short devenir humide. Mais elle ne voulait plus parler. J’ai insisté.

“Et il a joui dans ta bouche?”

Elle a ri en se mordant les lèvres, elle avait l’air embarrassée.

“Ce n’est pas quelque chose qu’on demande à une dame, encore moins à ta tante.”

“Je suis désolée, je… je voulais juste comprendre.”

“Il n’y a rien à comprendre. J’en ai trop dit, comme d’habitude.Ton oncle se plaint toujours de moi.”

Elle a ri en prenant une autre gorgée. Le regard brillant dans ma direction. Le visage de quelqu’un qui veut vous taquiner.

“Donc, tu l’as aimé, tu as aimé l’histoire de tatie? Laisse-moi voir.”

Beth a ouvert ce sourire captivant, a fait descendre sa main pour caresser mon genou, puis ma cuisse. Lentement, elle est montée jusqu’à glisser sa main dans mon short. J’étais surpris, elle m’a offert un baiser pendant que ses doigts examinaient ma queue.

“Maintenant oui, je pense que tu es prêt. Viens avec moi, dans ma chambre.”

Nous nous sommes levés et je l’ai accompagnée dans les couloirs de la maison.

“Mais dans ton lit?”

“Quel est le problème, c’est là que je dors! Mon lit est super.”

“Mais c’est là que l’oncle dort, gaziantep escort sitesi que tu dors. C’est bizarre, en tout cas pour moi.”

“Arrête ces bêtises, ça n’a rien à voir.”

Nous atteignons la chambre, le grondement du tonnerre fait vibrer les fenêtres de la chambre. Beth commence à enlever le couvre-lit et à arranger les oreillers.

Je termine de laver les couverts, en essuyant tout, je me remémore les images de sa chambre ce jour-là. Le décor était incroyable. La moquette au sol, avec des motifs géométriques dans des tons gris clair. L’éclairage rendait la pièce douillette et sensuelle. Des peintures modernes, certaines montrant la silhouette de corps nus, insinuant des actes intimes.

Je m’essuie les mains et éteins la lumière de la cuisine. Les souvenirs sont encore si vivaces, on dirait que c’était hier, pourtant, cela fait plus de trente ans. J’allume la télévision, mais je finis par m’endormir et le rêve me ramène dans la chambre de ma tante. Notre première rencontre. C’est avec elle que j’ai fini par devenir un homme.

Après que tout soit arrangé, le lit préparé, Beth se rend compte que je suis gêné. Elle s’approche de moi et me donne deux baisers sur la joue. Ce regard pénétrant dans ses yeux, elle commence à me déshabiller. Le chemisier, le short, je me débarrasse des baskets. Et juste au moment où elle est sur le point de se débarrasser de mes sous-vêtements, le téléphone sonne.

Beth fait une grimace comme si elle n’aimait pas ça. Elle va jusqu’à l’endroit où se trouve le téléphone, le sort et le pose contre son oreille, parle d’une voix anxieuse.

“Allô!”

“Oui…, qui? Ah!…. C’est vous Silvana?”

“Nerveux, moi? Pourquoi?”

Elle lève les yeux en souriant, je sens un frisson dans mon estomac, maman veut des nouvelles de moi.

“Je me suis réveillé ce matin avec la gorge qui me faisait mal, je pense que c’est le jus froid que j’ai bu hier avant d’aller me coucher.”

Il parle en se raclant la gorge, essayant de se ressaisir.

“Je sais. C’est une bonne idée, c’est juste que je n’ai pas de thé ici à la maison, j’ai oublié d’en acheter. Tu peux le croire? Dans un petit moment, je vais me faire un verre de lait chaud, ça fera l’affaire.”

Elle sourit, ses yeux brillants fixés sur moi.

“Ce n’est pas la même chose que le thé, mais c’est bon pour toi, c’est agréable de sentir la chaleur descendre dans ta gorge, c’est relaxant, j’en ai bu deux fois aujourd’hui”.

Elle rit et me fait un clin d’œil.

“Et moi je sors sous la tempête pour acheter du thé, arrête de faire l’idiote? Si j’en ai besoin, je demande à Denis et il fait plus de ‘lait chaud’ pour moi.”

Beth me frotte l’index sur le nez en riant de mon air effrayé.

“Je sais, femme, je sais, mais il y a encore beaucoup à faire, je t’ai dit que la garde-robe est très désordonnée. Et en plus, ça fait plus d’une heure qu’on est sans lumière. Il n’y a pas eu une coupure de courant chez toi?”

Je ne sais pas comment elle a pu mentir comme ça. La voix la plus naturelle du monde, même moi je croyais qu’on n’avait plus d’électricité.

“Nous avons déjeuné à la lumière des bougies. J’ai raconté des histoires drôles, Denis a adoré, il était tout excité, votre fils est un drôle de garçon.”

Beth me fait un clin d’œil en reposant le téléphone sur son épaule.

“Il pleut toujours aussi fort ici, c’est comme un déluge.”

Je regarde le paysage à travers les fenêtres de la chambre, il pleut, mais rien à voir avec ce qu’elle décrit au téléphone.

“Soyez rassurée Silvana. Nous reprenons le travail et quand tout sera terminé ici, je vous amènerai Denis, ça devrait être après sept heures. Rassurez-vous, il est en sécurité avec moi. Bisous. Au revoir.”

Beth repose le téléphone sur le crochet de la même manière qu’elle l’a décroché, elle ne se tourne même pas vers le domestique, elle me fixe toujours avec le sourire de quelqu’un qui sait qu’elle a menti.

“Ta mère est très méfiante. Ne t’inquiète pas, elle a accepté tout ce que j’ai dit. Tu dois juste le confirmer.”

“Mais est-ce que tu étais obligée de parler du lait?”

“Et j’ai menti? Je n’ai pas eu de lait chaud aujourd’hui? Ce que vous avez fait pour moi! En fait, délicieux.”

Je montre mon inquiétude en fronçant les sourcils. Beth laisse échapper un rire.

“Bobo, tu es vraiment le fils de Silvana! Ne t’inquiète pas, mon garçon.”

Beth s’approche en affichant un large sourire séducteur, me prend dans ses bras et pose sa tête sur mon épaule. Je sens son parfum, les ongles de Beth commencent à me gratter, et j’ai la chair de poule. Ça m’excite, je commence à durcir.

“Bon garçon. J’aime ça quand mes hommes sont charmés par moi. C’est mieux que de sortir dîner.”

Un autre baiser arrive, un baiser flottant et humide. Et la prochaine chose que je sais, c’est que ma bite est libre, massée dans la soie de la robe de chambre et le long de la cuisse de Beth. Ma respiration devient lourde, le regard de la femme gaziantep escort forum me contrôle. Mon cœur bat la chamade. Ma tante défait le noeud de la robe. Sa beauté émerge, les seins parfaits d’une femme mûre, sa peau douce.

Je me délecte de ce qu’elle me provoque en tenant son sein, et en passant mon doigt sur son téton.

“Embrasse, mords-moi ici. Goûte ta taaante!”

Elle parle lentement, et je me penche pour sentir la douceur de sa peau sur mes lèvres, le téton brun se durcissant à mon contact. Beth frissonne.

“Suce, suce mon bébé. Mords le téton de tatie.”

Je place ma bouche autour du mamelon, je sens la texture dure. Je mords, suce. Je suce le délicieux sein de ma Beth. Mieux qu’un rêve.

“Là! Pas si vite, ça me fait mal.”

Je ralentis le rythme, mais le sein est toujours dans ma bouche, des gouttes de salive mouillent le sein. Le sein commence à briller, j’entends les gémissements de Beth. Les phrases floues.

Elle m’offre l’autre sein, j’y vais avec plus d’ardeur. Je le lèche comme un pervers affamé. Beth enroule ses doigts expérimentés autour de mon phallus et me masturbe. Je lève le visage et affronte son sourire magistral, un baiser vient, nos bouches se collent l’une à l’autre, nos langues s’agitent dans nos bouches.

Les mamelons durs et humides grattent ma poitrine et les doigts de ma tante massent mon sexe.

“Assez! Comme ça, tu me laisses sans souffle. Les garçons, toujours pressés. Détendez, on a le temps de tout faire.”

Elle montre un merveilleux rire. Les yeux noirs brillants, montre ses doigts mouillés par mon désir. Indécemment, Tatie suce un doigt, le mord, puis ricane à nouveau comme une vilaine fille. Ma bite est chaude, la sueur coule sur mon front. La trique augmente, la tension s’amplifie.

“Je vais t’apprendre comment on fait pour faire plaisir à une fille. Vas-y, bébé, descends. Descends et embrasse-moi ici… Ça fait longteÇa fait longtemps que personne n’a fait ça pour moi.”

Beth ouvre sa vulve charnue et poilue avec deux doigts. Je m’agenouille devant ce trésor qu’est le vagin de ma tante Je sens l’odeur du sexe, la sueur sur son entrejambe et ses doigts qui me laissent admirer l’intérieur de son vagin. La divine chatte de ma tante.

“Ici, mets ta bouche ici. Unnnh! Bébé lèche moi en tournant autour, tu vois ce joli petit point? La petite cerise de ta tante. Mon secret, embrasse-moi très lentement. Aaaaiii! Oui, oui, comme ça!”

C’est plus que fascinant, c’est stimulant d’embrasser le vagin interdit d’une tante. La délicieuse culpabilité de me savoir l’amant de Beth. Ma bite palpite, mon cœur est presque dans ma gorge et ma bouche boit le goût d’agrumes de cette stupéfiante vulve. L’odeur forte d’une femme excitée. Le goût indécent de cette chatte.

Beth est allongée sur le lit, les jambes écartées, la chatte d’une femme mûre sur mon visage.

“Viens mon amour, mon ange. Mords mes lèvres… aaahh! Fais-moi mal, chérie. Enfonce cette langue perverse dans mon aaahh! Embrasse ta salope de tante! “Lèche, suce-moi partout.”

J’enfonce mon visage au milieu de son corps. Les poils me griffent le visage, mon tête pénètre sa vulve. Beth me tire par les cheveux, j’attrape ses cuisses. Elle se frotte contre mon visage, se masturbe avec mon visage.

Les cuisses dodues, rondes, douces de cette femme salope qui est ma tante. Je les embrasse toutes les deux, je mords, je gratte, ma langue lèche la peau douce. Le souffle chaud de la vulve indécente.

Devant moi, Tante travaille son clito rouge et pointu, sans limites, dans le désir le plus pur, Beth se masturbe devant moi. Une odeur forte, un parfum acide qui dégouline chaud entre ses doigts, sur ses lèvres repliées. Je suis de plus en plus hypnotisé, le paysage me rend encore tendu, dur comme une pierre.

“Viens, donne un baiser, chérie. Embrasse-moi et je remplirai ta bouche de mon amour! Denis!!!”

Jamais plus je n’ai embrassé une femme comme Beth, comme la tante. Un baiser si fort, si percutant, j’étais un innocent et cet orgasme d’une femme si forte a fait de moi un homme. C’était le début de tout.

– Ahnnnnn!!! Ahnnnhhhh!!! Mmmmmmm!

Mon visage sur son corps, ses lèvres sur ma bouche. J’ai utilisé ma langue pour lécher sa belle vulve, Beth a poussé en moi, j’ai senti ma tante frémir, ses cuisses se sont agitées et elle a commencé à jouir. Elle se tortillait comme une femme, le goût aigre se mêlant au goût sucré de l’orgasme.

Beth m’a baigné le visage en criant, en braillant comme une folle. Ses doigts agitant son clito, ses lèvres, je la vois dans un nouvel orgasme. Sans peur, sans culpabilité, à l’apogée de la trique d’une femme mûre.

– Aannnhhhhhh!!! OOoooohhhhhh!!! Ooooooohhhhhhhhh!!!

Ma Tante est laissée haletante, épuisée, se remettant de cette folie. Elle a joui devant son neveu, dans le lit où elle dort avec son mari, dans la maison où elle vit avec ses enfants.

Je me tiens devant elle, ma bite chaude, la peau tendue et une goutte sortant du bout, la escort gaziantep tête violette semblant sur le point d’exploser. Beth rit, passe sa langue en mouillant ses lèvres.

“As-tu aimé voir comment tu me quittes? As-tu aimé voir les indécences que j’ai faites pour toi? Wow! Tu as envie de faire l’amour à une femme? Faire de tatie une salope, ta pute?”

Ce trouble de l’élocution, cette voix fatiguée, rire cynique. Beth me taquinait, me rendant encore plus fou d’elle.

“Aïe, Denis, mon garçon. Si belle, qui aurait cru que je serais celle qui prendrait ta virginité. Hmm? Veux-tu baiser ta tante? Ta bite a l’air si savoureuse d’ici. J’en ai vu peu comme ça.”

La voix rauque, le visage coquin. Beth s’ajuste sur le lit, écarte les jambes et m’offre son univers. La vulve sombre, les lèvres humides, ses mains qui caressent ses cuisses. Mes yeux piégés sur le visage rectangulaire, le sourire cible, la bouche pulpeuse.

“C’est chaud, super chaud mon garçon. Viens, viens mon fils. Aaahhh!”

A ce jour, je ne sais pas comment tout cela est arrivé. Je sais seulement que j’ai chevauché Beth, j’ai chevauché cette femme comme un pervers. Un moment j’étais sur elle, le suivant mon pénis envahissant la grotte interdite. J’étais comme un animal, l’instinct me poussant à faire des choses que je ne connaissais pas. Agité, anxieux, un fou qui baise sa propre tante.

“Ralentissez mon garçon, ralentissez Denis! Doucement, qu’est-ce qui presse? Embrasse-moi d’abord, j’aime mon goût dans la bouche de mes hommes”.

Nous nous embrassons, un baiser intense, les langues folles se battant dans l’espace minimal de nos bouches, nous salivons à nouveau en mouillant nos visages. Beth force nos bouches à s’écarter, cherchant de l’air…..

“C’est ça, vas-y, vas-y, vas-y mon joli.”

Le visage de Beth me montre que j’ai trouvé l’endroit, un endroit humide, dense, une crème épaisse. Un nouveau monde. Je ne sais pas si c’est de la douleur ou du plaisir, je ne sais pas si c’est de la tare ou de la folie. Le visage de Beth s’illumine, ses joues sont roses, son sourire est forcé. Elle enlace mes cuisses avec ses jambes.

J’entre profondément, ma bite perçant la chair tendre de ma tante.

“Aaannhh! Aaaaahhh! Tanteeehh.”

“Denis chérieee… Ahhhh! ma douce, baise, baise-moooiii!”

“Tanteeehh!!”

Les corps qui s’entrechoquent, les chocs, les bruits humides de notre union. Beth s’ouvre, enlace ma taille avec ses pieds. La sueur qui mouille nos corps, les baisers avec nos langues qui s’enlacent à l’extérieur de nos bouches. Et mon torse perçant l’intérieur de ma tante excitée. Magnifique!

Jusqu’à ce qu’elle me demande quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas, je n’imaginais même pas qu’il y avait des femmes comme ça, encore moins une aussi élégante qu’elle.

“Appelle-moi salope! Une salope!”

“Petite sSalope! Enculé!”

“Encore, encore, encore!”

“Salope, pute!”

“Oooh! J’adore qu’on me traite de petite salope! C’est ça, mon amour, baise ta tante, baise-moi bien, remplis-moi de sperme.”

Beth devient folle, elle embrasse encore, suce ma langue, mord ma lèvre, de plus en plus abusée. Je fais claquer mon corps dans le sien, les bosses deviennent plus fortes. Beth me gratte le dos avec ses ongles, jusqu’à ce qu’elle me gratte le cul avec ses doigts.

La douleur, l’excitation et la surprise me font vibrer. Un tremblement de terre, un tourbillon venant de l’intérieur de moi.

“Tu es un délice Beth. Je pense… aaahh! Aaaahhh!”

L’expression enfantine sur le visage d’une femme expérimentée. Beth savourant mon moment, et elle m’a aguiché comme une prostituée.

“C’est ça, c’est ça mon garçon. Va remplir ta tante avec ton lait chaud. Vide tes couilles pleines à l’intérieur de mon corps. Tout, tout Denissssss! Mon amouuuurrrr!”

Nous sommes arrivés ensemble, reliés par ma bite, unis dans un baiser mouillé, nos langues liées ensemble et tous les deux hurlant le plaisir de cet instant. L’orgasme ultime. Unique et délicieusement incestueux. Interdit et inoubliable.

Nous sommes restés dans cette position pendant un moment, je ne savais pas si c’était un rêve. Tandis que Beth caressait mon dos avec ses doigts. Jusqu’à ce que les caresses se transforment en chatouilles et que je me lève de ma tante. Nous avons tous les deux regardé le plafond en nous tenant la main. La pluie s’était arrêtée depuis un moment. On n’entendait que les gouttes qui tombaient sur les plantes dehors.

“Ça t’a plu?”

“J’ai adoré. Tu es incroyable. Je n’ai jamais eu une femme comme toi.”

“Tu n’as jamais été avec une femme, Denis.”

On a ri, ensemble, complices. Elle sur le côté, sa tête reposant sur la paume d’une main. Ses doigts jouant avec les poils de ma poitrine.

“Delight, j’étais dans le besoin. Je suis heureux que tu aies voulu de moi.”

“Et qui ne voudrait pas d’une femme comme toi?”

Elle a laissé échapper un rire moqueur.

“Merci mon amour, dommage que ce ne soit pas comme ça dans la vraie vie. J’aimerais bien!”

“Quelle heure est-il?”

“Je crois… plus de six heures.”

“Oh, mon Dieu. Ma mère va me tuer.”

“Non, elle ne le fera pas. J’ai fait quelque chose de bien pour son fils. Elle ne le sait même pas, mais je l’ai fait.”

Elle m’embrasse sur l’épaule, sur la joue.

“Viens prendre une douche et je te ramène chez toi.”

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Fleshlight

Traduction d’un texte de 62_goo.

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Avertissement : Ce récit n’est qu’une FICTION sortie de l’imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant brutalité, soumission et humiliation Si vous n’aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.

******

Je m’appelle Jody Morrison. Je suis mariée à James, l’homme le plus merveilleux et le plus doux du monde. Je l’aime profondément. Nous avons un enfant, Bonnie, une fille de neuf mois.

Nous sommes une famille classique. Mon mari apprécie son travail donc il a obtenu des promotions rapides. Il est le directeur régional d’une chaîne de magasins d’électronique. Il est donc obligé de voyager, mais il est absent la nuit que lorsque c’est nécessaire.

Notre vie sexuelle est merveilleuse. Mon mari est un amant doux et attentionné. Son but principal est de s’assurer que je suis satisfaite. Même après l’arrivée de notre fille, il a toujours compris mes besoins. Il a été très prudent et doux lorsque nous avons fait l’amour pour la première fois après la naissance.

J’ai tout ce que je veux, mais je suis prête à tout abandonner en un instant.

Très jeune j’ai compris que j’étais une personne soumise. J’ai eu des petits amis qui l’avaient compris et qui ont pris un grand plaisir à m’humilier en public. J’avais tellement honte, mais ça m’excitait énormément.

J’ai rencontré mon maître il y a deux ans. Je me promenais sur internet dans des salles de chat BDSM, quand j’ai trouvé un homme qui semblait pouvoir être le maître auquel je pouvais appartenir. J’ai commencé à dialoguer avec lui et nous avons découvert que nous vivions dans la même ville. Immédiatement nous avons débuté une conversation en privé. Dès le début, il m’a ordonné de me déshabiller.

J’étais chez moi, sur mon ordinateur portable. C’était tôt le soir et mon mari allait bientôt rentrer. Bonnie faisait la sieste. Ma chatte était humide. J’ai enlevé tous mes vêtements.

L’homme a alors écrit : « Prends une photo et envoie-la moi! MAINTENANT! »

J’ai fait ce qu’il voulait. Ma chatte dégoulinait d’excitation.

« Très bien salope » fut son prochain message suivi immédiatement de « Maintenant filme-toi en train de te masturber et envoie-moi l’enregistrement ».

J’ai tout de suite obéi. J’ai allumé la caméra vidéo et j’ai commencé à me toucher. Il ne m’a pas fallu longtemps avant d’avoir un orgasme. Il fut un des plus intenses depuis mon mariage. Ensuite, j’ai posté le film avec mon prochain message.

« Bien salope! Tu peux te rhabiller, je te contacterai demain. »

Et ce fut tout. En moins de dix minutes, cet homme m’avait ordonné de me déshabiller et de me masturber, et j’avais obéi. C’était excitant. Je venais de finir de m’habiller quand j’ai entendu la voiture de mon mari. J’ai nettoyé du mieux que j’ai pu. Bonnie se réveillait alors je suis allée la chercher. James mon mari était dans le salon quand je suis revenue avec notre fille. Il m’a embrassé sur la joue et a pris notre bébé.

Notre soirée fut relativement normale, même si je ne pus m’empêcher de penser à l’homme d’internet. Après avoir mis Bonnie au lit pour la nuit, James et moi étions trop fatigués pour faire l’amour. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain, dès que James fut parti travailler, je me suis mise sur mon ordinateur. Et bientôt j’ai reçu un message :

« Salope, sois à l’adresse 1640 Mouton Drive avant 9h30 ce matin. Tu ne porteras rien sous une robe moulante. Et tu seras épilée. Je veux que tu sois maquillée comme une salope. Ne sois pas en retard et apportes des vêtements de rechange avec toi! »

J’ai regardé l’horloge, il était escort presque 8h30. J’avais un peu plus d’une heure pour me préparer et me rendre à ce rendez-vous. Mais j’ai commencé à paniquer, il me faudrait plus d’une heure pour m’épiler et m’habiller. Je savais quelle robe j’allais porter. Je possédais une robe de soirée bien serrée qui faisait bien ressortir mes courbes.

Je me suis douchée et épilée en un temps record. Je me suis maquillée aussi rapidement, yeux sombres et fumés, beaucoup de fard à joues et un rouge à lèvres rubis. Je suis montée dans ma voiture et je suis partie pour ce rendez-vous. A mi-chemin, j’ai réalisé que je n’avais même pas pensé à ne pas y aller. En fait, ma chatte dégoulinait par anticipation.

Je suis arrivée à l’adresse et je me suis retrouvée devant un manoir. J’ai garé ma voiture et je me suis avancée jusqu’à la porte d’entrée. Avant que je ne puisse frapper, elle est ouverte par le plus bel homme noir que je n’aie jamais vu.

– Bienvenue chez moi salope! Tu es juste à l’heure! Entre! Donne-moi tes clés de voiture, va dans la pièce là, enlève ta robe et agenouille-toi face au bureau, les mains dans le dos!

J’ai fait ce qu’il m’a demandé et j’ai attendu ce qui m’a semblé être une éternité. Puis j’ai entendu la porte se fermer. J’ai senti qu’il était juste derrière moi. Il m’a chuchoté à l’oreille :

– Bonne salope!

Sur ce, il m’a menottée. Puis il m’a fait plier à la taille jusqu’à me faire poser le front sur le sol. J’ai senti ses mains sur mes fesses qu’il a retirées cinq secondes plus tard. J’ai entendu un bruissement et quelques instants après mon cul a ressenti une grande douleur. Il m’avait fouettée. Je savais que je n’aurais pas dû pleurer, mais je ne pouvais pas m’en empêcher.

– Ne pleure JAMAIS en ma présence salope. Tu viens de mériter une raclée.

Il m’a fouettée encore et encore. J’ai rapidement perdu le compte du nombre de fois où il m’a frappée. Mon cul était en feu, mais ma chatte dégoulinait. Il l’a vu quand il a fini de me punir. Il a doucement joué avec ma chatte jusqu’à ce que j’aie un orgasme massif. Je pense que je me suis évanouie, mais je sais que j’ai giclé sur sa main.

Quand j’ai repris mes esprits, il a mis sa main près de ma bouche. J’ai compris qu’il voulait que je nettoie sa main de mon jus. Je l’ai fait avec empressement, en léchant sa paume et en suçant ses doigts un par un.

– Bonne petite salope! Dit-il.

Je rayonnai de joie.

– Maintenant suce ma bite! Et ne laisse pas une goutte s’échapper.

Il a baissé son pantalon et j’étais face à une énorme queue noire. Elle mesurait bien 25 centimètres et elle était aussi épaisse que mon poignet. J’ai engouffré son membre avec impatience. Je l’ai sucé en essayant d’en prendre le plus possible dans ma gorge. Ça m’a pris du temps, mais j’ai réussi. Puis il a donné des coups de reins. Chaque poussée a cogné son ventre contre mon visage, durement. Ma gorge était en feu, mais j’ai adoré ce traitement. C’était ma place. C’est ainsi que je devais être traitée. J’étais sur le point de jouir sans que l’on touche mon sexe.

Soudain, l’homme s’est raidi et a poussé encore plus fort sa bite dans ma bouche. Puis des litres de sperme sont descendus directement dans mon gosier. Je n’en ai pas perdu une goutte. Quand il s’est retiré, j’ai suivi sa queue pour la nettoyer. Je voulais qu’il me baise brutalement alors j’espérais qu’il continue de bander.

Il m’a contourné et a fourré sa bite dans ma chatte. J’ai gémi de bonheur alors qu’il me pilonnait. Il était brutal. Il m’a traitée comme une poupée de chiffon. Il m’a baisé plus violemment que ce que j’ai connu auparavant. C’était animal et j’ai aimé chaque escort bayan minute de ce traitement.

Soudain, il a ralenti et a demandé :

– Qui est ton Maître?

– Vous.

– Que vas-tu faire pour moi?

– Tout ce que vous me demanderez.

– N’importe quoi?

– N’importe quoi. Je serai votre putain. N’arrêtez pas! Je ferai n’importe quoi pour que vous me fassiez. Je ferai tout ce que vous voudrez.

– Tu feras tout ce que je te dis? Même si je veux donner ton cul de salope?

– Oh oui, je vous en prie, faîtes de moi une pute. Faites-moi baiser par n’importe qui, du moment que vous me baisez aussi.

– Tais-toi salope! Je te baiserai si ça me plaît, pas si tu le souhaites. Tu es là pour mon plaisir, et seulement pour le mien.

– Je comprends Maître, je ferai tout ce que vous me demanderez. Je me consacrerai à vous et à votre plaisir. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec moi.

– Ne parle plus de toi en disant « je ». Tu n’es plus rien. Tu parleras de toi à la troisième personne, compris?

– Votre salope vous comprend Maître. S’il vous plaît, baisez votre salope pour s’être trompée.

– Bien salope!

Il attrape ensuite mes cheveux et recommence à me pilonner. Je suis baisée au-delà de ce que je souhaitais. Et je jouis continuellement du traitement brutal que je reçois.

Il éjacule en moi, me gifle et s’en va en disant simplement :

– Ne bouge pas!

Je peux sentir son sperme couler sur mes jambes. J’ai le souffle court comme une chienne en chaleur. Et c’est merveilleux. Pendant qu’il me baisait, j’avais l’impression d’être morte et d’être montée au paradis. Il est tout ce que je veux chez un Maître. j’ai oublié que je suis une femme et une mère, mais je sais que je quitterai cette vie dans la seconde si mon Maître me le demande.

Il revient un peu plus tard avec un groupe d’amis. Immédiatement je recommence à être baisée. L’un d’eux enfonce sa bite dans ma bouche pendant qu’autre investit ma chatte. J’aime ça. Je suis malmenée et contusionnée, mes poignets sont à vif là où les menottes frottent contre ma peau, mais je suis là où je voulais être.

Ça dure toute la matinée. Personne ne me parle, ils se contentent de me baiser. Je les fais jouir, mais je ne suis rien à leurs yeux. Je suis une chose, un jouet sexuel, une pute.

Quand ils ont tous fini, ils me pissent dessus à tour de rôle. Mon Maître m’ordonne de tout boire, mais j’en renverse beaucoup. Je suis fouettée pour ça. Je suis tellement excitée que je jouis lorsque le fouet tombe sur ma chatte.

Après que les hommes soient partis, le Maître me fait prendre une douche et me rend ma robe. Puis il me fait monter dans sa voiture et me dit :

– J’ai une surprise pour toi, mais je dois d’abord savoir quelque chose. Es-tu ma salope?

– Oui Maître, cette salope est à vous et à vous seul.

– Et ton enfant et ton mari?

– Cette salope est à vous Maître. Peu importe le reste.

– Bonne salope!

Il me conduit en ville et nous entrons dans un salon de tatouage. Il m’ordonne de soulever ma robe pour que le tatoueur puisse travailler. Celui-ci siffle quand il voit que je ne porte pas de culotte.

Il me tatoue ces mots : Esclave d’Antwan.

Je pense que j’ai joui pendant qu’il le faisait. J’étais si heureuse qu’un homme me croit digne d’être marquée d’une manière qui montrait mon dévouement envers lui. La douleur de l’opération n’a fait qu’améliorer l’expérience.

Le Maître me ramène ensuite chez lui. Il m’ordonne de prendre mes vêtements de rechange et de rentrer chez moi. Je suis dévastée :

– Maître, cette esclave a-t-elle fait quelque chose de mal?

escort bayan gaziantep Non salope!

– Mais Maître, je veux rester ici avec vous.

Il me gifle durement au visage et me coupe la lèvre. Un peu de sang coule.

– Ce que tu veux n’a pas d’importance, c’est ce que je veux qui importe. Je veux que tu rentres chez toi en sachant que je veux que ton tatouage reste loin des yeux de ton mari. Je t’ordonne de le baiser ce soir. On va voir s’il remarque quelque chose.

– Oui Maître, tout ce que vous voulez.

Je rentre à la maison. Ma petite fille est heureuse de me voir et la nounou peut rentrer chez elle. Je passe le reste de la journée à revivre tout ce qui s’est passé. Maintenant que je suis à la maison, j’ai peur. Et si mon Maître ne voulait plus vraiment de sa salope? Et si mon mari découvre ce que j’ai fait et ne veut plus de moi?

J’essaie d’agir normalement quand mon mari est de retour à la maison. Sachant que mon Maître veut que je le baise ce soir, je me montre particulièrement amoureuse.

Nous nous sommes couchés nous avons fait l’amour. Nous n’avons pas baisé, nous avons fait l’amour. Sa petite bite trouve son chemin dans ma chatte, mais je ne sens rien du tout. Après quelques secondes, mon mari éjacule et me demande si j’ai joui. Je lui mens et je lui dis qu’il est merveilleux et que j’ai joui. Ne m’a-t-il pas toujours fait jouir? Ajouté-je.

Plus tard dans la nuit, je reçois un message de mon Maître : « Salope, sois chez moi à 9 heures du matin. Pas de sous-vêtements et une robe moulante. »

Mon cœur bondit. Il veut encore de moi. Je m’endors, un sourire sur le visage.

Le lendemain je suis à l’heure. Mon Maître me fait pénétrer à l’intérieur, m’oblige à m’agenouiller et baise ma bouche. J’ai du mal à respirer , mais il insiste jusqu’au moment où il se vide dans ma gorge.

Ensuite, il me traîne dehors jusqu’à ma voiture et me dit :

– Monte et conduis!

Il me donne des instructions et nous retournons au salon de tatouage. Cette fois-ci , je dois me faire tatouer un pique noir sur le sein droit afin de montrer mon amour pour la bite noire.

Nous allons ensuite au club préféré de mon Maître, un club de strip-tease. Il m’emmène dans une chambre privée où il m’ordonne de me déshabiller et de faire tout ce voudront les personnes qui entreront.

Je passe les quatre heures suivantes à me faire baiser dans tous les sens. J’ai des queues dans ma chatte, des queues dans mon cul et des queues dans ma bouche. Tous les hommes qui entrent me dégradent d’une manière ou d’une autre. En plus de me baiser, ils m’insultent, me traitent de chienne sans valeur, de vide-couilles ou de salope stupide. A chaque fois qu’ils me traitent mal, une vague de plaisir me traverse. Chaque fois qu’une bite abuse de moi, j’ai un mini orgasme. Je sais que c’est là que je dois être et c’est ma vie maintenant. M’en rendre compte me fait jouir.

Puis mon Maître Antwan m’ordonne de rentrer à la maison et de baiser à nouveau mon mari. Il m’ordonne aussi de lui cacher mes tatouages.

J’essaie, mais je pense qu’il soupçonne que quelque chose se passe. Quand nous faisons l’amour, je garde mon haut au lieu de l’enlever comme d’habitude. Heureusement mon mari ne dit rien et moi non plus.

Plus tard je reçois un message de mon Maître : « Salope, tu es à moi. Demain, amène toutes tes affaires chez moi. Tu vivras ici maintenant. Tu feras tout ce que je te dis. Ne dis rien à ton mari ».

Je frissonne de joie. Je suis sur le point de quitter un homme que j’aime et qui sait m’aimer ainsi que mon bébé pour être l’esclave d’un Maître noir. Je ne peux pas attendre.

Je dors à peine cette nuit-là, mais je ne suis pas tout à fait réveillée lorsque mon mari part travailler. Il embrasse ma joue et s’en va. Je me lève immédiatement et j’emballe tous mes vêtements et effets personnels dans deux valises que je mets dans ma voiture. Quand la nounou est arrivée, j’embrasse ma petite fille et je pars pour ma nouvelle vie avec mon Maître.

FIN

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Le Cafe Noir Au Lit

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Cumshots

Hou là! Laregarde!

Elle étourdissait. Il n’y avait pas d’autres mots pour décrire la noire magnifique que stridiait à travers la pelouse vers moi. Ses hanches minces se sont déplacées doucement dans le jeans de Lee palî et ses seins lourds a surgi en dessous de la chemise de soie. Elle a tenu ses sandales dans une main et un sac informatique dans l’autre.

“M’excuser. Vous sont Greg?”

J’étais si a étonné qu’elle m’avait parlé qu’il a pris mon cerveau quelques moments pour traiter les mots. “Euh, er, oui.”

“Grand! Mon nom est Simona, Simona Anders. Vous avez appelé l’aide informatique?”

“Oh!” Maintenant mon cerveau a donné un coup de pied dans l’engrenage. J’avais téléphoné au Syndicat Etudiant, demandant plus tôt s’ils ont su de quelqu’un qui pourrait aider apprend m’Excelle et Accède à. Leur recommandation avait été Anders les Services Informatiques et j’ai appelé, a obtenu un répondeur et part un message. Quelqu’un a rappelé pour dire qu’un des associés me rencontreraient hors de mon PoliSci 101 classent à 11:00am. Et ici elle était, un gros morceau magnifique de chocolat de lait savoureux.

“Oui, j’ai fait.” J’ai souri, me demandant si elle pourrait dire comment nerveux j’étais. “J’ai besoin d’apprendre Excelle et Accède à.”

“Le plan particulier de temps?”

“Pas vraiment. Immédiatement avant cette fin d’année.”

“Bien, cela nous donne quelque temps.” Simona a souri à moi et j’ai suffoqué à la beauté de ses dents blancs contre que la peau sombre. “Avez-vous faim?”

“Toujours!” J’ai ri et elle a fait, aussi.

“Bon. Pourquoi nous ne frappons pas Maxie et commençons un projet de leçon pour vous?”

Passe en haut le déjeuner avec cette belle créature? Vous devez kidding!! “Sûr!”

Par-dessus les sandwichs de club et la bière froide, nous avons parlé. Elle s’est avéré être celui des filles les plus intéressantes je’ d jamais a rencontré. J’ai aimé entendant sa voix et regardant sa face animée. Et elle avait les mains les plus charmantes, clous courtes et manucurées et épais, les doigts de muscled, sans aucun doute de traiter l’ordinateur. Notre conversation a coulé facilement du logiciel à la musique aux activités d’étudiant et j’ai aimé qu’elle était si knowledgable. Nous avons fini le repas avec les tranches de cheesecake de fraise-lacé et de café colombien noir.

“Mmm.” J’ai soupiré, posant mon grande tasse. “J’aime le café noir.”

“Oh, ouais?”

Nous les deux ri. Je ne me suis pas rendu compte que je ferais dit et n’a pas pensé certainement de comment il pourrait être interprété. “Simona, j’espère que vous ne prend pas cette la mauvaise façon, mais êtes-vous occupé ce soir?”

Elle a ri. “Greg, vous devez être désespéré si vous frappez sur un geek informatique!”

“Vous n’êtes pas un ‘geek’ par l’allongement de l’imagination, Simona. Mon camarade de chambre un commandant de Théâtre et il a donné m’étiquète à ce soir l’exécution. J’ai pensé que si vous n’étiez pas occupé, vous aimeriez me joindre.”

Simona a fermé son portable, le rangeant soigneusement dans son sac. “Je toujours ai voulu voirLes Miserables.”

“Alors c’est une date?” J’ai regardé la guerre va sur dans sa face, se demandant pourquoi c’était un tel problème pour elle. “Vous pouvez dire non, Simona.”

“Je pas veux dire non, Greg.” Je n’ai pas prévu de voir les déchirures dans ses yeux. “Il juste cela … “

“Que?”

“C’est été un temps long puisque j’ai été demandé sur une date.”

“Vous sont kidding? Un knockout comme vous?” Comment long quand elle n’a pas répondu à ma tentative à l’humour, je me suis déplacé dans la fin et chuchoté, “Ce-t-il a été?”

“Presque trois années.” Elle a ri tremblamment. “Je devine quand je suis venu à l’université et suis tombé dans l’amour avec les ordinateurs, tout était d’autre secondaire.”

“Si comment d’il?” J’ai caressé hardiment sa main, aimant la sensation de sa peau soyeuse sous mes bouts du doigt. “Nous pouvons diner après … “

“Accord.”

“Bon.”

Nous avons séparé avec une étreinte et moi le feutre aime un courreur Olympique comme j’ai sprinté à ma maison. J’ai dépensé l’heure prochaine traversant chaque article vestimentaire que j’ai possédé, essayant de trouver un équipement parfait. Mon camarade de chambre, John, est entré et tenu, riant dans la porte son âne de.

“Une date?” J’ai hoché et il a ri même plus dur, mettant un bras autour de mes épaules. “Venir et payer la note mon placard. Nous les deux sait beaucoup que vous avez fait les courses ces dernier peu d’années.”

Je l’ai détesté à ce moment, mais il avait raison. Mon extra-argent avait été dépensé sur l’une tour de gigaoctet dans le coin de ma pièce et ses accessoires: la plus grande unité dure, le clavier allumé, le moniteur de plasma … Je devine cela était pourquoi j’ai cliqueté si bien avec Simona. Je toujours avais eu assez d’amies dans l’école secondaire. Mes cheveux blanc-blonds Suédoiss et mes yeux bleus couplés avec un physique du joueur de football s’avaient occupé de cela. Mais mon affaire d’amour bayan escort gaziantep avec l’université avait tué mon dater. Entre les laboratoires de langue et les papiers de recherche, je n’avait pas de temps.

“Accord. Comment regarde-t-je?” John m’a donné un pouces-en haut et j’ai soupiré en relief.

“Elle doit être quelque chose pour vous prendre tant d’ennuie pour obtenir tout ‘gussied en haut’.” Pendant que j’ai ri, John soulevé son sac. “J’ai obtenu pour obtenir aller. Amènerez-vous sa coulisse?”

“Sûr.” J’ai frotté mon menton, faisant semblant d’être une statue de Rodin. “C’est-à-dire si elle n’est pas effrayée d’à cause de mon défectueux!”

“Mon ami” , Il a ri, fermant la porte. “Vous êtes un défectueux!”

J’avais presque deux heures pour attendre et j’ai dépensé la dernière heure devant un ventilateur, essayant désespérément de s’assurer que j’ai fait’ t trempe les aisselles de mon buttondown bleu poussiéreux. J’étais si nerveux! Finalement, j’ai fermé à clef et ai fait ma façon au Hall de Groton, sa résidence et trébuché dans l’entrée comme j’ai vu son attente.

Si j’avais pensé qu’elle était belle avant, j’ai été maintenant convaincu. Epais, les vagues de luxuriant les cheveux noirs ont encadré sa face douce, les yeux ont accentué de façon spectaculaire et ses lèvres quelque ombre de corail. La couleur a égalé sa robe, une couturière’ le rêve de s de soie brossée qui a glissé séduire par-dessus ses courbes cachées et reposé sur ses épaules gracieuses avec les spaghetti sangle. Elle a saisi un gauzy léger emballe dans elle transmet avec une bourse de pillbox en or et a cherché à moi avec les yeux effrayants.

“Hou là.” C’était le seul mot je pourrais respirer comme j’ai transféré à son côté. Elle s’est présentée et j’ai vu du brimming de déchirures dans ses yeux charmants.

“Merci.”

J’ai embrassé sa joue, hésitant un moment pour savourer la chaleur de sa peau et l’odeur qu’elle portait, un mélange exotique de tons florals et épicés qui ont envoyé des froids voyageant par-dessus ma chair. “Vous êtes absolument charmant, Simona.” J’ai ramené en arrière pour examiner ses yeux. “Je suis complètement muet.”

“Greg, vous faites ne doit pas … “

“Veuillez ne pas devoir que? Parle la vérité?” J’ai entouré son menton et ai tourné son dos de face pour creuser. “Je ne peux pas croire que vous soyez ma date!” Elle a souri et j’ai transmis son l’oeillet je ferais acheté au magasin. “Désolé ne ce pas est plus. Je suis calme attend un contrôle de mes parents.”

“Vous ne devez pas demander pardon, Greg. Ceci signifie plus me que les douzaines de roses.”

“Bon.” Je me suis tenu en haut, offrant ma main. “Maintenant, je suggère que nous obtenons aller avant que quelqu’un s’empare de nos places.”

J’ai aidé sa force l’emballe autour de ces belles épaules, résistant l’envie pour tomber un baiser sur sa nuque douce et nous avons apprécié le soir de printemps frais comme nous avons marché au Bâtiment de Théâtre de McIntosh. J’ai promis silencieusement d’embrasser John quand j’ai trouvé que nos places étaient dans le troisième rang, le centre et nous avons réglé dans pour quel était une production merveilleuse. J’ai regardé la face de Simona du coin de mon oeil et mon coeur a frémi à l’émotion j’ai vu son exprès. La confusion, la crainte, l’amour, la tristesse. J’avais vuLes Miz avant que mais c’était comme si je le voyais pour la première fois, par ses yeux.

Quand les lumières sont monté et la distribution a pris des arcs, elle a sauté en haut, donnant une ovation de position de teary, applaudissant foument. “S’allume.“ Je me suis emparé de sa main. “Allons voir mon roomie.”

Nous avons fait un arrêt bref au restroom des dames pour qu’elle pourrait fraîchir en haut et dirigé au secteur de coulisse. John m’a accueilli avec une étreinte d’ours et un sourire, alors jeté un coup d’oeil par-dessus mon épaule pour voir mon Simona doux.

“Est-ceci la dame?”

“C’est en effet. John Gardner, rencontrer Simona Anders, extraordinaire de champion informatique. Simona, rencontrer mon camarade de chambre, John.”

Je regarde la réaction de John comme elle a poussé une main en avant pour secouer sa main. “Agréable pour vous rencontrer.”

“Même ici.” Il a souri. “Greg, vous n’étiez pas kidding quand vous avez dit qu’elle était beau. La seule question est pourquoi elle avec vous?”

Nous avons ri et le souffle a gelé dans ma gorge à l’éclat de son sourire. “J’espère qu’il a un grand coq.”

John a braillé avec le rire et l’a rassemblée dans une étreinte fraternelle. “Je vous aime, Simona.” Il a embrassé sa joue. “S’allume. J’ai obtenu Cabo dans mon vestiaire.”

Le trois de nous sont allés au vestiaire de John, un qu’il a partagé avec deux autres gars: le Parc de Andy qui a joué Javert et Paul Johanssen qui avait joué Marius. Pendant que j’ai aidé John verse le tequila glacé, j’ai regardé le discours de Simona avec les acteurs, jaillissant par-dessus leurs exécutions et parlant cim cif gaziantep escort de la représentation de John de Valjean et une sensation étrange glouglouté dans ma poitrine. C’était la fierté. Elle avait augmenté à la plaque et avait ‘geekdom gauche’ derrière.

“Ici.” J’ai glissé le verre de coup dans sa main, laissant mes doigts traînent comme ils ont caressé sa peau de chocolat. Elle a remarqué et est déplacée son corps plus près me.

“A que devons-nous griller?” Elle a dit enrouément.

“A mon être idiot.” J’ai tinté mon verre avec le sien. “Autrement, je ne vous aurais jamais rencontré.”

Nous avons fixé dans chaque autres yeux pour un moment hypnotisant, a lancé alors le dos d’alcool, suivant avec une tranche de citron de sugared. Simona m’a étonné en tirant m’expédie pour un baiser dont la passion a sucé le souffle de mes poumons. Mon coq grossi dans le tendu limite de mes Dockers, s’est convulsé alors comme sa main a donné il un rapide, mais léger serre.

“Mmm.” Elle a chuchoté. “Je deviner ne doit pas espérer n’importe quel plus.”

Nous un autre couple de coups avec John avant que Anders a suggéré que nous allions à un parti de distribution qui était tenu à son ami’ la maison de s. Simona et je suis allé dehors dans la nuit fraîche pour avoir un souffle d’air frais. Je pourrais’ t garde mes mains de d’elle. Mes bras sont allés autour de sa taille et j’ai tiré son dos contre moi, appuyant un baiser au côté de son cou. Elle a bourdonné dans la reconnaissance.

“Ceci a été la meilleure nuit de ma vie.”

“C’est par-dessus déjà?” J’ai demandé, tirant son plus tendu contre moi.

“Non, pas du tout.” Simona a tourné dans mes bras. “Au moins que je n’espère pas.”

“Pas par un coup long.” Ma bouche a foncé en bas sur le sien et j’ai écrasé son corps succulent contre le mien, dévorer, vouloir devenir la partie d’elle.

Elle a frémi, se déplaçant plus près, la faisant une boucle arme autour de mon cou, suçant ma langue dans sa bouche. “Oh, Greg.”

“Nous ne devons pas aller à ce parti, vous savez.” J’ai courbé pour embrasser son, se perdant encore dans la douceur de ses lèvres et la danse de sa langue contre le mien. “Je peux avoir mon café noir au lit.” Quelque chose dans ce que je ferais dit a glacé l’atmosphère. Elle a terminé le baiser, prenant un dos d’étape de moi, ses yeux questionnant.

“Je sais.” Sa réponse était calme et je le feutre quelque genre d’ascension de mur entre nous. Je me suis demandé que le problème était. Je n’ai jamais obtenu pour demander parce que juste alors, John, Andy et Paul se sont montré et nous avons passé au parti. Et quand j’ai pensé de demandant son encore, elle avait disparu.

*****

Je n’ai pas eu son adresse ou le téléphone numérote si je ne pourrais pas appeler son le lendemain et quand j’ai appelé les Services d’Ordinateur de Anders, une voix agréable qui n’était pas le sien a dit qu’elle n’était pas dans. Je pars un message, doutant qu’elle le retournerait. J’ai été planifié pour avoir une leçon avec son et s’est demandée mercredi si elle montrerait pour il.

Pour le prochain quatre jours, je suis allé aux classes dans un brouillard, se demandant ce qu’a fait une erreur et les nuits fantasment sur sa peau brune souple et la courbe de son cou alléchant. Quand le mercredi est arrivé, j’étais à la bibliothèque une heure pleine première et assise avec mon dos à l’entrée si elle ne verrait pas comment nerveux j’étais sur le point de voir son encore.

“Salut, Greg.”

J’ai cherché dans ses yeux incertains, mon regard glissant en bas à ces lèvres délicieuses. “Bonjour, Simona.”

Elle a glissé dans la chaise, réglant son sac à dos et son sac informatique sur la table. “Etes-vous en le colère contre moi?”

“Gee, Simona, non, je devine c’est bon pour disparaître sur une date!” J’ai sifflé, essayant de maintenir mon sang-froid. “Naw, je suis comme a plu comme frappe pour vous voir!”

Simona était calme pour un moment long. “Je suis désolé, Greg.” Ni de nous a parlé pour les moments inconfortables longs, alors elle s’est tenue. “Si vous êtes intéressé toujours dans l’érudition du logiciel, j’aurai Christine vous donne un appel et vous pouvez arranger une réunion avec elle.”

“Pour que l’est? Vous êtes juste le congé de gonna avec aucune explication?” Elle a pendu sa tête dans le silence. “Je penseau moins mérite cela!” Quand elle n’a pas répondu, il a continué silencieusement, s’emparant de sa main. “Nous avions un tel bon temps, n’est-ce pas?”

Elle déchire était un accompagnement doux à son chuchotement. “Oui.” Elle a reniflé. “C’était trop bon pour être vrai.”

Son choix de mots m’a frappé.Trop bon pour être vrai? J’ai tenu en haut et ai emparé de sa main. “M’est fourni avec.” Elle a reculé au début mais je l’ai forcée à rencontrer mes yeux. “Me fier, Simona. Je jamais ne vous blesserais jamais.”

Simona a semblé dégonfler à mes mots et m’a suivi de la bibliothèque. L’extérieur, je mets mes bras cinsel bilgiler autour de son et nous avons marché dans le silence à mon appartement. John n’était pas à la maison si nous avions l’endroit entier à nous heureusement. J’ai fait’ t sait ce que pour faire mais j’ai senti qu’elle a eu besoin de quelque chose. Peut-être mon attention aiderait.

J’ai glissé le sac et le sac à dos informatique de son épaule et stashed les dans ma pièce. Elle est déplacée s’aime une personne dans le choc, raidement perching sur le bord du divan, elle transmet plié sur ses genoux. J’ai prélevé deux Michelobs du réfrigérateur et celui ai transmis à elle, s’agenouillant à ses pieds. Elle a pris une force longue, streaking de déchirures sa peau parfaite.

“Le quel est, mon miel? Me dire.”

Les déchirures ont dégoutté plus rapide et elle a sucé sur la bouteille de bière encore. Je pose mine et ai glissé ses souliers de tennis et les chaussettes de, massant doucement son pied, prenant extra-le temps pour courir les balles de mes pouces par-dessus son instep. J’ai cherché et ai été enchanté pour voir une expression de félicité sur sa face.Bon. Nous obtenons quelque part. J’ai gardé mes doigts allant, transfère à l’autre pied. Son corps supérieur a relâché un morceau et elle est tombée de retour sur le divan, les yeux toujours fermé.

J’ai continué en haut ses chevilles délicates à ses mollets forts. Là-bas, je devais arrêter parce que son jeans a bloqué ma progression mais je n’ai pas été découragé. J’ai atteint pour sa main et ai commencé à masser les doigts trapus, travaillant la tension hors. Elle a pris une autre boisson longue, alors pose la bouteille. Avec les yeux hantés, elle m’a offert son autre main. Je l’ai pris, fermement et silencieusement massant doucement, tout l’en examinant ses yeux.

“Il a dit la chose pareille me la nuit il ma violé.”

Mon sang a couru le froid. Je l’ai prise deux transmet dans la mine et a déplacé vers le haut à côté d’elle sur le divan. Je suis resté silencieux comme l’histoire a renversé hors. Elle la première danse d’étudiant de première année, elle avait rencontré un gars, un ainé. Elle ne pourrait pas s’amener même dire son nom. Je le feutre que mes joues chauffent dans la colère. Il l’a dite de ce grand parti à travers le campus et lui a demandé d’aller avec lui. Elle avait été si excitée. Elle a dit avidement qu’elle aimerait aller mais elle a voulu obtenir quelque café parce qu’elle était un petit sur le côté bu.

A mi-chemin là-bas, il l’a tirée dans un fourré profond de buissons et l’a violée sauvagement. Elle n’était pas a trouvé jusqu’ au lendemain. Son père était un homme important dans la communauté et l’incident entier a été enterré, beaucoup de comme il avait été enterré avec émotion pour elle. La partie de moi feutre extrêmement fâché mais l’autre partie était heureuse qu’elle avait pu partager ceci avec moi. Si je n’avais pas été sûr, j’ai su immédiatement que je l’ai aimée.

“Cela est pourquoi je me suis sauvé.” Elle a fini, ses lèvres inférieures tremblant comme une autre attaque de déchirures menacées. “Il le feutre si bon avec vous. Si la droite, que j’avais peur.” Elle s’est arrêtée. “Et alors vous avez dit qu’il a dit … et je juste … Je juste … “

Je l’ai tirée dans mes bras comme trois années de déchirures sont venues l’inondation d’elle. Elle a sangloté dans sérieux, son corps entier tremble. Je lui ai roucoulé, smoothing ses cheveux et donnant son un léger serre chaque peu de minutes. Finalement, dix minutes plus tard, l’orage s’avait baissé et elle a posé moument dans mon étreinte, hiccupping chaque peu de minutes. Il a pris son un autre dix se composer et assied en haut, essuyant sa face avec un tissu je ferais donné elle, évitant mes yeux.

“Je suis désolé, Greg. Je n’ai pas signifié pour décharger sur vous comme cela.”

“C’est bon.” J’ai frotté son dos doucement. “Il a eu besoin de sortir.”

“Ouais, mais pas comme cela!” Elle a ri nerveusement, a tourné alors ces beaux yeux me. “Je mieux obtient aller.”

“Simona,” J’ai touché sa main. “Resteriez-vous ici avec moi?” Elle m’a regardé d’un air absent. “Vous pouvez avoir le lit. Je dormirai ici sur le divan.” J’ai touché sa joue. “Je ne peux pas sonder juste l’a pensé de vous seul ce soir. Pas après ceci.”

“Cela est très agréable de vous, Greg, mais je serai juste l’amende.”

Mon coeur a cogné dans ma poitrine. J’ai gardé la pensée de ce qu’elle ferait m’a dit. De mon Simona doux étant brutalisé. De mon Simona charmant est gauche dans un torticolis pour mort. De mon Simona léger habitant une demi-vie, son âme déchirée dans les brins. “Vous pourriez être, mais je ne ferai pas.”

J’ai espéré qu’elle ait vu la sincérité dans mes yeux. “Accord. Je resterai.” Elle m’a donné un sourire tremblant. “Mais pourrions-nous regarder le télé pour un instant?”

“Sûr.”

Je mets mon bras autour de son et elle a posé de retour contre moi. Les heures plus tard, quand elle ferait s’est endormie, je me suis permis finalement pleurer.

*****

Simona avait paru si paisible sur le divan que j’ai plissé mon consolateur autour de son et part son dormir. John a erré dans et j’avais quelques mots avec lui, rien beaucoup de, mais il a dit qu’il était heureux de voir Simona ici. J’ai enlevé mes vêtements et ai glissé dans mon lit, appartenir à un sommeil sans rêves jusqu’à ce que je le feutre une main douce sur mon épaule.

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La « Lancenoir » 05

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Brunette

Dans les épisodes précédents :

Léa, suite à un quiproquo devient la petite amie d’Amadou. En conséquent, ce dernier se rend chez les parents de sa nouvelle conquête pour se présenter. Mais, ceux-ci font preuve de peu d’enthousiasme à ce qu’un noir fréquente leur fille, ils parviennent cependant à un accord. Que Léa devienne membre de la tribu de la « Lancenoir » et Amadou acceptera de la laisser à un autre. Mais pour devenir membre de cette tribu certains rituels sont exigés, le premier est que la famille de la jeune fille assiste à l’accouplement des deux jeunes tourtereaux, et voilà qu’Amadou porte Léa jusqu’au lit parental…

Après s’être débarrassé de son « fardeau » sur le lit, Amadou regarda autour de lui. La chambre était on ne peut plus sobre : un grand lit avec des couvertures à motifs géométriques, une armoire et une bibliothèque Ikea, d’épais rideaux aux fenêtres, rien ne transpirait un quelconque érotisme, on ne devait se coucher dans cette chambre que pour dormir.

« Alors c’est là que vous faites vos saloperies? Pas très bandant… Pourtant, je suis que Madame est une grande amatrice de cochonneries. Où vous planquez vos sex-toys?

— Je n’ai pas de gadget!

— Alors je suis sûr que Monsieur doit être fort occupé pour combler une cochonne comme vous.

— Je ne suis pas…

— Oui, oui, je sais… Vous êtes du genre bien propre sur vous, mais dans votre petite caboche alors là, vous êtes une grosse perverse. Et je suis sûr que votre fille est pareille, on peut la croire toute pure, mais elle a plein d’immondices dans sa tête. C’est pas vrai? »

Mais la fille était surtout affolé à l’idée que ses parents puissent la voir en train de se faire posséder charnellement par Amadou, aussi tenta-t-elle timidement de le dissuader :

« Amadou, on peut pas faire ça devant mes parents…

— Tais-toi et retire ta jupe. »

Léa hésita, mais finit par obéir. Elle fit lentement glisser sa jupe sur ses jambes, pas par lubricité, mais parce qu’elle ne voulait pas quitter ce dernier morceau de tissu qui la protégeait. Sa toison pelvienne apparaissant à son grand désespoir à mesure qu’elle se débarrassait de sa jupe, elle n’avait rien en dessous et elle laissait voir son minou à ses géniteurs et à son amant. La pauvre à demi nue avait devant elle un colosse grimaçant et juste derrière lui, ses parents inquiets.

« Amadou, je t’en prie…

— Toi, ferme ta gueule. Combien de fois il va falloir que je te le dise! Et écarte les jambes plutôt que de geindre! »

Léa obéit sans plus rien à dire. À quoi bon… à chaque mot qu’elle sortait, elle se faisait rembarrer par Amadou, et ses parents étaient tellement gênés de la situation qu’ils n’osaient rien dire. Elle s’allongea donc sur le dos, évitant de regarder son père et sa mère, et elle ouvrit les jambes pour montrer sa fente.

« Qu’est-ce que vous pensez de sa boîte à jus? demanda Amadou. Approchez-vous! Ça doit faire un bail que vous ne l’avez pas vu. Maintenant elle est pleine de poils, enfin heureusement pas trop ; elle se rase la foufoune comme une vraie salope, hein? Toujours prête à se faire saillir par une grosse queue noire. Allons, avancez-vous! Vous ne voyez rien d’ici. »

Les parents toujours serrés l’un contre l’autre, pour se donner courage, obéirent. Ils virent leur fille vêtue d’une simple chemisette, les jambes ouvertes en position pour se faire pénétrer.

« Alors, redemanda Amadou. Qu’est-ce que vous en pensez? »

Les parents gardaient le silence, bien trop embarrassés pour dire quoi que ce soit. Amadou se pencha sur Léa et lui effleura le clitoris, passa ensuite son doigt sur sa fente avant de la porter à son nez. Puis il présenta son doigt sous le nez de Jean.

« Elle est bien mouillée, non?

— C’est… Vraiment…

— Alors qu’est-ce que vous en pensez? »

Jean, dut prendre sur lui, il voulait en finir en vitesse, il dit la première chose qui lui venait à l’esprit :

« Elle est jolie?

— Tu entends ça, Léa? Ton père trouve que tu as un minou qui lui donne la trique. Comme c’est mignon… Vous autres, les blancs, vous êtes quand même une sacrée bande de pervers, des homos ou des pères qui veulent se taper leur fille. Que des vicieux. Et vous, Madame, vous ne devez pas être en reste. Une MILF comme vous, vous devez aller voir ailleurs, je suis sûr. Les petits jeunes que votre fille amène à la maison, vous goûter leur sucre d’orge quand personne ne regarde, non?

— Certainement pas!

— À d’autres! Avec votre tailleur sexy, vous pourriez aussi bien avoir “pute” écrit sur le front. Vous ne me ferez pas croire que vous ne vous retrouvez pas sous le bureau de votre patron en train de lui astiquer le manche… Mais revenons au berlingot de votre fille, vous le trouvez mouillé vous?

— Euh oui…

— Forcément, rien que d’imaginer ma bite, elle est en chaleur, mais elle pourrait l’être nettement plus, non? Madame quand vous vous apprêtez à vous faire mettre, vous mouiller comme une huître juteuse? J’imagine que vous ateşli gaziantep escort avez les lèvres gonflées, vous vous pâmez comme une salope… Et là, vous avez l’impression que votre fille se pâme?

— Non.

— Alors qu’est-ce qu’elle doit faire?

— …

— Allons, vous avez quelques années d’expérience de plus qu’elle donc vous êtes une bien plus grosse salope, c’est évident. Vous pouvez lui donner des conseils. Que doit-elle faire pour être bien chaude avant que je lui enfonce mon manche?

— Mais! Mon Dieu! Vous êtes vraiment immonde…

— Restez poli, je vous prie! Et concentrez-vous, elle doit se br…? proposa Amadou… Se bran… allons, essayez de deviner.

— Se branler, gémit le père.

— Ah! Voilà, tu entends ton papa, Léa? Quand je t’annonce que tu vas te faire baiser, tu dois te masturber jusqu’à ce que tu sois humide comme une fontaine. Et comment doit-elle faire ça, Madame?

— Moi… mais… il faut… les doigts… vous savez bien!

— Eh bien, tu as entendu ton papa et ta maman, Léa? Alors qu’est-ce que tu attends? »

Et Léa, devant les commandes données par sa famille, commença à introduire quelques doigts dans sa fente baveuse. Amadou regarda cette fille de bonne famille se masturber quelques minutes devant les yeux éberlués de ses parents. Puis, lorsqu’elle commença à vraiment prendre du plaisir, il l’interrompit :

« Maintenant, retire-moi mon froc! »

Aussitôt Léa cessa ses activités un peu trop impudiques et referma immédiatement ses jambes. Elle allait s’occuper du jean d’Amadou mais celui-ci lui ordonna d’y mettre les formes :

« À quatre pattes, salope! lève bien le cul, montre-le à tes parents! »

Léa hésita, Amadou lui demanda donc

« Tu sais pourquoi je veux te voir à quatre pattes?

— Non.

— Tu me causes comme à un chien ou quoi? Si tu me parles, tu me sers du “Monsieur”.

— Non, Monsieur, je sais pas.

— Ta salope de mère doit savoir. »

Cette dernière ne s’offusquant même plus des insultes… Elle aurait tout de même préféré rester bouche close, mais sous le regard imposant d’Amadou elle se sentit obligée de lui donner satisfaction en répondant :

« C’est plus sexy.

— Voilà, on voit la bonne pute qui connait son affaire… Oui tu montres à ton maître que tu es une chienne, une trainée bonne à baiser. Une femelle comme toi n’a pas besoin de savoir marcher sur deux jambes. Elle doit juste savoir comment dresser son cul en l’air!

— En France les femmes sont libres, se formalisa Jean.

— Je ne dis pas le contraire. Elles sont libres de choisir par quelles queues elles veulent se faire mettre. Mais à la fin elles se font toujours baiser par une queue de noir… Pas vrai gros cul, » dit-il en fichant une claque sur le cul de Léa.

Celle-ci ayant fini de présenter son cul, se retourna, toujours à quatre pattes sur le lit, la tête au niveau de l’entrejambe du grand noir et défit l’épaisse ceinture en cuir avec un gros ceinturon.

« Donne la ceinture à ton père. Il pourra l’utiliser sur ton cul si tu ne te montres pas assez bonne baiseuse. »

Et avant que Jean puisse refuser, il ajouta :

« Si vous ne vous montrez pas assez juste et sévère quant aux talents de votre fille au lit, c’est moi qui la fouetterais et j’ai bien plus de force que vous. »

Léa à moitié nue offrit donc la ceinture à son père. Puis elle enleva le jean d’Amadou, et fit descendre son slip. Les parents glapirent de surprise devant l’énormité de ce qui se présentait à leurs yeux

« Qu’est-ce que! »

Et la mère : « Mon Dieu! C’est impossible! »

Et le père : « C’est donc ça la lance noire… »

« Eh oui! Et elle n’est pas encore tout à fait bandée! Léa, fais-moi une branlette espagnole pour faire durcir tout ça, montre à tes parents le morceau de choix avec lequel tu vas te faire mettre.

— Une quoi? demanda Léa

— Mais cette femelle ne sait rien! Qu’est-ce que vous lui avez appris toutes ces années? Madame, expliquez-lui!

— Euh… Une branlette espagnole c’est quand tu mets le pénis du monsieur entre tes seins et que tu lui branles le sexe comme ça.

— Vraiment comment peut-elle ignorer ça?! Surtout avec les gènes de vache qui courent dans la famille. Madame est plantureuse comme une actrice de porno, et votre cadette, Mamamia! Ce n’est pas des seins qu’elle a, c’est des pastèques!

Léa retira sa chemisette, exposant ses seins qui, pour être les plus petits de la famille, n’en faisaient pas moins la taille de grosses mangues, et elle tenta de faire glisser le long tuyau noir en train de durcir entre ses seins. Les émotions se mélangeaient. Léa était honteuse du spectacle qu’elle offrait, tout en se souvenant avec délectation du plaisir qu’elle avait éprouvé quand cette bite de cheval l’avait possédée. Hélène et Jean étaient époustouflés par cette bite, suffisamment pour oublier un instant qu’elle faisait des va-et-vient entre les seins de leur fille.

Amadou bakımlı gaziantep escort sentait avec plaisir la jeune fille serrer ses seins autour de sa bite. Avoir une gonzesse qui utilisait ses grosses loches pour lui donner du plaisir était toujours un incomparable bonheur. Une femme ne sait pas bien branler une queue avec ses mains, le rythme ne va pas, la queue est trop serrée, ou elle fait des mouvements trop violents, alors qu’entre ses seins… On profite de la douceur de leurs rondeurs graisseuses, et on y lézarde avec la satisfaction de se savoir notre membre aussi bien entouré. Aussi Amadou fut-il assez mécontent quand il sentit le mouvement progressivement ralentir jusqu’à cesser tout à fait : Léa avait pris peur. Devant la bite qui lui arrivait maintenant devant le visage, elle était comme hypnotiser par le gland qui trônait entre ses deux yeux.

Amadou avisa le père de l’inefficience coupable de sa fille bien aimée :

« Qu’est-ce que vous attendez! Vous voyez bien qu’elle a arrêté de me branler, fouettez là! Ou faut-il que je le fasse à votre place? »

Le père n’eut pas le choix ; il se rappelait la menace d’Amadou, soit il infligeait lui-même le fouet à sa fille, soit Amadou s’occupait de la châtier avec toute la puissance de ses muscles. Bien à contrecœur, et même bouleversé de devoir lui infliger ce châtiment, il se mit à exécuter l’ordre terrible. Il leva la ceinture et la fit chuter sur le corps nu de Léa.

« Ahhhh!! »

Même avec toute la mollesse que son père y avait mise, Léa sentit la lanière en cuir lui frapper le dos, lui causant un brutal rappel à la réalité. Quelque dix secondes plus tard, elle sentit un second coup lui arriver dessus. Cette fois un peu plus fort et laissant une marque visible pour quelques jours. Léa regarda derrière elle avec des yeux de chiens battus, elle put observer son père brandissant la ceinture en l’air prêt à la cravacher. Elle se sentait malheureuse, son père ne l’avait jamais frappé. Pas une seule fois ses parents ne lui avait infligé une claque ou une simple fessée, au pire on l’avait privée de dessert, et voilà qu’à son âge elle se faisait marquer à la ceinture. Et pas parce qu’elle avait eu un zéro en cours, ou s’était montrée insolente, mais parce qu’elle n’était pas capable de branler correctement un noir…

Elle serra ses seins bien fort autour du sexe d’Amadou et recommença à frotter ses nichons de bas en haut contre le gros manche. Il était passé de la taille d’un gros joystick, à celui d’une batte de base-ball. Et rien ne semblait indiquer que sa croissance était terminée.

« Mon Dieu, on dirait un cheval, susurra Hélène. C’est plus qu’humain… »

Jean eut un frisson en entendant sa femme s’exprimer ainsi. Il savait parfaitement identifier l’état d’esprit de sa femme au timbre de sa voix, et il reconnaissait le ton : elle ne faisait pas que constater, elle était excitée.

« C’est tellement énorme… » ne pouvait-elle s’empêcher de commenter.

Amadou jeta un œil sur la mère de famille. Lui aussi entendait dans sa voix le son d’une chatte en chaleur, et d’ailleurs sans même s’en rendre compte, la maman avait inconsciemment posé une main sur son sein qu’elle caressait. Amadou était flatté que le spectacle de sa bite dans toute sa gloire fît un tel effet. Mais il était temps de passer aux choses sérieuses, il s’adressa donc à sa proie :

« Aller sur le dos, les pattes écartées, femelle. »

Léa obéit. Elle commençait à avoir le tournis avec cette bite qui lui passait entre les deux yeux. Elle se demandait jusqu’où elle pouvait monter. Elle reposa son dos contre le matelas et les draps de ses parents, et ouvrit les cuisses devant son amant.

« C’est écarté ça?! Je ne veux pas être gênée par tes mollets quand je te baise! Madame, Monsieur, tenez les jambes de votre fille. Ma bite est large et il lui faut une bonne ouverture. »

Jean et Hélène se regardèrent embarrassés… Certes ils voulaient être le moins actif possible dans la copulation de leur fille, mais ils voyaient la bite monstrueuse et se devaient d’agir pour éviter que leur ange chéri ne soit sauvagement labouré. Peut-être pouvaient-ils faire en sorte que la pénétration se déroule sans heurts. Ils prirent l’un le pied droit, l’autre le pied gauche, lui écartant amplement les jambes pour que la cramouille de leur fille soit facilement accessible au gourdin noir. Une fois ses ordres suivis, Amadou avait devant lui une chatte bien ouverte à défoncer, et dégoulinante. Léa devant le spectacle de cette énorme tige turgescente avait réagi comme un animal : instinctivement. Sans se soucier de la présence de ses parents, elle mouillait comme un jour de pluie.

Amadou entra lentement dans la fente juteuse, enfonçant d’abord son mandrin à mi-longueur. Ce fut assez pour que Léa crut qu’on lui ouvrait le ventre. Amadou retrouvant un habitat bien plaisant pour sa queue commença à s’occuper à prendre son pied. Il ne tint plus compte des cris de bayan escort la femelle et commença à exercer des va-et-vient puissants.

Madame tenant un des pieds de sa fille, sentit le choc quand l’anaconda s’enfonça dans le minou de sa fille. Et elle ne fit pas que sentir, elle entendit Léa hurler comme si elle était seule au monde! Incapable de se contenir, la mouille inondait le lit. Madame elle-même fut prise de jalousie. Elle avait presque quarante-cinq ans, elle était belle et n’avait jamais connu une jouissance telle que le manifestait sa fille. Elle voyait le chibre marbré pilonner la chatte de fille avec une force, une vitesse qui avait de quoi la faire défaillir. En observant cet accouplement bestial, elle oublia qu’elle était mère, oublia l’inconvenance de voir sa fille se faire défoncer, elle se mordait les lèvres de désir quand…

« Un préservatif! Il faut un préservatif! » cria son mari.

Amadou se retourna vers lui et se mit à rire comme un forcené.

« Une capote?! Mais mon vieux, tu en as de bonnes toi! Les capotes pour des bites à ma taille ça n’existe pas! Où il faut en commander sur des sites spécialisés! Mais ne t’inquiète pas. Je ne baise que des femelles saines. C’est pas avec moi qu’elle va tomber malade…

— Mais si elle tombe enceinte?

— Et bien, son gosse aura une grosse bite, je peux te l’assurer. »

Et, disant cela, il lui en remit un coup de mandrin.

« Mais ce serait un enfant noir… C’est hors de question!

— Bon… si tu tiens tant à ce qu’elle ne se retrouve pas en cloque, on peut arranger quelque chose. Et puis tu as peut-être raison, je veux pas avoir un chiard d’une gonzesse qui n’est pas encore de la tribu. D’autant qu’avec le sperme que je décharge, il faudrait un miracle pour qu’elle ne se retrouve pas avec un petit nègre dans le tiroir-caisse.

— Tu as entendu? Amadou veut bien arrêter de te faire l’amour, mon chou, » affirma sa mère qui trouvait injuste que sa fille ait le droit de connaître un plaisir aussi intense.

Léa était loin d’être aussi contente que sa jalouse de mère. Elle était à deux doigts d’atteindre un nouvel orgasme et voilà, que ses parents l’ennuyaient pour des précautions dont elle n’avait que faire. Renoncer à ce plaisir était quand même bien décevant.

Les deux parents regardèrent Amadou retirer son énorme engin de la chatte de leur fille. Quand il en sortit le gland, Léa poussa un gémissement se sentant le corps vidé, tandis que sa chatte complètement déformée tentait tant bien que mal de se refermer.

« Putain! Mais quelle salope, hein? Allez, retourne-toi, morue. »

Mais Léa était bien trop épuisée pour bouger

« Vous voyez, à peine quelques coups de pines et c’est H.S, faudra qu’elle boive plus de jus de couille, ça donne de la force… En attendant, Monsieur, forcez là à obéir! »

Jean fut obligé d’avoir recours à de nouveaux coups de ceintures pour que Léa trouve la force de bouger. Mais encore fallait-il qu’elle trouve la bonne position…

« Cambre tes fesses mieux que ça, ordonnait Amadou, forçant Jean à fouetter une nouvelle fois le postérieur de sa fille. Plus vite que ça! »

Finalement, lorsque le cul de Léa se trouva bien en hauteur, Amadou se dirigea vers elle, la bite toujours dressée…

« Mais, qu’est-ce que vous faites?! s’inquiéta Jean qui craignait avoir deviné sur l’objectif visé par Amadou.

— Eh bien, je ne la mets pas enceinte!

— Oui… mais…

— Voyons un peu ce que vaut ce trou du cul…

— Mais que comptez-vous faire?!

— L’enculer bien sûr!

— Mais c’est impossible! s’exclama Madame, rougissant fortement. Votre bite est bien trop grosse!

— Ah ça, elle va la sentir passer. Mais, ne vous inquiétez pas, elle finira par en redemander. Toutes les salopes sont les mêmes.

— Chéri, dis-lui de refuser.

— Tu la préfères enceinte?

— Oh non!

— Alors c’est décidé, conclu Amadou, à la une! À la deux! À la tr…

— Non! cria Hélène. Vous ne pouvez pas faire ça à sec. Jean vient avec moi. Et vous, Amadou, je vous en supplie, attendez que je revienne avant d’enculer ma fille.

— Très bien, je poiroterais en me faisant dégorger le poireau, pas vrai Léa. »

Léa rougit, en apercevant la taille de ce qu’elle devait mettre en bouche. Hélène agrippa le bras de Jean et ils décampèrent prestement.

*****

Les parents ne tardèrent pas à revenir, voulant éviter que leur fille ne prenne goût au braquemart saveur chocolat.

Aussi furent-ils consternés en rentrant dans leur chambre de voir leur douce enfant avalant une immense queue noire. Elle semblait avoir la bouche remplie plus qu’à ras bord et pourtant, elle avait encore bien du chemin à faire avant d’en arriver à la moitié. Amadou lui tirait les oreilles pour l’obliger à emboucher une plus grande quantité de bite dans sa bouche. Il forçait l’entrée comme s’il essayait d’enfiler une chaussure trop serrée.

Hélène avait retrouvé ses réflexes de mère et eut pitié de sa fille en la voyant asphyxiée par ce mastodonte noir :

« Arrêtez!

— Ah voilà les parents qui se décident à revenir. Mais qu’est-ce que vous apportez? »

Amadou plissa les yeux pour distinguer ce que le couple amenait comme ustensile. Il distingua dans la main d’Hélène une bouteille d’huile et dans celle de Jean, une plaquette de beurre.

« Ma choutte! Ça va?! » demanda Hélène.

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Chaleur Morte: A Brise Le Coeurs Ch. 04

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Blowjob

“POLICE! MANDAT DE PERQUISITION!”

Tommy s’est balancé le smasher de porte et le portique bon marché a explosé vers l’intérieur. Comme nous avons classé dans, les armes dessinées, les gens criés et a essayé de courir. Nous avons crié dans le retour, les commandant et a plu en bas que le plus conformé. D’artillerie explosé dans la pièce arrière et je suis dépêché m’aider Brad, qui a été en pinned bas dans le couloir. Jonas Adams, le négociant de fissure et le fournisseur de mort, était dans la chambre à coucher postérieure, déranger que nous nous étions imposés sur son viol d’un dopé-hors la jeune femme. Il criait des explétifs, pompant toujours sa piqûre demi-dur et espérant rapidement être débarrassé de nous s’il pourrait finir.

Evidemment, cela n’allait pas arriver. J’ai servi d’une diversion et de Brad a posé une droite entre ses yeux, le tombant sur place. La jeune femme a souri juste, ses yeux vitreux reflétant des Jonas l’une morte et atteint pour son coq. Brad a couvert et battu elle loin. Il a pris encore deux minutes pour éclaircir la maison et nous avons été déçus pour ne pas trouver Ronnie et Mykal. Dans un des en haut pièces, j’ai trouvé un carré proprement plié de papier de toilette a plissé dans un tube vide.

A quiconque trouve ceci, s’il vous plaît informer ma mère, Manquer Fyona Hughes, que je suis vivant et bien et que mon père ne projette pas pour me blesser. Il veut lui parler seulement. Si ceci peut être arrangé, il me permettra d’aller libre.

J’ai téléphoné Fyona et ai écouté tout de suite son cri par-dessus les lignes téléphoniques. Elle était si heureuse d’entendre que son fils était bon. “Donc comment faisons-nous ceci?”

“Comment nous que faisons?”

“Etablir la réunion.”

“Fyona, vous ne pensez pas sérieusement de la réunion avec lui, n’est-ce pas?”

“Bien sûr, je vais a! Etes-vous fou? Cela est mon enfant que nous parlons de!”

“Fyona, vous ne pouvez pas rencontrer avec Ronnie! Avez-vous oublié qu’il vous a fait?”

Ses mots ont été antep escort mordus d’avec la colère. “Je n’ai jamais oublié cela, Pete. C’est kinda dur à oublier chaque temps que je déshabille.” Je n’étais pas sûr que qui a signifié mais je n’étais pas heureux. “Et ne pas penser que vous me possédez juste parce que je vous”ai embrassé!

“Je ne suis pas, Fyona, et vous le savez!” C’était notre premier combat. “Je vous posséderai quand je fais l’amour à vous!” Jésus! Quel l’enfer avait-il tort avec moi?

“Si vous faites l’amour à moi!”

J’ai contrarié tout de suite, grogner, “Quand et je garantis, vous ne l’oublierez pas!”

Nous étions les deux silencieux pour quelques moments. “Je suis désolé, Pete.”

“Fyona, je soigne beaucoup pour vous. Je ne veux jamais vous voir Comme vous étiez quand nous premier rencontré encore. Maintenant que je vous sais, chaque temps que je pense de cela, mon coeur mes juste coupures.”

“Pete … “

“Ne pas me demander de ne pas soigner.” J’ai entendu l’obstacle dans son souffle et ai su que ne déchire pas étaient extrême derrière. “Si vous voulez traverser ceci la réunion, alors je l’arrangerai, mais en aucun cas faire je veux que vous ayez rencontré avec cette secousse, approuvez seul? Je n’essaie pas de vous posséder ; je suis juste essayant de vous protéger. L’accord?”

“Oui, Pete.”

“Ugh! Ne pas me répondre comme cela! Je ne veux pas une femme qui embrasse mon âne …” J’ai hésité, les pensées sombres rampant dans. “Bien, au moins pas comme cela!” J’ai entendu un hennissement doux. “Je veux que vous ayez été comme passionné de disputer avec moi comme vous êtes de faire d’amour avec moi.”

Il a entendu la rit tout bas encore et était reconnaissant cela Il pourrait faire l’oublier le sérieux de la situation. “J’ai fait pas non plus dans un tel temps long que je pense que je devrais pratiquer.”

“Vous savez qu’ils disent, les Marques ‘de Pratique Perfectionnent’.” Je sais que j’étais hardi araban escort mais je ne pourrais pas l’aider. Notre plaisanterie sexy a senti juste la droite. C’était si facile à lui parler, même dans ces circonstances. “Nous aurons assez de temps pour cela plus tard. Pourquoi nous ne faisons pas juste le concentré sur Mykal maintenant? L’affaire?”

“Affaire.”

“Accord. Me permettre de faire quelques arrangements et je rentrerai avec vous.”

“Remercie, Pete, et je suis désolé.”

“Ne pas se soucier de lui, hon.” J’ai souri, espérant qu’elle pourrait l’entendre dans ma voix. “Vous restez en place et je diminuerai de plus tard.”

“Bon. J’ai frit quelque poulet Aujourd’hui. Il y a l’abondance.”

“Vous appeler plus tard.”

* * * * *

Je suis rentré et ai pris une douche, frottant chaque pouce avec le soin extra-minutieux. Je n’ai pas su mais j’espérais l’avoir ce soir. Je ne pourrais pas sembler penser de n’importe quoi d’autre sauf elle. Tout d’elle a crié mon nom. La chaleur de son corps et la passion dans son baiser est réveillée quelque chose qu’avait longtemps a été dormant dans moi, comme une mémoire d’enfance agréable. Je ne l’avais pas dit mon histoire.

Je ne l’avais pas dit de Sarah et le ravage qu’elle a exercé sur ma vie avant qu’elle a failli assassiner me et je devais l’arrêter pour est Amérique deuxième meurtrier en série femelle. Je ne l’avais pas dit que j’ai regardé Sarah plonge un couteau dans son estomac et tue son enfant pas encore né, mon chil pas encore néd, et alors rireed de lui. J’avais traversé tel traumatisme que j’avais décidé ne pas dater ou jamais épouser.

Ceci tous était arrivé deux vous ars après je ferais Fyona rencontré et depuis, je m’étais enterré dans mon travail. Je vraiment n’avais pas payé la trop d’attention à mes regards, juste s’assurer que j’étais mince pour le travail. J’ai dévisagé à mon reflet dans le miroir. Les yeux durs et bleus ont ébloui de retour. Les cheveux ondulés arap escort blonds qui était un morceau de tad trop long ont couvert mon col. Mon nez trois fois-cassé penché comme la vieille Tour de Pisa et une coupure méchante a bifurqué proprement mon li inférieur, me donnant un grognement sexy.

Le repos de moi était la peau lustré par-dessus le muscle dur et pour la vie de moi, je ne pourrais pas voir que quel Fyona a-t-il vu dans moi mais moi sûr comme l’enfer n’allait pas le questionner. J’ai lancé sur le jeans et une chemise de Polo, s’est emparé des vins froids que j’ai acheté pour le soir et ai conduit par-dessus à sa maison.

Une voiture différente était dans l’entrée de garage, un Mustang argent avec les bords de gleaming. Le SUV n’était nullepart dans la vue. Je n’ai pas donné lui a pensé beaucoup puisque les lumières étaient sur à l’intérieur. La porte de devant était mon premier indice. Il a été légèrement craqué et j’ai donné à un coup petit du coude à lui ouvre avec ma botte, Mes poils s’élevant de le et les instincts picotant. La voix de torchy du Anita Baker a rempli le salon et j’ai vu que la table avait été réglée pour deux, bougies non éclairées et les roses parfumées proclamant une affaire intime.

Mais j’ai vu aussi la bouteille cassée de gewürztraminer le trempage dans le tapis de sisal et un jet d’adrénaline a resserré ma poitrine. Je règle le sac sur la table et ai dessiné mon fusil, marcher par le reste de la maison. J’ai trouvé que je ferais redouté: les signes d’entrée forcée à la porte de derrière, un pince-monseigneur a rejeté dans une des chambres à coucher et une note hâtivement écrite sur le miroir de la chambre à coucher professionnel.

Pete, quelqu’un se cassant dans et je pense c’est Ronnie. Si c’est, il ou me tuera ou nous prend ici au vieil appartement où Mykal l’a poignardé la première fois. J’espère que vous obtenez ceci avant qu’il a un hasard pour nous tuer. Désolé, Fy.

Mon corps entier s’est senti engourdi et je dois avoir été sur le pilote automatique parce que je ne suis pas rappelé m’appelant Brad et le disant de tirer un dossier de dix vieux par années et me donne l’adresse. Mais il a fait et il n’a pas demandé deux fois quand je l’ai dit d’amener mon engrenage et me rencontre là-bas.

J’ai espéré seulement que je n’aie été pas dernier.

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Quinn’s Quickies 04: Creaming Mommy

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Blowjob

I stepped out of my last lecture for the week and winced as the bright sunlight hit me. It had been a complete waste of time, as had all my other lectures, since meeting up with my mom last week. My ability to concentrate was permanently broken, and would be until I got home to see her again.

The thought of our conversation still made my skin prickle with anticipation. It was finally going to happen, she had started on the pill and I was going to get to fill my mom’s lusciously tight pussy with my come.

All week she had been driving me crazy, sending me text messages to tell me that she couldn’t wait to feel me filling her up with my seed. Things had escalated quickly and soon she was sending me pictures of her dressed in the new lingerie we had bought to commemorate the upcoming occasion. As the deadline neared the lingerie had been covering less and less of her. The most recent picture, sent only this morning, nearly made me spurt in my pants.

My mom had positioned herself on the floor in front of the full-length mirror in her bedroom. Our bedroom. She was completely naked. Her huge breasts perched heavily on her chest and toned stomach. She had her thighs spread, her body front-on to the mirror. One handheld the camera up, angled down so that it did not obscure this vision of perfection. The other was between her legs, two of her fingers had burrowed into her soft folds and were spreading her tender, pink inner flesh open, inviting my gaze.

The attached message simply said, “I can’t wait for you to fill me up tonight…”

Before I even registered it I had pulled my cock out of my sleep shorts and was jerking myself off to a rapidly approaching climax. I was so transfixed by that picture I did not fully realize what I was doing until there was pre-come dripping down over my knuckles and my cock was pulsating on the verge of an eruption.

My mom looked so incredible. She always did, but this picture was such a beautiful contrast of the shy expression on her face and the lust-filled sexual confidence she had recently discovered in my arms.

It pained me to do it, but I had to force my fingers to pry themselves up off my aching cock. It spat an angry dollop of milky liquid onto my belly and twitched, as if it were trying to wriggle itself over the finish line.

But I forced myself to look at the picture on my phone again with fresh eyes. I wanted to save every drop of my come to pump into that tight cunt she was spreading for me. I had been dreaming about doing exactly that for years. I had been so close more times than I could count over the past few incredible months. Tonight was finally the night and I was going to fill her to bursting with my seed.

I felt the thrill rise in my throat as I considered this, dropping down the red brick stairs outside the lecture hall two at a time. It was a matter of hours now. I felt a pressure rising against the stiff fabric of my jeans. Just a few short hours.

“Chase!”

The voice cried out somewhere off to my left. I was so wrapped in the thought of being equally wrapped up in my mother’s arms tonight I probably wouldn’t have even registered it if it hadn’t called out again.

“Chase! Hold up!”

I paused at the base of the stairs and half turned. I expected to see one of my buddies. They had been on my case a lot recently on account of me disappearing from the social scene. I think they suspected there was a woman in my life, but I could hardly tell them who it was. I looked around for a face I recognized. Perhaps I had forgotten something in the lecture hall? My mind was definitely distracted enough to do that.

Then I saw the figure standing beside the open door of a silver sports car. I felt blood rush to my face in a tide of warmth and my fists clenched tight before I could even fully process who it was.

Brian, my mom’s soon-to-be-ex-husband, was standing there waving at me with a huge grin on his shit-eating face. He was a good looking guy, I will give him that, with his excessively gelled hair, his expensive suit, and the dark ray-bans covering his eyes. He was closer to my age than to my mother’s and he looked it. If not for his business attire he might have passed for one of the students, now slowly filtering out of the building behind me in small chattering groups.

“Chase, my man!” Brian called, with a note of triumph now that he had gained my attention.

I stood and stared at him, torn between turning on my heel and walking away as if I hadn’t seen him, or walking up to him and knocking every tooth out of his enormous, white smile.

I had to quell my anger though, knowing that if the divorce my mom and I had been hatching were to go through smoothly, we would need to keep level heads.

“What do you want, Brian?” I responded, flatly. Suddenly I was very conscious of my phone in my pocket. It felt hot against my thigh, but perhaps that was because I knew it was loaded with photos of my mother, Brian’s wife, naked and spreading her delicious pussy for my hack forum eyes only.

“Hey, come on, man. I haven’t seen you in ages. Is that any way to greet your dad?”

“Brian, you are not my dad,” I unconsciously took a step forward, my voice coming out in an angry whisper, “You are lucky I don’t walk up to you and kick the shit out of you for ditching my mom and brother like that.” If only he knew that the sole reason I didn’t was that his fuck up had opened the door for the relationship my mom and I had started.

“Woah, Woah,” He held up his hands defensively, “Look, I get it, kid.”

Internally I flared even hotter at that. At no level in our relationship could I ever be considered “kid.” I had already started college when he met my mom. It was like he wanted me to punch him in the mouth.

Not sensing my growing displeasure he continued, “It looks bad, I can see that, but just give me five minutes. Let me just talk to you and then I will go away and you can think about what I have to say. Will you do me that service? I’m desperate here, man. Your mom won’t even take my calls anymore. I miss my wife. I want to see my son. I know I fucked up but I’m ready to come home now.

“Why weren’t you saying that 6 months ago?” I shot back when what I really wanted to say was, “They’re not your wife and son anymore.”

“I got scared, okay? I wasn’t ready to be a dad. I didn’t realize it would be that hard. No sleep. All the crying. And your mom, it was like she became a different person overnight. Suddenly it was all about the baby and old Brian could do nothing right. Jesus. You understand, right?”

“Yeah, Brian, I do, because who do you think was there to pick up the pieces when you just disappeared?”

“And I’m grateful, believe me. I’ll make it up to you, I swear.”

“Make it up to me?” I was incredulous.

“This place can’t be cheap,” he waved to the college buildings surrounding us, “I can help out. You know I make good money.” His hand came down to rest on the roof of his shimmering vehicle.

“Are you trying to buy your way back into our lives?”

“Kid, I just want a chance. Come on. You’ve only heard your mom’s side. I tried to make it up to her, I did. But you know how hard-headed Angie can be. I’m her husband and she won’t even listen to me anymore.” He paused a moment then continued, “It’s like she…” he gave me a conspiratorial look and asked, “She’s not seeing anyone, is she?”

“Jesus, Brian.”

Luckily he interpreted my response as exasperation rather than that he was getting a little too close to an uncomfortable truth.

“I know, I know,” he held up his hands defensively, “Who would want to date a woman with a newborn. Plus there’s the baby weight. I know I shouldn’t worry, but there is definitely something different about her.”

I wanted to yell in his face, “She’s different because she’s finally happy!”

I have no idea how my mom fell for him. He must have put up an impressive front. Maybe if I hadn’t been away at college I might have been able to protect my mom, as I had from so many of her other terrible suitors. In hindsight, I can see that she must have been very lonely to let a guy like Brian worm his way into her life. “She’s not lonely anymore,” I reminded myself, “and I am going to make sure she never feels that way again.”

I had had enough, I ghosted past him and spat out: “Fuck off, Brian and leave us alone.”

Brain called after me, “Chase!” I ignored him. He called out again, “Chase, I just want to see my son. You can’t keep me from seeing my son!”

When I did not acknowledge him his calm finally cracked and he yelled, “Fuck you and your stuck-up bitch of a mother then! He’s my son, you little asshole! I will find a way to see him again.”

I put my head down and walked. I knew if I stopped I would turn around, go back, and beat the shit out of Brian. I wanted to, more than anything, but I knew it would hurt my mom’s case when she filed for a divorce. No, we had to be beyond question until the papers were signed and that giant douchebag was out of our lives. Then, and only then, could I hunt him down and pound him into a greasy stain on the floor.

I got back to my dorm room and took a deep breath. I reminded myself of what was going to happen tonight. Closing my eyes, I saw again my mother’s spread legs, her pussy glistening with the dew of anticipation. An instant later I was rock hard and smiling. All the rage and conflict Brian had brought up had dissipated.

It only took me a couple of minutes to pack. I had been living a dual existence these last few months. My school attendance barely met the minimum requirements. Every other moment I had was spent in the arms of my gorgeous mother, or in playing family with her and my brother Ian.

I only had to throw a few books into a gym bag, deluding myself that I might get a moment to study for my upcoming midterms, some toiletries, and my favorite sweater. Then I was out the door and half-running to my car.

On the drive back I had to keep reminding myself to slow down. I kept thinking of my mom at home, waiting for me and my foot kept getting heavier on the pedal. I eventually had to take it right off and force myself to take a few deep breaths. I did not want a massive fine or an accident to potentially ruin the greatest night of my life.

My dick was rock hard the entire journey back.

Despite my efforts at caution, I still think I set a new record for the drive between school and home. I pulled into the drive just as the sun was setting. I turned the engine off and sat for a minute as it ticked away the heat. I felt giddy, my pulse racing, excitement gripping my throat. This was the final step.

A movement caught my eye and I glanced up. I glimpsed a figure flitting past the kitchen windows. The lights were on inside the house and from that barest hint of motion I could discern that it was my mother. Nobody moves with her grace.

We had been intimate for months now, but this felt like a first date. Sucking in a last sharp breath, I drummed out a short rat-a-tat-tat on the steering wheel, and then launched myself out of the car.

I strode with purpose up to the front door, clearing the steps in a single bound. I unlocked the door and slipped inside, shutting and locking it again behind me.

She was waiting for me when I found her, her back to the counter, a glass of wine in her hand and a look in her eyes with enough heat to kindle a campfire.

“Hi, Ch-” she began, but I did not let her finish. A single step and she was wrapped in my embrace, my lips pressed to hers. Her eyes widened and then, gradually, her heavy lashes closed and her mouth opened, growing soft and welcoming. I tasted the rich burnt caramel of the wine on her tongue. I smelled the scent she had put on just for me. I felt the silken fabric of the dress she wore, clinging to her hourglass figure.

I let out a moan as my hard cock rubbed against her thigh. She shivered in my arms. God, I wanted her so much.

Our kiss broke as a smile grew across her lips. Mine grew to match and then we were staring into each other’s eyes, grinning like idiots.

“I missed you, baby,” She purred, “Did you miss me too?” She gave a soft chuckle as her hand palmed the hardness in my pants, “I guess so.”

“You have no idea,” I moaned, looking up at the ceiling as she massaged my cock through the denim, while placing soft kisses on my neck. “God, you had better stop that,” I bleated, “Otherwise this will be over before it even begins.”

“Are you that excited?” She teased the top button of my jeans open.

“What about Ian?”

“Already asleep,” her mouth was at my ear, nibbling my lobe. She gestured towards the baby monitor which rested on the counter beside her. “You are so hard,” she sighed into my ear.

“I have been all week, thanks to you.”

“Poor baby,” she slipped a hand into my pants and I felt the heat of her naked palm on my shaft, “You haven’t touched yourself? Not even once? Even with all those pictures I sent you?”

“No,” I gasped, as she released my cock from my underwear, “It nearly killed me, but I’ve been saving every drop for you.”

She cooed appreciatively, snuggling her body closer as she cupped my balls. Her huge breasts molded themselves around my side.

“Fuck!” I hissed, as precome dribbled out of my tip and covered her knuckles. My mom giggled and, to my surprise and delight, she raised her hand to her mouth and lapped up the liquid like a kitten.

“You always get so hard for mommy. You’re always ready for me, aren’t you?”

“Day or night. Luckily you are with a younger man. Who else could keep up with your insatiable needs?” I raised a cocky eyebrow at her.

“Why don’t we get started then?” She teased, sliding her hips against me, “Apparently I am pretty insatiable.”

“Now?” I asked, unable to hide the surprise, “What about the build-up? The dinner? All this?” I nodded towards the kitchen counters where evidence of my mom’s preparations lay everywhere, and to the dining room where it had clearly been set up for a romantic dinner.

“Oh, fuck all that,” My mom waved her hand dismissively. It was shocking enough to hear her swear, but it was even more so when she let go of my cock and seductively bent herself over the kitchen counter. Her short dress rode high and, as she positioned herself, I could see the tops of her stockings where they connected to their straps.

“I know how long you’ve been waiting for this. You’ve been so good. Why wait any longer?”

I felt like I had stepped into one of my teenage wet dreams. It very nearly ended as abruptly and as messily as one of them right then and there. “But shouldn’t it be special?” I stumbled, cursing myself inwardly for being such a girl.

My mom looked at me through her long lashes as she began to hike up her dress over her ample backside and replied, “There will be plenty of time for special. We are going to be doing this a lot in the future. A lot. More than you dreamed possible.”

I gulped involuntarily as she rolled her dress all the way up to her garter. The perfect orbs of her plump ass were presented to me, clearly visible through the sheer fabric of her underwear.

“Jesus,” I groaned. My hands acted on their own, reaching out to seize the very pleasing broadness of her hips. My fingers automatically hooked into the elastic of her underwear. She arched her back as I peeled the material down, exposing the creamy expanse of her cheeks. As I sank with the lowering underwear I glimpsed her pussy through the narrow aperture between her thighs, a pussy that looked as tortured as my cock. It was already so dewed with desire that I could tell it was not just my urgent need we were trying to satisfy here.

“Take me hard,” she growled through gritted teeth, “I want to feel your come inside me. We can worry about making love later.”

I wanted to hesitate again, to be certain this was what she really wanted, but the need in her eyes brought that line of thought to a brutal halt. My belt buckle jangled as I fumbled to get my jeans and boxers down to mid-thigh. As I lined myself up, my mother shuffled her feet apart a little more, giving me a further invitation I did not really need at this point.

“We’re definitely protected?” My voice came out husky with need as I paused, my dick dripping into her panties, just millimeters from her entrance.

“I haven’t missed a pill all week. Now, stop torturing me. Give mommy your cock.”

That made any more hesitation impossible. The short distance I had to move forward felt like diving out of an airplane. My stomach rose into my throat with the thrill as I sank into her buttery warmth with a sigh. I was home in every way that a person could be. Her insides embraced me, folding around me. When I tried to withdraw for my first thrust her liquid heat sucked impatiently at my length.

“Fuck me, Chase,” she commanded, laying herself flat on the granite slab of the kitchen counter. Her huge breasts pancaked against the cold stone, pressing out to either side of her torso despite the constraints of her bra and dress.

I slammed into her, sending a quiver through the mass of her backside. “Oh God,” I gave a mournful cry as I did it again. Already I could feel the ache of my cruelly confined pleasure rattling its cage.

It was at this precise moment that the monitor made a click and static blasted through. I paused, balls deep inside my mother, her wonderfully mushy backside squashed up against my belly. A baby voice murmured. I swore inwardly.

“Don’t worry,” My mom soothed me, “He’s probably just talking in his sleep. He’ll settle in a moment.”

I gripped her hips and held her ass tight to me. It felt incredible just to be encased inside her. I took a moment to enjoy the incredible sight and sensation of my mother, bare assed and bent over her own kitchen counter with my cock inside her.

To my immense relief, she turned out to be right, a moment later the monitor clicked again and the static went silent. I ran my hand up her back and took hold of her shoulders. I had barely moved inside her and I was already trembling on the edge.

My mom, as ever, knew me better than I knew myself and gasped, “Don’t hold back. Fill me up, baby. I want to feel you flood my insides, don’t wait any longer. Mommy needs your come.”

She must have known the effect her words would have on me. Shamefully, on only the third or fourth thrust into her, I felt the cage burst open. I voiced a cry at the pleasure that boiled up out of me. Nothing had felt so good before. I spasmed hard and began to pour thick lashings of searing hot come deep into my mom’s greedy cunt.

“Ooh, that feels so good!” She panted as I pumped every painfully pent up drop of my come inside her.

“S-sorry,” I shuddered with my dying spasms. She was so full of my seed it seeped out of her even though I was still plugging her with my fat cock. “It was just too good.”

My mom giggled girlishly and waggled her bottom, “Don’t apologize, that felt amazing.” With me still buried inside her, she half turned and took hold of my t-shirt, pulling me down for a long, wet kiss. I felt myself stir inside her.

“See,” she grinned over her shoulder, “You’re already practically ready to go again.”

I collapsed on top of her, crushing her against the granite counter. I breathed in the scent of her honey-colored hair and sighed, “You’re going to kill me, mom.”

“But can you think of a better way to go?”

I shook my head with my face still buried in her silken tresses.

“Such a good boy,” she reached back a hand and patted my head. “Now, keep being a good boy and, when you pull out, pull my panties back up quickly. I want to feel your warm come inside me while I finish making our dinner.”

All I could manage was a whimper of agreement. What woman on Earth could compare to my mother? Carefully I drew back. My semi-hard cock slopped out of her and, despite my best efforts, a big blob of sticky white semen dripped out and ran down her inner thigh.

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